Ce n'est pas la bonne 1 - histoire érotique

Comme Jade est différente aujourd'hui. C'est époustouflant. Son ardeur dans le baiser saute aux yeux quand tous deux pivotent lentement sur place à côté du lit de la jeune fille. La prude d'il y a peu de temps est métamorphosée en experte du bouche à bouche, et sa façon de masturber lentement la verge de Fabien n'a plus de rapport avec l'attitude qu'elle avait adoptée lorsque Jo avait osé toucher son bas ventre. Cette fois elle veut parvenir à ses fins et elle pousse Fabien aux dernières limites.

Le baiser interminable, profond, glouton et la masturbation hardie et efficace déboussoleraient le plus réticent amateur. Or Fabien n'a aucune réticence. Au contraire il vivait dans l'attente du bonheur que Jade lui propose.- Et il en profite, palpe la peau douce des fesses juvéniles que n'alourdissent encore ni l'âge ni les rapports sexuels fréquents ni les maternités. Il palpe, enfonce ses doigts dans les muscles fermes, caresse les arrondis merveilleux et frémissants. Il faut voir comme la garce se trémousse sous ces attouchements, comme elle glousse d'aise aux contacts multiples, comme elle presse ses jolis seins en poires contre les pectoraux du gaillard.

Notre Joseph est édifié. Caché derrière Huguette, il regarde et perd ses illusions. Enfin cela fait un moment qu'il a compris. Un homme averti en vaut deux, Jo déjouera le piège de Jade. Elle pourra se faire péter la rondelle, obliger Fabien à dilater son anus, à en faire un passage aisé, désormais son sort est réglé, jamais Jo ne fera l'amour à cette fichue hypocrite. Il pourrait quitter son poste d'observation, laisser ces deux cinglés s'échauffer avant de passer à la sodomie prévue. Aurait-elle le cul ouvert comme un entonnoir Jo n'y tremperait pas sa queue! Jade est pressée de se faire défoncer le sphincter. Elle supplie :
- Fabien, fais ce que tu as promis, encule-moi, s'il te plaît
- As-tu oublié que la chose doit se faire avec un plaisir réciproque. Sans hâte, savourons l'instant présent. Laisse-moi retirer ton soutien-gorge... Voilà, tu as des seins magnifiques, tels que je les aime, ni trop lourds, ni pendants, ni trop petits, juste de quoi remplir une main, attachés haut, fiers et couronnés d'une fraise attendrissante que j'ai envie de sucer.,
- Vrai? Ils te plaisent. Merci pour ce compliment. Je veux bien que tu les embrasses, pas trop longtemps, hein ? Ah! Tes doigts excitent mes tétins. Fabien, c'est trop bon. N'oublie pas...

- Rien n'est trop bon, ma chère Jade. Avec moi tu connaîtras l'amour chaud, le bonheur, le septième ciel. Pourquoi t'enticher de ce motard difficile, laisse le à Huguette, donne-toi à moi.

- Allons, je t'aime bien, lui je l'aime tout simplement. Mais tu as un privilège, tu seras le premier homme à pénétrer mon corps.

- Je sais, par derrière. C'est bien, je voudrais tout... Non, j'ai promis de me contenter de ce que tu m'accordes, je respecterai ma parole. Ca ne doit pas nous empêcher de nous amuser.

- Qu'est-ce que ta main fait sur ma vulve. Tu te trompes.

- Quelques frottements feront couler ta cyprine. Elle sera nécessaire pour lubrifier ma tige au moment de l'enfoncer dans ton cul. Et puis n'est-ce pas fameux. Tu mouilles encore plus que prévu. Ne me dis pas que...

- Fais attention, pas que tes doigts percent l'entrée du vagin.

-Mais non. Bon couche toi la tête sur un oreiller. C'est bien.J'ai droit, moi aussi, à quelques gâteries. Je t'enjambe, mon sexe se trouve à hauteur de ta bouche. Tu serais merveilleuse si tu le suçais comme je vais sucer ton sexe puis ton petit trou. .. Mais oui, lèche le bout. c'est parfait. Prends le gland entre tes lèvres... Oui. Tu vois cela n'a pas besoin de longues explications. Le bébé tête le sein instinctivement et toi tu viens de trouver tout naturellement le mode d'emploi de ma bite. Bravo. A moi...

- Fabien, tu me rends folle. Mon clitoris enfle, quel bonheur. Ta langue fouille. Attention !

- Je n'ai jamais entendu dire qu'une langue peut percer un hymen. Sois sans inquiétude, laisse-toi aller, détends-toi et jouis
- Je n'en peux plus. Enfin, prends-moi par derrière. Libère moi, je me couche sur le ventre, Comme ça ?

- Ah! Le cul superbe. Des fesses splendides... J'ai une chance inouïe. éloigne tes genoux l'un de l'autre, soulève ton bassin. Ne bouge plus, je veux graver dans ma mémoire la taille fine qui domine tes hanches somptueuses et l'arrondi parfait de ta croupe. Formidable, magnifique, permets.

- Que fais-tu? C'est ta queue entre mes fesses? Elle me chatouille le derrière. Fabien, vas-y.Comme ça le pli des fesses s'ouvre et apparaît le triangle qui encadre le point de ton cul
- Pas si vite, ma belle. Mon doigt a pris du jus de ton con, en est couvert et appuie doucement sur les plis de ton cul. Là... je le fais tourner sur les bords... il entre tout doucement, il prépare le terrain. Lève encore un peu tes fesses. Voilà, je pose mon zob sur ta rondelle, j'appuie...

- Aie, doucement, c'est douloureux. Mon Dieu, je n'aurais pas cru
- Tu veux que j'arrête ? Le gland n'est même pas entièrement dedans. Attends, je recule un peu, pour mieux avancer. Ah! Tu as encore mal ? Que veux-tu, la première fois est toujours plus difficile. Courage, on y arrivera
- Courage ? Ce n'est pas toi qui te fais déchirer la peau du cul. Allez, reprends, pousse fort, un grand coup. Aïe, aïe, Aïe ! Oh; enfin, ne bouge plus. Je reprends mon souffle. Mama mia. C'est drôle d'avoir un gros truc dans les boyaux. Qu'est-ce qu'on fait maintenant ? Tu parles d'un plaisir. Mon salaud, j'ai cru mourir.

- Chaque chose en son temps, le plaisir viendra. Surtout si tu m'aides. Essaie de te mettre à quatre pattes.Non, appuie-toi plutôt sur cette épaule, cale toi contre la tête de lit. Envoie ta main libre par dessous jusqu'à ta chatte et caresse-la. Soigne ton petit bouton. Je remue tout lentement mon arme dans ton fourreau. Calme, douceur, petits mouvements, repos... on recommence...ça va ? Toujours mal ? Tu te chatouilles ? Voilà, tu es secouée par des frissons, ça marche, plus fort, plus vite.

- Oui! C'est bon , oh! j'ai le feu. Je tremble, je... je ah! Fabien, oui, force, plus vite, plus fort, casse-moi le cul et tourne dedans. Agrandis mon trou, je veux qu'il soit bien large quand Jo le prendra.

- Merde ! Je te bourre et tu penses à l'autre con. Tiens prends ça, et ça, et encore ça
Fabien ne se contrôle plus, y va à grands coups de pine dans le cul, la secoue et en même temps torture les nichons. Jade s'échauffe, sue, souffle et soudain s'écrie.

- Ha ! C'est trop bon. J"en veux plus. Fabien prends-moi, Fabien baise-moi. Je n'en peux plus. Fabien fais moi l'amour.

- Ben, alors, qu'est-ce que je suis en train de foutre? Que te faut-il de plus ?

- Laisse moi me coucher sur le dos, baise moi par devant, je brûle d'envie
Cette fois Huguette intervient
- Jade tu deviens folle. Tu m'as demandé de rester pour empêcher Fabien d'abuser de la situation. Ne l'oblige pas à faire ce que tu lui as interdis. Non, laisse son membre. Oh! Zut, débrouille-toi. Pour la dernière fois, arrête ou je fous le camp, je n'ai plus rien à faire ici. Pense à Joseph.

- Merde à Jo ! De toute façon il n'y verra que du feu. Quand au cours de la nuit de noces il me pénétrera nous serons mariés et s'il s'aperçoit que je ne suis plus vierge, il sera trop tard. Je le ferai boire, bien boire, Fabien mon garçon d'honneur remplira régulièrement ses verres de sorte que ce cher mari sera incapable de remarquer l'absence de mon hymen. T'as compris? Tu veux partir, eh bien, va-t-en. A la prochaine. Fabien qu'est-ce que tu attends? Viens baise-moi
Pendant qu'Huguette sort, Joseph , à haute voix, lance un "Bonne Baise" et s"en va sans chercher à connaître les effets de ses souhaits