ce qu'elle m'a fait devenir pour mon plus grand plaisir
Récit érotique écrit par Délices [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2007 dans la catégorie Dans la zone rouge
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ce qu'elle m'a fait devenir pour mon plus grand plaisir
Avec ma femme nous n'avons après 25 ans de mariage plus aucun rapport sexuel, et j’ai pris une maîtresse, et avec elle j’ai découvert ma vraie sexualité.
Je rencontre Noémie régulièrement et c’est toujours avec impatience que j’attends d’aller chez elle.
J’aime quand elle porte de la lingerie très très sexy et me frotter contre, au fil de nos rendez-vous, elle comprit que le contact de la lingerie m’excite au plus au point et m’a demandé de porter la même lingerie qu’elle pendant nos rencontres. Je me suis empressé d’accepter, car il est vrai que j’en rêvais depuis longtemps. Au fil de nos rendez-vous, elle arrêta de porter de la lingerie et accentuait mon travestissement pour en arriver à me faire ressembler à une fille de petite vertu, et elle adorait que je ressemble à une salope sexy, et elle adore mettre en scène ses fantasmes.
C’est une merveilleuse maîtresse qui n’a aucun tabou et adore jouer le rôle d’un homme. Elle affiche autant sa féminité physique qu’elle adore se comporter comme un homme lorsqu’elle fixe son gode ceinture. La première fois qu’elle m’a sodomisé, elle a été tellement douce que j’en ai redemandé, puis au fil des jours, je suis devenu SA salope.
Et il y a un mois, elle m’a fait devenir vraiment une salope, ce jour là, elle se place derrière moi, puis enroule tendrement un bras autour de ma taille et me chuchoter à l’oreille :
- Je vais t’élargir ton petit trou ma balle.
Elle pose le pieu contre ma rosette en me serrant contre elle.
Peu assurée sur mes talons aiguilles, elle me déséquilibre facilement en basculant mon buste en avant.
Sans que je puisse réagir, elle utilise son poids pour m’embrocher le gode qu’elle visse activement dans mes reins.
Je ressens une douleur vive quand mes chairs s’écartent brutalement devant cette intrusion.
La grande expérience de Noémie me fait vite oublier cet instant.
Elle tourne lentement le pal de droite à gauche et exerce de petites pressions successives pour stimuler ma glande intime.
Elle progresse peu à peu et finit par m’enfoncer le gode jusqu’au ras des fesses, et fit une vingtaine de va et vient.
- Ton cul est toujours aussi accueillant mais tu attendras encore un peu pour jouir, me dit-elle en se retirant.
Sa libido un peu calmée, elle s’assoit devant la coiffeuse pour faire une retouche à son maquillage avant de se déshabiller.
Je reste sous le charme quand elle retire son gode, ses vêtements et ses dessous, pour remettre son gode une fois totalement nue.
Harnachée comme une courtisane pour nos joutes amoureuses, elle est sûre de sa féminité et masculinité, une lueur d’excitation brille dans son regard quand elle se rend compte de l’effet qu’elle produit sur moi.
Je l’admire un moment, ses yeux et lèvres maquillés, et sa longue chevelure noire qui lui va à ravir.
Campée sur ses escarpins à talons aiguilles, je la sens prête à me faire subir le moindre de ses caprices.
Je l’enlace et embrasse à pleine bouche cette merveilleuse femme qui devine si bien mes envies.
Elle presse sournoisement son genou contre mon sexe. Elle sourit devant mon affolement et m’entraîne vers le lit en me tirant la queue. Et me dit :
- Aujourd’hui tu vas me prouver que tu veux être ma salope et te faire baiser selon mes ordres, et profites en bien, car j’ai fait venir un ami pour toi, me dit-elle.
Avec surprise elle m’ordonne de me mettre ventre sur le lit, puis elle me bande les yeux, m’attache les chevilles et les poignets aux quatre angles du lit avant de faire entrer son ami.
Sans défense, j’attends la suite des événements. C’est donc avec un plaisir mêlé de craintes que je reste immobile dans le silence…
Puis j’entends le bruit de son gros vibromasseur, elle me stimule le gland et surtout mon frein jusqu’à ce qu’elle recueille sur ses doigts quelques gouttes de sève, puis me dit d’ouvrir ma bouche, et je sentit une bite me forcer la bouche pendant qu’elle continue à caresser mes couille et mon gland avec le vibro d’une main, pendant que l’autre main, recouverte d’un gant lubrifié introduit progressivement un, deux, puis trois doigts dans mon anus.
Très rapidement je me mets à gémir comme la salope qu’elle souhaite que je sois, et je n’ai vraiment pas besoin de me forcer, car je n’ai jamais ressentit un tel plaisir sexuellement, avoir une vrai bite dans la bouche, qui l’utilise comme un vagin, et elle avec trois doigt bien enfoncer dans mon anus me met au bord de la jouissance.
La queue gonflée de désir au fond de ma bouche ne tarde pas à lâcher toute sa crème, et elle me dit :
- Prouve-moi que tu es ma salope en avalant tout.
Ce que je fis bien sur et avec un plaisir immense, pendant qu’elle remplace ses doigts par son gode ceinture, je creuse mon dos au maximum pour qu’elle m’embrocher à fond.
Et reste un moment immobile pour éviter que je ne décharge trop vite. La bite de son ami toujours au fond de ma bouche commence à ramollir et diminuer de volume.
Elle entame de lentes et puissantes bascules du bassin d’avant en arrière me laissant au bord de l’orgasme.
En alternance, je contracte fortement mon muscle anal et fais tourner mon bassin sur sa queue en caoutchouc.
Le souffle court, je l’implore d’une voix suppliante :
- Arrête toi un peu ma chérie, ne me fais pas jouir trop vite. Je voudrais tellement prolonger ces instants de plaisir.
Elle me répondit :
- Je n’arrêterais que lorsque tu aura redonner vigueur à mon ami pour qu’il puisse me remplacer dans ton petit cul, que tu jouisses ou pas tu devras nous subir sans arrêt jusqu’à sa jouissance au fond de ton cul de salope.
Et elle reprit son va et vient en remettant du gel lubrifiant sur son gode que je ne peu pas voir.
Sans défaillir je reprends mon pompage de la bite de son ami qui reprit du volume assez rapidement, puis elle se retira de mon anus, qui fut vite remplit par une vraie bite, celle de son ami, j’entendis un bruit puis je sentis devant mon nez et ma bouche l’odeur si agréable de la chatte de ma Maîtresse que je me mis à lécher avec ardeur.
Je me suis mis à jouir comme jamais à plusieurs reprise pendant mon premier enculage par un homme, que c’est bon une vraie bite dans le cul, et en plus en suçant une chatte au goût de paradis.
Une fois que l’ami de ma Maîtresse un tout lâcher au fond de mon anus, ils s’éloignèrent et me laissais attaché, le temps me parut long, j’entendais des voix dans l’autre pièce sans comprendre ce qui se disait, mais le plaisir et la jouissance que je venais d’avoir ne cessait de me faire comprendre que désormais, je voulais être une salope obéissante, et lorsque ma Maîtresse revient, et que son ami soit partit, elle m’enleva le bandeau et me dit :
- Dès maintenant je te ferais baiser comme une salope par tous les hommes que je voudrais, et même faire de toi ma petite pute.
Et lui répondit, que ce serait un devoir pour moi de lui obéir. Et elle me dit à la seule condition que ce ne soit plus 2 fois par mois, mais 1 fois par semaine, à moi de faire en sorte qu’elle n’aie pas à regretter de m’avoir fait découvrir ce que je suis, SA salope et SA pute dès ce jour, et que je devrais accepter aussi de me faire partouzer par plusieurs hommes, et même de me faire baiser à la chaîne pendant au moins 6 heures. Ce que je lui confirmais avec une certaine appréhension et un plaisir en même temps.
Je rencontre Noémie régulièrement et c’est toujours avec impatience que j’attends d’aller chez elle.
J’aime quand elle porte de la lingerie très très sexy et me frotter contre, au fil de nos rendez-vous, elle comprit que le contact de la lingerie m’excite au plus au point et m’a demandé de porter la même lingerie qu’elle pendant nos rencontres. Je me suis empressé d’accepter, car il est vrai que j’en rêvais depuis longtemps. Au fil de nos rendez-vous, elle arrêta de porter de la lingerie et accentuait mon travestissement pour en arriver à me faire ressembler à une fille de petite vertu, et elle adorait que je ressemble à une salope sexy, et elle adore mettre en scène ses fantasmes.
C’est une merveilleuse maîtresse qui n’a aucun tabou et adore jouer le rôle d’un homme. Elle affiche autant sa féminité physique qu’elle adore se comporter comme un homme lorsqu’elle fixe son gode ceinture. La première fois qu’elle m’a sodomisé, elle a été tellement douce que j’en ai redemandé, puis au fil des jours, je suis devenu SA salope.
Et il y a un mois, elle m’a fait devenir vraiment une salope, ce jour là, elle se place derrière moi, puis enroule tendrement un bras autour de ma taille et me chuchoter à l’oreille :
- Je vais t’élargir ton petit trou ma balle.
Elle pose le pieu contre ma rosette en me serrant contre elle.
Peu assurée sur mes talons aiguilles, elle me déséquilibre facilement en basculant mon buste en avant.
Sans que je puisse réagir, elle utilise son poids pour m’embrocher le gode qu’elle visse activement dans mes reins.
Je ressens une douleur vive quand mes chairs s’écartent brutalement devant cette intrusion.
La grande expérience de Noémie me fait vite oublier cet instant.
Elle tourne lentement le pal de droite à gauche et exerce de petites pressions successives pour stimuler ma glande intime.
Elle progresse peu à peu et finit par m’enfoncer le gode jusqu’au ras des fesses, et fit une vingtaine de va et vient.
- Ton cul est toujours aussi accueillant mais tu attendras encore un peu pour jouir, me dit-elle en se retirant.
Sa libido un peu calmée, elle s’assoit devant la coiffeuse pour faire une retouche à son maquillage avant de se déshabiller.
Je reste sous le charme quand elle retire son gode, ses vêtements et ses dessous, pour remettre son gode une fois totalement nue.
Harnachée comme une courtisane pour nos joutes amoureuses, elle est sûre de sa féminité et masculinité, une lueur d’excitation brille dans son regard quand elle se rend compte de l’effet qu’elle produit sur moi.
Je l’admire un moment, ses yeux et lèvres maquillés, et sa longue chevelure noire qui lui va à ravir.
Campée sur ses escarpins à talons aiguilles, je la sens prête à me faire subir le moindre de ses caprices.
Je l’enlace et embrasse à pleine bouche cette merveilleuse femme qui devine si bien mes envies.
Elle presse sournoisement son genou contre mon sexe. Elle sourit devant mon affolement et m’entraîne vers le lit en me tirant la queue. Et me dit :
- Aujourd’hui tu vas me prouver que tu veux être ma salope et te faire baiser selon mes ordres, et profites en bien, car j’ai fait venir un ami pour toi, me dit-elle.
Avec surprise elle m’ordonne de me mettre ventre sur le lit, puis elle me bande les yeux, m’attache les chevilles et les poignets aux quatre angles du lit avant de faire entrer son ami.
Sans défense, j’attends la suite des événements. C’est donc avec un plaisir mêlé de craintes que je reste immobile dans le silence…
Puis j’entends le bruit de son gros vibromasseur, elle me stimule le gland et surtout mon frein jusqu’à ce qu’elle recueille sur ses doigts quelques gouttes de sève, puis me dit d’ouvrir ma bouche, et je sentit une bite me forcer la bouche pendant qu’elle continue à caresser mes couille et mon gland avec le vibro d’une main, pendant que l’autre main, recouverte d’un gant lubrifié introduit progressivement un, deux, puis trois doigts dans mon anus.
Très rapidement je me mets à gémir comme la salope qu’elle souhaite que je sois, et je n’ai vraiment pas besoin de me forcer, car je n’ai jamais ressentit un tel plaisir sexuellement, avoir une vrai bite dans la bouche, qui l’utilise comme un vagin, et elle avec trois doigt bien enfoncer dans mon anus me met au bord de la jouissance.
La queue gonflée de désir au fond de ma bouche ne tarde pas à lâcher toute sa crème, et elle me dit :
- Prouve-moi que tu es ma salope en avalant tout.
Ce que je fis bien sur et avec un plaisir immense, pendant qu’elle remplace ses doigts par son gode ceinture, je creuse mon dos au maximum pour qu’elle m’embrocher à fond.
Et reste un moment immobile pour éviter que je ne décharge trop vite. La bite de son ami toujours au fond de ma bouche commence à ramollir et diminuer de volume.
Elle entame de lentes et puissantes bascules du bassin d’avant en arrière me laissant au bord de l’orgasme.
En alternance, je contracte fortement mon muscle anal et fais tourner mon bassin sur sa queue en caoutchouc.
Le souffle court, je l’implore d’une voix suppliante :
- Arrête toi un peu ma chérie, ne me fais pas jouir trop vite. Je voudrais tellement prolonger ces instants de plaisir.
Elle me répondit :
- Je n’arrêterais que lorsque tu aura redonner vigueur à mon ami pour qu’il puisse me remplacer dans ton petit cul, que tu jouisses ou pas tu devras nous subir sans arrêt jusqu’à sa jouissance au fond de ton cul de salope.
Et elle reprit son va et vient en remettant du gel lubrifiant sur son gode que je ne peu pas voir.
Sans défaillir je reprends mon pompage de la bite de son ami qui reprit du volume assez rapidement, puis elle se retira de mon anus, qui fut vite remplit par une vraie bite, celle de son ami, j’entendis un bruit puis je sentis devant mon nez et ma bouche l’odeur si agréable de la chatte de ma Maîtresse que je me mis à lécher avec ardeur.
Je me suis mis à jouir comme jamais à plusieurs reprise pendant mon premier enculage par un homme, que c’est bon une vraie bite dans le cul, et en plus en suçant une chatte au goût de paradis.
Une fois que l’ami de ma Maîtresse un tout lâcher au fond de mon anus, ils s’éloignèrent et me laissais attaché, le temps me parut long, j’entendais des voix dans l’autre pièce sans comprendre ce qui se disait, mais le plaisir et la jouissance que je venais d’avoir ne cessait de me faire comprendre que désormais, je voulais être une salope obéissante, et lorsque ma Maîtresse revient, et que son ami soit partit, elle m’enleva le bandeau et me dit :
- Dès maintenant je te ferais baiser comme une salope par tous les hommes que je voudrais, et même faire de toi ma petite pute.
Et lui répondit, que ce serait un devoir pour moi de lui obéir. Et elle me dit à la seule condition que ce ne soit plus 2 fois par mois, mais 1 fois par semaine, à moi de faire en sorte qu’elle n’aie pas à regretter de m’avoir fait découvrir ce que je suis, SA salope et SA pute dès ce jour, et que je devrais accepter aussi de me faire partouzer par plusieurs hommes, et même de me faire baiser à la chaîne pendant au moins 6 heures. Ce que je lui confirmais avec une certaine appréhension et un plaisir en même temps.
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