Ce roi si attachant
Récit érotique écrit par FED ERIC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-09-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ce roi si attachant
A son retour avec un plateau bien chargé de pots et de rôts Il m'a d'abord fait lever essuyant mon orifice anal avec une épongé vinaigrée trempée dans un pot fixé au fauteuil .Lui même ayant fait sur un tas de sable fait pour les gens de maisons et essuyé avec une poignée de sable avant de se laver les mains.
Mangez monsieur, c'est chaud. J'ai ja mangé en cuisine. On parle du départ du Duc vers sa province. Que pensez vous faire, vous acagnarder comme lézard ou muser dans la vile . Il serait peut être bon que vous connaissiez un peu mieux notre bon Paris.
Tu as raison Nicolas mais montes tu?
Oui da, sans selle mais fort bien, à la paysanne.
J'ai fini de manger, tu vas m'aider à me vêtir et te vêtir toi même avant de seller ma jument et une jument pour toi. Nous irons baguenauder en ce Paris que je trouve sale et puant. Il me faut une petite idée des alentours du Louvre que je ne fais qu'entrevoir en allant voir le roi à la nuitée.
Une fois vêtu et monté, surmontant les parisiens, nos pauvres chevaux piétinant dans le bren, on a musé, fort curieux de ma part de découvrir le petit monde parisien. Le quartier ou était bâti l'hostel de Joyeuse était dit "du marais", je suppose qu'il y avait là une cuvette et de là au Louvre en effet il y avait peu. Le parlé parisien était différents du niçois mais j'avais eu le temps de m'habituer.Dans les rues passaient aussi des troupeaux entiers menés là pour servir de viande aux habitants. Des poules effrayées volaient devant nos chevaux. Des rues si resserrés que le toit de la mainon d'un coté touchait presque celle d'en face.
Nicolas il me faut rentrer lapresse et le bruit de ces gens m'insupportent et je dois être vaillant pour le roi, je lui dois. J'avoue aussi que je me sentais opressé par la foule. Tout soudain nous fumes rattrapés par un soudard qui jouant de la force de son roussin qui nous bousculant criat : Place au Duc de Guise. Il suivait en effet sur un cheval bai, fort bien vêtu de satin moiré et d'une longue cape blanche. L'air débonnaire assez et sinon gracile, du moins grâcieux, les gens se pressant qui pour le voir, qui pour toucher sa jambe ou sa cape. Le roi n'eu pas été mieux traité.
Rentrons Nicolas , à peu que je ne raque mes tripes de voir ces sottards lui courre après.
J'ai du parler un peu fort et vite entouré, Nicolas n'a eu qu'à me crier de piquer des deux pour que je me débarasse de la populace. Un fois entré à l'hotel de Joyeuse, je me suis enquis du Duc de Guise. J'ai ainsi appris qu'il avait des prétentions au trône et qu'il avait reformé une ligue catholique. Le roi n'ayant pas d'enfant il eut été de fait le seul catholique à prétendre au trône. Seul Henri de Navarre pouvant le supplanter mais lui était protestant et en fort mauvaise grâce aux yeux des parisiens.
Le soir commençait à tomber et il me fallait m'apprêter pour le coucher du roi. Nicolas, vraie petite femme de chambre a sorti d'un vaste coffre un pourpoint que je ne connaissais pas ainsi que des chausses et un haut de chausse.
Diable d'où sors tu cela?
Un valet de l'artisan qui a fait votre remière tenue a amené celui ci et devrait en amener d'autres demain. Le Duc est dans ses comptes et il gagne de la pratique(clientèle) en l'habillant.
Ainsi il suffit de naître grand pour vivre aux frais des marchands.La chose est pour le moins curieuse. Enfin , je me suis mis nu et Nicolas a passé de l'eau parfumée sous mes aisselles et à mon cou avant de me faire enfiler une chemise puis tout le reste. Vu dans le miroir de pied j'avais ma foi fort belle allure. Un valet d'écurie avait apprété ma jument et précédé de Nicolas, suivi de deux suisses je suis allé au Louvre. Reconnu je fus mené dans le petit cabinet jouxtant la chambre royale. Mr de Beaujoyeulx qui me connaissait ja m'a informé que le roi venait de prendre médecine et l'avait rendue. Il se trouvait alité et las. Il m'a donné l"entrant.
Accueuilli d'un pauvre souri du roi, entre Titou, comme tu vois je suis mal allant comme disent les sottards de médecins. Il faut que je fasse moins de chasse mais comment s'occuper autre! Tout cela est dû à une maladie prise en Italie qu'ils appellent le mal de Naples. Mais parle moi de toi, divertis moi. Dis moi tes conditions d'esclavage chezles barbaresques. Ont les dit vaillants et aussi amateurs de jeunes gens de pâle teint.
En effet majesté et n'ai pas été trop contraint, aimant si fort le vit.
Qu'en est il du leur?
Sur ceux que j'ai vu, assez forts et longs pour me faire gémir et non point de douleur. Certains n'ont plus le bout de peau qui recouvre le gland comme nous, étant ôté dès leur jeune âge.
La main du roi passant dans mon haut de chausse jouait précisemment avec la peau me faisant bafouiller à son plaisir. Son gand fin qui recouvrait ses mains ointees d'onguents me faisait me tortiller comme ver de terre en fumier.
J'aime ton vit Titou, lui aussi est épais, peut être est ce là l'apanage des gens du sud.J'ai vu Joyeuse dans la journée et je n'ai pas pensé que tu n'avais ni toit à toi, ni espèces pour vivre selon ton rang. Les rentes royales n'étant versé que la fin du mois. Va voir mon argentier il te baillera de quoi t'établir et comme je veux que tu fasses souche, trouve une jeune et fraîchelette garce pour la marier. Ainsi sans cesser nos jeux tu ne sera pas suspecté de bougrerie.
Oh pour cela sire je me moque des poupelets de cour.
Marie toi, je le veux! Comme je veux également ta main là où elle me fait le plus grand bien.
Ainsi fis je pour notre plus grand plaisir. Une fois mon guilleri rendu plus flasque comme celui du roi. Il me fit signe gentiment de le laisser me merciant pour cet instant de plaisir oh combien partagé. Comment ne pas aimer ce roi si bon . Le lendemain en effet à ma vue le responsable des dépenses royales me remis un boursicot assez lourd et je fus bien heureux d'avoir les suisses de Joyeuse pour m'escorter sur le retour.
Par Mr de Beaujoyeulx que je voyais les soirs de visite royale je sus qu'une maison cossue assez remparrée sise rue de la Ferronnerie était en vente, les héritiers dispendieux et fachés entre eux ne la voulaient point garder et en barguignant un peu je pourrais l'avoir pour moins que sa valeur à condition de faire vite.
J'envoyais Nicolas s'enquérir du tabellion chargé de la vente et au retour , vu son sourire je compris que lui au moins était conquis.
Il s'agit Monsieur, d'une sorte de petit manoir avec deux tourelles ayant sur un coté un bâtiment pour les chevaux et carosses. La cour sur le devant fermée par un guichet et à l'arrière une petit jardin. Elevé sur une cave et accessible par quelques degrés. Sur un coté il y a un salon et une salle à vivre. Au centre un escalier menant à l'étage noble ou il y a deux forts belles chambres sur l'avant et sur l'arrière chacune est pourvue d'un petit cabinet . Les domestiques qui l'entretiennent pour le moment ne sont pas payés depuis la mort du propriètaire mais entretiennent soigneusement l'ensemble. Il y a une vaste cuisine sur le coté droit et un escalier montant jusqu'aux combles et leurs logements.
Il avait dit cela tout d'un trait et venant à mon oreille m'a donné le prix demandé. Celui ci n'était pas petit mais point tant élevé qu'il eut été .
L'as tu visité?
Oui Monsieur et le mieux de l'affaire et qu'ils le vendent tout meublé ne désirant point posséder quelques affaires de celui que j'ai entendu nommer comme un grand paillard.
As tu pris langue en mon nom avec le tabellion?
Oui da.
Va l'avertir que je suis interessé mais à moindre prix , désireux de l'avoir comme conseil dans mes affaires futures. Si comme tout tabellion, il flaire une affaire il rabaissera son prix avec ses clients. En revenant, selle mon cheval j'aimerais voir tirer l'épée et trouver un maître d'arme.
De retour je bu avec lui un verre de vin de bourgogne pour qu'il me fasse la ratelée de sa visite.
Monsieur , le tabellion a bien compris ce que mot veux dire et va réunir les héritiers pour les prévenir qu'il ne trouve preneur qu'a moins qu'ils escomptez. La somme qui leur sera annoncée sans les réjouir, comme elle sera versée de suite, il compte bien leur faire signer l'acte sans que votre nom apparaisse.
Tu me réjouis fort Nicolas et avant de monter à cru ta jument , que penses tu d'un amusement entre nous derrière les courtines?
Ah monsieur mon vit est en joie de vous ouir, dois je me dévêtir avant pour vous chauffer?
Ah que nenni tant je me ramentois tes fesses et ton vit. Mais fait donc , j'aime te voir évoluer nu. Ferme cependant la porte au verrou. Ce fut fait comme tout de sa part tant il avait appétit aux choses du lit. Il avait les fesses les plus adorables du monde et j'en avait vu beaucoup dans ma jeune vie. Son vit quand à lui dressé était admirable de proportion. Fait comme un moule antique mais pas avec les mêmes proportions, il tenait plus de Bacchus que du fameux David vu sur des dessins du Louvre. Il me mis nu en un trour de main, s'attaquant à la pointe de mon individu comme si il ne l'avait point vu de 6 mois alors qu'hier même... Penché sur lui je tâtais ses fesses et passait délicieusement les doigts dans sa raie, titillant son trou qui se laissait ouvrir du doigt comme il allait s'ouvrir de mon dard.
L'affaire fut rondement menée y ayant appétence des deux cotés et c'est sur le lit que nous reprimes nos vents. Nicolas nous essuyant et nettoyant de la langue ses humeurs avec de petits souris fort gracieux.
Mangez monsieur, c'est chaud. J'ai ja mangé en cuisine. On parle du départ du Duc vers sa province. Que pensez vous faire, vous acagnarder comme lézard ou muser dans la vile . Il serait peut être bon que vous connaissiez un peu mieux notre bon Paris.
Tu as raison Nicolas mais montes tu?
Oui da, sans selle mais fort bien, à la paysanne.
J'ai fini de manger, tu vas m'aider à me vêtir et te vêtir toi même avant de seller ma jument et une jument pour toi. Nous irons baguenauder en ce Paris que je trouve sale et puant. Il me faut une petite idée des alentours du Louvre que je ne fais qu'entrevoir en allant voir le roi à la nuitée.
Une fois vêtu et monté, surmontant les parisiens, nos pauvres chevaux piétinant dans le bren, on a musé, fort curieux de ma part de découvrir le petit monde parisien. Le quartier ou était bâti l'hostel de Joyeuse était dit "du marais", je suppose qu'il y avait là une cuvette et de là au Louvre en effet il y avait peu. Le parlé parisien était différents du niçois mais j'avais eu le temps de m'habituer.Dans les rues passaient aussi des troupeaux entiers menés là pour servir de viande aux habitants. Des poules effrayées volaient devant nos chevaux. Des rues si resserrés que le toit de la mainon d'un coté touchait presque celle d'en face.
Nicolas il me faut rentrer lapresse et le bruit de ces gens m'insupportent et je dois être vaillant pour le roi, je lui dois. J'avoue aussi que je me sentais opressé par la foule. Tout soudain nous fumes rattrapés par un soudard qui jouant de la force de son roussin qui nous bousculant criat : Place au Duc de Guise. Il suivait en effet sur un cheval bai, fort bien vêtu de satin moiré et d'une longue cape blanche. L'air débonnaire assez et sinon gracile, du moins grâcieux, les gens se pressant qui pour le voir, qui pour toucher sa jambe ou sa cape. Le roi n'eu pas été mieux traité.
Rentrons Nicolas , à peu que je ne raque mes tripes de voir ces sottards lui courre après.
J'ai du parler un peu fort et vite entouré, Nicolas n'a eu qu'à me crier de piquer des deux pour que je me débarasse de la populace. Un fois entré à l'hotel de Joyeuse, je me suis enquis du Duc de Guise. J'ai ainsi appris qu'il avait des prétentions au trône et qu'il avait reformé une ligue catholique. Le roi n'ayant pas d'enfant il eut été de fait le seul catholique à prétendre au trône. Seul Henri de Navarre pouvant le supplanter mais lui était protestant et en fort mauvaise grâce aux yeux des parisiens.
Le soir commençait à tomber et il me fallait m'apprêter pour le coucher du roi. Nicolas, vraie petite femme de chambre a sorti d'un vaste coffre un pourpoint que je ne connaissais pas ainsi que des chausses et un haut de chausse.
Diable d'où sors tu cela?
Un valet de l'artisan qui a fait votre remière tenue a amené celui ci et devrait en amener d'autres demain. Le Duc est dans ses comptes et il gagne de la pratique(clientèle) en l'habillant.
Ainsi il suffit de naître grand pour vivre aux frais des marchands.La chose est pour le moins curieuse. Enfin , je me suis mis nu et Nicolas a passé de l'eau parfumée sous mes aisselles et à mon cou avant de me faire enfiler une chemise puis tout le reste. Vu dans le miroir de pied j'avais ma foi fort belle allure. Un valet d'écurie avait apprété ma jument et précédé de Nicolas, suivi de deux suisses je suis allé au Louvre. Reconnu je fus mené dans le petit cabinet jouxtant la chambre royale. Mr de Beaujoyeulx qui me connaissait ja m'a informé que le roi venait de prendre médecine et l'avait rendue. Il se trouvait alité et las. Il m'a donné l"entrant.
Accueuilli d'un pauvre souri du roi, entre Titou, comme tu vois je suis mal allant comme disent les sottards de médecins. Il faut que je fasse moins de chasse mais comment s'occuper autre! Tout cela est dû à une maladie prise en Italie qu'ils appellent le mal de Naples. Mais parle moi de toi, divertis moi. Dis moi tes conditions d'esclavage chezles barbaresques. Ont les dit vaillants et aussi amateurs de jeunes gens de pâle teint.
En effet majesté et n'ai pas été trop contraint, aimant si fort le vit.
Qu'en est il du leur?
Sur ceux que j'ai vu, assez forts et longs pour me faire gémir et non point de douleur. Certains n'ont plus le bout de peau qui recouvre le gland comme nous, étant ôté dès leur jeune âge.
La main du roi passant dans mon haut de chausse jouait précisemment avec la peau me faisant bafouiller à son plaisir. Son gand fin qui recouvrait ses mains ointees d'onguents me faisait me tortiller comme ver de terre en fumier.
J'aime ton vit Titou, lui aussi est épais, peut être est ce là l'apanage des gens du sud.J'ai vu Joyeuse dans la journée et je n'ai pas pensé que tu n'avais ni toit à toi, ni espèces pour vivre selon ton rang. Les rentes royales n'étant versé que la fin du mois. Va voir mon argentier il te baillera de quoi t'établir et comme je veux que tu fasses souche, trouve une jeune et fraîchelette garce pour la marier. Ainsi sans cesser nos jeux tu ne sera pas suspecté de bougrerie.
Oh pour cela sire je me moque des poupelets de cour.
Marie toi, je le veux! Comme je veux également ta main là où elle me fait le plus grand bien.
Ainsi fis je pour notre plus grand plaisir. Une fois mon guilleri rendu plus flasque comme celui du roi. Il me fit signe gentiment de le laisser me merciant pour cet instant de plaisir oh combien partagé. Comment ne pas aimer ce roi si bon . Le lendemain en effet à ma vue le responsable des dépenses royales me remis un boursicot assez lourd et je fus bien heureux d'avoir les suisses de Joyeuse pour m'escorter sur le retour.
Par Mr de Beaujoyeulx que je voyais les soirs de visite royale je sus qu'une maison cossue assez remparrée sise rue de la Ferronnerie était en vente, les héritiers dispendieux et fachés entre eux ne la voulaient point garder et en barguignant un peu je pourrais l'avoir pour moins que sa valeur à condition de faire vite.
J'envoyais Nicolas s'enquérir du tabellion chargé de la vente et au retour , vu son sourire je compris que lui au moins était conquis.
Il s'agit Monsieur, d'une sorte de petit manoir avec deux tourelles ayant sur un coté un bâtiment pour les chevaux et carosses. La cour sur le devant fermée par un guichet et à l'arrière une petit jardin. Elevé sur une cave et accessible par quelques degrés. Sur un coté il y a un salon et une salle à vivre. Au centre un escalier menant à l'étage noble ou il y a deux forts belles chambres sur l'avant et sur l'arrière chacune est pourvue d'un petit cabinet . Les domestiques qui l'entretiennent pour le moment ne sont pas payés depuis la mort du propriètaire mais entretiennent soigneusement l'ensemble. Il y a une vaste cuisine sur le coté droit et un escalier montant jusqu'aux combles et leurs logements.
Il avait dit cela tout d'un trait et venant à mon oreille m'a donné le prix demandé. Celui ci n'était pas petit mais point tant élevé qu'il eut été .
L'as tu visité?
Oui Monsieur et le mieux de l'affaire et qu'ils le vendent tout meublé ne désirant point posséder quelques affaires de celui que j'ai entendu nommer comme un grand paillard.
As tu pris langue en mon nom avec le tabellion?
Oui da.
Va l'avertir que je suis interessé mais à moindre prix , désireux de l'avoir comme conseil dans mes affaires futures. Si comme tout tabellion, il flaire une affaire il rabaissera son prix avec ses clients. En revenant, selle mon cheval j'aimerais voir tirer l'épée et trouver un maître d'arme.
De retour je bu avec lui un verre de vin de bourgogne pour qu'il me fasse la ratelée de sa visite.
Monsieur , le tabellion a bien compris ce que mot veux dire et va réunir les héritiers pour les prévenir qu'il ne trouve preneur qu'a moins qu'ils escomptez. La somme qui leur sera annoncée sans les réjouir, comme elle sera versée de suite, il compte bien leur faire signer l'acte sans que votre nom apparaisse.
Tu me réjouis fort Nicolas et avant de monter à cru ta jument , que penses tu d'un amusement entre nous derrière les courtines?
Ah monsieur mon vit est en joie de vous ouir, dois je me dévêtir avant pour vous chauffer?
Ah que nenni tant je me ramentois tes fesses et ton vit. Mais fait donc , j'aime te voir évoluer nu. Ferme cependant la porte au verrou. Ce fut fait comme tout de sa part tant il avait appétit aux choses du lit. Il avait les fesses les plus adorables du monde et j'en avait vu beaucoup dans ma jeune vie. Son vit quand à lui dressé était admirable de proportion. Fait comme un moule antique mais pas avec les mêmes proportions, il tenait plus de Bacchus que du fameux David vu sur des dessins du Louvre. Il me mis nu en un trour de main, s'attaquant à la pointe de mon individu comme si il ne l'avait point vu de 6 mois alors qu'hier même... Penché sur lui je tâtais ses fesses et passait délicieusement les doigts dans sa raie, titillant son trou qui se laissait ouvrir du doigt comme il allait s'ouvrir de mon dard.
L'affaire fut rondement menée y ayant appétence des deux cotés et c'est sur le lit que nous reprimes nos vents. Nicolas nous essuyant et nettoyant de la langue ses humeurs avec de petits souris fort gracieux.
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