Cela part d'une bonne intention 2

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Cela part d'une bonne intention 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-02-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Cela part d'une bonne intention 2
Introduction:
Mon fils m'a surpris en train de me masturber, et je l'ai refait pour lui. Maintenant, j'en veux plus...

Quand le film s'est terminé, je me suis levée et j'ai commencé à marcher vers ma chambre, mais je me suis arrêtée après quelques pas. Je me suis retournée pour regarder mon fils et j'ai dit :

— Je pense que je vais prendre un bain. - Après une pause, j'ai demandé - Veux-tu venir dans ma chambre un moment avant d'aller te coucher ?

Kamel a hoché la tête rapidement, en disant :

— Bon sang, oui, maman !
— D'accord, donne-moi une demi-heure avant de me rejoindre !

Sur ce, je me suis dirigée vers la salle de bain.
Après m'être préparée un moment, mon corps a chauffait de partout alors que j'enfilais un pyjama en soie. Je savais qu'il n'était pas aussi sexy que celui que j'avais porté la dernière fois, mais je suppose que je voulais juste taquiner un peu mon garçon. Comme la fois précédente, j'étais assise sur le lit quand il a frappé à la porte.
Lorsqu'il est entré dans la pièce, mes yeux ont été immédiatement attirés par la bosse qui vivait toujours dans son jogging. De toute évidence, il était aussi excité que moi par la perspective de ce qui allait se passer. Je lui ai dit de s'asseoir sur mon lit et il s'est alors laissé tomber dans la même position que quelques jours auparavant.

J'avais tellement chaud que je me suis mise à caresser doucement mon corps sans dire un mot. Mes mains dansaient sur le tissu soyeux me taquinant avec de douces caresses. Mes mamelons étaient tendus et clairement visibles, j'avais besoin de les toucher.
Regardant Kamel dans les yeux, j'ai saisi mes tétons de mes doigts et j'ai commencé à les faire rouler.
Mon jeune pervers me regardait intensément, s'imprégnant de chacun de mes mouvements. Il avait un air d'adoration totale sur son visage et au fond de moi, j'avais un grand désir de lui faire plaisir. Je passe mes doigts entre les boutons de mon haut et commence lentement à les défaire, de haut en bas. Après avoir dégrafé le dernier, je glisse mes doigts sous la couture et les fais remonter. Voulant le taquiner un peu plus, je glisse mes mains pour caresser mes seins, toujours recouverts par le tissu.
Après m'être caressée pendant un moment, je demande :

— Tu veux les voir, n'est-ce pas ?

Mon fils, est muet comme toujours, hocha simplement la tête. Je repousse le haut du pyjama vers l'extérieur et le retire de mes épaules, exposant les jumeaux sous les yeux affamés de mon môme... Mes mains reviennent immédiatement sur mes seins et je recommence à frotter mes mamelons durs une fois de plus.

Ses yeux étaient comme un rayon laser, pointés directement sur ma poitrine. La façon dont il me regarde me faisait me sentir tellement désirée, un peu comme je l'avais sentie lorsque j'avais taquiné Diana au travail. Mon corps était dans un état sexuel accru depuis des semaines et je découvrais des sentiments que je n'avais jamais connu auparavant. Il y avait un feu dans ma chatte que je ne pouvais plus ignorer et que je devais éteindre immédiatement.

Kamel est si passif ; je voulais qu'il s'implique davantage. J'ai toujours aimé avoir un gars qui prenait les choses en main.

— Tu veux que j'enlève mon pantalon ?
— Oui.
— Eh bien… Tu vas devoir me l'enlever toi même.

Je suis restée sur place, me demandant ce qu’il allait faire.
Sans hésitation, il se glisse sur le lit jusqu’à ce qu’il soit à mes côtés, puis se penche sur moi et attrape mon bas de pyjama. Avec une série de tractions fermes, il la fait descendre le long de mes jambes avant de les retirer complètement. Il avait un grand sourire sur son visage comme s’il était fier de lui, ce qui me fait frissonner.

Me sentant plus chaude que jamais, je lève une jambe et la pose sur sa cuisse, de sorte qu’il était maintenant niché directement entre mes genoux. Assise comme je le suis , je réalise que j’étais grande ouverte devant lui, une démonstration des plus obscène que j'ai pu faire. Plutôt que d’être gênée, je céde à mes désirs les plus sombres. Très lentement, je plonge deux doigts dans ma chatte et commence à me branler lentement.
Alors que je joue avec moi-même, un profond désir de revoir la bite de mon fils me prend. Je baisse les yeux et vois le chapiteau que son sexe arrive à faire. Je le regardai dans les yeux et lui dis :

— Sors-le-moi.

Un sourire timide apparaît sur son visage et il répondit :

— Tu veux me voir sans mon pantalon ?

Je lui rendis mon sourire le plus sexy et hochai simplement la tête.
Ne perdant pas le nord, il déclare :

—  Eh bien, tu vas devoir le faire toi-même !

Je suis surprise que mon fils ait été si audacieux, mais sincèrement j'étais ravie. Il semblait mûrir sous mes yeux et j'adore ça. Il allait vraiment rendre une femme heureuse un jour.
Je ne voulais pas arrêter de me toucher, mais je descends, tout de même du lit à contrecœur et me mets à genoux à côté de lui. Il soulève ses fesses et je lui retirai son jogging. Quand je relève les yeux, le bout de sa bite, bien dure, n'était qu'à deux pouces de mon visage. Je suis figée, m hypnotisée et je ne peux plus bouger un muscle. Quand mes lèvres furent enfin capables de former un mot, je murmure à bout de souffle :

— Masturbes-toi pour moi.

Je reste clouée sur place regardant cette main qui commence à caresser sa queue à quelques centimètres de mon nez. Je ne sais plus si c'est moi qui me suis penchée ou s'il s'est avancé, mais tout à coup, son pénis semblait être si près de ma bouche que je pouvais presque l'embrasser. Mes deux doigts reviennent dans mon puits et je commence à me toucher au rythme des caresses de mon gamin. Je réalise soudain que si nous continuions ainsi, il allait me jouir dessus. Je sais que cette pensée aurait dû me dégoûter, mais au contraire, je suis tellement excitée par l'idée que je gémis à voix haute.
Ma main libre trouve la cuisse de Kamel et je commence à la caresser, faisant de mon mieux pour augmenter son excitation. Je remarque que son poing bouge de plus en plus rapidement, donc je savais qu'il allait bientôt tirer son lait. Mes orteils commencent à se recroqueviller et les muscles de tout mon corps se tendent, et j’ai compris que j'étais sur le point de jouir aussi.
Kamel a commencé à émettre des grognements ; je n'ai pas pu m'en empêcher, je me penche en avant et prends la tête de sa bite entre mes lèvres.
Je l'ai sucé avec force pendant quelques secondes seulement lorsque j'ai senti la première salve de sperme chaud dans ma bouche. Le premier jet, m'a frappé comme un train de marchandises qui heurte un mur.
Putain de... Je suis entrain de sucer la bite de mon fils.
J'en voulais plus et j'ai baissé la tête, essayant d'engloutir toute sa tige dans ma bouche. Une milliseconde plus tard, mon propre orgasme m'a achevé, mais j'ai quand même essayé désespérément d'avaler chaque goutte de la semence salée de mon rejeton.
Après avoir jouis, je me suis senti faible et je me suis effondrée contre lui, ma tête reposant sur sa cuisse avec sa bite toujours dans ma bouche. Alors que je luttais pour reprendre mon souffle, je me suis rendu compte que je emprisonnais la bite de mon FILS entre ma langue et le palais, refusant de la lâcher.
Même après ce qu'il s'était passé il y a quelques jours entre nous, je ne m'attendais pas à sucer la bite de mon fils... Bien sûr, j'en avais fantasmé, mais ce n'était que dans les recoins les plus sombres de mon esprit. J'étais tellement sûre que cela ne pourrait jamais vraiment arriver. Et pourtant, assise là, à genoux devant lui, la bouche au goût de sperme frais, je me suis sentis comme une vraie salope. Soudain, je sens cette culpabilité et la honte de ce que je viens de faire. Comment une mère aimante pouvait-elle faire une chose pareille ?

Je me lève rapidement, attrape mon peignoir et le serre fermement contre moi. Je ne trouvais pas les mots, mais je marmonnai d'une manière ou d'une autre :

— Tu devrais aller te coucher maintenant !

Kamel me regarde avec de grands yeux et essaye de parler, mais je l'interromps avant qu'il ne puisse prononcer le moindre mot :

— Je suis fatiguée chéri !

Me sens toute honteuse, je lui tourne alors le dos alors qu'il est entrain de ramasser ses vêtements.

Après une vingtaine de secondes d'agonie, j'entendis un doux :

— Bonne nuit, maman !
— Bonne nuit mon poussin ! réponds ai-je faiblement, juste avant d'entendre la porte se refermer un peu brutalement.

Après que le bruit de la porte de ma chambre se soit répercuté dans toute ma chambre, le silence me parut soudain presque assourdissant. Là, toute seule, serrant fermement mon peignoir contre mon corps je me dis : «Jalila... Que viens-tu de faire ? Tu viens de sucer la bite de ton fils ?». Je répéte cette phrase en boucle.
Je me glisse, enfin, sous les draps, puis je couvre ma tête de mon oreiller. Mon esprit est en conflit... Je me suis complètement dépassée. Une grande partie de moi était mortifiée par ce que je venais de faire, mais l'autre partie ne pouvait ignorer le fait que j'étais plus excitée que je ne l'ai jamais été auparavant.
Allongée là, revoyant les quelques minutes précédentes comme un film, je ne peux de savourer de goûter le sperme de Kamel dans ma bouche. J'ai toujours aimé sucer des bites, et la saveur de cette semence interdite sur ma langue me faisait frissonner de partout, car cela faisait des siècles que je n'avais pas sucé un homme. Mais ce n'est pas n'importe quel homme ; c'était ma propre chair et mon propre sang.

Je me suis roulée comme un fœtus et n'ai pas pu m'empêcher de laisser mes mains parcourir mon corps. Mes doigts ont glissé entre les lèvres de ma chatte et je l'ai ouverte. J'ai passé aussi mon autre main sur mes seins et je constate que mes tétons sont toujours durs comme de la pierre. En les roulant brutalement, je peux presque imaginer la façon dont mon gosse m'avait regardée pendant que je me touchais plus tôt.
Il y avait une telle adoration dans ses yeux que je me sentais si merveilleuse. En tant que femme de quarante-trois ans, je m'imaginais qu'une personne de dix-huit ans puisse ne pas trouver mon corps attirant, mais cela ne semblait certainement pas être le cas.
J'ai glissé ma main droite sur mon ventre jusqu'à ce que je la presse entre mes jambes serrées. Comme prévu, mon vagin est abondamment trempé et je ne peux, ne veux, m'empêcher de le caresser.
Je ne peux pas m'enlever de l'esprit l'image de mon bébé caressant sa bite à quelques centimètres de mon visage et moi, qui suis en parallèle entrain de me doigter. Et puis ce temps qui m'a semblé défiler au ralenti quand que je l'ai pris dans la bouche, jusqu'à qu'il me balance son impressionnante réserve de cellules reproductives. Me voilà soufflant une jouissce rarement vécue passant avidement ma langue entre mes lèvres essayant de me remémorer le goût et la consistance du lait salé de mon fils.
Paradoxalement je ne peux m'empêcher de me sentir mal vue la façon cette dernière liaison mère-fils s'était terminée. Je suis tellement troublée par ce que j'ai fait que j'avais oublié de penser à ses sentiments et je l'avais laissé partir sans presque un mot. Sachant que ce serait inconfortable, j'ai décidé de lui parler de ce qui s'était passé le plus tôt possible. Je me suis soudain rappelée que j'avais prévu un double service le lendemain, alors j'ai fermé les yeux et je me suis vite endormie.

Le matin, j'étais debout et sortie de la maison avant que Kamel ne se réveille pour aller à l'école. Mon esprit était quelque peu préoccupé par le travail, car à chaque moment libre de la journée, j'essayais de penser à ce que je pourrais lui dire quand nous mettrons les pointssur les "i", de la façon dont les choses progressent entre nous et qui semble pourtant si naturelle que je n'avais pas pensé que cela serait un gros problème pour lui, mais je ne peux pas en être sûre. Je veux dire, je doute qu'il ait eu un jour le rêvé de recevoir sa première fellation de la part de sa propre mère, et je ne veux pas qu'il soit traumatisé à vie.
Au final, je décide de l'observer de près pour évaluer sa réaction à mon égard afin de voir comment procéder. Si la prochaine fois qu'on se voit, je remarque qu'il a l'air contrarié ou troublé de quelque façon que ce soit, j'aurais une longue conversation à cœur ouvert avec lui pour lui faire savoir que je m'étais laissé emporter. Et je suis sûr qu'il comprendra.

Après avoir travaillé deux fois plus, je suis rentrée tarf chez moi dans la soirée, anxieuse mais résolue à faire ce qui était le mieux pour mon fils. Compte tenu de ce que nous avions partagé la nuit précédente, je m'attendais à le retrouver à mon retour, mais j'ai été quelque peu déçue de trouver les lumières éteintes et Kamel au lit. Je ne savais pas trop quoi penser de cela, mais j'espérais que c'était un bon signe. J'ai pris un long bain chaud pour reposer mes jambes fatiguées, puis je me suis glissée moi-même dans mon lit.
Pour une raison que j'ignore, je me suis levée tôt le lendemain matin et j'ai décidé de préparer un petit-déjeuner chaud pour mon garçon avant qu'il ne parte à l'école. J'ai préparé de la pâte à crêpes et j'ai commencé à faire des crêpes "Nutella-banane". Kamel entre dans la cuisine juste au moment où je fini, et mon cœur a fait un bond en l'entendant... J'ai eu l'impression qu'un énorme rocher avait été posé sur mes épaules lorsqu'il s'est avancé avec un sourire gravé sur son visage pour me faire un gros câlin. Il m'a ensuite fait un doux bisou sur les lèvres et m'a dit :

— Ça sent bon.

Nous nous sommes assis l'un en face de l'autre à table et avons pris notre petit-déjeuner dans un silence relatif, mais il est évident que Karim n'était pas en colère contre moi, et certainement pas dégoûté comme je le craignais. De temps en temps, il me regardait avec un sourire diabolique et j'ai même l'impression qu'il flirtait avec moi. Avant de partir à l'école, il m'a de nouveau serrée dans ses bras et m'a murmuré à l'oreille :

— Je t'aime, maman.

J'allais lui dire la même chose quand il me surprit en m'embrassant longuement et humidement, ce qui me coupe presque le souffle. Je reste un moment abasourdie, luttant pour reprendre mes esprits. Le garçon timide que je connaissais depuis des lustres semble avoir mûrit rapidement.
Ma peau picote de partout alors que je me dirige vers la salle de bain pour ma douche matinale. Alors que l'eau chaude glisse sur mon corps, je ressens à nouveau un profond désir dans mes reins. J'avais joui plus de fois ces dernières semaines que je ne l'avais fait ces derniers mois, mais voilà, j'ai encore besoin de jouir. Le baiser de mon beau-gosse avait été si doux et tendre que j'avais presque fondu. Avant même de savoir ce que je faisais, le pommeau de douche se retrouve entre mes jambes alors que je me frotte le clito jusqu'à l'oubli.

Je me sens très coquine ce matin, alors quand je me suis habillée, j'ai intentionnellement enfilé un string noir. J'enfile une jupe courte en jean que je n'ai plus portée depuis des lustres et un chemisier blanc que je laisse ouvert plus que d'habitude. Et j'ai encore une fois choisi de ne pas porter de soutien-gorge. J'espère que mes seins et mes jambes seraient attirant lorsque je déambulant entre les étals de l'épicerie pour que tout le monde les voit.
J'envisage même d'aller à la quincaillerie, même si je n'ai pas vraiment besoin de quoi que ce soit de là-bas. Juste l'idée qu'un groupe de mecs costauds soit attiré par mon déhanchement coquin me donne des sueurs froides.

Je me sens si étourdie que je n'ai vraiment pas envisagé aux conséquences possibles de mes actes. Alors que je fais mes courses dans l'épicerie depuis une minute ou deux, j'entends une voix familière :

— Hé maman !

C'est ma fille, Lynna, me regardant avec un sourire. Instantanément, je vois que ses yeux détaillent ma silhouette, et que son sourire s'efface rapidement.

Il m'a fallu un moment pour comprendre ce qui se passe, et je murmure :

— Oh, bonjour ma puce !

Lynna s'approche de moi et me demande :

— Maman... Tu ne portes pas de soutien-gorge ?

Il me faut trouver une excuse. Et quelle meilleure excuse qu'un mensonge... Et pmus il est gros, plus il est cru :

— Euh, non... Nous n'avions plus de lait et de café pour le petit-déjeuner, alors j'ai juste enfilé ce vieux truc et je suis sortie en courant de la maison. Je n'y est pas pensé !

Merde... Elle ne m'a pas vraiment cru, alors avant qu'elle ne puisse dire autre chose, j'ajoute :

— Tu me connais... Sans mon café du matin...

Lynna me regarde, hoche la tête solennellement, puis me dit :

— J'te comprends mam... Moi aussi sans mon café le matin, chui out... Mais entre nous, tu es resplendissante.
— Merci ! Que je ne peux que répondre, me sentant coupable de mon oubli mais heureuse que cette exhibition a porté ces fruits.

— Alors, comment vont les choses avec mon frère ? Est-ce que ça va bien ? Me demande t-elle avec un air inquiet sur le visage.
"Mon Dieu, si seulement tu savais !" Pense ai-je.

Je lui réponds par l'affirmative, que les choses vont bien avec le beau gosse qui est encore coincé dans mes jupons... Juste avant de partir, elle dit :

— Tu devrais porter cette jupe plus souvent, elle te va bien, maman...

Alors que je finis de faire les courses, je me demande, encore et encore :
Ai-je bien fait de faire ce que je viens de faire ?
Est-ce que cela m'a permis de découvrir une certaine jouissance mentale ?
Sachant pertinemment que l'exhibition choque mes concitoyens "arabo-musulman", ai-je réussi à choquer ou ai-je réussi à donner envie ?
Et surtout quelle conclusion dois-je en tirer : continuer à m'exhiber quitte à passer pour une salope ou réfréner mes ardeurs quitte à le regretter ?
Consciemment ou inconsciemment j'avais, clairement, passé le message à Diana et à mon fils que j'avais changé mais jusqu’à où ?

J'ai choisi de rentrer directement de l'épicerie plutôt que de me tortiller mon cul davantage, bien que ma première idée d'aller à la quincaillerie m'a excité comme jamais, mais étant trop peureuse, après réflexion et après m'être posée toutes ces questions (sans y avoir trouvé de réponses pour le moment) peur de croiser quelqu'un que je connais, qui me connaît.
De retour à la maison, plutôt que de me changer en arrivant, j'ai gardé la tenue car elle me faisait me sentir super sexy... Voilà déjà une réponse à une de mes questions.
J'ai adoré la façon dont le tissu doux de mon chemisier caressait mes tétons pendant que je marchais, sans être gênée par le soutien-gorge.

Alors que je me promène dans la maison, il m'est difficile de ne pas penser à Kamel. Je décide de faire quelque chose de gentil pour lui puisqu'il avait été si merveilleux avec moi ces derniers temps. J'ai mis au four une préparation de ses biscuits préférés, des pépites de chocolat, qui sont là entrain de refroidir en attendant qu'il entre.

Me sentant toujours coquine, alors je me suis volontairement postée près du comptoir de la cuisine quand il est entré dans la pièce, voulant qu'il admire ma tenue sexy. En me retournant vers lui, j'ai la joie de voir ses yeux errer de haut en bas sur mon corps, ce qui m'a fait sentir des picotements partout, surtout entre mes cuisses. De toute évidence, il a remarqué, que je me suis faite belle pour l'exciter.

Je lui dit de s'asseoir à table, et je suis allée au réfrigérateur pour lui servir un verre de soda. Anticipant ce moment des heures plus tôt, j'ai intentionnellement mis la canette de soda derrière quelques autres articles, pour avoir quelques difficultés pour le récupérer. J'espère que mon fils aura le temps de bien admirer mes courbes alors que je suis penchée et j'ai été récompensée en voyant son grand sourire quand je lui verse la boisson que j'ai en main après avoir "volontairement" eu du mal à la choper.
Après lui avoir servis quelques biscuits et la boisson, je m'assois et discute tranquillement de sa journée. De temps en temps, j'ajuste mon "corps" pour attirer son attention tout en le regardant droit dans les yeux, sans le fusiller du regard s'il porte ses yeux sur mon décolleté. Mes tétons étaient tout durs, et je savais qu'ils poussaient outrageusement le tissu de ma chemise.
Après presque une heure de bavardage, je dis à mon gamin qu'il est temps d'aller faire ses devoirs pour que nous puissions regarder un film après le dîner. J'étais suis profondément tentée de lui offrir un sein (et plus encore), mais j'ai réussi à m'en abstenir. Je suis entrain de devenir obsédée et j'avais besoin de me ressaisir.

Dans ma lancée, j'ai préparé le plat préféré de Kamel et en dressant la table j'ai pensé allumer quelques bougies, mais j'ai pensé que c'était exagéré... Pendant que nous mangions, je sirote mon verre de vin rouge et nous continuons notre subtil flirt.
Je ne sais pas pourquoi, mais honnêtement, ce soir, je suis toute chose, assez étourdie. Nous avions partagé des milliers de repas, mais je sens là, quelque chose, qui est bien différent.

Après avoir fini, j'ai dit à Kamel que je vais prendre un bain. Il s'est immédiatement ragaillardi, mais a ensuite semblé quelque peu découragé lorsque je lui ai demandé s'il pouvait aller au magasin qui loue des vidéos, qui se trouve dans le quartier, pour nous prendre un film à regarder. Il était évident qu'il était déçu car il s'imaginait qu'après mes deux récents bains il allait, revivre une autre expérience, mais il a accepté et je me dirige vers ma baignoire.

Je me prélasséme dans les bulles chaudes et le parfum de vanille pendant un certain temps tout en sirotant un autre verre de vin. Me sentant tellement excitée que je ne pense qu'à sauter sur mon fils, mais je décide de me détendre et de me frotter jusqu'à l'orgasme dans la baignoire. Le mouvement de ma main fait tourbillonner l'eau autour de moi tandis que mes doigts insistants dansent partout sur mon sexe. Je n'arrête pas d'imaginer la longue bite de mon fiston me marteler pendant que je fais entrer et sortir mes doigts de ma chatte palpitante. Mon corps se convulse lorsque mon corps tremble d'un bonheur orgasmique.

Même après m'être fait plaisir, tout en enfilant la chemise de nuit lavande que je portais lors de mon premier spectacle intime avec mon fils, je me sens toujours excitée... J'ai pourtant pas prévu de répéter cette performance ce soir, mais pour une raison quelconque, j'ai juste ressenti le besoin de le taquiner un peu.
Je me dirige vers le salon. Kamel est assis dans le fauteuil inclinable, attendant patiemment mon arrivée. Dès que je suis entrée dans la pièce, il a presque bondi de son siège pour mettre le film en marche. J'ai dû rire intérieurement en voyant son enthousiasme tout en me demandant ce qu'il avait choisi.

— Alors, qu'est-ce qu'il y a au programme ce soir ?

J'étais abasourdie quand il répondit :

— Neuf semaines et demie.

Cela faisait presque dix ans que ce film est sorti, donc il y a longtemps que je n'avais pas vu le film, mais je me souvenais qu'il était très... HOT... Avec des connotations de domination et de soumission. Kamel est maintenant un jeune adulte, mais je ne suis pas certaine de vouloir qu'il visionne un film de cette nature, bien que le monde des plaisirs charnelles fera part de sa vie. Avant que je puisse formuler mes réserves, il dit :

— C'est le frère aîné de mon ami dit que c'est un classique.

Sur ce, il baisse les lumières et lance le film.
Troublée que je le suis à l'idée de regarder un film comme ça avec mon fils, je me laisse tomber sur le canapé et n'ai pas dit un mot. Pour une raison quelconque, je ressens le besoin de garder une certaine distance entre nous, alors je me colle à l'accoudoir du canapé, aussi loin que possible du fauteuil inclinable de fiston.

Alors que nous regardions le film en silence, je ne peux m'empêcher de devenir plus excitée. Je n'ai jamais été une grande fan de Mickey Rourke, mais je dois admettre que son personnage fait battre mon cœur. De temps en temps, je jette un coup d’œil à Kamel pour évaluer sa réaction pendant les scènes sensuelles, mais il est difficile de lire l'expression de son visage dans cette faible lumière. Quoique, même dans la semi-obscurité, je peux aisément distinguer qu'une grosse bosse qui prend vie dans son jogging gris.
Le film est trop sensuel trop... Sexe... Mais savoir qu'un jeune homme le regarde à proximité rend les choses encore plus époustouflantes. Je me retrouve à caresser distraitement mes cuisses, juste en dessous de l'ourlet de ma chemise de nuit. Je voulais tellement me toucher d'une manière plus intime, mais je fais un grand effort pour garder le contrôle. La scène est finalement arrivée où Kim Basinger a les yeux bandés et Mickey Rourke amène une autre femme dans la pièce. La scène m'a fait tourner la tête et voilà que je pense à mon amie Diana et je me demande ce qu'elle m'aurait fait si on se retrouvait soudainement dans la même position que Mme Basinger.

Je me surprends à me lécher les lèvres en admirant la vue érotique, mais je me dois de voir comment est Kamel à cet instant précis !
Oh le coquin... Je ne suis pas complètement choquée de voir qu’il a baissé le bas de survêtement et qu’il se caresse lentement la bite en regardant attentivement la scène sexy.
Il n'a plus aucune réticence, ni gène, à se masturber dans la même pièce que moi.

Autant je suis excitée par ce qui se joue sur l’écran, autant mes yeux sont rivés sur le spectacle qui se joue devant moi dans ma propre maison.
Surtout qu'on peut être "derangé" à tout moment puisque ma fille Lynna a l’habitude d’arriver à la maison sans prévenir de temps en temps, j’aurais donc dû réprimander son frère de l'audace qu'il a de se branler sans soucis là dans le salon, mais je ne peux tout simplement rien dire... Car.... J'adore voir un homme se faire plaisir avec son zob, et aussitôt, mes propres doigts pour venir caresser ma chatte. Je m’enfonce plus profondément dans le canapé et écarte les jambes.
Mon attention délaisse le film car je n’ai d’yeux que pour mon fils. Peu de temps après, Kamel me jette, lui aussi, un coup d’œil et n'a pas pu voir ce que je suis entrain de faire. Soudain, le temps semble s'être arrêté tandis que nous nous regardions jouer sans aucune gêne avec nos parties intimes.

Le regard de Kamel quitte mon corps un instant, pour tirer de la boîte un mouchoir à papier. À ce mouvement, j'ai compris qu'il est sur le point d'exploser, et je voulais jouir avec lui. Je commce à branler plus vite sans la direction de mon regard qui est obnubilé par sa main qui coulisse de haut en bas sur son membre dressé. Le film hurlait en arrière-plan, étouffant presque mes gémissements, mais je peux entendre Kamel gémir alors qu'il jouit dans le mouchoir.
Ma chatte est si dégoulinante que j'avais peur de laisser une tache sur le canapé... C'est la dernière pensée que j'ai eu, car la combinaison du vin, du bain chaud et du puissant orgasme m'a vraiment assommée.
Je ne sais jusqu'à présent, quelle force j'ai eu, pourqu'enfin je trouve le courage de me lever et dire bonne nuit. Mon gamin, avec son jogging abaissé au niveau jusqu'à ses genoux, ne fait aucune tentative pour se couvrir, et je ne peux m'empêcher de jeter quelques œillades sur sa bite maintenant flasque. Un grand sourire apparaît sur son visage et il murmure :

— Bonne nuit, maman.
— Bonne nuit fiston ! Réponds ai-je, puis je me dirige lentement vers ma chambre.

Heureusement, le sommeil me prends rapidement et me voilà dans un profond sommeil. Je suis tellement out que j'ai dormis d'un trait jusqu'au lendemain matin et me suis même précipiter pour ne pas arriver en retard au boulot.

Tout au long de la journée, je n'ai pas pu m'empêcher de penser à quel point je suis devenue salope ces derniers temps. Avec toute cet échange cochon, vécu avec Kamel, au fond de moi, je sais que c'est mal. Lui exposer mon jardin secret est déjà assez malsain, interdit, mais me masturber et le sucer c'était pire.

De temps en temps, en fin de week-end, le groupe de nanas du taf, sortons boire un café après notre service, et heureusement, ce vendredi après-midi, c'est le cas. Je suis ravie d'avoir l'occasion de sortir plutôt que de courir directement à la maison dans mon état de conflit. J'ai envoyé un message à mon fils pour lui faire savoir qu'il était seul pour le dîner, puis je me suis dirigée vers la salle des infirmières pour me changer. Heureusement, j'avais toujours une tenue décontractée dans ma voiture, car je détestais sortir en tenue d'infirmière.

Nous sommes six nanas au total et nous nous sommes donnés rendez-vous au bar de l'hôtel "Abou Nawes". Nous avons pris place à une longue table dans le coin de la salle, assez fréquenté. Je n'ai pas été surprise de constater que Diana a pris place sur le banc directement à ma gauche, se collant au plus près de moi, plus que d'habitude. À ma droite, aucun "échappatoire" car c'est le mur, donc elle m'a... Piégé dans mon coin.
Bref,
Deux cafés, un cocktail "Paradisio", une bière et un whisky ont été commandé.
Moi qui ne suis pas une grande buveuse, je ne bois que quelques verres de vin de temps en temps, mais pour une raison quelconque, j'avais vraiment envie de me laisser aller. Je commande un gin tonic et je commence à vider mon premier verre en deux gorgées. Puis j'en commande un deuxième.

Alors que mon esprit s'apaiser et que je commence à sentir cette euphorie alcoolique, mes yeux ont commencé à errer autour du bar observant le monde qui nous entoure. Bizarrement une dizaine de jeunes hommes présents à ce bar qui n'ont pas plus d'une vingtaine d'années, quelques années de plus que mon fils. Certains des garçons sont assez beaux, mais à mon avis, aucun n'est aussi sexy que mon bébé. Je compte cinq filles qui sont toutes habillées de manière assez sexy, montrant leurs atouts dans des hauts moulants et des jupes courtes. Je sais que cela semble fou de la part d'une mère de dire cela, mais j'ai soudain ressenti de la jalousie envers leurs silhouettes juvéniles et je me suis demandé si Kamel les trouverait physiquement plus attirantes que moi. Ma chatte me chatouille alors que des images de mon fils me reviennent à l'esprit.

Alors que la nuit avançait et que les boissons coulaient à flot, je ne pouvais m'empêcher de sentir la présence constante de Diana à mes côtés. Sa jambe droite reste appuyée contre ma jambe gauche pendant un certain temps, ce qui, vu ce qui s’était passé entre nous, me semble tout à fait intentionnel.
Peut-être est-ce dû à l’alcool, mais soudain, je me sens un peu effronté, avec une insolence non cachée, je me colle doucement à elle.
Diana l'a bien remarqué, car un instant plus tard, je sens sa main se poser sur mon genou gauche, et elle commence à me chatouiller doucement la peau avec ses longs ongles. J’ai rapidement balayé la table du regard, mais tout le monde semble absorbé par les potins qu'elles s'échangent, sans porter attention à la main droite de Diana qui est sous la table.

Quand je me suis changé, j’avais mis un haut en coton basique et une jupe un peu classique, dont l’ourlet arrivait à quelques centimètres au-dessus de mon genou quand je me lève. Assise comme je suis, elle m'arrive à mi-cuisse, et Diana en a profité pour caresser doucement autant que possible ma peau exposée. Elle trace des lignes droites avec ses doigts sur l’intérieur de ma cuisse, mais sa progression a est contrariée par ma jupe moulante. Je lutte du mieux que je peux, pour rester concentré à la conversation de nos amies, mais mon esprit est ailleurs.

Puis, notre amie Ciryne, qui est assise à côté de Diane, a dit :

— Waouh, regardez ce mec qui vient d’entrer... Top sexy !

Toute la table tourne la tête vers la direction indiquée, c'est alors que Diana profite de l’occasion. Sentant à quel point je suis excitée, elle se penche et me dit :

— Remonte ta jupe !

J’aurais pu tout arrêter et m'éclipser, mais je ne l’ai pas fait. Alors que tout le monde est distrait, rapidement je relève mes fesses de quelques centimètres du banc et je remonte ma jupe sous mes fesses. Me rasseyant, je peux sentir le vinyle frais contre mes cuisses nues, ce qui me fait me sentir très exposée et tellement plus coquine.

Je m'attends à ce que Diana s'attaque directement à mon entrejambe, mais en tant que séductrice expérimentée, elle a pris son temps. Elle continue à me taquiner lentement, caressant parfois légèrement ma cuisse sous sa paume, par moments me chatouillant avec ses ongles. Après ce qui m'a semblé être des heures, elle a finalement passé ses doigts sous mon genou gauche et à posé ma jambe sur sa cuisse droite. Heureusement, nous étions dans un coin sombre du bar qui se remplit progressivement mais sûrement, donc personne ne doute du spectacle obscène qui se jouesous leurs yeux, du moins je le souhaite secrètement. Je penche le haut de mon corps sur la table pour cacher notre rapprochement.
Diana a ensuite lentement tracé un seul doigt le long de ma cuisse une ligne directe jusqu'à ce qu'elle entre en contact avec ma culotte, qui depuis longtemps est bien mouillée. Elle a fait courir ce doigt doucement de haut en bas sur ma fente, me rendant folle avec son toucher plumeux. Je traîne mon regard autour de la table une fois de plus, mais aucun visage ne semble remarquer mon état agité car elles sont heureusement absorbés par les histoires qu'elles se racontent.

Je suis tellement excitée, mais toute nerveuse. Je vide mon troisième gin pendant que Diana me gratte la chatte avec frénésie. Peu de temps après, elle écarte ma culotte trempée et passe, pour la première fois, son doigt sur mon sexe nu. Quelques instants plus tard, elle a plongé un doigt en moi et a très lentement commence un mouvement de baise. De temps en temps, elle se retire pour taquiner mon clitoris, puis replonge profondément en moi.
De toute évidence, la femme à ma gauche n'est pas une novice et je suis, au sens propre comme au sens figuré, à deux doigts d'exploser.

Diana ajoute un autre doigt car je me sens ma grotte bien remplie. Elle a continue à coulisser méticuleusement en moi, jusqu'à ce que je perde tout contrôle. J'ai fait de mon mieux pour rester calme et silencieuse alors que je là entrain de jouir, avec fracas, avec la main d'une femme, pour la première fois de ma vie. Les doigts de Diana jouent avec moi pendant tout mon orgasme, ce qui me rends encore plus folle.
Lorsque cette explosion jouissive dans ma tête s'est un peu calmée, je me suis soudainement, senti très vulnérable. Je suis là, un vendredi soir, dans un bar animé, avec les mains d'une autre femme dansant sur mon entrejambe exposé. Je suis gênée, mais je le suis devenue encore plus lorsque mon amie Hayfa, qui est assise juste en face de moi, me demande :

— Jalila... Tu ne te sens pas bien ? Ton visage est vraiment rouge !
— Je, euh, je crois que j'ai un peu trop bu ! Que je murmure.

Consciemment, je glisse mes mains sous mes fesses, j'attrape ma jupe. Lentement, je balance mes fesses de droite à gauche la remettant en place, essayant tout de même de ne rien laisser apparaître.
Je ne suis pas surprise lorsque Diana dit :

—Tu n'as pas le droit de me le refuser... Je te ramènerai chez toi !
—T'as pas le choix... On a encore besoin de toi ! Dit lunes de nous.

Lorsque je regarde Diana, je peux voir dans ses yeux, qu'ellen'attend que le moment où elle va, avoir la joie de me devorer. Perverse qu'elle est, je suis certaine que me ramener chez moi en toute sécurité est la dernière chose à laquelle elle pense. Autant j'ai aimé ce qu'elle m'a fait, autant j'ai peur d'être toute seule avec elle. Je ne suis pas certaine d'être prête à aller plus loin avec une femme pour le moment.

— Non... Je vais prendre un taxi ! Marmonne ai-je, tandis que je lutte pour retrouver ma concentration.
— N'importe quoi, je te ramène à la maison... Un point c'est tout ! Déclare fermement Diana, en me serrant fermement le genou.

Mon esprit et ma bouche semblent être en désaccord, je ne trouve pas les mots pour décliner son offre devant tout le monde. Alors que je suis plongée dans mes réflexions nous nous souhaitons toutes une bonne nuit, car il était temps que chacune rentre au bercail. Diana me conduit par la main au parking.
Quand nous sommes arrivés à son véhicule, Diana m'ouvert la porte. Avant que je puisse entrer, elle se colle à moi et m'étouffe avec un délicieux baiser. Nous nous sommes embrassés un bon moment là, sur le parking, et quand je prends conscience que on risque de nous voir, car se genre de geste amoureux dans notre société arabo-musulman tunisienne n'a jamais été bien vu, encore plus quand c'est entre deux femmes, je la force à s'éloigner, en suppliant :

— Arrêtes... On va nous voir... S'il te plaît, allons-y !
— Tu rentres avec moi ! Me siffla Diana dans mon oreille avant de se pencher et de m'embrasser une fois de plus.

Je sens sa main remonter sous ma jupe jusqu'à ce qu'elle la colle fermement sur mon sexe. Je me retrouve à gémir tandis que la langue de Diana caresse la mienne et que ses doigts jouent avec ma moule baveuse. Elle interrompt notre baiser un instant et murmure :

—Laisses-toi guider... Je sais et tu sais que... Tu en as besoin !

Paradoxalement, d'un côté, tout au fond de moi, je veux céder et la laisser faire ce qu’elle veut de moi, et d'un autre côté, je ne peux tout simplement pas.
Culpabilisant... Car le ne veux pas laisser Kamel seul à la maison. Pour une raison étrange, j’ai presque l’impression de le tromper...
Avec toute la force que je peux rassembler, je la repousse une fois de plus et me précipite vers ma voiture sans un mot de plus.

Alors que je suis dans la circulation, mon téléphone portable sonne plusieurs fois, je sais que c'est de Diana, mais je ne décroche pas. Même si je ne me sens pas ivre, ou un peu, je n’aurais probablement pas dû conduire car ma tête tourne et si en plus j'utilise mon handy alors que je conduis, je ne suis pas sûre d'arriver en un seul morceau. Heureusement, je pourrais conduire les yeux fermés car ce trajet je l'ai fais des milliers de fois et heureusement... Je franchis le pas de la porte de chez moi sans incident.
Lorsque j'ouvre la porte, je ne suis pas surprise de trouver Kamel assis seul dans le salon. Comme s'il avait senti que quelque chose n'allait pas, il est venu vers moi, presque en courant et me serre fort dans ses bras, puis me demande comment s'était passée ma journée. J'ai du mal à réfléchir correctement, et je lui raconte ma soirée avec mes copine du boulot.

Kamel recule, me regarde droit dans les yeux.

— Est-ce que ça va bien maman ? Tes yeux ont l'air vraiment vitreux !
— Oui, euh... Je... Je... Je vais bien... Je suis juste fatiguée... Je suppose ! Ai-je marmonné d'un air coupable.

Il est déjà vingt-trois heures, et après tous les événements de la journée, je suis prête à me glisser dans mon lit. Je dis :

— Je pense que je vais me coucher là, mon grand !
— Oh non... Allez maman, c'est vendredi... Regardons un film ! A-t-il supplié.

J'ai rarement le week-end de libre, et après m'avoir ses yeux de biche meurtrie, jusqu'à ce que je cède. Je me sentais un peu sale après avoir bu et jouis avec les doigts de Diana, je lui dis que je vais aller prendre un bain. Je suis surprise lorsque il me dit :

— Vas te poser sur le canapé et je te prépare ton bain !

Alors que je suis assise tranquillement sur le canapé, dans mon esprit repasse tous les agréables moments de cette soirée. Je peux presque sentir la façon dont Diana jouait avec moi, juste sous le nez de nos autres amis. Ma chatte commence à palpiter quand je pensais à quel point j'avais été coquine.

Mon rejeton revient dans la pièce quelques minutes plus tard et me sort de mes rêveries. Il me tend la main et m'aide à me lever du canapé, puis me conduit dans la salle de bain. La baignoire est fumante et toute la pièce sent agréablement la vanille. On est face à face, je m'attendais à ce qu'il parte, mais un frisson me parcourt dans le dos quand il me dit :

— Je vais sortir ton corps de ces vêtements !

Je suis stupéfaite quand Kamel attrape mon haut et le remonte, et je ne peux que lever les bras pour l'aider comme si j'étais son enfant. Ensuite, il passe la main dans mon dos dégrafe avec une facilité déconcertante mon soutien-gorge, et me le retire exposant mes seins.
Il y a encore quelques semaines, je dirais même quelques jours, j'aurais été horrifiée à l'idée que mon fils puisse me voir de cette façon, mais après ce que nous avions traversé, cela me semble presque naturel.

Il déboutonne ensuite et dézippe ma jupe, puis se laisse tomber à genoux devant moi. Il tira fermement vers le bas, sur le tissu le forçant à libérer mes hanches.
Je pose mes mains sur ses épaules pour garder l'équilibre pendant qu'il retire ma jupe et ma culotte qui vont rejoindre mon haut et de mon soutien-gorge.
De là où il était agenouillé, je réalisai que le visage de mon fiston est à quelques centimètres de mon entrejambe... Je sais que cela a probablement l'air malsain, mais j'espérais qu'il puisse sentir mon odeur féminine... Vu que ma culotte était assez humidifiée à cause de... Vous savez... Ce que Diana m'avait fait plus tôt et je me m'interroge s'il peut sentir mon excitation.
Comme il l'avait fait avec ma jupe, Kamel baisse mon string me mettant complètement nue devant lui. J'ai envie d'attraper son visage et de le coller à ma chatte, mais avant que je ne puisse le faire, il se lève et pose ma culotte sur le tas des autres vêtements jetés. Il m'aide ensuite à entrer dans la baignoire, puis se penche et embrasse doucement mes lèvres.
Avec un clin d'œil, il dit :

— Profite de ton bain !

Sur ce, il ramasse mes vêtements sales et me laisse toute seule.
C'est alors que je réalise que je suis encore plus ivre que je ne le pensais. Ma tête tourne... Tourne... Je ferme alors les yeux pour profiter de ce doux moment sensuel. Je ne sais pas si c'est à cause de l'alcool ou non, mais je suis toujours très excitée. L'eau chaude n'a fait qu'empirer les choses car je ne peux pas m'empêcher de caresser ma peau sensible.
Kamel avait laissé la porte ouverte quand il était sorti de la salle de bain, et je me sens vraiment coquine en manipulant mes tétons sous la mousse, sachant qu'il peut revenir à tout moment. Mes cuisses s'écartent et je commence à caresser mon sexe, profondément, impressionnée que je suis, par la façon si audacieuse de me déshabiller. En si peu de temps, il est arrivé à faire ce que les autres mecs mettent des mois à avoir l'autorisation de faire. Et je me demande, que va-t-il encore me faire ?

Alors que je suis entrain de me branler, je n'ai pas pu m'empêcher de penser à ce que Diana m'aurait fait si j'étais rentré avec elle. Sans aucun doute, elle m'aurait bouffé la moule, j'adore le culininug, mais m'aurait-elle demandé de lui faire la de même chose ? J'essaye d'imaginer ce que cela fait de toucher intimement le corps d'une femme... Plongée dans ces rêves, je jouis violemment pour la deuxième fois cette nuit, mes gémissements ont presque fait vibrer le carrelage de la salle de bain.
Kamel rentre dans la pièce un peu inquiet avec la cap de bain sur son épaule. Sans poser de questions, il se penche et m'aide à me relever pour sortir de la baignoire. Après m'avoir enroulé du tissu en coton, il commence à frotter tout mon corps pour le sécher. Je ne me rappelle pas d'avoir déjà été choyé de cette façon par le passé, mais j'ai adoré chaque seconde.

Après avoir fini de me sécher, il me conduit, me tirant par la main, vers ma chambre. Il est tout silencieux, ouvre un tiroir ma commode et en sort la chemise de nuit lavande familière. Il revient vers moi et la baisse doucement sur ma tête et m'habille comme si j'étais une petite fille. Je me tiens docilement, et il me lance un sourire encourageant tandis que ses lèvres se pressent légèrement contre les miennes dans un doux baiser.

Avant que je réalise ce qui se passe, nous nous retrouvons assis l'un à côté de l'autre sur le canapé du salon, avec une ambiance tamisée et le film commence à jouer.
Contrairement à la soirée précédente, il se presse contre mon côté gauche, tout comme Diana l'avait fait une heure auparavant. Je me demande quelle idée a-t-il derrière la tête.
Mon esprit tourne à cent à l'heure mais je pose ma tête sur son épaule en essayant de me concentrer sur le film. Mais... J'arrive à peine à suivre l'intrigue du film, mais je saisis, clairement, qu'il est de nature sexuelle. Ce n'est pas un film pornographique, mais ce n'est certainement pas le dernier film de Disney.

Serrés l'un contre l'autre, je ne peux m'empêcher de ressentir la chaleur qu'il y a entre nous, et je lutte de toutes mes forces, pour rester immobile. Mon corps est tout simplement en feu et j'essaye de rester calme, mais je ne peux empêcher mes cuisses de se frotter l'une contre l'autre sous l'effet de mon l'excitation, de l'excitation que cette situation procure. Je ne sais pas si mon gamin peut voir ou sentir ce que je fais, mais je sens sa main se poser sur mon genou.
J'ai immédiatement un flashback de ce que Diana m'avait fait et je me demande s'il va être aussi audacieux qu'il l'a été dans la salle de bain.
Sur l'écran de la télévision, il y a un détective macho qui embrassait une suspecte sexy dans une salle d'interrogatoire, et je me retrouve à gémir à haute voix lorsque Kamel commence à me caresser la cuisse du bout des doigts, un peu comme Diana l'avait fait.
Mes yeux ont quitté l'écran pour voir sa main sur ma jambe, et je remarque que ma nuisette laisse une bonne partie de ma peau exposée. Je ne suis pas surprise de voir le pyjama Simpsons préféré de bébé se gonfler au niveau de son entrejambe.
Kamel continue à me caresser la cuisse, faisant courir sa main de plus en plus haut sur ma jambe comme pour tester ma détermination. Je ne sais pas si je dois arrêter ce jeu, mais comme avec Diana, je n'y arrive tout simplement pas.
Ses doigts s'aventurent sous ma chemise de nuit, à quelques centimètres de mon sexe "fumant". Plutôt que de décourager son audace, je pose mon genou gauche sur ses genoux, tout comme Diana l'avait fait avec moi sous la table du bar. Mon fils est peut-être un jeune garçon de dix-huit ans, inexpérimenté, mais je suis sûr qu'il a réussi à lire dans sa tête :

«Maman veut que tu la touches !»

Je suis presque certaine que Kamel va aller droit au but, mais il ne le fait pas. Il continu à jouer de ses doigts à quelques centimètres de mon puits humide. Ma voix intérieure hurle :

— Allez... Vas-y... Putain de m...!

Mais je suis sa maman...
Comment pourrais-je, oserais-je, dire une chose pareille ?
Alors qu'il continue à taquiner légèrement ma cuisse, je ne peux que lui faire la même chose. Je place la paume de ma main sur sa jambe droite et lui imprime une caresse sur son pyjama doux. Je ne peux et je ne veux plus le supporter, finalement saisi sa bite dure comme du roc dans ma main et je la serrée comme si je voulais l'étouffer. Je sens son corps se blottir contre le mien pendant un moment, mais il se détend après quelques minutes, ouvre ses jambes pour me donner un meilleur accès.
Il n'hésite pas une seconde pour me donner la pareille, les doigts de Kamel retrouvent les lèvres humides de mon sexe nu.

— Ouiiiiii ! Crie ai-je dans ma tête, et heureusement, seul un léger gémissement sort de ma bouche.

Je tourne mon haut de mon corps pour lui donner un meilleur accès à ma féminité. Ce faisant, je ne peux plus caresser efficacement sa bite, mais je la tiens toujours dans ma main, lui imprimant de douces pressions.
Les doigts de Kamel parcouraient toute ma chatte, comme s'il essaye de mémoriser chaque partie de mon anatomie avec ses mains fouineuses. Je dois admettre qu'il n'est en aucun cas aussi adroit que Diana dans son toucher, mais savoir que c'est mon propre fils qui me touche rend cela encore plus érotique. Je sens son doigt bouger lentement à l'intérieur de moi et je frissonne en sachant que je suis la première femme qu'il touche d'une manière aussi intime. Mon bébé doigte sa première chatte, et c'est incroyablement enivrant pour moi de pouvoir partager ce moment.

Je relâche son mat pour attraper son poignet de mes deux mains. Je guide ses doigts plus haut jusqu'à ce qu'ils entrent en contact avec mon clitoris super sensible. Ma main s'est enroulée autour de la sienne tandis que je gémissais dans son oreille :

— Juste là, bébé !

Il n'a pas eu besoin de se le faire dire deux fois, il commence doucement à caresser mon clitoris.
Je suis en surcharge sensorielle et j'ai simplement besoin de jouir le plus vite possible. J'ai fermement forcé sa main sur mon entrejambe et je commence à me pousser contre sa paume. De forts gémissements s'échappent de mes lèvres alors que je chevauche la main de Kamel jusqu'à un orgasme bouleversant.
L'orgasme que j'avais vécu avec Diana, plus tôt dans la soirée, était vraiment merveilleux à bien des niveaux, mais pas aussi puissant que celui auquel je viens de vivre avec mon fils. Je pensais que mon premier orgasme avec une autre femme, en public qui plus est, aurait été un moment décisif pour moi, mais je me suis gouré !
Je fais de mon mieux pour reprendre mon souffle tandis que les doigts de mon gosse continuent à caresser doucement ma chatte surchauffée.

Mon corps est aussi faible qu'une poupée de chiffon alors que je m'appuye contre l'épaule de Kamel. Je suis surprise lorsqu'il me repousse dans l'accoudoir du canapé, puis se dégage. Un instant plus tard, je voilà à genoux juste devant moi. Je ne suis toujours pas sûre de ce qu'il a dans la tête, jusqu'à ce qu'il me mette les mains sous les genoux et me tire fermement en avant.
Par la force des choses, je suis allongée sur le bord du canapé, les jambes largement écartées autour du torse de mon bambin. Ma chemise de nuit se met en boule sous moi, donc quand j'ai été tiré en avant, et mon entrejambe est devenu complètement exposé aux yeux de mon gamin. J'ai une petite idée de ce qu'il envisage de faire, puisqu'il pose ses lèvres sur ma cuisse gauche et commence à l'embrasser et à la lécher doucement tandis que ses mains caressaient mon genou.
Oh... Il veut me bouffer la chatte !

Il commence à caresser l'intérieur de mes cuisses de plus en plus haut en remontant. Quand son visage est placé entre mes jambes, je me trouve dans l'impossibilité de ne pas mettre mes mains sur sa tête et de passer mes doigts dans ses cheveux noirs. Je me régal de sentir son souffle chaud contre ma chatte un instant avant que sa langue n'entre en contact avec ma puits pour s'abreuver de mon miel.

Cela faisait des siècles que personne ne m'avait fait ça, et ça me manquait tellement. La langue de beau gosse me léche avec abondance, et je kif chaque seconde. Je ne sais pas où il a appris ça ou bien on lui a donné des conseils, car une fois qu'il a trouvé mon clitoris, il commence à le téter doucement. N'ayant pas de sujets tabous avec mon fils, je me souviens lui avoir dit que s'il léchait une femme à cet endroit, elle partirait comme une fusée et mes conseils n'étaient pas tombés dans l'oreiller d'un sourd. Et à ce moment-là je ne vais pas tarder à le faire.

De toute ma vie, je n'avais jamais été aussi follement excité. Je me sens coupable en saisissant sa tête et en la tirant fermement vers ma moule baveuse... Sa langue continue à danser sur mon clitoris, puis je sens un doigt entrer profondément dans ma chatte. Des gémissements s'échappent de ma bouche, si forts, que j'ai eu peur d'ameuter tout le quartier. Mes hanches ont commencé à se balancer d'une manière incontrôlable, chevauchant le doigt et le visage de Kamel, jusqu'à atteindre l'orgasme le plus puissant de ma vie.

Mes yeux sont restés fermés hermétiquement pendant plus d'une minute ou dix, alors qu'essoufflée, je reprends ma respiration. Quand je les ai finalement réouverts, Kamel est toujours entre mes jambes écartées avec un grand sourire sur le visage. De toute évidence, il a bien compris ce qui s'était passé et il en est fier... Mon fils vient d'offrir un orgasme à une femme, sa mère.

En baissant les yeux et vois que ma chemise de nuit est toute trempée de sueur. Mes tétons pointent de manière obscène à travers ce tissu humide.
Très lentement, Kamel se relève d'entre mes jambes, et il est évident que sa bite est toute dure tendant devant lui son pyjama de manière obscène. Je suis, (presque) rassasiée et je me sens couler dans mon canapé, mais voir l'excitation de ce jeune homme me fait frissonner.
Kamel se tient raide devant moi en silence, son langage corporel indique clairement qu'il en veut plus, mais pour une raison quelconque, il ne trouve pas le courage pour le demander. Après une minute ou deux à nous regarder l'un l'autre, je vois ses mains se déplacer vers ses hanches et sans un mot, il abaisse lentement son pyjama jusqu'à ce qu'il se retrouve sur ses pieds. Mon fils est (presque) nu, sa bite rigide se dressant fièrement devant lui, devant mes yeux.
Je me sens obligée de lui rendre la pareille... Je le veux, je le désir, je le souhaite...
Je me penche en avant jusqu'à ce que mon visage s'arrête au niveau de son nombril. Il est impossible d'ignorer cette queue dressée à quelques centimètres de ma bouche, et voilà que j'embauche ce gland pour qu'il me brosse les dents. Mes mains, tremblantes, se posent sur ses cuisses nues tandis que j'embrasse doucement le bout circoncis.

Perdue dans de folie de ce instant, je prends la bite de mon fils entre mes lèvres. Au fond de moi, je ne souhaite que lui bouleverser son monde, ses principes.

Mes doigts entrent en contact avec ses bourses chaudes. Je plaque ses couilles charnues dans ma main droite alors la gauche s'enroule autour de la base de son impressionnant manche. Je peux entendre de légers gémissements au-dessus de moi, espérant le rendre aussi fou qu'il m'avait rendu.

J'ai la bouche grande ouverte, penchée en avant alors que mes lèvres encerclent sa hampe. Je déteste l'admettre, mais j'ai souvent rêvé d'avaler le sexe de Kamel en entier, et là, je vis mon fantasme. Prenant une profonde inspiration et détendant ma gorge, je replonge mon visage sur cette bite qui pointe fièrement, majestueusement, vers le plafond pour que mes lèvres entrent à nouveau en contact avec ce mat, que ma main tient fermement la base et j'avale chaque centimètre de sa longue queue.

Le bout de la bite de mon bambino chatouille ma gorge, c'est un bonheur indescriptible !
Je suce goulûment sa bite pendant que mes mains errent partout sur ses zones délicates. Il me semble qu'il a aimé mes attouchements quand je joue avec ses couilles, alors je continue à le faire tout en mordillant la tête de sa bite et en caressant la base poilue de son sexe.

— Oh maman ! Gémit-il à haute voix.

D'un coup de hanche, il enfonce son pénis plus profondément dans ma bouche. Kamel attrape ma tête et me tient fermement pendant que je prodigue une attention particulière à sa bite. Je m'évanouis presque alors qu'il me baise le visage avec force, mais heureusement, seulement un instant plus tard, je sens la première explosion de sperme se répandre sur mes amygdales alors qu'il jouissait avec un son si primitif... Inhumain.

Kamel me tient fermement pendant qu'il jouit, et je continue à téter sa bite palpitante. Je me retrouve à lutter pour respirer par le nez alors que je bois désespérément chaque parcelle de sa semence. Il libére finalement ma tête de son emprise, et je retire à contrecœur ma tête de sa bite palpitante. Je prends une respiration bien nécessaire, puis je ferme les yeux pour savourer le goût salé dans ma bouche.
Quand je relève les yeux, Kamel me regarde avec des yeux vitreux. Ses genoux semblent faibles, alors j'ai tapoté le canapé à côté de moi et je lui dis de s'asseoir. Dans la seconde qui suit, il s'effondre en boule sur les coussins à côté de moi. Je n'ai pas pu m'empêcher de remarquer, à la façon dont il est allongé, que sa jeune bite est entièrement exposée. Mon corps est encore en feu et mes lèvres intimes picotent. J'ai désespérément besoin d'être baisée, mais pourrai-je réellement faire ce pas capital avec mon propre fils ?

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
J'attends la suite

Merci Daniel

Histoire Erotique
Bravo Tamis ton texte est complet toutes tes descriptions les alternoiement d’une maman entre son esprir qui crie l’inceste et son corps qui réclame la jouissance complete le passage avec sa fille qui nous laisse présager son intervention future mais surtout le final ou tu nous amènes pratiquement à la penetration mais non sans doute dans ton prochain volet. Chapitre long mais toujours aussi jouissif. Daniel



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