Cela part d'une bonne intention

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
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Récit libertin : Cela part d'une bonne intention Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Cela part d'une bonne intention
Introduction:
Mon fils me surprend en train de me masturber dans sa chambre. Il veut répéter l'expérience.

N’est-il pas amusant de constater que les plus petites actions peuvent avoir de si grandes conséquences ?
Nous pouvons entreprendre quelque chose avec les me⁰illeures intentions du monde, mais des forces plus grandes semblent conspirer contre nous et le résultat qui en résulte est bien différent de ce que nous aurions pu imaginer.

Voici l’histoire d’un de ces événements et du pétrin dans lequel je me trouve aujourd’hui.

Je m’appelle Jalila, j’ai quarante-trois ans et je suis une mère divorcée de deux merveilleux enfants. Ma fille aînée "Amira" a vingt et un ans est partie pour poursuivre ses études la fac d'architecture à la capitale. Mon plus jeune est Kamel, un lycéen de dix-huit ans qui vit ici à la maison avec moi.

Je suis infirmière diplômée et je travaille aux heures irrégulières qui vont souvent de pair avec mon travail. En tant que telle, je dois admettre que je n’étais pas toujours là pour observer la vie de mes enfants autant que je l’aurais souhaité, en particulier depuis le divorce. Ma fille, Amira, était une bonne élève, la vie lycéenne de son frère Kamel était très différente, ce qui m'a beaucoup inquiétée.

Kamel est un garçon intelligent et beau, mais aussi assez timide. Enfant, il avait plusieurs bons amis et était très actif, mais ces derniers temps, il semblait toujours être seul à la maison, travaillant ou jouant sur son ordinateur portable. Je lui en ai parlé plusieurs fois, mais il m'a simplement dit que lui et ses copains préféraient jouer à des jeux vidéo en ligne plutôt que de traîner ensemble comme ils le faisaient avant. Je n'ai jamais compris les jeux vidéo et j'espérais qu'il était honnête avec moi, mais je restais un peu sceptique.

J'ai confié à quelques-uns de mes amies que j'étais inquiet du comportement de Kamel, mais aucune ne semblait inquiète. Le refrain commun à tous était simplement :

— Jalika... Les enfants sont différents de nos jours !

Autant je voulais les croire, autant j'étais inquiète.

J'ai alors commencé à me poser un tas de questions, à réfléchir à la sexualité de Kamel pour la première fois.
Est-ce qu'il se masturbait ?
Est-il puceau ?
Avait-il déjà embrassé une fille ou touché un sein ?
Se pourrait-il qu’il soit gay et qu’il ait du mal à accepter cette réalité ?
J’ai alors pensé à tout le temps qu’il passait en ligne.
Est-ce qu’il allait sur des sites pour adultes pour voir des choses qu’il n’avait pas dans la vraie vie ?
Il s’était renfermé sur lui-même à certains égards, donc rien ne pouvait vraiment me surprendre.

Mon ex-mari et moi avions eu des problèmes dans notre relation, mais nos activités nocturnes dans la chambre n’en faisaient jamais partie. Nous avions tous les deux une forte libido, alors j’ai simplement supposé que nos enfants suivraient notre exemple. Un appétit sexuel sain est une bonne chose pour la vision de la vie.

En tant que mère célibataire, je ne voulais pas l’étouffer, alors je l’ai laissé suivre son propre chemin. Maintenant, je me suis rendu compte qu’il avait peut-être besoin d’un(e) confident(e) avec qui partager des choses, ou peut-être de conseils de temps en temps.
Dans le cadre de mon travail, j’écoute mes patients tout le temps, mais pour une raison inexplicable, j’avais négligé mon propre enfant.

J'avais laissé les choses traîner trop longtemps et j'avais décidé d'avoir une conversation à cœur ouvert avec Kamel, comme nous n'en avions jamais eu auparavant. Quand je suis rentrée à la maison après le travail, je me suis servi un verre de vin et j'ai essayé de trouver la meilleure façon d'aborder les choses avec lui. Je ne voulais pas le choquer.

Quand il est rentré de l'école cet après-midi-là, il est allé directement dans sa chambre, comme il le faisait presque tous les jours. J'ai pris une grande inspiration, j'ai frappé à sa porte et je suis entrée dans la pièce pour discuter avec lui.
Il semblait ennuyé que j'interrompe ce qu'il faisait en ligne, mais il a appuyé sur quelques touches de son ordinateur portable puis m'a regardé. J'ai essayé de lui faire mon plus beau sourire décontracté pour lui faire savoir que tout allait bien, puis je me suis assise sur le lit à côté de son bureau.

— Chéri... Tout va bien à l'école ?
— Bien sûr maman, pourquoi tu demandes ça ?

J'ai hésité un moment, puis j'ai répondu :

— Eh bien, c'est juste que je ne te vois plus jamais avec tes amis !
— Je te l'ai dit, on aime jouer en ligne... répondit-il, l'air quelque peu irrité.
— Je sais, mon chou, c'est juste que tu ne sembles jamais quitter la maison.
— Maman, c'est quoi tout ça ? demanda-t-il.
— Rien, vraiment... c'est juste que, eh bien, je m'inquiète pour toi, bégayai-je, regrettant soudain ce deuxième verre de vin.
— Je vais bien, répondit-il, alors que ses mains retournaient à l'ordinateur.

Il devait avoir l'impression que la conversation était terminée, mais je ne faisais que commencer.

— As-tu une petite amie ?

Kyle poussa un soupir audible et répondit simplement :

— Nooooon !

Je ne savais pas exactement comment le demander, mais avant même de savoir ce qui se passait, je dis :

— Tu aimes les filles, n'est-ce pas ?
— Maman ! – Aboya-t-il – C'est de ça qu'il s'agit ?
— Détends-toi chérie, s'il te plaît, dis-je, essayant de calmer les choses.
— Je vais bien, d'accord – répondit-il, puis il ajouta – Et je ne suis pas gay.

Une grande partie de moi avait l'impression d'avoir dépassé les bornes et de devoir le laisser tranquille. Nous sommes restés tous les deux silencieux pendant un moment, incertains de ce que nous devions dire ensuite.
J'ai finalement décidé de dire une dernière chose, j'ai bégayé sans beaucoup d'éloquence :

— Tu sais que je suis infirmière, et, eh bien, si jamais tu as des questions, euh, tu sais... sur le sexe, tu peux me les poser.

Mon fils a rougi, mais m'a simplement fait un signe de tête avec un air sombre sur le visage.
Ne voulant pas laisser tomber les choses pour l'instant, j'ai ajouté :

— Je sais que ton père n'est pas très doué pour ce genre de choses, donc si tu as besoin de quoi que ce soit, je veux dire de n'importe quoi, demande-le. D'accord ?

Il a hoché la tête une fois de plus, et sur ce, j'ai décidé de le laisser tranquille et de m'éloigner.

Au cours des semaines suivantes, j'ai fait de mon mieux pour engager la conversation avec lui chaque fois que c'était possible, et dans l'ensemble, il semblait d'accord avec mon intérêt renouvelé pour sa vie. Il ne m'a pas repoussé, ce qui était déjà un début. Je l'ai doucement incité à envisager toute relation avec des filles, mais il n'a pas été très communicatif. J'avais l'impression qu'il était toujours vierge, mais ça me convenait. Il m'a assuré que la vie était belle, alors j'ai laissé tomber.

Un soir, après avoir travaillé de nuit, je me suis arrêté dans une supérette pour prendre une tasse de café pour le trajet du retour à la maison. J'y étais déjà allé de nombreuses fois et j'avais repéré les magazines pour adultes alignés sur un présentoir derrière le comptoir. Après avoir posé toutes mes questions à Kamel sur sa vie amoureuse, j'ai décidé impulsivement de lui en acheter quelques-uns.

Je ne savais pas lesquels acheter, mais les deux noms que j'ai reconnus étaient Playboy et Penthouse, alors j'en ai acheté un de chaque. Le type derrière le comptoir m'a lancé un sourire lubrique, mais heureusement, il n'a rien dit en les mettant dans un sac en papier pour moi. J'ai presque couru vers la voiture comme une voleuse, puis je me suis dirigée vers la maison.

Après que mon gamin soit parti à l'école, j'ai sorti les magazines du sac et j'ai été tentée de les examiner. Ils étaient emballés dans du plastique, alors j'ai décidé de les laisser tels quels et de les poser sur une table à côté de son lit. J'espérais que mon acte lui montrerait que je pensais qu'il était un adulte, et qu'il était prudent de me parler de ses sentiments si jamais il en avait besoin.

J'ai volontairement fait en sorte de ne pas lui poser de questions sur les magazines les jours suivants, et il n'a rien dit non plus. Nous avons tous les deux fait comme si rien n'avait changé. Franchement, je me suis demandé s'il s'était masturbé en regardant les photos, ce qui ne me posait aucun problème. J'avais un vibromasseur et je me masturbais au moins trois ou quatre fois par semaine.

J'ai remarqué qu'il était devenu plus attentif à moi, m'aidant à mettre la table, à la débarrasser après le dîner, à faire la vaisselle... Et plein d'autres choses. Peut-être qu'il avait fini par apprécier mon attention, et le fait que j'essayais de le traiter comme un adulte plutôt que comme un enfant.

Environ deux semaines plus tard, j'avais un mardi de libre, alors j'ai fait des courses et fait le ménage. Alors que j’étais entrain de changer les draps du lit de mon garçon, j'ai soudain été curieuse... J'ai ouvert le tiroir de sa table de nuit et je ai trouvé les magazines. Dans mon adolescence, et comme tout enfant curieux cela m'étais arrivée à feuilleter une de ces revues destinées aux garçons sans plus.

Je me suis assise sur le lit et j'ai commencé à feuilleter le "Playboy". J'ai été un peu surprise de découvrir qu'il y avait autant d'articles sur d'autres sujets que le sexe. Les photos étaient faites avec goût et les femmes étaient encore plus belles que dans mes souvenirs.
Après avoir lu Playboy, j'ouvris le Penthouse et commençai à le parcourir également. Les photos étaient plus explicites, mais pas trop mauvaises dans l'ensemble. Je trouvai ensuite une section intitulée "Forum" et commençai à lire.
Il s'agissait de lettres de lecteurs, détaillant leurs liaisons sexuelles, et je dois admettre que je me suis rapidement laissée captiver. L'une des premières histoires que je lus fut celle d'une étudiante qui avait séduit son professeur, mais il est marié.
Ensuite, j'ai lu l'histoire d'un type qui avait couché avec la meilleure amie de sa mère, ce qui semblait coquin mais tellement sexy.
Sans même me rendre compte de ce que je faisais, ma main droite s'est glissée sous ma jupe et j'ai commencé à me caresser doucement la chatte à travers ma culotte.

Mon corps s'est réchauffé en parcourant l'histoire suivante :
Elle venait d'une avocate qui avait couché avec sa nouvelle assistante sexy dans son bureau après les heures de travail.
Cela me rappela une autre infirmière du travail qui avait clairement m'a fait savoir à plusieurs reprises qu'elle s'intéressait à moi. J'étais trop peureuse pour reconnaître ses allusions explicites, mais j'avais fantasmé sur elle à de nombreuses reprises. Elle s'appelait Diana, et je fermai les yeux et me frottai plus vite, nous imaginant tous les deux ensemble, comme l'avocate et son assistante.

Je laissai tomber le magazine et commençai à pincer un téton avec ma main libre pendant que l'autre s'occupait entre mes jambes. Lorsque mon orgasme se produisit, je retomba sur le lit avec un gémissement bruyant, me délectant de ces merveilleuses sensations. Après une minute ou deux à haleter et à me tortiller sur le matelas, j'ouvris les yeux et fus choqué de voir Kamel debout à la porte de sa chambre, un regard émerveillé éclaircissant tout son visage.

Je bondis et me plaçai devant lui, lissant nerveusement ma jupe.

— Qu'est-ce que tu fais à la maison si tôt ? Aboyai-je, me sentant plus gêné qu'à tout autre moment de ma vie.
— C'est le premier mardi du mois.

À ce moment-là, ma tête tournait, alors je demandai :

— Qu'est-ce que ça veut dire ?
— C'est le jour de la réunion des professeurs... Le premier mardi du mois... On a juste une demi-journée de cours ! A-t-il répondu.

Bien sûr, comment ai-je pu oublier ? J'étais tellement absorbé par mes courses et puis cela m'était complètement sorti de la tête.
Me sentant complètement idiote, j'ai dû sortir de la pièce. Je suis passé rapidement devant lui et j'ai juste murmuré :

— Ton lit est fait !

Ce faisant, je n'ai pas pu m'empêcher de remarquer la grosse boule dans son pantalon et je me suis demandé depuis combien de temps il m'observait.

J'ai fait de mon mieux pour éviter mon gamin le reste de la journée, et pendant le dîner, il y avait une tension évidente dans l'air. Ayant besoin d'en parler, j'ai finalement dit :

— Je suis désolé d'avoir envahi ton intimité aujourd'hui. Je n'aurais pas dû être dans ta chambre.

Il m'a fait un doux sourire et a dit :

— Ce n'est pas grave, maman. »

Nous avons mangé en silence pendant un moment, mais j'ai dû évoquer l'éléphant dans la pièce. Avec plus qu'un peu d'anxiété, j'ai demandé :

— Tu as vu ce que je faisais, n'est-ce pas ?
— Oui ! Fut tout ce qu’il dit.

Évidemment, il n’allait pas me faciliter la tâche.

— Eh bien, je sais que certaines personnes disent que c’est un péché, mais je veux que tu saches que la masturbation est normale et saine ! Ai-je déclaré.

Il s’est contenté de me regarder, comme s’il ne trouvait pas ses mots. Pour une raison inexplicable, j’ai demandé :

— Est-ce que tu te masturbes toi ?

Son visage est devenu rouge, mais après une pause, il a lentement hoché la tête.

— C’est tout à fait normal, mon chéri. Tu ne dois pas avoir honte de quoi que ce soit, tu comprends ?

Il a simplement hoché la tête à nouveau.
Bien que je me sente assez gêné par tout cela, j’ai ajouté :

— N’oublies pas, si tu as des questions ou si tu as besoin de quoi que ce soit, demande-le.

Il a répondu :

— D’accord, maman !

Et nous nous sommes remis à manger en silence.

Les choses ont semblé revenir à la normale rapidement, bien qu’avec quelques changements mineurs. Au lieu de jouer dans sa chambre, il posait généralement l’ordinateur portable sur la table de la cuisine ou du salon. Nous discutions pendant qu’il jouait, et parfois il essayait d’expliquer pourquoi il trouvait cela si intéressant. Sa passion pour les jeux m’échappait, mais j’aimais quand même notre nouvelle proximité.

Il y avait aussi un changement en moi. Comme je l’ai dit, j’ai toujours été un être sexuel, mais je n’avais jamais été exhibitionniste. Pour une raison quelconque, après le petit incident dans la chambre, j’ai soudainement été excitée à l’idée d’être observée. À plusieurs reprises, je me suis fait plaisir au lit, imaginant quelqu’un qui me regardait par la fenêtre ou qui me regardait d’une autre manière. C’était nouveau et sexy, et j’aimais vraiment ça.

Pour une raison quelconque, je me sentais obligée de modifier ma façon de m’habiller chaque jour. Je me suis retrouvée à m’habiller de manière un peu plus piquante, et je me suis même parfois sortie sans soutien-gorge lorsque je me promenais en ville. Kamel était à la maison quand je revenais de mes courses. S’il avait tout le loisir, de voir le tremblement de mes seins libres sous un haut en coton fin. Ou peut-être aurait-il préféré contempler les jambes lisses qui descendaient sous mes jupes courtes. Et pour être honnête, je pense, j'espère qu'il le faisait.
Avec les jours qui passaient, j'avais presque complètement surmonté le choc que mon fils m'avait surpris dans sa chambre, quand, à l'improviste, il m'a posé une question lors d'un dîner un soir.
Voyant qu'il avait quelque chose en tête, alors je lui ai demandé ce qui n'allait pas.
Il a rougi :

— Eh bien, tu sais que tu as dit que si je voulais quelque chose, je n'avais qu'à demander ?

J'étais vraiment excitée par ce qui allait arriver, me demandant s'il allait enfin s'ouvrir à moi et qu'il avait besoin de mes conseils ou de mon soutien. Hochant la tête avec enthousiasme, j'ai répondu :

— Bien sûr !

Il a pris une profonde inspiration, puis a dit :

— Tu te souviens, euh, l'autre jour ? Quand je t'ai vu dans ma chambre ?

Instantanément, je sentis la sueur perler sur tout mon corps, me demandant où diable cela allait me mener. Je répondis nerveusement :

— Oui...

Très froidement, il déclara :

— Je veux te revoir !!!

Je ne pensais pas que ces simples 4 mots allaient autant me choqué.

— Quoi ? Criai-je, ne croyant pas ce que je venais d'entendre – Tu n'es pas sérieux là ?
— Mais tu as dit que tu ferais tout ce que je voulais !
— Putain, Kamel ! Ce n'est pas ce que je voulais dire, et tu le sais ! Hurlai-je, stupéfaite qu'il ait réellement le culot de demander une chose pareille.
— Très bien ! Marmonna-t-il, et se leva de table avec sa vaisselle.

Je le regardai dans un silence stupéfait alors qu'il rinçait son assiette, la mettait dans le lave-vaisselle et se dirigeait vers sa chambre.
Je lui dis avant qu'il ne sorte du couloir :

—Kamel... Je n'arrive pas à croire que tu m'aies demandé ça... Je ne peux tout simplement pas le faire !

Il agita la main dans ma direction d'un air dédaigneux et déclara :

— C'est typique...

Je me levai et lui criai :

— Mais qu’est-ce que ça veut dire ?
— Ça a toujours été comme ça ! Répondit-il, l’air exaspéré.
— Qu’est-ce que tu veux dire ?
— Quand j’étais enfant, tu disais que je pouvais tout demander, mais je ne l’obtenais jamais. Je demandais des céréales spéciales à l’épicerie, et tu disais que c’était mauvais pour la santé. J’ai demandé des vêtements cool, et tu as dit que nous ne pouvions pas nous les permettre. C’est pareil pour les voyages scolaire pour Sousse ou Bizerte... Tu dis toujours de demander, mais la réponse est toujours non !

Il continua à pester, puis entra dans sa chambre et claqua la porte.
Dire que j’étais abasourdie serait le plus grand euphémisme de ma vie !
Je me rassis à la table et essayai de comprendre ce qui venait de se passer. Je devais admettre qu’il avait raison sur certains points.
En tant qu’infirmière, je ne lui laissais jamais manger les sucreries. Et bien sûr, nous n'avons jamais été riches. Je n'ai jamais habillé mes enfants comme des pauvres, mais ils n'étaient pas non plus exactement des créateurs de mode de l'école, c'est sûr.
Malgré tout cela, il n'y avait aucune chance que je me masturbe intentionnellement pour mon propre fils.
Comment pouvait-il même penser que j'accepterais cela ?
Croyait-il que juste parce que je lui avais acheté quelques magazines pour adultes et qu'il m'ait vu jouer avec moi-même, qu'il était en droit de me demander de lui faire un spectacle ?
J'étais stupéfaite !

J'ai laissé mes nerfs se calmer pendant quelques minutes, puis je suis allée dans sa chambre pour lui parler. J'ai frappé à la porte et j'ai entendu un grand :

— Vas-t'en !

Malgré son commentaire, j'ai tourné la poignée et suis entrée. Il était assis à son bureau, sur son ordinateur portable, et m'a regardé avec une colère clairement écrite sur son visage. J'ai adouci ma voix du mieux que j'ai pu et j'ai dit :

— Chéri... Parlons-en !
— À quoi ça sert, maman ? Tu parleras, je t'écouterai, comme toujours. Mais rien ne changera vraiment.

J'ai fait de mon mieux pour contrôler mes nerfs, mais je commençais à me lasser rapidement de son attitude.

— Kyle, je suis désolée si je t'ai laissé tomber dans le passé, je le suis vraiment. Mais c'est une chose qui n'arrivera jamais. Je n'aurais pas dû être dans ta chambre, et je suis désolée que tu aies vu ce que je faisais, mais c'est tout... Cela n'arrivera plus jamais.

Kyle m'a regardé avec des poignards dans les yeux, puis a dit :

— Très bien, maman. Peux-tu fermer la porte en sortant ? Sur ces mots, il s'est retourné vers l'ordinateur et a commencé à taper.

J'étais énervée !
Je suis sortie et j'ai claqué la porte derrière moi, ayant besoin de m'éloigner de mon fils de peur de dire quelque chose que je regretterais. Je ne pense pas avoir jamais été aussi bouleversée. Je me suis retrouvée à faire les cent pas de la cuisine au salon le reste de la nuit, continuant silencieusement à me disputer avec mon fils dans ma tête. Quand je me suis enfin mise au lit, j'ai passé l'une des nuits les moins reposantes de ma vie.
Les semaines qui ont suivi ont été une véritable torture silencieuse. Kamel a trouvé des raisons de sortir de la maison, passant même certaines nuits chez son père, ce qu'il n'aimait pas faire, je le sais.
Les rares fois où il était à la maison, il restait constamment dans sa chambre, la porte fermée en signe de protestation. Au dîner, je recevais le traitement du silence, avant qu'il ne finisse son assiette et ne me laisse tranquille une fois de plus.
J'avais vraiment tout gâché. J'étais en colère contre lui, mais encore plus contre moi-même. Toutes mes intentions avaient été si bonnes, et maintenant je me sentais comme jamais auparavant.
Je me sentais encore plus mal que pendant mon divorce. J'ai essayé d'engager la conversation avec Kamel à quelques reprises, mais soit il me laissait parler, soit il m'ignorait complètement. Presque tous les soirs, je pleurais jusqu'à m'endormir en me demandant comment j'avais pu laisser tout cela arriver.
Un soir au travail, Diana, mon amie lesbienne, a engagé une conversation avec moi. Elle semblait savoir que quelque chose n'allait pas et m'a demandé si tout allait bien.
J'ai fondu en larmes et lui ai dit que j'avais des problèmes avec mon gamin. Elle m'a fait entrer dans une chambre vide et a fermé la porte, puis s'est tenue derrière moi en me frottant les épaules pendant que je pleurais.
Je dois dire que c'était merveilleux d'avoir quelqu'un d'aussi proche, et je me suis retrouvée à m'appuyer contre elle. Mes émotions étaient si vives ces derniers temps que je me suis délectée de son attention.

— Dis-moi ce qui ne va pas ! A-t-elle déclaré en massant doucement mes muscles tendus.

J'ai commencé à lui raconter à propos de Kamel et du fait que nous ne parlions pas, mais bien sûr, je ne pouvais pas lui dire la raison. Les mots ont coulé de ma bouche, lui disant essentiellement que je me sentais comme une mère ratée. Elle était merveilleuse et écoutait tout sans jugement.

— C'est ça, laisse ton cœur parlet ! A-t-elle dit en me caressant.

Quand je me suis un peu calmé, Diana m'a serré dans ses bras et a commencé à m'embrasser doucement dans le cou et sur la joue. En fait, j'ai tourné la tête pour lui donner un meilleur accès. Elle a dû être encouragée par ma réaction car ses mains ont lentement remonté mon ventre jusqu'à ce qu'elle prenne mes seins. Diana m'a murmuré à l'oreille :

— Jalila... Laisses-moi te faire te sentir mieux !

J'ai failli m'évanouir.

Avec mon emploi du temps chargé, j'avais rarement le temps de sortir avec quelqu'un. En toute honnêteté, je n'avais pas eu d'intimité avec une autre personne depuis plus d'un an, et encore moins... JAMAIS... Avec une femme ! Mais à ce moment-là, mon corps était tout simplement en feu.

Un gémissement s'échappa de mes lèvres alors qu'elle faisait rouler mes mamelons durs entre ses doigts. Elle semblait savoir intuitivement exactement ce que j'aimais et commença à jouer avec tous mes points chauds. Ses baisers remontèrent la chair tendre de mon cou jusqu'à ce qu'elle prenne mon lobe d'oreille entre ses dents et le tire doucement de manière enjouée.
À cet instant précis, elle passa une main sur mon ventre jusqu'à ce qu'elle le presse fermement contre mon monticule.
Une grande partie de moi voulait céder aux sensations et la laisser me prendre, mais je ne pouvais tout simplement pas. J'étais nerveuse à l'idée d'être avec une femme, mais j'avais aussi terriblement peur d'être surpris dans une position aussi compromettante au travail et de perdre mon emploi.
Au prix d'un grand effort, j'ai repoussé ses mains et je suis sortir de la pièce en disant :

— Je suis vraiment désolé, Diana !

Ce matin-là, je suis rentré chez moi lentement, voulant arriver après le départ de Kamel pour l'école. Je suis allé à la salle de bain et j'ai pris une longue douche chaude, essayant de me débarrasser de tous mes problèmes. En me savonnant la poitrine, je ne pouvais m'empêcher de me souvenir de la sensation des mains de Diana sur mes seins. Elle avait été si douce avec moi ; le moment était presque magique.
Après être sorti de la douche, je me suis essuyé et je me suis dirigé vers mon lit. Mon corps était toujours en train de picoter, certainement prêt à recevoir plus d'attention. J'ai attrapé la petite boîte à chaussures que je gardais cachée au fond du placard et j'ai sorti mon vibromasseur.
En dehors de mes propres doigts, c'était la seule chose qui était à l'intérieur de ma chatte depuis des lustres, et aujourd'hui, elle allait être mise à rude épreuve.
Je me suis allongée sur le lit et me suis prélassée dans la douceur des draps de coton contre ma peau nue. Mes doigts ont tordu la base de mon jouet pour l'allumer sur son réglage le plus bas, puis j'ai commencé à taquiner mes tétons avec la pointe, un à la fois. J'ai pensé à Diana une fois de plus alors que mes tétons durcissaient et je me suis demandé ce qu'elle m'aurait fait d'autre si elle en avait eu le temps. Je l'imaginais les frotter, puis se pencher pour les embrasser et les sucer.
Ma poitrine se soulevait et s'abaissait à chaque respiration profonde pendant que je travaillais mes tétons.
Le feu dans mes reins qui avait commencé plus tôt n'avait pas été éteint, alors j'ai fait courir le vibromasseur le long de mon ventre jusqu'à ce que je touche ma chatte. La pointe en plastique dur glissait facilement sur mes lèvres humides pendant que je caressais toute la zone, tirant des soupirs satisfaits de mes lèvres. Après seulement une minute ou deux, je ne pouvais plus attendre et j'ai inséré la fausse bite dans ma chatte.
Je tournai encore une fois la base et levai le jouet plus haut, ayant grand besoin de plus de stimulation.
Le sentant sonder mes entrailles, j'oubliai soudain Diana et imaginai à la place un jeune étalon glissant sa bite au plus profond de moi.
Mon esprit se tourna d'abord vers le docteur "Farrouk", un chirurgien que l'on voyait souvent à mon étage. Il était marié, mais la rumeur disait qu'il avait été avec la moitié du personnel. On disait à l'infirmerie qu'il était plutôt doué aussi. Je ne sais pour quelle une raison, à ce moment-là, je pensai soudain à Kamel. Mes yeux se dirigèrent rapidement vers la porte, ayant besoin de m'assurer que personne n'était là pour me regarder comme cela s'était produit.
Je fus soulagée de constater que j'avais bien fermé la porte.

J'essayai de recentrer mon imagination sur le docteur "Farrouk" une fois de plus, mais son visage continuait à se transformer lentement en celui de mon propre fils. Je fis de mon mieux pour lutter contre cette image, mais alors que je commençais à enfoncer et à retirer le vibrateur avec plus d'urgence, c'est le visage de Kamel que je voyais. Malgré moi, quand je jouis, je gémis :

— Oh Kamel !

Mes hanches se balançaient violemment alors que je laissais l’orgasme se prolonger le plus longtemps possible, avant de m’enrouler dans les draps, désespérée de trouver le sommeil.

Mon esprit était assez troublé les jours suivants. Il m’évitait toujours, ce qui était en fait normal étant donné que j’avais fantasmé sur lui à la fois dans mes rêves et quand je jouais avec moi-même. J’avais aussi honte de la façon dont j’avais abandonné Diana au travail.

Alors que j’étais allongée dans mon lit un soir sans sommeil, je repensais à ce que mon fils avait demandé.
Est-ce que cela serait vraiment si terrible ?
Après tout, il m’avait déjà vue une fois... Me voir une deuxième fois pourrait-elle empirer les choses ?
Sur le champ, j’ai pris ma décision. Je le ferais pour lui, mais avec deux réserves qu’il devait expressément accepter !

Alors que je préparais le dîner le lendemain soir, j’étais sur des charbons ardents.
J’ai bu un verre de vin pendant que je cuisinais, essayant de calmer mes nerfs à vif.
J’allais vraiment le faire !
Pendant que nous mangions, j'ai encore reçu le traitement du silence (comme d'habitude).
Quand il eut presque fini son assiette, j'ai pris quelques respirations profondes et j'ai dit :

—Kamel... j'ai quelque chose dont je dois te parler !

Il n'a rien dit, mais a simplement roulé des yeux.

"Ah ces ados !"

J'ai pris une longue gorgée de mon vin et j'ai demandé :

— Tu sais ce que tu m'as demandé de faire ? Ce que tu voulais voir ?

Je l'ai immédiatement vu se redresser et me regarder intensément. Il était clair que son intérêt était piqué et il voulait en savoir plus alors qu'il hochait rapidement la tête.

— Eh bien, je suis prêt à le faire ! Ai-je dit aussi calmement que possible.

Et après une brève pause, j'ai ajouté :

— À deux conditions !

Les yeux de bambin s'écarquillèrent comme des plaques d'égout, alors qu'il était assis dans un silence stupéfait.

— Tu dois être d'accord avec tout ce que je te demande, ou sinon... Tu comprends ?

Il hocha à nouveau vigoureusement la tête, mais je lui ai dit que j'avais besoin de l'entendre accepter.

— Oui, je comprends ! Répondit-il avec enthousiasme.
— D'abord, c'est un événement unique. Cela n'arrive qu'une fois et nous n'en parlons plus jamais !

Je pris un peu de temps pour y réfléchir, tandis que Kamel se tenait droit sur sa chaise et écoutait attentivement.

— Deuxièmement, tu ne dois en aucun cas en parler à une autre âme vivante. PERSONNE !!! Dis-je en le regardant droit dans les yeux.
— D'accord, je suis d'accord ! Marmonna-t-il rapidement, hochant la tête comme une poupée à tête branlante.
— Je vais dans ma chambre, puis je vais prendre un long bain. Je veux que tu viennes dans ma chambre à 20h30, d'accord ?
— Bien sûr, maman... 20h30 ! Répondit-il avec enthousiasme.

Étais-je complètement folle ?
J'avais peut-être apprécié quelques verres de vin plus tôt, mais mon esprit était vif. Un dialogue continu se déroulait dans ma tête sans interruption. Parfois, j'écoutais la voix qui disait que c'était fou et que je devais arrêter les choses avant qu'elles ne deviennent incontrôlables. Mais à d’autres moments, une voix plus résolue m’a dit que c’était la seule façon d’avancer, alors j’avais besoin de me calmer et d’en finir.

Après être restée assise dans l’obscurité de ma chambre pendant ce qui m’a semblé être des heures, je me suis dirigée vers la baignoire et me suis versée un bain moussant chaud. Je me suis installée sous l’épaisse mousse et me suis détendue du mieux que j’ai pu compte tenu des circonstances.

En sortant de la baignoire, je me suis séchée avec un grand drap de bain, puis je me suis enveloppée dans mon épais peignoir en éponge. Comme il s’agissait d’un événement unique, je voulais le rendre mémorable. J’ai attrapé mon rasoir électrique et j’ai décidé de me tailler les poils, ce qui était bien trop tard. Je me suis souvenue de la façon dont toutes les playmates des magazines étaient magnifiquement taillées et sculptées en bas. Après avoir terminé la tâche, j’ai regardé ma chatte dans le miroir. Pas retouchée comme les filles de Playboy, mais j’ai adoré.

J’ai fait des allers-retours entre la commode et le placard en réfléchissant à ce que je devais porter. Évidemment, j’avais besoin de quelque chose qui me permettrait d’accéder à ma chatte pour me toucher, mais jusqu’à quel point voulais-je en montrer ? Je ne savais pas si je pouvais vraiment laisser Kamel voir ma chatte, peut-être juste un rapide aperçu sous une chemise de nuit ou une jupe.
J'ai opté pour une courte nuisette lavande que je n'avais pas portée depuis des lustres. C'était un cadeau de mon ex lors de notre dernière Saint-Valentin ensemble et qui était resté dans mon tiroir bien avant le divorce. Quand je me suis regardée dans le miroir, j'ai aimé ce que j'ai vu. C'était une petite nuisette sexy, mais plus classe que salope, quelque chose que je me sentais assez à l'aise de porter en présence de mon fils.

Peut-être que ce serait le bon moment pour vous parler de moi. Je mesure environ 1m65, j'ai des yeux noisettes et de longs cheveux châtains. J'ai une corpulence moyenne, des seins moyens et des fesses assez fermes. On m'a dit que j'étais assez attirante, mais je me décrirais plutôt comme une fille mignonne plutôt que sexy.
Je m'assis devant mon miroir de maquillage et ajoutai juste une touche de couleur à mon visage. Mes joues étaient rouges car j'attendais déjà avec anxiété ce qui allait arriver.
Après avoir arrangé mes cheveux, je regardai l'horloge et il était presque 20h30, alors je me levai et me dirigeai vers le lit.
Voulant avoir l'air sexy, je m'assis contre ma tête de lit, calée par quelques oreillers. J'étendis mes bras sur les oreillers, essayant de mon mieux de ressembler à une vampire des films que j'avais vus quand j'étais plus jeune.
Mon pouls s'accéléra alors que j'attendais l'arrivée de mon garçon.

À huit heures et demie exactement, on frappa doucement à ma porte. Les mots restèrent presque dans ma gorge, mais d'une manière ou d'une autre, je parvins à grommeler :

— Entrez !

Lentement, la porte s'ouvrit et mon fils entra. Il avança de quelques pas, puis se tint timidement près du pied du lit, l'air plus nerveux que moi. Je lui ai laissé le temps de glisser ses yeux sur mon corps pendant quelques instants, puis j'ai demandé :

— Alors, tu es d'accord avec tout ce que j'ai demandé ?

Kamel a hoché la tête et a répondu :

— Oui maman !

Même si j'avais décidé de le faire, la gravité de la situation ne m'a frappée qu'à ce moment précis : Mon fils voulait me regarder me masturber, et j'allais vraiment le faire.
Soudain, j'ai senti une pression dans ma poitrine et une légère sueur a commencé à perler sur tout mon corps. J'ai dû prendre quelques grandes respirations avant de lui dire de s'asseoir sur le lit.

Il est resté assis à me regarder pendant un moment, je suis sûr qu'il s'attendait à ce que le spectacle commence, mais je n'avais pas vraiment réfléchi à la façon de procéder. Je veux dire :
Qu'est-ce qu'il s'attendait exactement à voir ?
Je l'ai regardé à nouveau, mais cela ne m'a rendu que trop nerveux, alors j'ai fermé les yeux et j'ai déplacé mes mains sur mon ventre.
Je n'avais jamais fait ça avant, même pas pour son père, alors j'ai pensé que je commencerais lentement et que je verrais où les choses allaient.
Très doucement, je commençai à caresser mon ventre avec mes deux mains, et les déplaçai progressivement de haut en bas sur mon torse. Après avoir joué la taquine pendant un moment, je passai mes mains sur mes seins et les pris dans le tissu fin de la chemise de nuit. Mes doigts pétrirent légèrement la chair douce avant de toucher mes mamelons durs. Il était impossible d'échapper au fait que j'étais déjà très excitée.
Mon esprit s'emballa tandis que je me demandais ce que mon fils pouvait bien penser.
Était-il excité par mon spectacle ?
Ou était-il dégoûté que sa mère puisse faire quelque chose d'aussi ouvertement sexuel ?
Mes yeux étaient restés fermés tout le temps, mais je me devais de voir l'expression sur son visage.
Lorsque je les ouvris, je trouvai Kamel qui me regardait intensément. Il y avait un air d'émerveillement sur son visage, et non pas de dégoût.
Je ne pus m'empêcher de jeter un coup d'œil à son entrejambe et de découvrir une bosse étonnamment grosse dans son jean. Mon petit garçon était excité, ce qui me fit frissonner.

J'étais là, en train de me toucher, pour le bien de mon fils rien de moins. Soudain, mes inhibitions semblèrent s'envoler par la fenêtre, et je voulais lui offrir un bon spectacle.

Je commençai à faire rouler mes tétons entre mes doigts, tout en le regardant droit dans les yeux. De temps en temps, je les tirais ou les pressais, ce qui me faisait gémir assez fort pour qu'il m'entende. Quand j'avais décidé de faire ça pour lui, j'envisageai de le laisser me voir nue, mais je pensais que les chances étaient presque nulles que je le fasse vraiment... Pourtant, à ce moment-là, j'étais impulsivement déterminée à le laisser me voir dans toute ma gloire.
Très lentement, je glissai une main sur mon épaule et descendis la bretelle spaghetti le long de mon bras. Le regardant intensément, je fis la même chose de l'autre côté. La nuisette resta en place, s'accrochant à ma poitrine au mépris de la gravité.
Pas un mot n'avait été prononcé depuis des minutes, quand je brisai finalement le silence en disant :

— Veux-tu les voir ?

Je ne pensais pas que le visage de Kyle pouvait être plus rouge, mais j'avais tort. Alors qu'une teinte cramoisie envahissait son visage, il répondit doucement :

— Ouiiiiii !

Très sensuellement, je remis mes doigts sur ma poitrine et les fis glisser d'avant en arrière sur le tissu soyeux. Je les enroulai ensuite juste sous la couture de la dentelle et tirai lentement vers le bas. Pouce par pouce, je laissai tomber la nuisette jusqu'à ce que mes seins soient complètement visibles.

Kamel avait l'air stupéfait alors qu'il s'imprégnait sans gêne de la vue de mes seins dégagés. On m'a toujours dit que mes seins étaient beaux, et à en juger par l'expression de son visage, mon fils le pensait aussi.
Mes seins de 90 B étaient encore assez fermes et étaient coiffés de jolis mamelons roses, qui étaient durs comme des petits cailloux à ce moment-là.
Je pris mes seins une fois de plus en coupe et commençai à jouer avec eux. Le regardant dans les yeux, je lui demandai :

— Est-ce que tu les aimes, chéri ?

Il ne dit pas un mot mais hocha simplement la tête abondamment. Je le vis ajuster sa position assise, j'étais sûre que c'était à cause du membre raide qui encombrait son pantalon de manière obscène. Un frisson pervers parcourut mon corps, sachant que j'étais la raison de son état.

Mon corps était en feu et je savais qu'un orgasme ne pouvait pas être loin. Je passai une main de ma poitrine sur mon ventre, jusqu'à ce que je prenne mon monticule. Je pressai fermement mes doigts dans mon entrejambe, savourant à la fois la sensation que j'éprouvais et le regard sur le visage de mon fils. Je ne pus m'empêcher de gémir tandis que mes doigts parcouraient le tissu doux recouvrant ma chatte chaude et humide. Je m'effondrai plus bas dans le lit et traînai lentement mes pieds jusqu'à mes fesses. Avec le sourire le plus sexy que je pouvais rassembler, j'écartai mes genoux, jusqu'à ce que je sois largement écartée pour son regard. La nuisette et ma main couvraient toujours mon aine, mais il ne restait plus grand-chose à son imagination.
Enhardie par ma question précédente et me sentant un peu coquine, je demandai :

— Alors, tu veux voir en bas ?

En fait, je l'ai entendu aspirer de l'air, avant de haleter timidement :

— Oui !
— Je le pensais bien, murmurai-je avec un clin d’œil, tandis que je retirais ma main de mon entrejambe pour saisir l’ourlet de la nuisette.

Très lentement, je relevai la robe jusqu’à ce que ma chatte soit complètement révélée. Je baissai les yeux sur ma chatte magnifiquement taillée et découvris que mes lèvres étaient gonflées d’excitation et couvertes d’un éclat de rosée. Je n’avais jamais vraiment trouvé cette partie de mon corps particulièrement sexy auparavant, mais soudain, je trouvai qu’elle avait l’air vraiment chaude. J’étais comme les femmes de ces magazines, mais seulement que là... C'est la vraie vie !

Mes lèvres étaient trempées et très chaudes tandis que je passais légèrement mes doigts de haut en bas sur ma fente. J’étais prête à exploser avec un orgasme à tout moment, alors je décidai de ralentir un peu les choses. Sachant que Kamel n’avait jamais vu une femme de cette façon auparavant, l'infirmière intérieure décida de lui donner une leçon d’anatomie. Je me disais que si quelqu’un découvrait un jour ce qui s’était passé entre nous, je pourrais insister sur le fait que ce n’était qu’un cours d’éducation sexuelle.

Avec mes pieds relevés comme ils l'étaient, il y avait un grand espace entre rejeton et moi, alors je lui ai demandé de se rapprocher.
Alors qu'il glissait vers moi, ses mains couvraient son aine ; essayant de cacher son excitation. Je suis sûre que ce n'était pas très érotique, mais une partie de moi voulait le taquiner pour prolonger les choses. J'ai utilisé mes doigts pour me maintenir ouverte en montrant les différentes parties de la forme féminine. J'ai intentionnellement laissé le clitoris pour la fin et je lui ai donné le nom de ses merveilles tout en me caressant doucement. Mon corps entier tremblait littéralement d'excitation quand j'ai dit :

— Si tu veux rendre une femme folle, lèche-la ici !

Mon bref tutoriel enfin terminé, je me suis détendue sur les oreillers et j'ai commencé à me frotter sérieusement. Ce n'était plus une leçon pour mon fils ; c'était le moment pour la maman de se faire plaisir. Je n'ai pas pu m'en empêcher alors que je déplaçais un pied vers la cuisse de Kamel et commençais à la caresser avec mes orteils pendant que je me doigtais. Un instant plus tard, j'ai explosé avec un jet sur mes doigts sondeurs.

Mon corps a tremblé de spasmes si fort et pendant si longtemps que j'ai eu peur de me froisser un muscle de l'abdomen. Alors que mon esprit s'éclaircissait, je me suis rendu compte que je balançais toujours lentement mon cul entre mes doigts. Quand j'ai levé les yeux, j'ai trouvé Kamel qui me regardait avec une intensité qu'il n'avait même pas montrée lorsqu'il était sur ses jeux vidéo adorés.

Toujours dans un état d'excitation accru, j'ai regardé son aine pendant un moment, puis j'ai levé les yeux vers lui. Je pouvais lire son l'expression de malaise sur son visage qu'il savait ce que j'avais vu, alors je lui ai lancé un sourire rassurant et j'ai dit :

— Ça doit faire mal bébé ! Pourquoi ne l'enlèves-tu pas ?

Les yeux de mon beau gosse se sont écarquillés, comme choqué par ma déclaration. J'étais sûr qu'il était toujours vierge, donc c'était un moment décisif pour lui. Il y avait une tension évidente inscrite sur son visage, alors je l'ai encouragé. De mon ton le plus apaisant, je lui ai dit :

— Sors-le-moi, maman veut le voir !

Il a gémi à haute voix, mais n'a pas bougé d'un muscle, alors j'ai murmuré :

— Tout va bien... Ce soir, il n'y a que toi et moi... Ne sois pas timide.

Très lentement, la main de Kamel se dirigea vers le devant de son jean et commença à frotter son impressionnant renflement. J'étais sûre qu'il était sur le point de jouir dans son pantalon mais je ressentis un soulagement lorsqu'il bougea ses doigts pour ouvrir son jean et glissa sa main à l'intérieur. Il tâtonna un moment, puis sortit sa bite dans la douce lumière de ma chambre.
Dire que j'étais abasourdie serait un euphémisme.
Bien que pas très épaisse, la bite de mon fils devait mesurer vingt centimètres de long. Je me demandais comment je ne l'avais jamais remarquée auparavant et comment les filles de l'école n'étaient pas toutes sur mon petit garçon.
Je me suis retrouvée à saliver en la regardant dans toute sa gloire érigée pour la première fois, pensant qu'elle avait la taille absolument parfaite pour se faire sucer. Faire une fellation était l'une de mes anciennes spécialités, et cette longue et étroite épée semblait parfaite pour être avalée.

Lorsque j'ai regardé à nouveau le visage de mon gamin, j'ai pu voir l'incertitude dans ses yeux. Toute la posture de son corps disait : «Et maintenant, maman... Que fait-on ?»
Je lui ai adressé un doux sourire et lui ai dit :

— Vas-y, touche-le pour moi.

Apparemment, l’incertitude s’est rapidement dissipée, car la main de Kamel s’est dirigée vers son entrejambe et il a commencé à se caresser avec vigueur. Il semblait avoir du mal à frotter sa bite encore partiellement coincée dans les limites serrées de son jean, alors je lui ai dit de l’enlever. Il semblait réticent à libérer son membre dur, mais il s’est levé et a baissé son pantalon et son short et les a chassés sans ménagement d’un coup de pied. Sans qu’on lui ait demandé, il a également retiré son t-shirt et l’a également jeté. J’avais du mal à croire que mon fils de dix-huit ans était complètement nu devant moi.

Il s’est rassis sur le lit et a commencé à se branler furieusement. Mon corps était en feu alors que je regardais sa démonstration obscène. Je voulais qu’il profite du moment autant que moi, alors j’ai ordonné :

— Doucement, chéri... Vas-y doucement.

La main de mon gamin 0a commencé à ramper de haut en bas sur son manche, mais je pouvais voir l’urgence dans ses yeux. Je commençai à enfoncer trois doigts dans ma chatte, en parfaite synchronisation avec la paume glissante de mon fils. Il était évident qu'il était proche de l'orgasme, et je voulais jouir avec lui. Je pouvais entendre sa respiration s'accélérer alors qu'il aspirait de l'air, et je savais que j'allais voir du jus jaillir de sa bite dure comme du roc.

— C'est bon bébé, laisse-toi aller ! Gémis-je en me doigtant rapidement.

Il commença à caresser la bite si rapidement que sa main était floue. Quelques secondes plus tard, je regardais des rafales de sperme jaillir de sa queue, éclaboussant en cordes sa poitrine et son abdomen. Je n'avais jamais rien vu d'aussi ouvertement sexuel et je jouis une fois de plus sur mes doigts moteurs.

Je n'ai aucune idée du temps qu'il a fallu avant que mon esprit ne revienne au présent, mais quand je l'ai fait, je nous ai trouvés tous les deux à bout de souffle. Kamel s'était effondré sur mon lit, épuisé, tandis que ma tête reposait sur les oreillers, aussi faible qu'une poupée de chiffon.

Aucun de nous deux n'a dit un mot pendant un long moment, j'étais sûrement à la fois stupéfaite, excitée et embarrassée par ce qu'il venait de se passer. Kamel semblait trop faible pour bouger, alors j'ai décidé d'être la mère et de prendre le contrôle. J'ai tiré les deux bretelles sur mes épaules et j'ai ajusté la chemise de nuit sur ma poitrine. Je me suis levée sur des jambes tremblantes et je me suis dirigée vers la salle de bain, où j'ai attrapé deux gants de toilette. J'en ai trempé un dans de l'eau chaude, puis je l'ai essoré, avant de retourner dans ma chambre.

Mon gamin était toujours allongé sur le dos sur mon lit, et je ne pouvais m'empêcher de penser à quel point il était beau mais vulnérable à ce moment-là. Mon instinct maternel a pris le dessus et je suis tombée à genoux sur le sol à côté de lui. Il était à nouveau mon petit garçon et je devais prendre soin de lui.

Il avait l'air nerveux lorsque j'ai laissé tomber le chiffon humide sur sa poitrine et j'ai commencé à essuyer doucement les flaques de sperme. J'ai passé la serviette sur sa poitrine ferme, puis je l'ai déplacée vers le bas pour laver le sperme de son abdomen. Mes yeux étaient rivés sur la bite à moins de trente centimètres de mon visage, et très lentement, je passai le gant de toilette encore plus près. J'avais presque l'impression de vivre une expérience "hors norme" lorsque j'enroulais le gant autour de son pénis flasque, le capturant fermement entre mes doigts.

Même si j'avais joui deux fois, tenir la bite de mon fils dans ma main envoyait un picotement dans tout mon corps. Ce n'était plus l'enfant que j'avais baigné dans l'évier de la cuisine des années auparavant, mais un homme. Je passai lentement le tissu humide de haut en bas de sa tige, puis le remplaçai par le gant sec. Je séchai son entrejambe, puis frottai jusqu'à sa poitrine pour le sécher.

Je m'assis sur le lit à côté de lui et le regardai profondément dans les yeux. Kamel avait l'air si penaud, comme s'il avait fait quelque chose de mal, alors je l'attrapai et le pris dans mes bras.

— Tu n'as pas à avoir honte, chéri ! Murmurai-je à son oreille en caressant la peau douce de son dos.

Nous nous sommes serrés l'un contre l'autre pendant cinq bonnes minutes, jusqu'à ce que je me sente soudainement assez gênée d'être si proche. Je me suis un peu reculée pour le regarder dans les yeux, puis je lui ai donné un doux baiser sur les lèvres.

— Tu devrais aller te reposer maintenant ! Ai-je murmuré doucement, et il a simplement hoché la tête en signe d'assentiment.

Alors que je le regardais ramasser son pantalon, il était évident que ce garçon était à nouveau dur.
Je me sentais coupable de le renvoyer dans sa chambre dans un tel état de surchauffe, mais je pensais qu'il serait certainement capable de prendre soin de lui-même dans l'intimité de sa propre chambre. Touchée par une grande sympathie, je lui ai dit inexplicablement :

— Kamel... Souviens-toi, ça reste entre nous !!
— Oui, maman ! A-t-il répondu, épuisé par l'émotion, l'air aussi heureux qu'un chiot.

Je lui ai fait un doux sourire et j'ai dit :

— Eh bien, bonne nuit, mon chaton !
— Bonne nuit, maman !

Quand je me suis réveillée le lendemain matin, je me sentais plus reposée que je ne l’avais été depuis longtemps. Cependant, j’avais vraiment peur de ce que mon fils pourrait me faire.
Kamel me respecterait-il toujours en tant que mère ?
Ou me verrait-il comme une sorte de catin pour ce que j’avais fait ?
J’ai espéré le meilleur en sortant du lit et en enfilant mon peignoir.

En descendant le couloir, l’odeur du café fraîchement préparé m’a envahi le nez. Quand je suis arrivée dans la cuisine, je m’attendais à trouver mon fils, mais au lieu de cela, la pièce était vide. Il a laissé un petit mot sur la table, me faisant savoir qu’il devait partir pour le lycée, qu'il y avait du café chaud dans la cafetière, ainsi qu’un smoothie aux fruits frais dans le réfrigérateur pour moi.

Honnêtement, j’étais très touchée. C’était peut-être sa façon de se rattraper pour avoir été si ingrat ces derniers mois, ou peut-être qu’il avait apprécié le moment intime qu'on avions vécu et que c’était sa façon de me remercier.
Quoi qu’il en soit, j’étais heureuse. Malgré toute mon appréhension à l’idée de lui faire un spectacle, les premiers résultats semblaient positifs.

J’étais également très satisfaite du comportement de mon filston les jours suivants. Il était extrêmement attentif à moi, il ne parla jamais ce que nous avions partagé ni ne demanda une nouvelle tentative. Non pas que l’idée ne me plaisait pas, car honnêtement, il m’était difficile de penser à autre chose. J’essayais de ne pas le taquiner, mais je sentais une telle énergie sexuelle autour de lui qu’il était difficile de ne pas me mettre en valeur un peu.

Quelques jours plus tard, au travail, Diana s’approcha de moi pour me demander comment les choses se passaient à la maison. Je lui ai dit que tout allait beaucoup mieux... Elle avait l’air déçue. Au fond, je pouvais dire qu’elle espérait que les choses allaient toujours mal pour pouvoir à nouveau m'offrir un soutien intime. Je me sentais un peu coquine, alors je l’ai prise dans mes bras et j’ai écrasé mes seins contre les siens. Juste avant de rompre notre étreinte, je lui ai murmuré à l’oreille :

— Merci de t'être inquiétée pour moi !

En m’éloignant, j’ai intentionnellement fait bouger mes hanches en espérant qu’elle regardait. Mon Dieu, je me sentais super sexy !

Quelques jours plus tard, Kamel et moi regardions un film à la télé et les choses à l'écran sont devenues assez épicées entre les personnages principaux. Bien qu'ils soient sous les couvertures, il était clair qu'ils simulaient des rapports sexuels. Je me sentais extrêmement excitée et je me demandais si mon garçon l'était aussi. J'ai jeté un coup d'œil et n'ai pas pu m'empêcher de regarder son entrejambe. Je n'ai pas été surprise de voir une grosse bosse et j'ai su qu'il appréciait la scène autant que moi.

À la fin du film, je me suis levée et je me suis dirigée vers ma chambre, mais je me suis arrêtée après quelques pas. Je me suis retournée pour regarder mon fils et j'ai dit :

— Je pense que je vais prendre un bain !

Après une pause, j'ai demandé :

— Veux-tu venir dans ma chambre un peu avant d'aller te coucher ?

Kamel a hoché la tête rapidement, en disant :

— Bon sûr que oui, ma maman chérie !

Fin

Les avis des lecteurs

merveilleuse histoire d'une mère avec son enfant. Magnifique

Une suite verra le jour très bientôt !

Histoire Erotique
Quel plaisir de lire cet écrit qui est une agréable formation pour ce jeune homme, fusse t il son fils, vivement la suite

Daniel, cela m'honore d'être confondu avec Linsee, car perso, je l'admire aussi "fort" que vous !

Histoire Erotique
Oups désolé Tamis mais je pense que Linsee aurait pu écrire un aussi beau texte DANIEL

Histoire Erotique
Bravo Linsee encore une merveilleuse histoire très bien écrit avec de nombreux détails qui m’on comblé de plaisirs la maman qui doucement offre à son fils un agréable spectateur lui donne un cour d’anatomie amoureux et la fin qui nous ouvre toutes les possibilités de suite allant vers l’inceste. DANIEL

Merci de m'avoir donné votre avis !

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HONTEUX...



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