Cela reste en famille

Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 327 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de linsee ont reçu un total de 1 668 721 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 4 972 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Cela reste en famille
Lucette et son mari Marcel mariés depuis longtemps. Ont deux enfants, deux jumeaux de dix-huit ans, une fille Marianne qui n'est pas une sainte d'après les on-dit, et Justin le garçon.
Leur grosse propriété bien cachée par de hautes haies, possède une piscine.
Comme c'est les vacances, ils profitent du soleil, et déjeunent sous un olivier. Marcel et Lucette abusent du rosé. C'est un peu grisée, qu'une fois le repas terminé, Lucette en maillot deux pièces très ajusté, slip taille va s'étendre sur une serviette non loin de la piscine.
Ses deux enfants s'ébattent dans l'eau, Marianne porte un joli bikini, qui lui entre dans les fesses, comme pour les séparer. Justin un maillot qui lui arrive mi- ventre. Marcel reste un moment dans un fauteuil en osier genre Emmanuelle, en buvant encore. Il regarde sa femme rôtir au soleil, il secoue la tête négativement en se resservant un autre verre. Ses enfants rient à tue tête en jouant en s'éclaboussant et en faisant des sprints.
Marcel presque ivre, décide de piquer une tête dans l'eau. Il n'a pas le courage de monter chercher son maillot de bain, il décide de se mettre nu. Il avance en titubant vers la piscine. Ses enfants cessent de jouer en le voyant arriver.
Marianne regarde la verge balancer sur le bas-ventre de son papa, le bougre est monté comme un âne. Son engin frappe ses cuisses à chacun de ses pas. Marianne ne le quitte pas des yeux. Enfin Marcel saute dans l'eau en éclaboussant tout le monde, il fait quelques brasses, rapidement essoufflé, il rejoint sa fille qui est accrochée au bord du bassin. Il s'accroche à elle la serre très fort en lui disant :
-Alors ma princesse prête pour faire une course avec son vieux papa !
Tout en agitant son bassin contre les fesses, le bougre lui mordille l'oreille. Marianne sent contre son fessier la verge de son papa prendre du volume, vicieusement, elle ondule de la croupe. le papa s'accroche à ses hanches et donne quelques coups de reins comme pour la pénétrer. La coquine se retourne brusquement et entraine son papa sous l'eau. Elle ressort en riant et dit :
-Alors on la fait cette course !
La jeune fille plus véloce que son papa gagne aisément. Ils recommencent encore. Pendant ce temps Justin va rejoindre sa maman. Il l'observe un long moment, il admire ses fesses bien rebondis, avant de s'étendre à coté d'elle. Epuisé, Marcel renonce, il sort de l'eau, sa fille fait de même, il reste un moment assit sur le bord du bassin pour reprendre son souffle. Marianne passe derrière lui, il se retourne et la regarde s'éloigner. Elle se déhanche comme un félin son maillot ressemble à un string, il à disparu entre ses fesses. Elle s'allonge sur une serviette en posant la tête sur ses avant bras.
Marcel à les yeux presque exorbités, matte le cul de sa fille comme jamais il ne l'a fait. Il se lève et va se mettre juste à côté d'elle, il lui dit :
Je vais te mettre de la protection solaire, ma princesse tu vas avoir un coup de soleil. Il saisit le tube, fait gicler sur le dos de sa fille le produit. Il commence à étaler la pommade , sur les épaules, puis descend lentement sur le dos, il frotte les reins longuement, puis ose passer le produit sur les fesses que la maillot ne cache pas. Il en profite pour les masser, il enfonce ses doigts dans la chair en faisant cabrer sa fille.
Les doigts s'engagent dans le large sillon, passent plusieurs fois sur le muscle rectal, Marianne soupire profondément. Comme elle ne réagit pas. Il appuie son doigt sur le tissu à hauteur de l'anus. Sa fille se raidit, un petit morceau de tissu s'enfonce légèrement dans son anus. Marianne se cambre un peu plus. Le papa intrépide, écarte le tissu et admire le petit œillet que le bougre aimerai forer avec sa queue.
Vicieusement, il fait gicler de la pommade sur l'anus et avec le bout du doigts le badigeonne longuement. La queue de Marcel ce dresse doucement, il ne peut pas cacher son érection. L'alcool le fait agir, Il se met a cheval sur les cuisses de sa fille. Elle ne bronche pas, elle croit que son papa prend une meilleure position pour la frictionner. Lentement le vicieux avance sa verge et la pose sur le petit anneau. Il fait quelques poussées, l'anneau résiste. Marianne pousse de gros soupirs, mais ne proteste pas. Cela encourage son papa qui pousse plus fort. Le gland force et en le dilatant commence à s'engager. La douleur est insoutenable. Marianne se débat, elle réussit à basculer son papa, et se met rapidement sur le dos.
Marcel ne désarme pas, il pommade le torse et le ventre de sa fille, qui voit l'engin dressé. Elle écarquille les yeux, le mandrin est secoué de soubresauts, quelques perles de rosée sont expulsées du méat. Marcel lui enduit les cuisses de produit, il masse une cuisse après l'autre comme par miracle il se retrouve a genoux entre les cuisses de sa fille, il s'assied sur ses talons et commence à frotter l'estomac et le ventre ses mains enduites de produit glissent sur le tissu remonte sur la taille fait quelques massages.
Le maillot est si étroit qu'il laisse voir une petite partie de la toison, que Marcel soupçonne de soyeuse tout en frottant le ventre au niveau du nombril. le papa écarte doucement le maillot et découvre la jeune vulve, qui étrangement suinte. Il ravale sa salive, et en approche doucement son engin, avec audace ou inconscience, il le pose sur la fente. Marianne soupire profondément.
Elle regarde son papa droit dans les yeux. le bougre pousse doucement, son gland écrase les grandes lèvres et s'engage très lentement dans le fourreau de chair. Marianne grimace, mais ne repousse pas l'agresseur. Lentement la verge tendue au maximum, pénètre millimètre par millimètre le sanctuaire qui s'ouvre difficilement tellement le membre est gros.
Marcel tire sur le haut des cuisses de sa fille, sa verge s'enfonce profondément dans le ventre, elle pousse un gémissement en serrant les dents. Le papa se remet sur les genoux, et en s'accrochant aux hanches de sa fille commence eu lent va-et-vient. Marianne ne peut retenir ses gémissements. Son frère relève la tête, et ce qu'il voit le fait blêmir. Il voit la bite de son papa voyager dans le ventre de sa propre fille. Justin pose sa main sur les fesses de sa maman et inconsciemment les malaxe. Cela réveille la maman qui se demande ce qui se passe. Elle tourne la tête et voit son mari besogner sa fille. Elle se met sur les dos et prend appuie sur ses coudes elle dit :
-Marcel tu es fou, qu'est-ce que tu fais, tu baises ta fille espèce de salaud !
Marcel ne l'entend pas, Marianne l'ignore, elle agite son bassin en cherchant son plaisir. Ses râles rauques, font tressaillir sa maman. Elle voudrai intervenir mais quelque chose l'en empêche. Justin profite de cet instant l'hésitation pour plaquer sa main sur l'entrejambes de sa maman. Lucette se cabre, et saisit la main de son fils qui appuie sur sa vulve, et la bloque fermement. Elle regarde Justin en le foudroyant du regard, elle écarquille les yeux, en voyant l'énorme bosse qui déforme son slip de bain. Elle se demande si elle rêve ou pas. Elle à immédiatement la réponde. Son fils lui saisit la main et la plaque sur ma grosse bosse. Lucette rougit et dit :
-Mais mon chéri, tu deviens fou toi aussi !
Sans l'écouter, il sort de son slip son engin gonflé de désir. Il dit avec une certaine autorité :
-Il baisse ma sœur, moi je veux baiser sa femme !
Lucette reste sans voix un moment, Justin la bascule sur l'herbe, comme il lui ne parvient pas à lui retirer le maillot, le coquin le déchire. sa maman se retrouve la chatte à l'air libre. Le fiston regarde longuement la grosse touffe se poil, qui cerne la fente aux lèvres bien épaisses.
La maman semble tétanisée, le fils rageur lui ouvre les cuisses, et plaque sa bouche sur la vulve. Il enfonce sa langue profondément dans le puits, et le fouille rageusement. Lucette tremble, elle semble soumise. Mais lorsque la bouche avide se pose sur son clito et l'aspire, elle marmonne :
-Non, non mon chéri pas ça, je suis ta maman, non, non, oui, oui bouffe la chatte a ta maman fait la jouir comme une chienne !
Pour Justin c'est gagné, il dévore la chatte avec une telle voracité que sa maman geint en agitant son bassin. De son côté, le papa défonce sa fille qui ne cesse de gémir :
-Oui, oui, papa défonce moi bien à fond, oh que ta bite est grosse, je la sent bien dans mon ventre, vas-y, vas-y oh comme c'est bon !
Une puissante décharge lui remplit le ventre, elle se cabre la douce chaleur de la semence la fait délirer, elle agite son bassin comme une forcenée. Le papa donne des coups de reins terribles, il grogne comme un fauve. Soudain, Marianne se cambre et explose elle souffle comme un dragon en continuant d'agiter son bassin. la bite paternelle voyage dans son ventre avec beaucoup moins de vitesse, elle gémit, s'agitant moins follement, elle dit :
-Oh comme c'est bon une bonne bite qui vous racle la chatte, continue papa, continue !
Maintenant c'est en douceur qu'il lui travaille le ventre, il lui dit à l'oreille :
-Ma princesse comme j'aimerai t'éclater la rondelle, elle est si étroite que j'en bave d'envie !
Marianne répond :
-Pas encore papa, baise-moi bien ma chatte, c'est trop bon !
Justin dévore la chatte à sa maman qui ne cesse de geindre. Son clito est devenu énorme, son jeune amant le suce comme un bonbon, en le mordillant de temps en temps. Lucette croit mourir de plaisir tellement elle trouve cela bon. Une première jouissance la fait cabrer, elle appuie sur la tête de son fils en geignant fortement. le coquin continue de lui dévorer le clito, il veut que sa maman explose encore une fois, mais elle lui dit :
-Baise-moi, mon chéri, viens dans maman lui éclater la chatte, viens, viens mon chéri !
Justin prend position entre les cuisses de sa maman en feu. Sa bite, qui n'a pas connue beaucoup de chatte, s'enfonce dans le ventre de sa maman qui pousse un long râle en délirant :
-Oui, oui, mon chéri oh comme ta bite est bonne, démonte maman vas-y,
vas-y !
Lucette surement encore sous l'effet du rosé, est comme hystérique, elle s'accroche à son fils en donnant de terribles coups de reins, elle sent les couilles de son fils lui frapper la chatte à chaque coup de pilon., elle hurle :
-Oh putain, oh putain défonce-moi le col de l'utérus, oh comme je sens bien ta bite l'écraser oui, oui c'est trop bon, tu rends folle ta maman mon chéri vas-y, vas-y !
Les deux amants sont déchainés, les coups de boutoir que se donnent les deux incestueux sont monstrueux, on entend bien le bruit des coups de reins. La bite vivace du jeune fiston ne tarde pas à éjaculer. C'est en grognant qu'il remplit le ventre de sa maman en furie, qui ne cesse de s'agiter comme une dingue. Il faut encore quelques minutes pour qu'elle hurle de jouissance. Les deux restent soudés sans faire de mouvement, en haletant.
Justin tout en restant emboité dans sa maman, lui arrache le soutien-gorge, et gobe l'un après l'autre les mamelons épais. Il suce et tète comme un enfant qui s'allaite. Lucette pâme de bonheur, la bouche de son fils, lui rappelle de bons souvenirs, elle lui caresse le dos pendant que le gredin lui dévore les mamelons. Elle recommence à agiter son bassin, en geignant faiblement.
Marcel, ne désarme pas, il fouraille le ventre de sa fille en donnant des coups de reins monstrueux, comme pour la traverser avec sa bite. Elle gémit en s'accrochant à son papa amant. La tension monte de quelques degrés, elle s'agite, pendant qui la défonce, d'un geste habile il lui baisse le soutien-gorge, et gobe un mamelon, ses seins sont menus mais les bouts très développés. Comme un affamé, Marcel suce et tète les bouts qui prennent encore du volume. Sur Marianne cela fait un effet terrible, elle tire en gémissant sur les hanches de son papa pour s'empaler au maximum.
Sa chatte regorge de sperme, la bite du papa coulisse aisément dans le conduit qu'une dilate, Marianne bien que très jeunes à connue pas mal d'amants mais le meilleur c'est son papa, elle est tellement heureuse qu'elle est prête à lui offrir la virginité de son anus. Elle grogne s'agite ses mamelons deviennent douloureux car le papa vorace ne les ménage pas. Soudain Marcel délaisse les mats de chair et accélère la pénétration, il est au bord de l'explosion. Il s'active comme un forcené, sa bite voyage sans relâche, dans le ventre de la jeunette gourmande.
Ce qui arrive rarement, les deux jouissent en même temps, leur jouissance est extraordinaire, leurs gémissements sont très sonores. Marcel se laisse tomber sur le torse de sa fille, les deux soufflent comme une forge.
Justin s'acharne sur les mamelons qui l'on nourri. Il les mordille, en faisant couiner sa maman et amante à la fois. Elle plane, encore grisée par l'alcool, elle reprend elle même le pilonnage de son ventre. Ses coups de reins sont violents, elle pousse un gémissement à chaque coup qu'elle donne. Puis c'est l'explosion, elle jouit en criant son plaisir.
Marcel les yeux vitreux regarde sa femme et lui dit :
-Il te défonce bien le gredin, tu jouis plus qu'avec moi hein, tu te régales cochonne !
Lucette presque dans le coma, pour le moment n'a pas la force de répondre. Elle reste étendue, avec planté en elle la bite de son fils. Marcel se retire, sa queue est gluante, il dit :
-Redonne-moi des forces ma princesse, je n'en ai pas finit avec toi !
Marianne se redresse est saisit la bite dégoulinante de sperme, elle la décalotte et gobe le gland épais. Elle le suce le tète, donne de grands coups de langue sur le gland en forme de champignon. Le papa grogne de plaisir, il bascule sa fille qui ne lâche pas sa prise, et se met tête bêche sur elle, il lui déchire le maillot et plaque sa bouche sur le fruit trop mûr qui rejette son jus. Les deux des dévorent, en se faisant grogner de plaisir, la jeune chatte est en feu. Le papa sait comment éteindre l'incendie, il joue de la bouche si bien que Marianne, se cambre pour jouir. Son cri surprend sa maman qui se redresse, pour voir ce qui se passe.
Elle voit les deux tête bêche, se faire un plaisir monstrueux. Comme prise de jalousie, elle repousse son jeune amant et ^rend ma même position que son mari, sur son fils. Elle dévore la queue de Justin en geignant, lui il lui gobe le clito, ce qui la fait encore gémir plus fort. sur la pelouse se n'est que gémissements et râles. Les quatre parviennent à jouir en peu de temps. Marcel demande une trêve.
Il prépare un petit en cas son oublier le rosé. Les femmes retirent les lambeaux de tissu qui restent accrochés à elles, Justin son slip. Les quatre sont totalement nus. Après avoir bu quelques verres, Lucette est son mari veulent se remettre à l'ouvrage. Marcel prend sa fille par la main, quelques mètres plus loin la couche sur le gazon. Il observe la fente garnie de fines lèvres bien dessinées, et de la fine toison luisante de sperme séché. Il passe ses doigts dessus, taquine le clito qui n'a pas encore dégonflé, le presse plusieurs fois, avant des faire descendre sa main jusqu'à la petite fleur.
Il appuie son majeur dessus, Marianne se cabre, la première phalange s'enfonce dans le conduit étroit. Seconde poussée suffit, pour faire disparait le doigt. Il est comme aspiré par l'anus, Marianne pousse un petit gémissement pendant la pénétration anale.
Ce conduit très étroit n'a jamais été visité, par un doigt autre que le sien. Quelques fois, la coquine se doigtée pas trop profond, juste pour connaitre d'autres sensations. Là, son papa lui a enfoncé entièrement le doigt dans le cul. Il fait quelques petits allers et retours, Marianne trouve cela agréable. Il lui murmure :
-Ma princesse, je vais te faire jouir du cul, tu verras c'est merveilleux, d'abord avec mes doigts, et après avec ma bite, elle va te donner des jouissances si fortes, que tu ne pourras les oublier, tu te mettras à pattes, une fois que je t'aurai bien ouvert le cul !
Marcelle, fouille en profondeur, son doigt tourne dans la gaine, en ne cessant de la ramoner. Il ajoute un second visiteur, et va le plus loin possible dans le rectum, qui commence légèrement à s'assouplir. La bougre lui travaille l'anus longuement, toujours en tournant ses doigts pendant le ramonage. Marianne geint de plaisir, elle agite sa croupe, c'est le signal qu'attendait son papa. Il lui fouille l'anus avec de plus en plus de violence, il réussit à mettre un troisième visiteur.
La douleur est faible, donc supportable. Marcel arrive à ses fins, sa fille en hurlant, jouit du cul pour la première fois de sa vie. Elle se met à quatre pattes. Marcel bande comme un cheval, il regarde un instant le trou qu'il vient de fouiller, puis plaque sa bouche dessus. sa fille pousse un gémissement en se cambrant davantage. La langue s'enfonce dans l'orifice rester entrouvert. Marianne défaille, croit mourir tellement cet attouchement, inconnu d'elle jusqu'à présent est merveilleux. Le papa fouille le petit trou le plus loin qu'il peut.
Sa langue agile descend, s'enfonce dans la chatte détrempée avant de remonter à l'anus. Les gémissements de Marianne sont bruyant une secousse, comme une décharge électrique lui traverse les entrailles. Une nouvelle jouissance du cul la fait cabrer. Enfin il place son gland bien décalotté contre la petite porte et pousse. Malgré que l'anus est assoupit, une douleur se fait ressentir. Marianne serre les dents grimace, mais irrémédiablement, la verge se son papa s'enfonce lentement dans son fondement.
Il ne cesse de pousser que lorsque son membre a pris possession des lieux. Des son côté, Justin fait subir à sa maman le même traitement anal. Mais ne grimace pas, habituée à ce genre de traitement, dont elle n'est pas adepte, elle l'accepte, car son mari en raffole. Son jeune enculeur; lui défonce le cul comme un sauvage. Marianne souffle comme un taureau, la bite puissante de son papa lui dilate la gaine, heureusement très extensible. Le ramonage augmente en intensité, au fil des minutes. Lentement, le rectum s'habitue au calibre de la verge, qui coulisse de mieux en mieux en lui.
La jeunette geint de plaisir, elle agite sa croupe, la pression monte dans son corps. La bite entre et ressort de son corps en prenant de la vitesse. Marcel grince des dents, il fore le petit cul étroit comme un malade. La bite bien enserrée par la gaine brulante, racle les parois sensibles en faisant couiner Marianne comme une bête malade. Le papa lui défonce le cul en donnant des coups de boutoir terribles. A chaque enfoncement, ses couilles frappent le cul de la fille qui ne cesse de geindre de plaisir. Un cri terrible retentît, Marianne jouit atrocement fort, c'est si intense qu'elle se laisse tomber sur l'herbe, en entrainant son papa dans sa chute. Mais le bougre bien accroché à elle, continue de lui dévaster le cul jusqu'à ce qu'il le remplisse de sa semence.
Lucette aussi jouit du cul, son bougre de fils lui laboure le rectum comme un pro de la sodomie. Il ne la libère que lorsqu'il lui vite ses couilles dans le cul. Les deux hommes se regardent, se comprennent, ils changent de partenaire. Les deux femmes subissent une deuxième sodomie aussi brutale que la première, mais leurs jouissances sont beaucoup plus fortes.
Dans la foulée, remontés comme jamais, les deux males en rut, font subir à Marianne sa première double. Pour elle c'est le summum du bonheur, les bites qui coulissent dans ses orifices, la font geindre comme une agonisante. Elle étrenne même une double anale et vaginale. Elle a plusieurs jouissances, elles sont exceptionnelles. C'est morte de plaisirs, et sans force qu'elle demande grâce.
Après avoir repris, des forces, Lucette, elle aussi à droit des doubles pénétrations.
Une fois dégrisés, les parents regrettent leurs délires sexuels, mais pas leurs enfants. Depuis ce jour, les orgies sont fréquentes. Marianne malgré son jeune âge n'aspire que d'avoir des bites dans tous les trous.
Leur grosse propriété bien cachée par de hautes haies, possède une piscine.
Comme c'est les vacances, ils profitent du soleil, et déjeunent sous un olivier. Marcel et Lucette abusent du rosé. C'est un peu grisée, qu'une fois le repas terminé, Lucette en maillot deux pièces très ajusté, slip taille va s'étendre sur une serviette non loin de la piscine.
Ses deux enfants s'ébattent dans l'eau, Marianne porte un joli bikini, qui lui entre dans les fesses, comme pour les séparer. Justin un maillot qui lui arrive mi- ventre. Marcel reste un moment dans un fauteuil en osier genre Emmanuelle, en buvant encore. Il regarde sa femme rôtir au soleil, il secoue la tête négativement en se resservant un autre verre. Ses enfants rient à tue tête en jouant en s'éclaboussant et en faisant des sprints.
Marcel presque ivre, décide de piquer une tête dans l'eau. Il n'a pas le courage de monter chercher son maillot de bain, il décide de se mettre nu. Il avance en titubant vers la piscine. Ses enfants cessent de jouer en le voyant arriver.
Marianne regarde la verge balancer sur le bas-ventre de son papa, le bougre est monté comme un âne. Son engin frappe ses cuisses à chacun de ses pas. Marianne ne le quitte pas des yeux. Enfin Marcel saute dans l'eau en éclaboussant tout le monde, il fait quelques brasses, rapidement essoufflé, il rejoint sa fille qui est accrochée au bord du bassin. Il s'accroche à elle la serre très fort en lui disant :
-Alors ma princesse prête pour faire une course avec son vieux papa !
Tout en agitant son bassin contre les fesses, le bougre lui mordille l'oreille. Marianne sent contre son fessier la verge de son papa prendre du volume, vicieusement, elle ondule de la croupe. le papa s'accroche à ses hanches et donne quelques coups de reins comme pour la pénétrer. La coquine se retourne brusquement et entraine son papa sous l'eau. Elle ressort en riant et dit :
-Alors on la fait cette course !
La jeune fille plus véloce que son papa gagne aisément. Ils recommencent encore. Pendant ce temps Justin va rejoindre sa maman. Il l'observe un long moment, il admire ses fesses bien rebondis, avant de s'étendre à coté d'elle. Epuisé, Marcel renonce, il sort de l'eau, sa fille fait de même, il reste un moment assit sur le bord du bassin pour reprendre son souffle. Marianne passe derrière lui, il se retourne et la regarde s'éloigner. Elle se déhanche comme un félin son maillot ressemble à un string, il à disparu entre ses fesses. Elle s'allonge sur une serviette en posant la tête sur ses avant bras.
Marcel à les yeux presque exorbités, matte le cul de sa fille comme jamais il ne l'a fait. Il se lève et va se mettre juste à côté d'elle, il lui dit :
Je vais te mettre de la protection solaire, ma princesse tu vas avoir un coup de soleil. Il saisit le tube, fait gicler sur le dos de sa fille le produit. Il commence à étaler la pommade , sur les épaules, puis descend lentement sur le dos, il frotte les reins longuement, puis ose passer le produit sur les fesses que la maillot ne cache pas. Il en profite pour les masser, il enfonce ses doigts dans la chair en faisant cabrer sa fille.
Les doigts s'engagent dans le large sillon, passent plusieurs fois sur le muscle rectal, Marianne soupire profondément. Comme elle ne réagit pas. Il appuie son doigt sur le tissu à hauteur de l'anus. Sa fille se raidit, un petit morceau de tissu s'enfonce légèrement dans son anus. Marianne se cambre un peu plus. Le papa intrépide, écarte le tissu et admire le petit œillet que le bougre aimerai forer avec sa queue.
Vicieusement, il fait gicler de la pommade sur l'anus et avec le bout du doigts le badigeonne longuement. La queue de Marcel ce dresse doucement, il ne peut pas cacher son érection. L'alcool le fait agir, Il se met a cheval sur les cuisses de sa fille. Elle ne bronche pas, elle croit que son papa prend une meilleure position pour la frictionner. Lentement le vicieux avance sa verge et la pose sur le petit anneau. Il fait quelques poussées, l'anneau résiste. Marianne pousse de gros soupirs, mais ne proteste pas. Cela encourage son papa qui pousse plus fort. Le gland force et en le dilatant commence à s'engager. La douleur est insoutenable. Marianne se débat, elle réussit à basculer son papa, et se met rapidement sur le dos.
Marcel ne désarme pas, il pommade le torse et le ventre de sa fille, qui voit l'engin dressé. Elle écarquille les yeux, le mandrin est secoué de soubresauts, quelques perles de rosée sont expulsées du méat. Marcel lui enduit les cuisses de produit, il masse une cuisse après l'autre comme par miracle il se retrouve a genoux entre les cuisses de sa fille, il s'assied sur ses talons et commence à frotter l'estomac et le ventre ses mains enduites de produit glissent sur le tissu remonte sur la taille fait quelques massages.
Le maillot est si étroit qu'il laisse voir une petite partie de la toison, que Marcel soupçonne de soyeuse tout en frottant le ventre au niveau du nombril. le papa écarte doucement le maillot et découvre la jeune vulve, qui étrangement suinte. Il ravale sa salive, et en approche doucement son engin, avec audace ou inconscience, il le pose sur la fente. Marianne soupire profondément.
Elle regarde son papa droit dans les yeux. le bougre pousse doucement, son gland écrase les grandes lèvres et s'engage très lentement dans le fourreau de chair. Marianne grimace, mais ne repousse pas l'agresseur. Lentement la verge tendue au maximum, pénètre millimètre par millimètre le sanctuaire qui s'ouvre difficilement tellement le membre est gros.
Marcel tire sur le haut des cuisses de sa fille, sa verge s'enfonce profondément dans le ventre, elle pousse un gémissement en serrant les dents. Le papa se remet sur les genoux, et en s'accrochant aux hanches de sa fille commence eu lent va-et-vient. Marianne ne peut retenir ses gémissements. Son frère relève la tête, et ce qu'il voit le fait blêmir. Il voit la bite de son papa voyager dans le ventre de sa propre fille. Justin pose sa main sur les fesses de sa maman et inconsciemment les malaxe. Cela réveille la maman qui se demande ce qui se passe. Elle tourne la tête et voit son mari besogner sa fille. Elle se met sur les dos et prend appuie sur ses coudes elle dit :
-Marcel tu es fou, qu'est-ce que tu fais, tu baises ta fille espèce de salaud !
Marcel ne l'entend pas, Marianne l'ignore, elle agite son bassin en cherchant son plaisir. Ses râles rauques, font tressaillir sa maman. Elle voudrai intervenir mais quelque chose l'en empêche. Justin profite de cet instant l'hésitation pour plaquer sa main sur l'entrejambes de sa maman. Lucette se cabre, et saisit la main de son fils qui appuie sur sa vulve, et la bloque fermement. Elle regarde Justin en le foudroyant du regard, elle écarquille les yeux, en voyant l'énorme bosse qui déforme son slip de bain. Elle se demande si elle rêve ou pas. Elle à immédiatement la réponde. Son fils lui saisit la main et la plaque sur ma grosse bosse. Lucette rougit et dit :
-Mais mon chéri, tu deviens fou toi aussi !
Sans l'écouter, il sort de son slip son engin gonflé de désir. Il dit avec une certaine autorité :
-Il baisse ma sœur, moi je veux baiser sa femme !
Lucette reste sans voix un moment, Justin la bascule sur l'herbe, comme il lui ne parvient pas à lui retirer le maillot, le coquin le déchire. sa maman se retrouve la chatte à l'air libre. Le fiston regarde longuement la grosse touffe se poil, qui cerne la fente aux lèvres bien épaisses.
La maman semble tétanisée, le fils rageur lui ouvre les cuisses, et plaque sa bouche sur la vulve. Il enfonce sa langue profondément dans le puits, et le fouille rageusement. Lucette tremble, elle semble soumise. Mais lorsque la bouche avide se pose sur son clito et l'aspire, elle marmonne :
-Non, non mon chéri pas ça, je suis ta maman, non, non, oui, oui bouffe la chatte a ta maman fait la jouir comme une chienne !
Pour Justin c'est gagné, il dévore la chatte avec une telle voracité que sa maman geint en agitant son bassin. De son côté, le papa défonce sa fille qui ne cesse de gémir :
-Oui, oui, papa défonce moi bien à fond, oh que ta bite est grosse, je la sent bien dans mon ventre, vas-y, vas-y oh comme c'est bon !
Une puissante décharge lui remplit le ventre, elle se cabre la douce chaleur de la semence la fait délirer, elle agite son bassin comme une forcenée. Le papa donne des coups de reins terribles, il grogne comme un fauve. Soudain, Marianne se cambre et explose elle souffle comme un dragon en continuant d'agiter son bassin. la bite paternelle voyage dans son ventre avec beaucoup moins de vitesse, elle gémit, s'agitant moins follement, elle dit :
-Oh comme c'est bon une bonne bite qui vous racle la chatte, continue papa, continue !
Maintenant c'est en douceur qu'il lui travaille le ventre, il lui dit à l'oreille :
-Ma princesse comme j'aimerai t'éclater la rondelle, elle est si étroite que j'en bave d'envie !
Marianne répond :
-Pas encore papa, baise-moi bien ma chatte, c'est trop bon !
Justin dévore la chatte à sa maman qui ne cesse de geindre. Son clito est devenu énorme, son jeune amant le suce comme un bonbon, en le mordillant de temps en temps. Lucette croit mourir de plaisir tellement elle trouve cela bon. Une première jouissance la fait cabrer, elle appuie sur la tête de son fils en geignant fortement. le coquin continue de lui dévorer le clito, il veut que sa maman explose encore une fois, mais elle lui dit :
-Baise-moi, mon chéri, viens dans maman lui éclater la chatte, viens, viens mon chéri !
Justin prend position entre les cuisses de sa maman en feu. Sa bite, qui n'a pas connue beaucoup de chatte, s'enfonce dans le ventre de sa maman qui pousse un long râle en délirant :
-Oui, oui, mon chéri oh comme ta bite est bonne, démonte maman vas-y,
vas-y !
Lucette surement encore sous l'effet du rosé, est comme hystérique, elle s'accroche à son fils en donnant de terribles coups de reins, elle sent les couilles de son fils lui frapper la chatte à chaque coup de pilon., elle hurle :
-Oh putain, oh putain défonce-moi le col de l'utérus, oh comme je sens bien ta bite l'écraser oui, oui c'est trop bon, tu rends folle ta maman mon chéri vas-y, vas-y !
Les deux amants sont déchainés, les coups de boutoir que se donnent les deux incestueux sont monstrueux, on entend bien le bruit des coups de reins. La bite vivace du jeune fiston ne tarde pas à éjaculer. C'est en grognant qu'il remplit le ventre de sa maman en furie, qui ne cesse de s'agiter comme une dingue. Il faut encore quelques minutes pour qu'elle hurle de jouissance. Les deux restent soudés sans faire de mouvement, en haletant.
Justin tout en restant emboité dans sa maman, lui arrache le soutien-gorge, et gobe l'un après l'autre les mamelons épais. Il suce et tète comme un enfant qui s'allaite. Lucette pâme de bonheur, la bouche de son fils, lui rappelle de bons souvenirs, elle lui caresse le dos pendant que le gredin lui dévore les mamelons. Elle recommence à agiter son bassin, en geignant faiblement.
Marcel, ne désarme pas, il fouraille le ventre de sa fille en donnant des coups de reins monstrueux, comme pour la traverser avec sa bite. Elle gémit en s'accrochant à son papa amant. La tension monte de quelques degrés, elle s'agite, pendant qui la défonce, d'un geste habile il lui baisse le soutien-gorge, et gobe un mamelon, ses seins sont menus mais les bouts très développés. Comme un affamé, Marcel suce et tète les bouts qui prennent encore du volume. Sur Marianne cela fait un effet terrible, elle tire en gémissant sur les hanches de son papa pour s'empaler au maximum.
Sa chatte regorge de sperme, la bite du papa coulisse aisément dans le conduit qu'une dilate, Marianne bien que très jeunes à connue pas mal d'amants mais le meilleur c'est son papa, elle est tellement heureuse qu'elle est prête à lui offrir la virginité de son anus. Elle grogne s'agite ses mamelons deviennent douloureux car le papa vorace ne les ménage pas. Soudain Marcel délaisse les mats de chair et accélère la pénétration, il est au bord de l'explosion. Il s'active comme un forcené, sa bite voyage sans relâche, dans le ventre de la jeunette gourmande.
Ce qui arrive rarement, les deux jouissent en même temps, leur jouissance est extraordinaire, leurs gémissements sont très sonores. Marcel se laisse tomber sur le torse de sa fille, les deux soufflent comme une forge.
Justin s'acharne sur les mamelons qui l'on nourri. Il les mordille, en faisant couiner sa maman et amante à la fois. Elle plane, encore grisée par l'alcool, elle reprend elle même le pilonnage de son ventre. Ses coups de reins sont violents, elle pousse un gémissement à chaque coup qu'elle donne. Puis c'est l'explosion, elle jouit en criant son plaisir.
Marcel les yeux vitreux regarde sa femme et lui dit :
-Il te défonce bien le gredin, tu jouis plus qu'avec moi hein, tu te régales cochonne !
Lucette presque dans le coma, pour le moment n'a pas la force de répondre. Elle reste étendue, avec planté en elle la bite de son fils. Marcel se retire, sa queue est gluante, il dit :
-Redonne-moi des forces ma princesse, je n'en ai pas finit avec toi !
Marianne se redresse est saisit la bite dégoulinante de sperme, elle la décalotte et gobe le gland épais. Elle le suce le tète, donne de grands coups de langue sur le gland en forme de champignon. Le papa grogne de plaisir, il bascule sa fille qui ne lâche pas sa prise, et se met tête bêche sur elle, il lui déchire le maillot et plaque sa bouche sur le fruit trop mûr qui rejette son jus. Les deux des dévorent, en se faisant grogner de plaisir, la jeune chatte est en feu. Le papa sait comment éteindre l'incendie, il joue de la bouche si bien que Marianne, se cambre pour jouir. Son cri surprend sa maman qui se redresse, pour voir ce qui se passe.
Elle voit les deux tête bêche, se faire un plaisir monstrueux. Comme prise de jalousie, elle repousse son jeune amant et ^rend ma même position que son mari, sur son fils. Elle dévore la queue de Justin en geignant, lui il lui gobe le clito, ce qui la fait encore gémir plus fort. sur la pelouse se n'est que gémissements et râles. Les quatre parviennent à jouir en peu de temps. Marcel demande une trêve.
Il prépare un petit en cas son oublier le rosé. Les femmes retirent les lambeaux de tissu qui restent accrochés à elles, Justin son slip. Les quatre sont totalement nus. Après avoir bu quelques verres, Lucette est son mari veulent se remettre à l'ouvrage. Marcel prend sa fille par la main, quelques mètres plus loin la couche sur le gazon. Il observe la fente garnie de fines lèvres bien dessinées, et de la fine toison luisante de sperme séché. Il passe ses doigts dessus, taquine le clito qui n'a pas encore dégonflé, le presse plusieurs fois, avant des faire descendre sa main jusqu'à la petite fleur.
Il appuie son majeur dessus, Marianne se cabre, la première phalange s'enfonce dans le conduit étroit. Seconde poussée suffit, pour faire disparait le doigt. Il est comme aspiré par l'anus, Marianne pousse un petit gémissement pendant la pénétration anale.
Ce conduit très étroit n'a jamais été visité, par un doigt autre que le sien. Quelques fois, la coquine se doigtée pas trop profond, juste pour connaitre d'autres sensations. Là, son papa lui a enfoncé entièrement le doigt dans le cul. Il fait quelques petits allers et retours, Marianne trouve cela agréable. Il lui murmure :
-Ma princesse, je vais te faire jouir du cul, tu verras c'est merveilleux, d'abord avec mes doigts, et après avec ma bite, elle va te donner des jouissances si fortes, que tu ne pourras les oublier, tu te mettras à pattes, une fois que je t'aurai bien ouvert le cul !
Marcelle, fouille en profondeur, son doigt tourne dans la gaine, en ne cessant de la ramoner. Il ajoute un second visiteur, et va le plus loin possible dans le rectum, qui commence légèrement à s'assouplir. La bougre lui travaille l'anus longuement, toujours en tournant ses doigts pendant le ramonage. Marianne geint de plaisir, elle agite sa croupe, c'est le signal qu'attendait son papa. Il lui fouille l'anus avec de plus en plus de violence, il réussit à mettre un troisième visiteur.
La douleur est faible, donc supportable. Marcel arrive à ses fins, sa fille en hurlant, jouit du cul pour la première fois de sa vie. Elle se met à quatre pattes. Marcel bande comme un cheval, il regarde un instant le trou qu'il vient de fouiller, puis plaque sa bouche dessus. sa fille pousse un gémissement en se cambrant davantage. La langue s'enfonce dans l'orifice rester entrouvert. Marianne défaille, croit mourir tellement cet attouchement, inconnu d'elle jusqu'à présent est merveilleux. Le papa fouille le petit trou le plus loin qu'il peut.
Sa langue agile descend, s'enfonce dans la chatte détrempée avant de remonter à l'anus. Les gémissements de Marianne sont bruyant une secousse, comme une décharge électrique lui traverse les entrailles. Une nouvelle jouissance du cul la fait cabrer. Enfin il place son gland bien décalotté contre la petite porte et pousse. Malgré que l'anus est assoupit, une douleur se fait ressentir. Marianne serre les dents grimace, mais irrémédiablement, la verge se son papa s'enfonce lentement dans son fondement.
Il ne cesse de pousser que lorsque son membre a pris possession des lieux. Des son côté, Justin fait subir à sa maman le même traitement anal. Mais ne grimace pas, habituée à ce genre de traitement, dont elle n'est pas adepte, elle l'accepte, car son mari en raffole. Son jeune enculeur; lui défonce le cul comme un sauvage. Marianne souffle comme un taureau, la bite puissante de son papa lui dilate la gaine, heureusement très extensible. Le ramonage augmente en intensité, au fil des minutes. Lentement, le rectum s'habitue au calibre de la verge, qui coulisse de mieux en mieux en lui.
La jeunette geint de plaisir, elle agite sa croupe, la pression monte dans son corps. La bite entre et ressort de son corps en prenant de la vitesse. Marcel grince des dents, il fore le petit cul étroit comme un malade. La bite bien enserrée par la gaine brulante, racle les parois sensibles en faisant couiner Marianne comme une bête malade. Le papa lui défonce le cul en donnant des coups de boutoir terribles. A chaque enfoncement, ses couilles frappent le cul de la fille qui ne cesse de geindre de plaisir. Un cri terrible retentît, Marianne jouit atrocement fort, c'est si intense qu'elle se laisse tomber sur l'herbe, en entrainant son papa dans sa chute. Mais le bougre bien accroché à elle, continue de lui dévaster le cul jusqu'à ce qu'il le remplisse de sa semence.
Lucette aussi jouit du cul, son bougre de fils lui laboure le rectum comme un pro de la sodomie. Il ne la libère que lorsqu'il lui vite ses couilles dans le cul. Les deux hommes se regardent, se comprennent, ils changent de partenaire. Les deux femmes subissent une deuxième sodomie aussi brutale que la première, mais leurs jouissances sont beaucoup plus fortes.
Dans la foulée, remontés comme jamais, les deux males en rut, font subir à Marianne sa première double. Pour elle c'est le summum du bonheur, les bites qui coulissent dans ses orifices, la font geindre comme une agonisante. Elle étrenne même une double anale et vaginale. Elle a plusieurs jouissances, elles sont exceptionnelles. C'est morte de plaisirs, et sans force qu'elle demande grâce.
Après avoir repris, des forces, Lucette, elle aussi à droit des doubles pénétrations.
Une fois dégrisés, les parents regrettent leurs délires sexuels, mais pas leurs enfants. Depuis ce jour, les orgies sont fréquentes. Marianne malgré son jeune âge n'aspire que d'avoir des bites dans tous les trous.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par linsee
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ah les vertus du rosé au bord de la piscine...
Interressé Inbox me
Que dire sinon merci encore à Linsee pour cette belle histoire si bien narree avec de très belles descriptions on oublie l’inceste familial et on garde le meilleur Daniel

