Céline humilie son patron (suite de l'esthéticienne 2) - histoire érotique

Céline éclate de rire en apercevant ma petite bite encagée.
Heureusement mon nouveau bureau est à l'écart mais je crains quand même que l'une de ses collègues l'entende...
Elle: alors là... je savais pas que ça pouvait exister un sexe d'homme aussi petit...
La jeune femme continue de rire mais plus discrètement. Elle s'approche de moi, passe du côté du bureau où je me trouve et saisit ma minuscule verge cerclée de métal.
Elle insiste: si j'avais su ça... en effet, je comprends mieux le changement d'attitude d'Edwige à ton égard...
La jeune commerciale observe en détail mon petit pénis, le soulève un peu.
Elle: tes couilles aussi sont petites... et t'es épilé... c'était ça ton rendez-vous chez Hélène... elle a bien dû se marrer elle aussi quand elle t'a vu à poil!
Céline éclate de rire à nouveau.

C'est alors que ce que je craignais se produit! La porte s'ouvre!
Je suis soulagé en apercevant Edwige... Quelle honte si cela avait été Eva, la jeune stagiaire de 21 ans...
Edwige (en riant et en s'adressant à sa collaboratrice): ah je vois que tu ne perds pas de temps pour jouer avec notre lopette...
Céline: hummm j'étais trop impatiente de voir sa petite bite dans sa cage...
Edwige: oui c'est moi qui ai choisi le modèle... elle est pas mignonne sa toute petite bite comme ça?!
Les 2 femmes rigolent ensemble.
Edwige: allez rhabille toi cochonne! et mets toi au travail! range moi cette réserve! tout est mélangé! C'est la pagaille dans ces dossiers!

Alors que la nouvelle Directrice et sa collaboratrice sont prêtes à  quitter mon bureau, Edwige se retourne et me rappelle d'un ton sec de ne plus oublier de venir travailler en string!
Son regard reste figé vers moi, je comprends qu'elle attend une réponse...
Moi: oui Edwige...
La porte se referme derrière elles et je les entends rire à nouveau. Je me sens honteux et humilié...

Vers 18h c'est au tour d'Eva de me rejoindre dans la réserve, elle s'adresse à moi de manière respectueuse, en me vouvoyant, contrairement aux recommandations d'Edwige lors de la réunion.
Elle: Edwige demande à vous voir Alex.
Je lui souris et la remercie. Je lis l'incompréhension et la gêne dans son regard, elle ne doit rien comprendre à tous ces changements radicaux...

Edwige m'attend en compagnie de Céline dans mon ex bureau.
Edwige: Alex, Céline doit déposer sa voiture chez le garagiste. Tu vas la suivre pour ensuite pouvoir la déposer chez elle. Demain matin tu l'emmèneras travailler, tu seras son taxi le temps qu'elle récupère sa voiture.
Je remarque à nouveau un sourire complice entre les 2 femmes...

Me voilà au volant de mon Range, suivant la fiat 500 de Céline.
20 mn plus tard, après avoir déposé son véhicule elle est ma passagère...
Elle: c'est marrant parce qu'à te voir comme ça, au volant de ta belle voiture, ton style, ton allure, tu es l'archétype du chef d'entreprise, du décideur, d'un homme représentant la compétence et l'autorité...
Un lourd silence s'installe, Céline se tourne vers moi. Mon regard reste concentré sur la route mais je sens le sien figé dans ma direction. Un regard de défi certainement et un sourire aux lèvres...

Soudain sa main caresse ma cuisse droite puis remonte jusqu'à mon bas ventre. Je sursaute sur mon siège, je l'interpelle d'une voix plaintive, je prononce son prénom...
Elle: conduit, concentre toi sur la route, laisse moi faire.
La belle commerciale de 32 ans appuie sur mon sexe par dessus le tissu de mon pantalon.
Elle: en fait si tu ne portais pas ta cage de chasteté je ne sentirais rien... ta queue est si petite...
Céline déboucle alors ma ceinture, déboutonne mon pantalon et baisse la fermeture éclair. Puis elle tire vers le bas l'élastique de mon boxer et extirpe avec son autre main mon petit sexe encagé.
Je suis terriblement gêné de me retrouver dans cette situation au volant de mon véhicule...
Moi: Céline... non... on pourrait nous voir... arrête... s'il te plait...
Elle: ne joue pas les pleurnicheuses, tu aimes ça, cochonne... ça t'excite même... avoue. tu vas rester ainsi... la bite à l'air! toute la durée du trajet!

Durant le trajet, outre le fait d'être forcé d'exhiber ainsi ma petite bite encagée, je crains aussi d'être vu par des piétons qui s'approcheraient de mon véhicule ou par d'autres automobilistes...
Heureusement mon Range est haut et seul un chauffeur de camion ou de bus pourrait avoir un angle de vision lui permettant de constater ma situation humiliante.

Céline, elle, s'amuse de la situation. Elle ricanne, y va de ses petites remarques moqueuses...
Elle: une vraie lopette Alex... voilà ce que tu es... regarde moi ça, je sais même pas si ta petite nouille fait 2 cm...
Il est vrai qu'en position assis mon sexe parait encore plus petit.
Céline renchérit: ta cage semble même trop grande pour ton minuscule zizi!
La belle commerciale blonde éclate de rire.

Sur les indications de Céline nous arrivons devant son immeuble, une petite résidence sur 2 niveaux seulement, rez-de-chaussée et 1 étage. Je stoppe mon Range juste devant l'entrée, sans couper le contact mais l'élégante jeune femme de 32 ans m'ordonne de me garer en me montrant sa place de parking attitrée.
Moi: Céline... j'ai plein de trucs à  faire chez moi... je n'ai pas le temps de monter...
Elle, en se tournant vers moi le visage sévère: écoute Alex! tu n'as rien à vouloir et encore moi à décider! dépêche toi de ranger ta mini bite et suis moi!
Le ton et l'attitude de Céline ne m'autorise aucune réplique, j'obtempère. Une fois mon pantalon rapidement ajusté, je descend de mon SUV et suit la jeune femme autoritaire qui, il y a quelques jours encore, était une employée dévouée et respectueuse...

L'appartement de Céline est vaste pour une femme célibataire, le salon est meublé et décoré avec goût même si il y règne un désordre indiquant une fête ou soirée agitée récente.
La jeune femme blonde traverse le salon et s'affale dans un large canapé design en tissu. A ce moment-là je me trouve face à elle à l'entrée de la pièce.
Elle me toise, me regarde d'un air malicieux: à poil salope! de suite!
Je suis saisis de stupéfaction mais je l'avoue, d'excitation également. Quelle contraste entre la commerciale polie et appliquée que je connaissais à l'agence et la jeune femme dominatrice, usant d'un langage cru, que je contemple à présent...

Je me déshabille complètement. Céline m'observe tout le temps de mon effeuillage, elle fait des commentaires flatteurs sur mon corps, mon bronzage et elle sourit quand je comprends que son regard s'attarde sur ma petite bite encagée.
Elle: à 4 pattes lopette!
J'obéis instantanément.
Elle: aux pieds!
Je traverse donc le salon, nu, à 4 pattes. je suis à ses pieds, coincé entre le canapé où ma Dominatrice est assise et la table basse.
Elle: déchausse moi.
Pour accéder à sa demande je me mets à genoux. Céline porte de jolis escarpins pointus ouverts à l'arrière. Je défaits délicatement les boucles des lanières et retire doucement et délicatement les 2 chaussures l'une après l'autre.

Céline semble prendre beaucoup de plaisir à être déchaussée, son buste et sa tête s'enfoncent d'avantage dans le moelleux de son canapé. Je la regarde, elle ferme les yeux et gémis doucement... Sans qu'elle me le demande, encouragé par l'attitude détendue de la belle trentenaire, j'entreprends de lui caresser les pieds, de les masser.
Mon action ravit ma Dominatrice qui soupire à nouveau de plaisir...
Elle (toujours la tête basculée en arrière, les yeux fermés): baise les, embrasse les...
Moi (d'une voix douce): oui Maîtresse...
Je me sens totalement impliqué et abandonné dans mon rôle de soumis, je prends énormément de plaisir à caresser, masser et embrasser délicatement les pieds de Céline.
Elle: suce chaque orteil salope, allez... l'un après l'autre... oui... comme ça... hummmm t'es une bonne suceuse... oui... continue...
Je m'applique à sucer chacun de ses orteils. Je tiens son pied avec mes 2 mains et mes levres vont et viennent sur ses doigts de pieds.
Elle (d'un ton sec): entre maintenant! entre mes orteils! lèche! lèche! nettoie lopette!
Moi: oui Maîtresse...
Et je m'empresse de lui obéir même si ma langue et mon nez détectent une forte odeur...

Même si la sueur présente entre ses doigts de pieds et l'odeur qui en résulte ne sont pas des plus agréables, je m'applique à satisfaire ma Maîtresse et je ressens un sentiment de satisfaction d'être ainsi rabaissé, humilié... Je prends l'initiative d'embrasser ses pieds également, dessus, le coup de pied, dessous, la plante des pieds, les chevilles aussi... Puis mes mains remontent vers un mollet mais sont vite bloquées par l'étroitesse du jean.

Céline sort à ce moment là de son état d'extase et de détente, elle donne un coup vif de son pied  droit qui vient frapper mon coup et ma mâchoire. Dans son geste elle se fait légèrement mal car elle pousse un petit cri de douleur.
Elle: dégage connasse!
Je tente de me redresser pour m'écarter mais le jeune femme très directive s'énerve.
Elle: non! reste à 4 pattes! comme la chienne que tu es! allez! ouste!
Je me dégage alors de l'étroit espace où je me trouvais et me dirige donc à 4 pattes vers le centre de la pièce, toujours nu comme un ver, ne portant que ma cage de chasteté.

Céline se lève, elle m'observe, elle vit une véritable révolution. Cet homme, son patron, toujours si élégant, dont elle admirait la prestance, n'est en fait qu'une lopette. Elle sourit, qui aurait cru qu'un jour son patron se baladerait à poil et à 4 pattes dans son salon...
Elle jubile en glissant sa main dans la poche étroite de son jean...
Elle: debout pétasse! face à moi! mains derrière le dos!
J'obéis, je suis face à Céline qui elle aussi est debout. Elle est à peine à 2 mètres de moi, je la vois sortir sa main de la poche de son pantalon et je reconnais instantanément la petite clé de ma cage de chasteté tenue au bout de ses doigts...

La commerciale de 32 ans me regarde avec malice puis jette la clé à mes pieds.
Elle: ouvre ta cage! libère ta petite bite de lopette!
Pendant que je me débarrasse de ma cage de chasteté Céline retourne s'asseoir sur son canapé.
Elle: alors?! il paraît que ta spécialité c'est de te branler avec 2 doigts!
Je ne réponds pas.
Elle: allez! je veux voir ça! tiens la avec 2 doigts! montre moi!
J'obéis à mon employée devenue pour moi une Dominante de plus. Je tiens ma petite bite entre mon pouce et mon index... Céline éclate de rire!
Elle: quelle petite bite Alex! c'est à mourir de rire! allez! branle la! branle la!
Je lui obéis, je fais coulisser mes 2 doigts sur ma petite verge de 3 cm. Céline rigole de plus belle, elle saisit son téléphone posé sur la table basse, sélectionne le mode vidéo et filme ma masturbation humiliante.
Elle: oh oui... continue... branle ta micro bite! oui! comme ça... hummmm... quelle honte pour toi d'avoir une si petite bite!
Moi, son patron, je suis nu, debout, les jambes légèrement écartées, au milieu se son salon, face à elle, et je lui obéis, j'exhibe mon minuscule pénis et je l'astique entre mon pouce et mon index...

Céline se moque, rigole, tout en continuant à filmer puis je comprends qu'elle stoppe la vidéo et elle me dit qu'elle l'envoie à l'une de ses copines.
Cet aveu fait chez moi l'effet d'une bombe!
J'arrête de me branler, je me révolte: mais Céline! c'est pas possible! tu ne peux pas montrer ça!
Elle: ta gueule pouffiasse! je fais ce que je veux! les pédales comme toi sont faites pour ça! être exhibées et humiliées!
Céline se rapproche et remet son téléphone en mode vidéo mais cette fois via Whatsapp. Elle se positionne derrière moi, collée, je sens le tissu de son jean contre mes fesses. Elle saisit alors ma petite bite entre le pouce et l'index de sa main droite et reprend la masturbation que j'avais interrompue. De son autre main elle approche l'écran de son téléphone à une quarantaine de centimètres pour filmer la scène en gros plan.

Elle: alors ma salope?! t'aime ça hein? dis le, dis le que t'aimes ça!
Moi en gémissant: oui... oui... j'aime ça...
Elle: hummmmm ohhh ouiii ta ptit' bite branlée avec 2 doigts... avoue que t'es une lopette...
Moi: oui... je suis une lopette...

Céline stoppe la vidéo mais continue d'astiquer ma petite queue. Elle rit.
Elle: t'es ma lopette... je vais bien m'amuser avec toi...