Centre Commercial fin

- Par l'auteur HDS Helenclass -
Récit érotique écrit par Helenclass [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Centre Commercial fin Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Centre Commercial fin
Ils me libérèrent, en me levant j’avais la tête qui tournait, je perdis l’équilibre
Il y en a un qui s’est avancé et qui m’a donné à boire un coca et un morceau de chocolat à manger.
Le chef des vigiles vint me ploter le cul en me disant « tu es une sacrée putain toi » tout en me doigtant le cul qui était plus qu’ouvert.
Un autre en s’adressant au chef des vigiles « tu nous en a ramener une super bonne et chaude »
Le chez des vigiles « bon vous allez la finir en la défonçant bien pour terminer en beauté, même si elle est bonne on va pas y passer la nuit »
Un grand Black s’est approché de moi m’a soulevée comme une crêpe pour s’allonger sur le canapé en me ceinturant, je fus de nouveau introduit vaginalement et pilonnée sans ménagement, je commençais de nouveau à haleter, celui qui me pilonnait dit « attendez je vais la faire crier et ensuite vous viendrez »
Cela ne tarda pas j’ai jouis comme une chienne assez rapidement
Il me retourna , je sentis du gel s’étaler sur mon cul et dans mon trou avec des doigts qui me fouillaient. « comme ça ça va rentrer tout seul ». Il s’allongea et me positionna sur lui
Un autre « oui tu as raison, déjà qu’elle était bien ouverte mais la ça va rentrer comme dans du beurre »
Un autre « on va l’éclater pour la finir »
Ce qui m’étonnait est que personne ne me sodomisait alors que celui sur lequel j’étais me pilonnait et les autres me passaient dans la bouche sans ménagement non plus.
J’ai senti un objet dur une peu froid à l’entrée de mon cul en s’adressant à celui qui me baisait « tient la bien pour qu’elle ne bouge pas » j’essayais de ma débattre, mais j’étais bloquée.
L’objet avait franchi le seule de mon cul et progressait en moi tout en s’élargissant.
Celui qui était à la manœuvre « je suis étonné comme ça rentre facilement » ça s’élargissait beaucoup
« quand elle aura ça dans le cul complètement, il n’y aura plus de limite »
Surtout que celui qui me pilonnait ne faiblissait pas
Je me suis de nouveau mis à jouir et mes sphincters ont laché encore plus.
L’objet est entré en moi complètement. Je me sentais encombrée, sous les « ohhoho » et les commentaires plus que graveleux « quelle pute » « elle est capable de prendre ça » « quelle salope »
J’avais une petite bouteille de coca dans le cul, celle que j’avais eu pour me remonter pendant la courte pause.
« elle l’a bu par ses orifices opposés » « une bonne salope » « attends on va éclairer et filmer l’intérieur de son cul »
Ces salauds éclairaient avec leur téléphone potable tout en filmant et en s’adressant à celui qui me pilonnait « on voit bien les mouvement de ta bite » en éclatant de rire.
La petite séance photos et commentaires dura un petit peu, jusqu’au moment où un dit « on va la finir »
La bouteille de coca me fut retirée de mon trou du cul, je me suis sentis libérée, mais pas pour longtemps, un sexe de bonne dimension entra en moi sans ménagement en disant « putain ça rentre comme dans du beurre, la salope elle est bien ouverte »
Un autre « après la bouteille de coca dans la cul, tu m’étonnes qu’elle doit être ouverte »
Un autre « putain t’a vu comment s’est rentré facilement »
Un autre « c’est une pute » « une bonne pute, t’a vu comme elle est bonne »
Je me faisais insulter comme la dernière des trainée que j’étais
Les deux qui étaient dans mon arrière train me défonçaient et je me faisais baiser la bouche sans le moindre répis
Entre deux passage de bite dans la bouche comme je commençais à fatiguer « je suis fatiguée »
Un c’est approché de moi en me prenant par les cheveux « toi tu es fatiguée, mais nous non » et de rajouter « ouvre la bouche » il me cracha dedans en disant ‘t’es une chienne » tout en rigolant « elle est fatiguée de se faire défoncer la pute » « pourtant elle aime ça avec tout ce qu’elle jouit »
Ils ne prenaient en aucun cas en compte ma fatigue.
Surtout que j’ai eu de nouveau un orgasme. « et en plus elle dit qu’elle est fatiguée » » quelle pute »
La scène dura un bon moment encore, jusqu’au moment où je fus libérée complètement.
J’étais tellement fatiguée que je me suis à moitié écroulée sur le canapé.
Ils se masturbaient devant moi et m’éjaculaient dessus, surtout sur ma figure en m’insultant. « ouvre ta bouche espèce de pute à chien »
J’avais le visage recouvert de sperme et la bouche remplie sous un flot d’insultes
Une fois terminé le chef des vigiles me pris par le bras « tu vas aller te faire une petite fraicheur »
Un autre « elle en a bien besoin » « ce n’est pas une petite fraicheur, c’est un bon nettoyage qu’il lui faut »
Je remontais un couloir dans un état second et j’arrivais dans des sanitaires où il y avait des douches, lavabos toilettes.
Je me rinçais le visage pour retirer un maximum de sperme, j’en avais partout, dans le cheveux, sur ce qui me restait de vêtement, je sentais la chienne.
Cela m’a pris une bonne dizaine de minute pour m’arranger du mieux possible.
Le chef des vigile m’attendais à l’extérieur, la porte à moitié ouverte.
Lorsque j’ai eu terminé, il m’a dit, je vais te ramener à ta voiture.
Nous sommes par une porte donnant accès directement dehors.
Il se montrait courtois. Pas de geste ni de paroles déplacées.
Avec tous ces événements je ne me souvenais plus trop où ma voiture était garée.
Comme les parking étaient vides et qu’elle était proche d’une entrée.
Il s’arrêta devant, je descendis. Il me dit « tu reviens quand tu veux »
Je descendis de la voiture sans aucun regard et suis remontée dans la mienne pour rentrer chez moi.
J’ai fait la route pour revenir chez moi comme un robot, dans un état second, il était 2h30 du matin.
J’ai commencé à émerger sous la douche en repensant à tout ce que j’avais fait.
Je m’étais faite baiser comme une dernière des trainée, mais le pire est que j’avais aimé ça.
Lorsque je me savonnais, mes orifices étaient plus qu’ouverts, en mettant ma main en fourreau, je pouvais me fister le vagin et le cul. Je pensais que j’étais une grosse salope.
Je me suis endormie comme un bébé, plutôt bébé salope.
Les choses se sont compliquées le lendemain au réveil, car j’avais de nombreuses courbatures et surtout lorsque je me suis assise, mon arrière train était plus que douloureux, je ne pouvais pas m’assoir.
Je me suis mise en télétravail pendant une semaine.
Les difficultés pour m’assoir et rester assise ont duré une petite semaine
Ces contraintes étaient compensées en repensant au fait que j’ai réalisé mon fantasme et ai eu énormément de plaisir.
Je sais, je suis un salope.

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Texte coquin : Centre Commercial fin
Histoire sexe : Une rose rouge
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