cette fois pas de halte sur la route...

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : cette fois pas de halte sur la route... Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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cette fois pas de halte sur la route...
La troisième de la flatterie au nom d’Eve je n’ai pas eu le plaisir d’aller la chercher à la gare, elle. Elle est venue de ses propres moyens. Mais, à la différence des autres sœurs, elle dégage une sensualité animale.
Je me trouve dans la buanderie quand elle a fait son apparition. Elle porte un ensemble rose, qui met en valeur sa peau blanche, et laisse voir la moitié de ses cuisses, ainsi que la naissance de ses seins sans soutien. J’en oublie de garder l’air renfrogné.
Comme toujours, elle m’adresse un bonjour dégagé, accompagné d’un sourire distant. Quand je lui demande si elle a besoin de quelque chose, elle me répond froidement qu’elle cherche Jeanne.
- Comme tu peux le constater, elle ne se trouve pas là ! Lui fais-je du ton le plus engageant.
-Cela tombe bien ! Me lâche-t-elle.
-Je croyais que tu la cherchais ?
-Pas exactement ! Fait-elle en verrouillant la porte. Comme tu ne daignes pas m’aborder, je viens à toi !
-C’est que…
-Que quoi ? Je ne suis pas à ton goût ? Tu préfères mes sœurs ?
Tout en me fixant, elle relève sa jupe pour m’exhiber sa motte imberbe. Elle est épilée. Sa fente effilée grimpe haut sur le pubis, les grandes lèvres laissent pointer les nymphes hors de l’écrin rose tendre, qu’orne un gros capuchon de clitoris. Deux doigts aux ongles soignés écartent les replis de chair, avant de les enfoncer légèrement à l’entrée de sa tirelire intime.
J’ai l’impression étonnante qu’ils cherchent à saisir quelque chose. Et bien sûr, tout en gardant posé sur moi un sourire plus énigmatique que jamais, commence lentement à tirer à elle quelque chose de l’intérieur de son vagin.
Centimètre après centimètre je discerne que c’est du textile de couleur mauve. Du nylon pour être plus précis ! Peu à peu elle achève de l’extraire de l’intérieur de sa féminité, pour mieux me l’exposer. Il s’agit d’une culotte, bien en nylon, luisante de sa mouille. Sans préambule, elle me la met sous mon nez, avec un sourire gourmand. J’ai l’impression que mon cœur a des ratés !
-Je veux à mon tour t’offrir quelque chose de moi. Je me suis entendu dire que chez toi lécher une chatte est ramené à la même valeur que fumer une cigarette ou boire un café. Je me trompe ?
-Je pense que je dois cela à tes sœurs ?
-Écoute Alain, il faut oublier ce qui s’est passé. Je ne suis pas bien dans ma tête. Fait-elle en faisant tomber l’ourlet de sa jupe.
Elle s’exprime d’une voix blanche. La garce ne veut pas laisser voir qu’elle cède facilement, ou bien elle aime qu’on la force. Sans un mot, je tends le bras et lui caresse le genou.
- Je suis sûr que tu mens.
-Tais-toi, je t’en prie !
Sa poitrine se soulève plus hâtivement sous son corsage.
-Je suis certain que tu es chaude. Que tu as le feu au cul. Fais-je en tirant vers le haut l’ourlet de sa jupe.
Je la détaille, émoustillé. Elle me jette des drôles de regards. Ses doigts se crispent nerveusement à la ceinture de cuir qu’elle porte. Sans aucune hésitation je pose ma main sur son genou et, comme elle ne réagit pas, je la remonte le long de sa cuisse nue. Lentement, je glisse les doigts jusqu’à son sexe.
-Non Alain ! Comme je t’ai dit, j’ai la tête en ébullition !
Elle essaye de me repousser, mais je lutte en silence. Peu à peu, elle mollit, étourdie par les caresses que je lui offre.
-Écarte les genoux. Je sais que tu en as très envie.
-Et si quelqu’un nous entends ? Lance-t-elle dans un souffle.
Sans prendre la peine de répondre, j’avance vers la moiteur du bas-ventre. La peau de l’intérieur des cuisses est chaude.
-Je suis certain que tout ça te fait mouiller. Allez, laisse-toi aller.
Mollement, elle s’affaisse sur la table de travail. Ses jambes s’ouvrent et sa jupe remonte davantage. Sa respiration devient saccadée ? J’avance la main. Mes doigts frôlent son abricot. Instinctivement, elle resserre les cuisses. De ma main libre je la force à écarter les genoux.
-Je sais que tu en meurs. Ta bouche dit non, mais ta chatte dit oui.
Je palpe de l’index son vagin. Je constate sans surprise que c’est trempé.
-J’ai gagné, lui fais-je en lui exposant mes doigts. Alors maintenant tu m'écoutes !
Elle reste silencieuse. Ses yeux luisent. Je touche sa chair chaude et humide.
-Alain, je ne sais pas… !
Je devine qu’elle s’avoue vaincue, alors je faufile mon doigt au centre des muqueuses. Elle pousse un gémissement et écarte davantage les cuisses. De ma main libre, je me saisis de son poignet pour le guider jusqu’à mon bas-ventre.
-Je compte sur toi !
Elle comprend tout de suite le sens de ma phrase. Je m’excite de lire de la jubilation au fond de son regard.
-Je ne sais pas si je dois.
Mais elle ne résiste pas vraiment. Je la force à toucher la bosse qui déforme le devant de mon pantalon.
-Tu vois comme tu me fais bander !
Je lui plaque la main sur mon sexe. La force à me la palper à travers le pantalon. Je lis de l’excitation sur son visage.
-Aller, vas-y ! Ça ne va pas te mordre ! Lui fais-je en sortant ma queue de sa cage de toile.
Ses yeux luisent d’un éclat trouble. Je devine que son appréhension s’efface au profit de l’excitation. Elle reste un bref instant sans bouger. Le regard ailleurs, perdu. Je ferme les yeux.
Lentement, elle avance la main, et la referme sur mon sexe. Ma queue a une légère secousse, puis une autre, elle commence à être douloureuse. Sa main continue à s’agiter sur mon sexe. Je me mets à respirer plus fort. Machinalement elle ralentit sa manipulation, jusqu’à rester immobile.
- Non…, j’halète, n’arrête pas… s’il te plaît.
Elle a encore une très brève hésitation, puis sa main repart de plus belle. Plus fort, mais aussi plus vite. Je sens dans son branlage, une experte en la matière. Je ressens soudain une sorte de chaleur dans la poitrine. Très vite les premiers picotements d’une prochaine jouissance pointent son nez. Je ne cherche même pas à résister à l’orgasme. Je me laisse partir. Je devine qu’elle n’est pas mécontente de m’avoir emmené jusqu’à l’orgasme.
Suite à notre petite relation dans la buanderie, Ève revient à la charge quelques heures plus tard. Venant frapper à la porte de chez moi. En compagnie là, de ses deux sœurs.
Eve entre d’abord dans la pièce la première, suivie de Laure et de sa frangine Jeanne.
-Que me vaut cette visite ?
-Tu verras !
Je les guide jusqu’au salon et leur demande si elles désirent prendre quelque chose. Ce qu’elles acceptent en s’installant confortablement sur le canapé. Après quelques minutes de discussion, Eve s’exclame :
-Bon les filles il est temps de passer à de chose sérieuse !
À ma stupéfaction, Eve retire les vêtements de Laure. La laissant nue. Mon système cardiaque grimpe.
-Tu comprends pourquoi nous sommes là ?
Mon éthique fond comme neige au soleil. Je ne me gêne pas de la mater à loisir. Eve s’occupe ensuite de Jeanne et réédite la même action. Puis, elle passe à son tour.
-Alors toutes les trois pour toi ! Lâche-t-elle d’une voix forte, presque rauque, les yeux grands ouverts. Comme en transe, elle ajoute : À ton tour de te mettre à poil !
Bien sûr je m’exécute. La même Ève me demande après de déballage de prendre place sur le canapé. Là elle me chevauche. À cheval au-dessus de moi, je distingue sa chatte rasée. Elle commence à onduler. S’abaisse doucement. Je sens son abricot contre mon ventre. Elle approche son visage du mien, sort la langue et me lèche du menton au front. Elle commence à remuer du bassin.
Là-bas, Laure et Jeanne, debout, l’une contre l’autre, flirtent à pleine langue. La jambe de Laure est avancée dans l’entrejambe de sa partenaire. Cette dernière s’y frotte doucement. Cela me procure d’agréables frissons. Je bande de plus en plus fort. Eve glisse jusqu’à mon sexe. Elle me prend en bouche et commence à me sucer. Sa main me masturbe pendant que sa langue fait des miracles sur mon gland.
Je suis aux anges. Elle se bouge, de sorte de placer sa chatte au-dessus de ma bouche. Elle est trempée et odorante. Je commence avant toute chose d’observer ce magnifique sexe glabre pour la seconde fois de la journée. J’écarte ses lèvres, pour titiller son clitoris de ma langue. Je me sens comme ivre d’excitation. Surtout que les deux autres frangines sont allongées à présent, à côté de nous et se doigtent avec une frénésie sauvage, tout en nous matons. Nos gémissements de chacun s’élèvent dans la pièce. Mon excitation me pousse à vouloir changer de partenaire. Pour se faire nous nous séparons avec Ève. Je la sens un peu frustrée. Mais qu’importe, je me place tout de même derrière Laure. Eve la mauvaise. Mais décide tout de même à s’allonger devant celle que je m’apprête à fourrer.
Sans aucune hésitation, Laure plonge sa tête dans la fourche d’Eve. Tout en jouissant du tableau qui m’est offert, je guide ma queue dans le sexe de Laure. Il est détrempé, bouillant, communicatif. Malgré mes coups de boutoir, Ève s’acharne à sucer Laure. Me sentant tout proche de conclure, je me découple de Laure. Qui ne régit même pas, continuant ses caresses buccales sur le sexe d’Ève. Je rampe jusqu’à Jeanne, qui est toujours en train de se caresser.
Je glisse ma langue sur sa chatte. Je lèche en enfonçant bien ma langue dans les replis de son vagin en eau. Mâchant ses petites lèvres et tétant son clitoris. Tout en miaulant, Jeanne passe ses jambes autour de mon cou. Avec ses mains, elle maintient ma tête entre ses cuisses, emprisonnant quelques minutes. Elle coule copieusement en gémissant.
Tout de suite après sa jouissance, j’enfonce ma queue d’un coup dans son ventre. Elle passe ses mains sur mes fesses, et ses jambes sur mes épaules. Les spasmes de son vagin se font plus violents. C’est comme si elle aspirait mon sexe pour le garder prisonnier au fond de son ventre. Je fais aller et venir ma verge dans sa gaine de velours. D’abord lentement, avant d’accélérer la cadence de mes coups de reins. Jusqu’à ce que je lâche de longues salves dans son vagin. La coquine alors que je me vide, presse mes bourses, comme pour m’assécher entièrement. Je profite qu’Eve soit à quatre pattes sur le tapis en train de chercher je ne sais quoi sur la moquette pour m’installer derrière ses fesses.
Je lui caresse sa vulve un instant, avant de présenter ma bite polluée sur son sexe. Je m’enfonce d’un seul coup dans son ventre. Son sexe est moelleux et ses muscles se contractent sur ma verge. Je m’agrippe à ses hanches et je la baise comme un mort de faim, comme si c’était la dernière fois. J’ai une vue splendide sur ses fesses. Elle gémit une fois encore, comme une folle sous mes coups de boutoir.
Je ne prends même pas la peine d’éjaculer avant de m’écrouler sur la moquette. Eve me suit dans la chute.
Pour finir le spectacle, Eve et Jeanne ont tenu à me montrer comment elles se donnent mutuellement du plaisir quand elles n’ont rien d’autre à se mettre sous la bouche.
Eve s’allonge sur la moquette et Jeanne est venue se placer au-dessus d’elle pour se retrouver en soixante-neuf. J’hallucine sur ce spectacle que m’offrent les deux filles.
Et c’est ce que je garde d’elles quand elles sont parties.

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