Chabtilly 2
Récit érotique écrit par FED ERIC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2017 dans la catégorie A dormir debout
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Chabtilly 2
Je m'étais endormi en regardant la télé, le ventre sur un coussin qui surélevait mes fesses. l'atmosphère feutrée de l'hôtel ne laissait passer que le peu de bruit de la climatisation. J'ai rien entendu mais par contre j'ai senti une bite se coller entre mes fesses et les forcer. Comme j'aime et que je suis ouvert j'ai laissé faire, étouffant un cri en mordant le drap. J'ai vite reconnu Rachid à la longueur et à la taille de sa queue. Il a bourriné mon cul sans cesse jusqu'à jouir en moi.
Une fois retiré il me l'a tendue à lécher. Je l'ai fait avec reconnaissance que je devais à son engin qui me faisait tant de bien.
Bon je vais voir une de mes épouses. Si je ne te vois pas demain matin passe une bonne journée.
J'ai été bluffé! Il m'avait baisé 3 fois dans la soirée et il avait encore la pêche pour aller vers sa nana. Une fois parti j' ai pris ma douche et lavé mes dents avant de m'endormir comme un bébé dans ce grand lit. J'avais pas fermé le rideau roulant et le jour m'a réveillé. Je rêvais encore de ce qui m'arrivais. J'aimais appartenir à un mec et la en plus il était riche et me baisait comme un dieu. J'ai eu une pensée pour Jeff dont j'ignorais ou il était passé depuis notre arrivée à l'hôtel puis j'ai oublié. La télé, iune fois allumée, parlait d'une réunion sur le pétrole à Paris. J'ai vu quelques personnages en djellaba mais j'ai reconnu personne. Je suis allé prendre un bain, usant des sels qui m'ont fait la peau douce après la douche. Quand je suis soerti de la salle d'eau le toubib était la, assis sur un fauteuil.
Salut petite lope. Satisfaite de mon maître?
J'aurais mauvais goût mais c'est à lui d'être satisfait. J'évoluais nu et devant le déjeuner servi, j'ai mangé de bon appétit.
Quand tu auras fini mon maître veut que tu ailles voir son épouse et que tu sois aussi agréable avec elle.
La je dois avouer que je ne m'y attendais pas mais bon après tout si il voulait moi j'avais pas trop à redire. J'avais fini et me suis lavé les dents. J'allais m'habiller quand il m'a tendu le peignoir. Mets ça, ce sera suffisant, sa suite est au fond du couloir. Bon ok je suis sorti comme ça. Dans le couloir un grand black était assis , attentif à tout. Le toubib l'a laissé me palper, et j'ai ouvert carrément mon peignoir, je me fichais de son avis. Il a grogné un sourire et nous a laissé passer. Dans le salon il m'a fait ôter le peignoir puis est allé ouvrir une porte.
Votre altesse, il est la.
Fais le entrer.
Le je bandais pas ne connaissant pas la nana et moi nu , pas grand chose me différencie d'une femme. Un petit sexe et pas de seins sauf de belles pointes qui se sont tendues. Elle était étendue sur le lit, juste un déshabilllé vaporeux qui ne cachait rien , plus érotique que la recouvrant. Elle a eu un sourire. Approche et toi sors et attend.
Le toubib est sorti. je me suis approché. Tourne toi! Montre tes fesses.
Un peu interloqué j'ai obéi. Cambre toi! Penches toi en avant et écarte tes fesses.
Si elle avait décidé de m'humilier ça allait rater Et j'ai bandouillé.
Oui je comprends que mon prince puisse aimer les fesses et les trous de garçons comme ceux de filles. Je suis fatigué d'être prise par ce coté et tu sais comme il est monté. Toi tu aimes, pas moi. Je n'ai jamais dis que je n'aimais pas ça à mon époux mais je le comprends et je suis bien obligé d'accepter ce qu'il veut. En parlant elle dévoilait son corps, aucuns poils ne cachaient son pubis et son abricot baillait un peu.
Moi c'est la que je l'aime. Il faudra tout faire pour l'amener à me prendre de ce coté même si je respecte ses choix.
Oui princesse, je comprends. Elle m'a pris la main, m'a fait avancer, sa main a pris ma petite queue entre les doigts. Tu n'es pas fait comme lui, à tout point de vue. Elle m'a décalotté d'un geste, dégageant mon gland qui commençait à mouiller. Oui vraiment pas comme lui. Tu as déjà aimé une femme? Physiquement?
Oui altesse.
Nous verrons cela avec lui. Mais toi tu ne dois pas faire mal à un petit trou. Pars maintenant.
Je suis sorti de sa chambre encore bandé et le toubib m'a dit de me la passer à l'eau froide avant de mettre le peignoir.On est retourné dans ma chambre.
Habille toi on doit passer à l'ambassade ppur les photos et tes empreintes. Ils s'occuperont de faire un passeport avec le quai d'Orsay. Ton ami Jeff est déjà passé pour cela. Bon je me suis vêtu . Mes affaires avaient été amenées la. Par qui? Mais tout était la. Une fois dehors une mercedes noire nous attendais et on a filé vers Paris. Le toubib ne disait rien. J'ai pu voir Paris comme je l'avais jamais vu et des quartiers où je n'étais jamais allé. La voiture a marqué un arrêt devant un portail puis on est entré dans une cour. Aller viens. On nous attend.
La prise de photo comme celle des empreintes àa été réalisée par un fonctionnaire français et on a pu sortir. Cette fois il m'a fait faire les boutiques mais vraiment pas les mêmes qu'à Beauvais. L'odeur de luxe qui régnait , mélange de cuir et de parfum pour homme était spécial pour moi. Par contre tout le personnel était plus efféminé que moi ce qui n'est pas peu dire. On m'a équipé de bas en haut, dessous et dessus de divers vêtements autant chauds que légers. J'ai évolué nu sans trop de gène parmi eux le temps qu'ils trouvent ce que le toubib indiquait. Même dans un petit salon privé , rester nu et être manipulé , caressé involontairement pas des mains insidieuses ne m'a pas empéché de bander sous le regard indulgent du toubib. Un moment de calme entre deux boutiques nous a permis de manger dans un salon, la encore privé. Un fonctionnaire est venu apporter mon passeport. J'étais bluffé par la rapidité de l'obtention. Pas le toubib qui l'a remercié. Une fois le mec parti il m'a repris le passeport. Tu n'en a pas besoin , il ne sert qu'à passer la douane. J'ai mangé de bon appêtit. Les plats étaient delicieux mais j'ai du penser à ne pas trop manger, c'était tellement bon. Le ballet des boutiques a repris l'après midi. Cette fois plus orienté dans les accessoires et sous vêtements. Je n'avais jamais porté de slip en soie mais c'était aussi doux qu'agréable, tellement fins. Une fois fini on est remonté en voiture et retourné à l'hôtel.
L'émir venait de rentrer. Le toubib m'a laissé , j'ai eu le temps de me doucher avant qu'il arrive.
Alors comment trouves tu Aïcha?
Très belle alt.. Pardon Rachid.
Par la suite tu devras la prendre par le petit trou pendant que je la ou te prendrais. Elle par la chatte et toi par tes fesses. En parlant je voyais son membre enfler sous sa tunique fine. J'ai pas eu à me forcer pour me mettre à genoux et soulever le tissus pour sucer son sexe. Il m'a tenu par la tête , me forçant la bouche, loin. Des réflexes de déglutitions me faisait baver sur sa queue mais il en riait. Il fau t'habituer. Et tu aimes ça avoue!
Oui Rachid. Il m'a plaqué au lit, torse dessus et cuisses dehors pour s'enfonçer dans mes fesses sans préparation. Heureusement j'étais ouvert et j'ai mordu le drap, feulant comme un chat,poussant de petits cris, des gémissements en cadence de son membre dans mon cul. C'était bon! Vraiment bon. Il a joui, continuant a limer dans son jus. Je savais plus trop ou j'étais quand il s'est dégagé pour se mettre la queue face à mon visage . J'ai été aspergé de son foutre par à-coups et j'ai nettoyé son bout.
Une fois retiré il me l'a tendue à lécher. Je l'ai fait avec reconnaissance que je devais à son engin qui me faisait tant de bien.
Bon je vais voir une de mes épouses. Si je ne te vois pas demain matin passe une bonne journée.
J'ai été bluffé! Il m'avait baisé 3 fois dans la soirée et il avait encore la pêche pour aller vers sa nana. Une fois parti j' ai pris ma douche et lavé mes dents avant de m'endormir comme un bébé dans ce grand lit. J'avais pas fermé le rideau roulant et le jour m'a réveillé. Je rêvais encore de ce qui m'arrivais. J'aimais appartenir à un mec et la en plus il était riche et me baisait comme un dieu. J'ai eu une pensée pour Jeff dont j'ignorais ou il était passé depuis notre arrivée à l'hôtel puis j'ai oublié. La télé, iune fois allumée, parlait d'une réunion sur le pétrole à Paris. J'ai vu quelques personnages en djellaba mais j'ai reconnu personne. Je suis allé prendre un bain, usant des sels qui m'ont fait la peau douce après la douche. Quand je suis soerti de la salle d'eau le toubib était la, assis sur un fauteuil.
Salut petite lope. Satisfaite de mon maître?
J'aurais mauvais goût mais c'est à lui d'être satisfait. J'évoluais nu et devant le déjeuner servi, j'ai mangé de bon appétit.
Quand tu auras fini mon maître veut que tu ailles voir son épouse et que tu sois aussi agréable avec elle.
La je dois avouer que je ne m'y attendais pas mais bon après tout si il voulait moi j'avais pas trop à redire. J'avais fini et me suis lavé les dents. J'allais m'habiller quand il m'a tendu le peignoir. Mets ça, ce sera suffisant, sa suite est au fond du couloir. Bon ok je suis sorti comme ça. Dans le couloir un grand black était assis , attentif à tout. Le toubib l'a laissé me palper, et j'ai ouvert carrément mon peignoir, je me fichais de son avis. Il a grogné un sourire et nous a laissé passer. Dans le salon il m'a fait ôter le peignoir puis est allé ouvrir une porte.
Votre altesse, il est la.
Fais le entrer.
Le je bandais pas ne connaissant pas la nana et moi nu , pas grand chose me différencie d'une femme. Un petit sexe et pas de seins sauf de belles pointes qui se sont tendues. Elle était étendue sur le lit, juste un déshabilllé vaporeux qui ne cachait rien , plus érotique que la recouvrant. Elle a eu un sourire. Approche et toi sors et attend.
Le toubib est sorti. je me suis approché. Tourne toi! Montre tes fesses.
Un peu interloqué j'ai obéi. Cambre toi! Penches toi en avant et écarte tes fesses.
Si elle avait décidé de m'humilier ça allait rater Et j'ai bandouillé.
Oui je comprends que mon prince puisse aimer les fesses et les trous de garçons comme ceux de filles. Je suis fatigué d'être prise par ce coté et tu sais comme il est monté. Toi tu aimes, pas moi. Je n'ai jamais dis que je n'aimais pas ça à mon époux mais je le comprends et je suis bien obligé d'accepter ce qu'il veut. En parlant elle dévoilait son corps, aucuns poils ne cachaient son pubis et son abricot baillait un peu.
Moi c'est la que je l'aime. Il faudra tout faire pour l'amener à me prendre de ce coté même si je respecte ses choix.
Oui princesse, je comprends. Elle m'a pris la main, m'a fait avancer, sa main a pris ma petite queue entre les doigts. Tu n'es pas fait comme lui, à tout point de vue. Elle m'a décalotté d'un geste, dégageant mon gland qui commençait à mouiller. Oui vraiment pas comme lui. Tu as déjà aimé une femme? Physiquement?
Oui altesse.
Nous verrons cela avec lui. Mais toi tu ne dois pas faire mal à un petit trou. Pars maintenant.
Je suis sorti de sa chambre encore bandé et le toubib m'a dit de me la passer à l'eau froide avant de mettre le peignoir.On est retourné dans ma chambre.
Habille toi on doit passer à l'ambassade ppur les photos et tes empreintes. Ils s'occuperont de faire un passeport avec le quai d'Orsay. Ton ami Jeff est déjà passé pour cela. Bon je me suis vêtu . Mes affaires avaient été amenées la. Par qui? Mais tout était la. Une fois dehors une mercedes noire nous attendais et on a filé vers Paris. Le toubib ne disait rien. J'ai pu voir Paris comme je l'avais jamais vu et des quartiers où je n'étais jamais allé. La voiture a marqué un arrêt devant un portail puis on est entré dans une cour. Aller viens. On nous attend.
La prise de photo comme celle des empreintes àa été réalisée par un fonctionnaire français et on a pu sortir. Cette fois il m'a fait faire les boutiques mais vraiment pas les mêmes qu'à Beauvais. L'odeur de luxe qui régnait , mélange de cuir et de parfum pour homme était spécial pour moi. Par contre tout le personnel était plus efféminé que moi ce qui n'est pas peu dire. On m'a équipé de bas en haut, dessous et dessus de divers vêtements autant chauds que légers. J'ai évolué nu sans trop de gène parmi eux le temps qu'ils trouvent ce que le toubib indiquait. Même dans un petit salon privé , rester nu et être manipulé , caressé involontairement pas des mains insidieuses ne m'a pas empéché de bander sous le regard indulgent du toubib. Un moment de calme entre deux boutiques nous a permis de manger dans un salon, la encore privé. Un fonctionnaire est venu apporter mon passeport. J'étais bluffé par la rapidité de l'obtention. Pas le toubib qui l'a remercié. Une fois le mec parti il m'a repris le passeport. Tu n'en a pas besoin , il ne sert qu'à passer la douane. J'ai mangé de bon appêtit. Les plats étaient delicieux mais j'ai du penser à ne pas trop manger, c'était tellement bon. Le ballet des boutiques a repris l'après midi. Cette fois plus orienté dans les accessoires et sous vêtements. Je n'avais jamais porté de slip en soie mais c'était aussi doux qu'agréable, tellement fins. Une fois fini on est remonté en voiture et retourné à l'hôtel.
L'émir venait de rentrer. Le toubib m'a laissé , j'ai eu le temps de me doucher avant qu'il arrive.
Alors comment trouves tu Aïcha?
Très belle alt.. Pardon Rachid.
Par la suite tu devras la prendre par le petit trou pendant que je la ou te prendrais. Elle par la chatte et toi par tes fesses. En parlant je voyais son membre enfler sous sa tunique fine. J'ai pas eu à me forcer pour me mettre à genoux et soulever le tissus pour sucer son sexe. Il m'a tenu par la tête , me forçant la bouche, loin. Des réflexes de déglutitions me faisait baver sur sa queue mais il en riait. Il fau t'habituer. Et tu aimes ça avoue!
Oui Rachid. Il m'a plaqué au lit, torse dessus et cuisses dehors pour s'enfonçer dans mes fesses sans préparation. Heureusement j'étais ouvert et j'ai mordu le drap, feulant comme un chat,poussant de petits cris, des gémissements en cadence de son membre dans mon cul. C'était bon! Vraiment bon. Il a joui, continuant a limer dans son jus. Je savais plus trop ou j'étais quand il s'est dégagé pour se mettre la queue face à mon visage . J'ai été aspergé de son foutre par à-coups et j'ai nettoyé son bout.
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