Chair fraîche 7 Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Chair fraîche 7 Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse
ou réciprocitéGina est enceinte. Les choses n’ont pas traîné. Pendant toute la durée de notre vie commune, je m’en étais remis à ma compagne pour le calendrier des jours fastes ou non selon Ogino et cela nous avait réussi. Le choix de la date du mariage avait été fait en fonction de ce calendrier, car Gina voulait concevoir au cours de notre nuit de noces. Las, il avait fallu sacrifier à la coutume de l’enterrement de notre vie de célibataires avec nos amis. Gina et ses copines avaient fêté le jeudi avant le mariage.
J’avais invité quelques amis pour l’enterrement de ma vie de garçon de façon simple, mise à part la surprise de la strip-teaseuse sortie du traditionnel gâteau géant pour un rapide effeuillage. Boire et chanter, Chanter et boire. J’étais rentré très ‘’fatigué’’ et ne m’étais pas étonné de voir rentrer plus tard que moi une Gina elle aussi "Très fatiguée et éméchée". Le lendemain vendredi elle avait encore « mal aux cheveux »lors de la cérémonie à la mairie.
Il avait ensuite fallu terminer les derniers préparatifs et nous nous étions couchés tard et endormis aussitôt. Le samedi, jour de grande émotion, le mariage à l’église et la fête s’étaient déroulés à la satisfaction générale. Nous avions dansé toute la nuit. Quelques malheureux verres de vin avaient réveillé chez Gina l’esprit du vin invoqué avec excès le jeudi. Elle s’était couchée malade. La nuit avait été courte et nous avions présidé le dernier repas pour la famille venue de loin, l’estomac barbouillé.
Les excès d’énervement, de nourriture, de boisson, de danse avaient fait de Gina une mariée éprouvée et jusqu’au jeudi je n’avais pas voulu l’ennuyer en exerçant mes droits et devoirs de mari. Nous nous connaissions, rien ne pressait subitement. Si nos relations conjugales en avaient été retardées d’une semaine, Gina constata pourtant peu de temps après que ses règles ne revenaient pas. Le test de grossesse confirma qu’elle était enceinte. La nouvelle fut annoncée urbi et orbi.
Ce vendredi soir je vais faire seul les courses pour épargner ma chérie enceinte. En route je rencontre Huguette, notre jeune locataire. Elle souhaite me parler de choses importantes. Nous nous installons dans la cafétéria de la grande surface
Au cours de l’après-midi, alors qu’elle repassait dans la chaufferie, elle a entendu des éclats de voix. Son copain Antoine discutait avec Gina. Il lui demandait de le suivre parce que Julien, notre ancien locataire voulait lui parler. Gina refusait de l’accompagner à l’hôtel, elle ne voulait plus rencontrer Julien. Elle était mariée et voulait rester fidèle à son mari. Julien devait la laisser vivre en paix et Antoine également. Ignorant la présence d Huguette, son petit ami était parti, en proférant une sorte de menace
- Julien dit que si tu ne viens pas, il se vengera! Alors méfie-toi.
Je me félicite de la bonne conduite de Gina. Où Huguette veut-elle en venir?
- Ta femme t’a-t-elle parlé de l’enterrement de sa vie de jeune fille?
- Non, pas particulièrement pourquoi? S’est-il passé quelque chose d’anormal ?
-J’aurais préféré lui laisser le plaisir de raconter la partie scandaleuse de l'événement. Mais son silence m’étonne et je crains qu’Antoine y ait fait allusion cet après-midi.
-Puisque Gina t’avait invitée, tu devrais pouvoir me dire ce qui s’est passé. J’ai remarqué que Gina avait un peu trop bu. Que peux-tu me dire de plus?
-Nous nous sommes bien amusées, avons bu, dansé, ri, c’était une gentille fête. Vers la fin les serveurs ont apporté deux énormes gâteaux de la part de la direction ont-ils dit. C’étaient des bâtis en carton décoré comme des biscuits, ils représentaient des troncs d’arbres aux branches taillées. Un billet indiquait qu’une branche allait pousser et que les participantes devraient la prendre en bouche. Celle qui refuserait devrait boire une coupe de champagne au lieu de sucer le sucre qui enrobait la petite branche. Cela fit beaucoup rire. Les plus hardies réparties en deux groupes s’attaquèrent aux deux branches. Elles revenaient pliées en deux de rire. En fin de colonne, Gina découvrit que la branche nettoyée du sucre était un pénis maintenant bien enflé. Elle trouva le jeu stupide et préféra descendre une coupe de champagne.
Le jeu dura et après quelques coupes supplémentaires, encouragée par ses copines Gina se soumit au rituel et suça la vivante sucette. L’alcool avait eu raison de sa volonté. Alors les troncs d’arbres se fendirent en deux et deux hommes nus mais masqués en sortirent. Ils étaient deux au milieu de dix filles. Qui refuserait de danser devrait sous la pression du groupe boire une coupe par refus.
Gina refusa la première invitation, dut boire encore, mais savait-elle qu’elle était au-delà de ce qu’elle pouvait supporter? Le deuxième se présenta, elle ingurgita une nouvelle coupe. La règle changea: chaque refus serait sanctionné de la perte d’une partie de vêtement. Les filles échauffées applaudirent, moi aussi. La première nudité apparut, Gina fut nue aussitôt après et la règle l’obligea à danser nue contre les hommes nus à la verge menaçante. Après cette bacchanale, la table débarrassée finit par servir à deux accouplements.
N’ayant plus de vêtement à perdre Gina dut consommer encore une coupe. J’aurais dû intervenir, mais moi aussi j’étais ramollie par l’alcool et l’ambiance. Quand l’un des deux gaillards la pencha sur la table pour la prendre par derrière, Gina pleura, mais sans avoir la force de résister. Ses copines se mirent à applaudir au lieu de voler à son secours. Le type se mit à l’ouvrage. D’une main il la maintenait penchée, seins aplatis sur la table, de l’autre il écartait ses jambes, poussait des pieds ceux de Gina pour ouvrir l’angle des cuisses.
Les filles criaient
- Vive la mariée, vive la mariée. Allez vas-y, exerce-la, apprends-lui!
Une sorte de folie collective s’était emparée du groupe. Le deuxième compère, assis sur la table se glissa sous Gina, prit sa tête à deux mains, lui pinça le nez pour la forcer à ouvrir la bouche, lui battant une joue de sa verge dressée. Elle prit une respiration et il en profita pour se glisser entre ses lèvres.
- Suce, suce, criaient les copines.
Une main dans ses cheveux faisait coulisser les lèvres autour de la pine. Quand le premier s’enfonça dans le vagin ouvert de ses doigts enduits de cyprine cueillie à la source, Gina n’eut aucune réaction. Ils la pilonnaient aux deux bouts, elle était comme une viande inerte, battant des bras sur la surface de la table, de plus en plus lentement. Derrière elle le masque s’énervait, forçait l’allure, l’invectivait, lui demandait de mieux bouger son cul. L’autre de quelques claques sur les joues l’encourageait à sucer . Et alors qu’ils la besognaient depuis une éternité, Gina se mit à gémir, à râler, à grogner toujours bouche encombrée. Les cris reprirent
- La mariée jouit, joui, joui jouit.
Derrière elle le type se raidit et fut secoué de spasmes. Avec un flop de bouchon de champagne il dégaina, une coulée de sperme tomba sur le plancher. Ils permutèrent.
- Nettoie mon zizi. Dit-il en s’asseyant devant elle. L’autre entreprit de la pénétrer et de la bourrer consciencieusement. Il y mettait moins de rage que le premier assaillant, mais menait bon train. Des filles se masturbaient sans vergogne, s'autres s'enlaçaient; la fête tournait à l'orgie.
L’ambiance baissa. Les vapeurs d’alcool s’évaporaient, certaines copines trouvèrent que ces deux inconnus exagéraient. J’entendis que tu devais être l’un des deux. C’était le mari qui…La rumeur fit le tour de la salle. Les plus scandalisées se calmèrent. Le meneur quitta la table, trouva dans le gâteau un appareil photo, nous mit en demi cercle autour des deux acteurs courant après l’orgasme et prit quelques photos souvenirs.
Le type se retira du vagin de la future épouse sans éjaculer. A ce moment le groupe voulut te démasquer, des filles sautèrent sur les hommes. Nous nous sommes retrouvées face à Julien, le meneur et Antoine son complice. Là, toutes devinrent muettes, se regardèrent déçues et gênées. Elles commencèrent à s’éclipser derrière les deux cochons mis en fuite. J’ai appelé un taxi, j’ai douché Gina soûle et épuisée dans la salle de bain du bas et je l’ai fait monter quand elle a eu retrouvé quelque peu ses esprits.
- C'est horrible ! Pourvu qu'elle n'ait pas organisé ce désordre! Mais pourquoi ne m'a-t-elle rien dit?
-La veille du mariage? Qu’aurais-tu décidé? Elle craignait que tu ne refuses de te marier. Elle t’aime. Elle ne voulait pas que tu puisses la soupçonner d’avoir monté le coup pour te berner: Depuis elle vit dans la terreur de voir reparaître Julien et Antoine. Jusqu’à aujourd’hui Antoine n’est plus venu ici. Je l’ai rencontré, il m’a expliqué que tous deux pensaient agir incognito à l'abri des masques. Personne n’aurait pu savoir qui ils étaient sans la réaction inattendue de quelques filles qui voulaient confondre le mari. Je ne veux plus le voir. As-tu remarqué l’air gêné de la plupart des copines au mariage. Gina a eu bien du mal à s’en remettre. Et maintenant, je suis persuadée que ces deux salopards vont vouloir la faire chanter. J’aurais dû m’en douter. Voilà, je t’ai dit ce que je pensais devoir te révéler. Ai-je bien fait?
- Certainement. Tu viens peut-être de sauver notre mariage. Tu es une amie précieuse.
- Si je pouvais rencontrer un homme comme toi! Pourquoi suis-je tombée sur ces deux dégoûtants?
- Sois patiente.
A mon retour Gina avait les yeux rouges.
- Ne t’inquiète pas. Les femmes enceintes font parfois des dépressions.
- Viens dans mes bras. Embrasse-moi. Maintenant, je voudrais que tu me parles franchement, sans rien me cacher d’un événement dont nous avons oublié de discuter. Sans crainte, sûre de mon amour, raconte-moi, s’il te plaît, la soirée de ton enterrement de ta vie de fille.
- Quoi, ils t’en ont déjà parlé! Ils veulent nous détruire?
Elle éclate en larmes, inconsolable, désespérée. Je la berce, je l’embrasse serrée dans mes bras. Enfin elle se libère, reprend à sa façon le récit d’Huguette. Avec en plus, ce que notre locataire ignore, l’aveu d’avoir joui et d’avoir été secouée d’un frisson formidable pendant que Julien la remplissait de son sperme. Et les larmes reprennent de plus belle. Pourquoi? D’après ses calculs, elle porte bien malgré elle l’enfant de Julien: c’est sa punition pour tout le mal qu’elle m’avait fait! Une fois de plus la victime se prend pour la coupable. Si elle avait connu son état, elle aurait annulé le mariage. De peur de me perdre elle ne m’en a pas parlé. Si je le veux elle m’accordera le divorce et s’en ira loin de chez nous.
- Avais-tu commandé l’intervention de ces gaillards, étais-tu consentante?
- Non. Au début j'ai pensé que c'était une farce montée par toi et tes amis.
- Qu’attendent-ils de toi?
- Antoine est venu me menacer de tout te raconter, preuves à l’appui, si je ne me rends pas dans la chambre d’hôtel de Julien vendredi à 14 heures. Ils veulent me prendre à deux. Ca me fera du bien et il faut le faire pour le bien de l’enfant de Julien qui baignera dans le sperme de son père et de son parrain.
Elle a peine à terminer sa phrase, les sanglots repartent.
- Comptes-tu t’y rendre?
- Si Julien voulait reconnaître son enfant et l’élever? Je ne sais pas, je suis perdue
- Me fais-tu confiance?
- Oui. M’aimes-tu encore, malgré ça? J’ai honte.
Je lui conseille d’écrire à Julien. Qu’il vienne vendredi à la maison à l’heure prévue, ce sera plus discret. Il pourra lui faire connaître ses intentions à propos de son enfant. Ils doivent en discuter. Je déposerai le mot à l’hôtel. Et nous attendrons le violeur. Je vais lui faire regretter d’être né.
Le vendredi, aucune trace de ma présence. Gina lui ouvre la partie piétonne de la porte du garage, il entre, prend un grand coup de manche de bêche sur l’épaule et s’effondre. Antoine le voit tomber, se précipite et cueille le deuxième coup d’assommoir sur le dos. Gina et Huguette les dévêtent. Je les entrave avec du fil électrique souple. Allongés côte à côte sur la dalle fraîche du garage, zigounettes masturbées par les deux femmes victimes, ils croient en tirer du plaisir. Je plante un entonnoir dans chaque bouche et je les abreuve de gros rouge. Ils toussent, gaspillent mais finissent par avaler.
Chaque protestation donne droit à une rasade supplémentaire. Chaque refus de protester est suivi d’une double dose. J'imite leur conduite lors de la fête de Gina. Ils bavent, recrachent parfois; peu importe j’ai prévu de les soûler comme ils l’ont fait de Gina. Eh! Oui, je suis au courant et leurs photos tirées du sac de Julien serviront à prouver le viol !
Ils réclament pitié, attendriraient leurs victimes. Ils ont assez bu, ils peuvent cuver. J’envoie Gina et Huguette préparer un café. Elles nous quittent. Je les bâillonne. Je les couche sur le ventre. J’ai une pelle et une bêche. Je trempe les manches aux extrémités arrondies dans un récipient d’huile de vidange. A Antoine j’enfile en forçant le manche de bêche dans le trou du cul. Le manche de la pelle, de diamètre supérieur va déchirer les entrailles de Julien. Leurs hurlements étouffés par le scotch ne m’émeuvent pas. On n’a pas le droit de se faire justice soi-même? Ils pourront aller se plaindre. Quand j’ai introduit 20 centimètres dans chaque boyau, je laisse tomber la bêche ou la pelle à terre où elles sont agitées de rebonds bienfaisants pour mes chers amis. Je vérifie les liens et abandonne les deux emmanchés pour aller boire un café.
Quand je reviens leurs yeux demandent grâce. Qu’ils espèrent. A l’étage Gina pleure: je ne le leur pardonnerai jamais ces larmes. J’arrache les manches. Ils hurlent de douleur. L’huile de vidange a adouci la peine. J’ai descendu mon rasoir couteau. Je leur fais gratis une coupe Barthes. Crânes rasés on dirait des jumeaux. J’ai oublié la mousse à raser, mais tous les poils de leur corps disparaissent. Pour le pubis je demande l’intervention des victimes. D’une main elles soulèvent les pénis, de l’autre elles nettoient le périmètre. Les yeux fous, ils reçoivent le prix des humiliations infligées aux deux femmes. Nus comme des vers, de la tête aux pieds, ils commencent à comprendre qu’ils ne sont pas là pour une partie de plaisir.
-Julien, tu crois être le père de l’enfant de Gina. Tu voulais le nourrir de sperme dans le ventre de sa mère. Epouseras-tu Gina et élèveras-tu cet enfant?
J’arrache le bâillon
- Allez-vous faire enculer, toi et ta grosse vache.
Je ne devrais pas frapper un type à terre. Pourquoi aussi m’énerve-t-il ? Gina vient de perdre ses dernières illusions si elle en avait encore. Je replace un bâillon, demande aux femmes de faire bander Antoine. A deux elles s’activent sur le malheureux. Julien se retrouve sur le ventre. Il a parlé d’enculé?
Nous déposons Antoine sur le dos de Julien, Huguette se fait un plaisir de placer le vit glorieux d’Antoine sur l’œilleton dilaté par le manche de bêche et il profite des restes d’huile de vidange pour glisser dans le trou. Une volée de claques sur les fesses de l’incube lui donne le mouvement. Du pied je l’empêche de sortir du fourreau fourré. Il éjacule péniblement après avoir longuement paressé. A son tour couché sur le ventre, il offre son cul forcé par le manche de bêche à l’oiseau violeur de Julien bien entretenu par les mains habiles de son instructrice. Il faut l’encourager à perforer l’intestin du succube. Je sais faire et Julien pompe, pompe. Hélas le membre flapi perd de sa consistance dès l’éjaculation.
Mon arrosoir plein d’eau intrigue Julien. Je dirige le verseur vers les fesses d’Antoine. Il comprend, veut parler. Je libère sa bouche. Il devient poli, jure qu’il réparera, qu’il épousera Gina, élèvera son enfant. Personne ne le croit. Il consent à signer des aveux, à démissionner de son poste par lettre et à quitter la région. La même menace obtient d’Antoine le même résultat. Ils n’aiment pas l’eau qui remonte dans les intestins, qu’ils y conservent le sperme! Couchés sur le ventre, ils n’ont pas une belle écriture.
Ils ont disparu, c’est l’essentiel.
On ne parlera plus de ces deux violeurs après l’IVG demandée par Gina.
J’avais invité quelques amis pour l’enterrement de ma vie de garçon de façon simple, mise à part la surprise de la strip-teaseuse sortie du traditionnel gâteau géant pour un rapide effeuillage. Boire et chanter, Chanter et boire. J’étais rentré très ‘’fatigué’’ et ne m’étais pas étonné de voir rentrer plus tard que moi une Gina elle aussi "Très fatiguée et éméchée". Le lendemain vendredi elle avait encore « mal aux cheveux »lors de la cérémonie à la mairie.
Il avait ensuite fallu terminer les derniers préparatifs et nous nous étions couchés tard et endormis aussitôt. Le samedi, jour de grande émotion, le mariage à l’église et la fête s’étaient déroulés à la satisfaction générale. Nous avions dansé toute la nuit. Quelques malheureux verres de vin avaient réveillé chez Gina l’esprit du vin invoqué avec excès le jeudi. Elle s’était couchée malade. La nuit avait été courte et nous avions présidé le dernier repas pour la famille venue de loin, l’estomac barbouillé.
Les excès d’énervement, de nourriture, de boisson, de danse avaient fait de Gina une mariée éprouvée et jusqu’au jeudi je n’avais pas voulu l’ennuyer en exerçant mes droits et devoirs de mari. Nous nous connaissions, rien ne pressait subitement. Si nos relations conjugales en avaient été retardées d’une semaine, Gina constata pourtant peu de temps après que ses règles ne revenaient pas. Le test de grossesse confirma qu’elle était enceinte. La nouvelle fut annoncée urbi et orbi.
Ce vendredi soir je vais faire seul les courses pour épargner ma chérie enceinte. En route je rencontre Huguette, notre jeune locataire. Elle souhaite me parler de choses importantes. Nous nous installons dans la cafétéria de la grande surface
Au cours de l’après-midi, alors qu’elle repassait dans la chaufferie, elle a entendu des éclats de voix. Son copain Antoine discutait avec Gina. Il lui demandait de le suivre parce que Julien, notre ancien locataire voulait lui parler. Gina refusait de l’accompagner à l’hôtel, elle ne voulait plus rencontrer Julien. Elle était mariée et voulait rester fidèle à son mari. Julien devait la laisser vivre en paix et Antoine également. Ignorant la présence d Huguette, son petit ami était parti, en proférant une sorte de menace
- Julien dit que si tu ne viens pas, il se vengera! Alors méfie-toi.
Je me félicite de la bonne conduite de Gina. Où Huguette veut-elle en venir?
- Ta femme t’a-t-elle parlé de l’enterrement de sa vie de jeune fille?
- Non, pas particulièrement pourquoi? S’est-il passé quelque chose d’anormal ?
-J’aurais préféré lui laisser le plaisir de raconter la partie scandaleuse de l'événement. Mais son silence m’étonne et je crains qu’Antoine y ait fait allusion cet après-midi.
-Puisque Gina t’avait invitée, tu devrais pouvoir me dire ce qui s’est passé. J’ai remarqué que Gina avait un peu trop bu. Que peux-tu me dire de plus?
-Nous nous sommes bien amusées, avons bu, dansé, ri, c’était une gentille fête. Vers la fin les serveurs ont apporté deux énormes gâteaux de la part de la direction ont-ils dit. C’étaient des bâtis en carton décoré comme des biscuits, ils représentaient des troncs d’arbres aux branches taillées. Un billet indiquait qu’une branche allait pousser et que les participantes devraient la prendre en bouche. Celle qui refuserait devrait boire une coupe de champagne au lieu de sucer le sucre qui enrobait la petite branche. Cela fit beaucoup rire. Les plus hardies réparties en deux groupes s’attaquèrent aux deux branches. Elles revenaient pliées en deux de rire. En fin de colonne, Gina découvrit que la branche nettoyée du sucre était un pénis maintenant bien enflé. Elle trouva le jeu stupide et préféra descendre une coupe de champagne.
Le jeu dura et après quelques coupes supplémentaires, encouragée par ses copines Gina se soumit au rituel et suça la vivante sucette. L’alcool avait eu raison de sa volonté. Alors les troncs d’arbres se fendirent en deux et deux hommes nus mais masqués en sortirent. Ils étaient deux au milieu de dix filles. Qui refuserait de danser devrait sous la pression du groupe boire une coupe par refus.
Gina refusa la première invitation, dut boire encore, mais savait-elle qu’elle était au-delà de ce qu’elle pouvait supporter? Le deuxième se présenta, elle ingurgita une nouvelle coupe. La règle changea: chaque refus serait sanctionné de la perte d’une partie de vêtement. Les filles échauffées applaudirent, moi aussi. La première nudité apparut, Gina fut nue aussitôt après et la règle l’obligea à danser nue contre les hommes nus à la verge menaçante. Après cette bacchanale, la table débarrassée finit par servir à deux accouplements.
N’ayant plus de vêtement à perdre Gina dut consommer encore une coupe. J’aurais dû intervenir, mais moi aussi j’étais ramollie par l’alcool et l’ambiance. Quand l’un des deux gaillards la pencha sur la table pour la prendre par derrière, Gina pleura, mais sans avoir la force de résister. Ses copines se mirent à applaudir au lieu de voler à son secours. Le type se mit à l’ouvrage. D’une main il la maintenait penchée, seins aplatis sur la table, de l’autre il écartait ses jambes, poussait des pieds ceux de Gina pour ouvrir l’angle des cuisses.
Les filles criaient
- Vive la mariée, vive la mariée. Allez vas-y, exerce-la, apprends-lui!
Une sorte de folie collective s’était emparée du groupe. Le deuxième compère, assis sur la table se glissa sous Gina, prit sa tête à deux mains, lui pinça le nez pour la forcer à ouvrir la bouche, lui battant une joue de sa verge dressée. Elle prit une respiration et il en profita pour se glisser entre ses lèvres.
- Suce, suce, criaient les copines.
Une main dans ses cheveux faisait coulisser les lèvres autour de la pine. Quand le premier s’enfonça dans le vagin ouvert de ses doigts enduits de cyprine cueillie à la source, Gina n’eut aucune réaction. Ils la pilonnaient aux deux bouts, elle était comme une viande inerte, battant des bras sur la surface de la table, de plus en plus lentement. Derrière elle le masque s’énervait, forçait l’allure, l’invectivait, lui demandait de mieux bouger son cul. L’autre de quelques claques sur les joues l’encourageait à sucer . Et alors qu’ils la besognaient depuis une éternité, Gina se mit à gémir, à râler, à grogner toujours bouche encombrée. Les cris reprirent
- La mariée jouit, joui, joui jouit.
Derrière elle le type se raidit et fut secoué de spasmes. Avec un flop de bouchon de champagne il dégaina, une coulée de sperme tomba sur le plancher. Ils permutèrent.
- Nettoie mon zizi. Dit-il en s’asseyant devant elle. L’autre entreprit de la pénétrer et de la bourrer consciencieusement. Il y mettait moins de rage que le premier assaillant, mais menait bon train. Des filles se masturbaient sans vergogne, s'autres s'enlaçaient; la fête tournait à l'orgie.
L’ambiance baissa. Les vapeurs d’alcool s’évaporaient, certaines copines trouvèrent que ces deux inconnus exagéraient. J’entendis que tu devais être l’un des deux. C’était le mari qui…La rumeur fit le tour de la salle. Les plus scandalisées se calmèrent. Le meneur quitta la table, trouva dans le gâteau un appareil photo, nous mit en demi cercle autour des deux acteurs courant après l’orgasme et prit quelques photos souvenirs.
Le type se retira du vagin de la future épouse sans éjaculer. A ce moment le groupe voulut te démasquer, des filles sautèrent sur les hommes. Nous nous sommes retrouvées face à Julien, le meneur et Antoine son complice. Là, toutes devinrent muettes, se regardèrent déçues et gênées. Elles commencèrent à s’éclipser derrière les deux cochons mis en fuite. J’ai appelé un taxi, j’ai douché Gina soûle et épuisée dans la salle de bain du bas et je l’ai fait monter quand elle a eu retrouvé quelque peu ses esprits.
- C'est horrible ! Pourvu qu'elle n'ait pas organisé ce désordre! Mais pourquoi ne m'a-t-elle rien dit?
-La veille du mariage? Qu’aurais-tu décidé? Elle craignait que tu ne refuses de te marier. Elle t’aime. Elle ne voulait pas que tu puisses la soupçonner d’avoir monté le coup pour te berner: Depuis elle vit dans la terreur de voir reparaître Julien et Antoine. Jusqu’à aujourd’hui Antoine n’est plus venu ici. Je l’ai rencontré, il m’a expliqué que tous deux pensaient agir incognito à l'abri des masques. Personne n’aurait pu savoir qui ils étaient sans la réaction inattendue de quelques filles qui voulaient confondre le mari. Je ne veux plus le voir. As-tu remarqué l’air gêné de la plupart des copines au mariage. Gina a eu bien du mal à s’en remettre. Et maintenant, je suis persuadée que ces deux salopards vont vouloir la faire chanter. J’aurais dû m’en douter. Voilà, je t’ai dit ce que je pensais devoir te révéler. Ai-je bien fait?
- Certainement. Tu viens peut-être de sauver notre mariage. Tu es une amie précieuse.
- Si je pouvais rencontrer un homme comme toi! Pourquoi suis-je tombée sur ces deux dégoûtants?
- Sois patiente.
A mon retour Gina avait les yeux rouges.
- Ne t’inquiète pas. Les femmes enceintes font parfois des dépressions.
- Viens dans mes bras. Embrasse-moi. Maintenant, je voudrais que tu me parles franchement, sans rien me cacher d’un événement dont nous avons oublié de discuter. Sans crainte, sûre de mon amour, raconte-moi, s’il te plaît, la soirée de ton enterrement de ta vie de fille.
- Quoi, ils t’en ont déjà parlé! Ils veulent nous détruire?
Elle éclate en larmes, inconsolable, désespérée. Je la berce, je l’embrasse serrée dans mes bras. Enfin elle se libère, reprend à sa façon le récit d’Huguette. Avec en plus, ce que notre locataire ignore, l’aveu d’avoir joui et d’avoir été secouée d’un frisson formidable pendant que Julien la remplissait de son sperme. Et les larmes reprennent de plus belle. Pourquoi? D’après ses calculs, elle porte bien malgré elle l’enfant de Julien: c’est sa punition pour tout le mal qu’elle m’avait fait! Une fois de plus la victime se prend pour la coupable. Si elle avait connu son état, elle aurait annulé le mariage. De peur de me perdre elle ne m’en a pas parlé. Si je le veux elle m’accordera le divorce et s’en ira loin de chez nous.
- Avais-tu commandé l’intervention de ces gaillards, étais-tu consentante?
- Non. Au début j'ai pensé que c'était une farce montée par toi et tes amis.
- Qu’attendent-ils de toi?
- Antoine est venu me menacer de tout te raconter, preuves à l’appui, si je ne me rends pas dans la chambre d’hôtel de Julien vendredi à 14 heures. Ils veulent me prendre à deux. Ca me fera du bien et il faut le faire pour le bien de l’enfant de Julien qui baignera dans le sperme de son père et de son parrain.
Elle a peine à terminer sa phrase, les sanglots repartent.
- Comptes-tu t’y rendre?
- Si Julien voulait reconnaître son enfant et l’élever? Je ne sais pas, je suis perdue
- Me fais-tu confiance?
- Oui. M’aimes-tu encore, malgré ça? J’ai honte.
Je lui conseille d’écrire à Julien. Qu’il vienne vendredi à la maison à l’heure prévue, ce sera plus discret. Il pourra lui faire connaître ses intentions à propos de son enfant. Ils doivent en discuter. Je déposerai le mot à l’hôtel. Et nous attendrons le violeur. Je vais lui faire regretter d’être né.
Le vendredi, aucune trace de ma présence. Gina lui ouvre la partie piétonne de la porte du garage, il entre, prend un grand coup de manche de bêche sur l’épaule et s’effondre. Antoine le voit tomber, se précipite et cueille le deuxième coup d’assommoir sur le dos. Gina et Huguette les dévêtent. Je les entrave avec du fil électrique souple. Allongés côte à côte sur la dalle fraîche du garage, zigounettes masturbées par les deux femmes victimes, ils croient en tirer du plaisir. Je plante un entonnoir dans chaque bouche et je les abreuve de gros rouge. Ils toussent, gaspillent mais finissent par avaler.
Chaque protestation donne droit à une rasade supplémentaire. Chaque refus de protester est suivi d’une double dose. J'imite leur conduite lors de la fête de Gina. Ils bavent, recrachent parfois; peu importe j’ai prévu de les soûler comme ils l’ont fait de Gina. Eh! Oui, je suis au courant et leurs photos tirées du sac de Julien serviront à prouver le viol !
Ils réclament pitié, attendriraient leurs victimes. Ils ont assez bu, ils peuvent cuver. J’envoie Gina et Huguette préparer un café. Elles nous quittent. Je les bâillonne. Je les couche sur le ventre. J’ai une pelle et une bêche. Je trempe les manches aux extrémités arrondies dans un récipient d’huile de vidange. A Antoine j’enfile en forçant le manche de bêche dans le trou du cul. Le manche de la pelle, de diamètre supérieur va déchirer les entrailles de Julien. Leurs hurlements étouffés par le scotch ne m’émeuvent pas. On n’a pas le droit de se faire justice soi-même? Ils pourront aller se plaindre. Quand j’ai introduit 20 centimètres dans chaque boyau, je laisse tomber la bêche ou la pelle à terre où elles sont agitées de rebonds bienfaisants pour mes chers amis. Je vérifie les liens et abandonne les deux emmanchés pour aller boire un café.
Quand je reviens leurs yeux demandent grâce. Qu’ils espèrent. A l’étage Gina pleure: je ne le leur pardonnerai jamais ces larmes. J’arrache les manches. Ils hurlent de douleur. L’huile de vidange a adouci la peine. J’ai descendu mon rasoir couteau. Je leur fais gratis une coupe Barthes. Crânes rasés on dirait des jumeaux. J’ai oublié la mousse à raser, mais tous les poils de leur corps disparaissent. Pour le pubis je demande l’intervention des victimes. D’une main elles soulèvent les pénis, de l’autre elles nettoient le périmètre. Les yeux fous, ils reçoivent le prix des humiliations infligées aux deux femmes. Nus comme des vers, de la tête aux pieds, ils commencent à comprendre qu’ils ne sont pas là pour une partie de plaisir.
-Julien, tu crois être le père de l’enfant de Gina. Tu voulais le nourrir de sperme dans le ventre de sa mère. Epouseras-tu Gina et élèveras-tu cet enfant?
J’arrache le bâillon
- Allez-vous faire enculer, toi et ta grosse vache.
Je ne devrais pas frapper un type à terre. Pourquoi aussi m’énerve-t-il ? Gina vient de perdre ses dernières illusions si elle en avait encore. Je replace un bâillon, demande aux femmes de faire bander Antoine. A deux elles s’activent sur le malheureux. Julien se retrouve sur le ventre. Il a parlé d’enculé?
Nous déposons Antoine sur le dos de Julien, Huguette se fait un plaisir de placer le vit glorieux d’Antoine sur l’œilleton dilaté par le manche de bêche et il profite des restes d’huile de vidange pour glisser dans le trou. Une volée de claques sur les fesses de l’incube lui donne le mouvement. Du pied je l’empêche de sortir du fourreau fourré. Il éjacule péniblement après avoir longuement paressé. A son tour couché sur le ventre, il offre son cul forcé par le manche de bêche à l’oiseau violeur de Julien bien entretenu par les mains habiles de son instructrice. Il faut l’encourager à perforer l’intestin du succube. Je sais faire et Julien pompe, pompe. Hélas le membre flapi perd de sa consistance dès l’éjaculation.
Mon arrosoir plein d’eau intrigue Julien. Je dirige le verseur vers les fesses d’Antoine. Il comprend, veut parler. Je libère sa bouche. Il devient poli, jure qu’il réparera, qu’il épousera Gina, élèvera son enfant. Personne ne le croit. Il consent à signer des aveux, à démissionner de son poste par lettre et à quitter la région. La même menace obtient d’Antoine le même résultat. Ils n’aiment pas l’eau qui remonte dans les intestins, qu’ils y conservent le sperme! Couchés sur le ventre, ils n’ont pas une belle écriture.
Ils ont disparu, c’est l’essentiel.
On ne parlera plus de ces deux violeurs après l’IVG demandée par Gina.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Comment ce cher Louis présenté come un beau parti, malin rusé se laisse berner de cette manière par sa femme ???? Je comprends pas comment Accent peut dresser son portrait de cette manière pour ensuite lui faire avaler des couleuvres de 100 mètres. Dommage car elle ne mérite que la répudiation! Encore plus quand Louis lui laisse le choix et qu’elle tente d’abord sa chance avec son jeune puceau! Babayaga
La fin est nulle tout comme l’explication de l enterrement de vie de jeune fille …. C est bcp trop décousu pour vraiment accroché a l’histoire et c est dommage car il y avait matière de sortir qq chose de louable …. Et je ne dirais rien sur la passivité lors des précédents chapitres du cocu qui pardonne bien vite … ca doit etre son grand âge