Changement de régime - Partie 3 : La punition
Récit érotique écrit par Ginger [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 26 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.3
- • L'ensemble des récits érotiques de Ginger ont reçu un total de 314 213 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-11-2011 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 13 136 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Changement de régime - Partie 3 : La punition
- Qu'est-ce que tu fais, demande Nadine ?
- On ne va pas le recevoir à poil !
- Tu n'es pas dans la situation de l'ouvrir. Adopte un profil bas, bien bas, cela vaut mieux pour toi après ce que tu m'as appris et en attendant que tu m'en fournisses les détails.
Daniel est suffoqué de tant d'audace chez sa femme. Elle qui s'est permise les manigances et traitrises qu'il connaît ose lui faire la morale ! Mais comme il ne veut pas lui avouer qu'il est au courant, croyant être ainsi en position de force, il ne peut pas répliquer.
- Pour ta gouverne, je vais lui ouvrir dans cette tenue, et toi aussi tu resteras entèrement nu. C'est un copain, je lui expliquerai devant toi pourquoi je ne peux pas faire l'amour avec mon mari sans utiliser de capotes ; il nous rend service, il peut bien se rincer l'oeil ! Il n'en croit pas ses oreilles !
- N'est-ce pas mon chéri, ajoute-t-elle en lui pelotant les fesses d'un air badin ?
Daniel n'a pas le temps de répondre, la sonnerie retentit à la porte. Nadine ouvre aussitôt.
L'homme qui entre est celui qui l'a sodomisée devant lui sur la plage. Il a un mouvement de surprise devant leur tenue, mais se reprend bien vite et embrasse son amie en lui disant :
- Tu es superbe comme ça !
- Jean-Louis, je te présente Daniel, mon mari.
- Daniel, voici Jean-Louis, un copain qui s'est dérangé exprès pour nous dépanner.
Jean-Louis attrape la main de Daniel et la lui serre vigoureusement.
- Enchanté, mon cher, j'adore ta femme !
Daniel ne répond pas.
- Il est gonflé, celui-là, se dit-il !
- Tu pourrais le remercier quand même, lui dit Nadine d'un ton de reproche.
- Merci de vous être déplacé.
- Ce n'est rien, rien que le spectacle en valait la peine.
Nadine approche sa poitrine du visage de Jean-Louis et lui prend la main.
- Tu peux même vérifier que c'est du vrai si tu veux, s'amuse-t-elle en lorgnant Daniel du coin de l'oeil.
Jean-Louis ne se fait pas prier et Nadine se dandine en riant aux éclats.
- Figure-toi que mon coquin de mari a trouvé le moyen de filer doux avec je ne sais trop qui sans prendre de précautions.
- Oh, lui fait Jean-Louis en mimant un air réprobateur !
- Du coup, reprend Nadine, je ne peux plus me permettre de ne pas en prendre avec lui.
- Evidemment, renchérit Jean-Louis. Quelle idée aussi quand tu as une si belle femme à ta disposition ...
Et il en profite pour lui peloter les fesses en plus des seins dans la foulée.
- Mais non content d'être infidèle et imprévoyant, voilà qu'il est aussi inconséquent.
- Ah oui, là non, ta femme est trop bonne d'accepter de faire encore l'amour avec toi !
Daniel a envie de le tuer ...
Cette situation est d'un burlesque ! Tous les deux à poil devant ce guignol qui n'attend qu'une chose, c'est de sauter une fois de plus sa femme ... et qui la pelote carrément sans complexe devant lui, son époux légitime !
- Pour la peine, Jean-Louis, installe-toi dans le salon, sers-toi à boire pendant que mon mari et moi pouvons enfin fêter nos retrouvailles.
- Ah oui, c'est vrai qu'il t'a laissée toute seule pendant ...
Il ne poursuit pas sa phrase et se dirige vers le salon sans que Nadine ait eu besoin de lui montrer le chemin. Daniel s'en fait la remarque : "autrement dit, avant les vacances à la plage aux Canaries, pendant qu'il bossait, l'autre fumier venait se taper sa femme !"
- Elle n'a quand même pas l'intention que nous nous donnions encore plus en spectacle devant lui, se dit Daniel !
- C'est notre intimité quand même, tente-t-il.
La paire de claque qu'il reçoit lui rappelle la précédente. Jamais Nadine ne l'avait giflé auparavant !!!
- A genoux !
Daniel se met à comprendre. Elle se sent forte maintenant qu'elle a son Jean-Louis avec elle ... Et si Jean-Louis ne suffit pas, il y en a trois autres, prêts à venir à la rescousse.
Il se met à genoux.
- Baisse la tête.
Il obéit.
- A plat ventre.
Il s'exécute.
- Lèche-moi les pieds.
Il lui lèche les pieds.
- Suis-moi à quatre pattes dans le séjour.
Jean-Louis ferme la marche. Nadine s'allonge sur un divan, Jean-Louis se déplace pour s'asseoir à côté d'elle.
- Reviens me lécher les pieds, puis remonte petit à petit juqu'à ma chatte sans relever la tête et fais-moi jouir avec ta langue jusqu'à ce que je te donne un autre ordre.
Pendant que Daniel lui obéit, elle montre à Jean-Louis le bar. Il se lève et se sert, puis vient se coller tout contre elle. Elle pose la main disponible de Jean-Louis sur sa cuisse ; puis elle lui fait signe de poser son verre pour poser l'autre main sur l'un de ses seins ; Jean-Louis la palpe délicatement et Nadine se laisse aller avec jubilation.
Daniel comprend ce qui se passe à l'étage supérieur, mais il n'ose pas désobéir à sa femme ; d'ailleurs un frisson de plaisir nouveau le parcourt tout entier en sentant que sa propre femme est en train de se faire caresser par l'un de ses amants pendant qu'il lui lèche les cuisses consciencieusement. Alors qu'elle ne le lui a pas demandé, il la caresse aussi de ses mains ; loin de s'en offusquer, elle relève même ses fesses pour permettre à l'une des mains de Daniel de se glisser entre elle et le divan, et guide l'autre vers son pubis. Lorsque la langue de Daniel atteint son sexe, Nadine emprisonne sa tête entre ses cuisses. Elle agrippe alors Jean-Louis par les cheveux et l'embrasse à pleine bouche. Puis elle lui sussure à l'oreille :
- Suce-moi les seins !
Jean-Louis s'exécute. Au bout d'un moment elle l'écarte, lui fait signe de se dévêtir, de s'installer à quatre pattes au dessus de sa tête pour lui sucer les seins pendant qu'elle lui happe la verge de sa bouche.
Lorsqu'elle hurle de plaisir, Daniel croit que Nadine va enfin le libérer, mais elle maintient sa pression encore un bon moment ... jusqu'à ce que Jean-Louis se soit déversé dans sa bouche. Puis elle l'écarte doucement, lui fait signe de lui passer un préservatif et attrape Daniel par les cheveux pour le faire remonter jusqu'à sa poitrine et la lui faire sucer. D'un geste habile elle habille le penis de Daniel d'un préservatif et se l'enfonce. Il accepte bien qu'il ait pu constater la nudité de Jean-Louis ; de toutes façons, il se doutait bien ce qui se passait au-dessus de sa tête. Mais au lieu de la fouiller, comme il le fait habituellement avec ses partenaires, il pratique le mouvement de va-et-vient traditionnel. En revanche il s'applique à bien lécher les seins de sa femme, même s'il sait bien qu'il récupère la salive de son prédécesseur. Lui qui ne voulait pas être contaminé !
Nadine lui attrape la tête et l'oblige à la remonter au niveau de la sienne pour l'embrasser. Il sent l'odeur du sperme et est pris d'un haut-le-coeur de dégoût. Elle lui glisse à l'oreille :
- Tu veux que je te gifle ou tu vas m'obéir ?
- Mais ton amant t'a éjaculé dans la bouche.
- Et alors ? Tu n'as pas une maîtresse, toi ? C'est comme ça. Ce sera ta punition. MES amants me prendront sans préservatifs et tu me nettoieras après leur passage lorsque tu seras là pour assister à ce qu'ils me feront, comme Jean-Louis tout-à-l'heure. Ce n'est même pas à prendre ou à laisser, ce sera toujours comme ça maintenant, mon chéri.
Elle colle sa bouche contre celle de son mari, fourre sa langue à l'intérieur de la sienne. Résigné, il se soumet. Il lui carresse la tête, le cou, le dos, les seins. Ses mouvements en elle se font plus violents. Nadine est aux anges, elle a gagné.
Elle demande à Daniel de ralentir le rythme pour que Jean-Louis puisse la pénétrer par derrière en même temps. Ils se tournent et Daniel se retrouve sous son épouse. Comme dans la manœuvre, Daniel est malencontreusement ressorti de l'antre de son épouse, Jean-Louis commence par en écarter lui-même l'entrée de ses mains pour y repositionner sa maîtresse. Il vient alors prendre sa place préférée. Nadine ordonne à Daniel de lui caresser le visage pour libérer sa poitrine afin que Jean-Louis puisse en disposer à sa guise. C'est Daniel qui éjacule le premier. Nadine se retourne alors et Jean-Louis vient alors prendre sa place. Lorsqu'il se déverse en elle, Nadine ordonne à Daniel de la nettoyer en la suçant.
Daniel vient se mettre à quatre pattes au niveau des organes génitaux de sa femme et entreprend de la lécher pendant que Nadine suce elle-même Jean-Louis.
La nuit est déjà bien avancée et Nadine estime avoir remporté une belle victoire. Elle décide de mettre fin à la partie en attendant la prochaine, pour permettre à Daniel d'arriver à son travail pas trop fatigué.
- Il est tard, si nous allions nous coucher ! Daniel doit aller travailler demain, et il faut conduire les enfants à l'école.
- Je m'en vais, réponds Jean-Louis.
- Tu peux dormir avec nous, nous allons te faite une place dans notre lit, n'est-ce pas mon chéri ?
- C'est toi qui décide.
Il reçoit une paire de claques.
- C'est toi, QUI ?
- Ma chérie.
- NON ! Ma PRINCESSE chérie. Répète.
- Ma princesse chérie.
- Réponds à ma question.
- C'est toi qui décides, ma princesse chérie.
- Jean-Louis, tu vas dormir dans notre lit, je dormirai entre vous deux : j'ai très envie de m'endormir en serrant Jean-Louis dans mes bras, de sentir sa poitrine nue contre mes seins et que nos cuisses s'entre-croisent.
- On ne va pas le recevoir à poil !
- Tu n'es pas dans la situation de l'ouvrir. Adopte un profil bas, bien bas, cela vaut mieux pour toi après ce que tu m'as appris et en attendant que tu m'en fournisses les détails.
Daniel est suffoqué de tant d'audace chez sa femme. Elle qui s'est permise les manigances et traitrises qu'il connaît ose lui faire la morale ! Mais comme il ne veut pas lui avouer qu'il est au courant, croyant être ainsi en position de force, il ne peut pas répliquer.
- Pour ta gouverne, je vais lui ouvrir dans cette tenue, et toi aussi tu resteras entèrement nu. C'est un copain, je lui expliquerai devant toi pourquoi je ne peux pas faire l'amour avec mon mari sans utiliser de capotes ; il nous rend service, il peut bien se rincer l'oeil ! Il n'en croit pas ses oreilles !
- N'est-ce pas mon chéri, ajoute-t-elle en lui pelotant les fesses d'un air badin ?
Daniel n'a pas le temps de répondre, la sonnerie retentit à la porte. Nadine ouvre aussitôt.
L'homme qui entre est celui qui l'a sodomisée devant lui sur la plage. Il a un mouvement de surprise devant leur tenue, mais se reprend bien vite et embrasse son amie en lui disant :
- Tu es superbe comme ça !
- Jean-Louis, je te présente Daniel, mon mari.
- Daniel, voici Jean-Louis, un copain qui s'est dérangé exprès pour nous dépanner.
Jean-Louis attrape la main de Daniel et la lui serre vigoureusement.
- Enchanté, mon cher, j'adore ta femme !
Daniel ne répond pas.
- Il est gonflé, celui-là, se dit-il !
- Tu pourrais le remercier quand même, lui dit Nadine d'un ton de reproche.
- Merci de vous être déplacé.
- Ce n'est rien, rien que le spectacle en valait la peine.
Nadine approche sa poitrine du visage de Jean-Louis et lui prend la main.
- Tu peux même vérifier que c'est du vrai si tu veux, s'amuse-t-elle en lorgnant Daniel du coin de l'oeil.
Jean-Louis ne se fait pas prier et Nadine se dandine en riant aux éclats.
- Figure-toi que mon coquin de mari a trouvé le moyen de filer doux avec je ne sais trop qui sans prendre de précautions.
- Oh, lui fait Jean-Louis en mimant un air réprobateur !
- Du coup, reprend Nadine, je ne peux plus me permettre de ne pas en prendre avec lui.
- Evidemment, renchérit Jean-Louis. Quelle idée aussi quand tu as une si belle femme à ta disposition ...
Et il en profite pour lui peloter les fesses en plus des seins dans la foulée.
- Mais non content d'être infidèle et imprévoyant, voilà qu'il est aussi inconséquent.
- Ah oui, là non, ta femme est trop bonne d'accepter de faire encore l'amour avec toi !
Daniel a envie de le tuer ...
Cette situation est d'un burlesque ! Tous les deux à poil devant ce guignol qui n'attend qu'une chose, c'est de sauter une fois de plus sa femme ... et qui la pelote carrément sans complexe devant lui, son époux légitime !
- Pour la peine, Jean-Louis, installe-toi dans le salon, sers-toi à boire pendant que mon mari et moi pouvons enfin fêter nos retrouvailles.
- Ah oui, c'est vrai qu'il t'a laissée toute seule pendant ...
Il ne poursuit pas sa phrase et se dirige vers le salon sans que Nadine ait eu besoin de lui montrer le chemin. Daniel s'en fait la remarque : "autrement dit, avant les vacances à la plage aux Canaries, pendant qu'il bossait, l'autre fumier venait se taper sa femme !"
- Elle n'a quand même pas l'intention que nous nous donnions encore plus en spectacle devant lui, se dit Daniel !
- C'est notre intimité quand même, tente-t-il.
La paire de claque qu'il reçoit lui rappelle la précédente. Jamais Nadine ne l'avait giflé auparavant !!!
- A genoux !
Daniel se met à comprendre. Elle se sent forte maintenant qu'elle a son Jean-Louis avec elle ... Et si Jean-Louis ne suffit pas, il y en a trois autres, prêts à venir à la rescousse.
Il se met à genoux.
- Baisse la tête.
Il obéit.
- A plat ventre.
Il s'exécute.
- Lèche-moi les pieds.
Il lui lèche les pieds.
- Suis-moi à quatre pattes dans le séjour.
Jean-Louis ferme la marche. Nadine s'allonge sur un divan, Jean-Louis se déplace pour s'asseoir à côté d'elle.
- Reviens me lécher les pieds, puis remonte petit à petit juqu'à ma chatte sans relever la tête et fais-moi jouir avec ta langue jusqu'à ce que je te donne un autre ordre.
Pendant que Daniel lui obéit, elle montre à Jean-Louis le bar. Il se lève et se sert, puis vient se coller tout contre elle. Elle pose la main disponible de Jean-Louis sur sa cuisse ; puis elle lui fait signe de poser son verre pour poser l'autre main sur l'un de ses seins ; Jean-Louis la palpe délicatement et Nadine se laisse aller avec jubilation.
Daniel comprend ce qui se passe à l'étage supérieur, mais il n'ose pas désobéir à sa femme ; d'ailleurs un frisson de plaisir nouveau le parcourt tout entier en sentant que sa propre femme est en train de se faire caresser par l'un de ses amants pendant qu'il lui lèche les cuisses consciencieusement. Alors qu'elle ne le lui a pas demandé, il la caresse aussi de ses mains ; loin de s'en offusquer, elle relève même ses fesses pour permettre à l'une des mains de Daniel de se glisser entre elle et le divan, et guide l'autre vers son pubis. Lorsque la langue de Daniel atteint son sexe, Nadine emprisonne sa tête entre ses cuisses. Elle agrippe alors Jean-Louis par les cheveux et l'embrasse à pleine bouche. Puis elle lui sussure à l'oreille :
- Suce-moi les seins !
Jean-Louis s'exécute. Au bout d'un moment elle l'écarte, lui fait signe de se dévêtir, de s'installer à quatre pattes au dessus de sa tête pour lui sucer les seins pendant qu'elle lui happe la verge de sa bouche.
Lorsqu'elle hurle de plaisir, Daniel croit que Nadine va enfin le libérer, mais elle maintient sa pression encore un bon moment ... jusqu'à ce que Jean-Louis se soit déversé dans sa bouche. Puis elle l'écarte doucement, lui fait signe de lui passer un préservatif et attrape Daniel par les cheveux pour le faire remonter jusqu'à sa poitrine et la lui faire sucer. D'un geste habile elle habille le penis de Daniel d'un préservatif et se l'enfonce. Il accepte bien qu'il ait pu constater la nudité de Jean-Louis ; de toutes façons, il se doutait bien ce qui se passait au-dessus de sa tête. Mais au lieu de la fouiller, comme il le fait habituellement avec ses partenaires, il pratique le mouvement de va-et-vient traditionnel. En revanche il s'applique à bien lécher les seins de sa femme, même s'il sait bien qu'il récupère la salive de son prédécesseur. Lui qui ne voulait pas être contaminé !
Nadine lui attrape la tête et l'oblige à la remonter au niveau de la sienne pour l'embrasser. Il sent l'odeur du sperme et est pris d'un haut-le-coeur de dégoût. Elle lui glisse à l'oreille :
- Tu veux que je te gifle ou tu vas m'obéir ?
- Mais ton amant t'a éjaculé dans la bouche.
- Et alors ? Tu n'as pas une maîtresse, toi ? C'est comme ça. Ce sera ta punition. MES amants me prendront sans préservatifs et tu me nettoieras après leur passage lorsque tu seras là pour assister à ce qu'ils me feront, comme Jean-Louis tout-à-l'heure. Ce n'est même pas à prendre ou à laisser, ce sera toujours comme ça maintenant, mon chéri.
Elle colle sa bouche contre celle de son mari, fourre sa langue à l'intérieur de la sienne. Résigné, il se soumet. Il lui carresse la tête, le cou, le dos, les seins. Ses mouvements en elle se font plus violents. Nadine est aux anges, elle a gagné.
Elle demande à Daniel de ralentir le rythme pour que Jean-Louis puisse la pénétrer par derrière en même temps. Ils se tournent et Daniel se retrouve sous son épouse. Comme dans la manœuvre, Daniel est malencontreusement ressorti de l'antre de son épouse, Jean-Louis commence par en écarter lui-même l'entrée de ses mains pour y repositionner sa maîtresse. Il vient alors prendre sa place préférée. Nadine ordonne à Daniel de lui caresser le visage pour libérer sa poitrine afin que Jean-Louis puisse en disposer à sa guise. C'est Daniel qui éjacule le premier. Nadine se retourne alors et Jean-Louis vient alors prendre sa place. Lorsqu'il se déverse en elle, Nadine ordonne à Daniel de la nettoyer en la suçant.
Daniel vient se mettre à quatre pattes au niveau des organes génitaux de sa femme et entreprend de la lécher pendant que Nadine suce elle-même Jean-Louis.
La nuit est déjà bien avancée et Nadine estime avoir remporté une belle victoire. Elle décide de mettre fin à la partie en attendant la prochaine, pour permettre à Daniel d'arriver à son travail pas trop fatigué.
- Il est tard, si nous allions nous coucher ! Daniel doit aller travailler demain, et il faut conduire les enfants à l'école.
- Je m'en vais, réponds Jean-Louis.
- Tu peux dormir avec nous, nous allons te faite une place dans notre lit, n'est-ce pas mon chéri ?
- C'est toi qui décide.
Il reçoit une paire de claques.
- C'est toi, QUI ?
- Ma chérie.
- NON ! Ma PRINCESSE chérie. Répète.
- Ma princesse chérie.
- Réponds à ma question.
- C'est toi qui décides, ma princesse chérie.
- Jean-Louis, tu vas dormir dans notre lit, je dormirai entre vous deux : j'ai très envie de m'endormir en serrant Jean-Louis dans mes bras, de sentir sa poitrine nue contre mes seins et que nos cuisses s'entre-croisent.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Ginger
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
envie de la suite
J'aimerai suivre cette petite,servilement.