Changement de régime - Partie 4 : La nuit
Récit érotique écrit par Ginger [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2011 dans la catégorie Dominants et dominés
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Changement de régime - Partie 4 : La nuit
Après les ablutions d'usage, comme annoncé par la bien nommée maîtresse de maison, celle-ci s'installe dans le lit conjugal, nue entre son conjoint et son amant, se tournant vers ce dernier pour s'endormir dans ses bras, leurs jambes entremêlées.
Daniel a du mal à s'endormir. Nadine menace de le marquer au visage à coups de gifles s'il ne se calme pas.
- Laisse-moi dormir sur le canapé du salon, comme ça je ne vous dérangerai pas.
- Il n'en est pas question. D'abord les enfants ne comprendraient pas que nous ne dormions plus dans la même chambre ; ensuite, je veux sentir tes fesses contre les miennes, mon chéri. La poitrine de Jean-Louis contre mes seins, ses cuisses entre les miennes, sa queue contre ma chatte ... et tes fesses contre les miennes. Ou alors ta poitrine contre mon dos, ta bouche dans mon cou, et ta queue contre mes fesses. Oui, ce sera même mieux ! Retourne-toi, je te veux amoureux, tu m'en dois, je te le rappelle.
Ce n'est vraiment pas l'heure de discuter du culot de Nadine, et d'ailleurs il n'est pas de poids. Sans compter qu'il faut qu'il soit suffisamment en forme à son travail le lendemain ... ou plus exactement dans quelques heures. Il obét à son épouse, se retourne et se colle contre elle. Elle lui demande de passer son bras par dessous sa tête pour qu'elle puisse lui prendre la main de la sienne. Du coup il se trouve carrément coincé sans plus pouvoir se retourner.
Nadine et Jean-Louis s'endorment rapidement comme deux bébés, tandis que Daniel reste éveillé mais n'ose plus bouger.
Il réussit à sommeiller plus ou moins pendant une heure ou deux et subitement une envie irrésistible le prend. Sentir sa femme collée ainsi contre l'un de ses amants l'excite terriblement ; la promiscuité et l'énervement aidant, son sexe de dresse. Il ressent une furieuse envie de la sodomiser ; elle s'y est toujours refusée, mais maintenant que son amant l'a prise ainsi en sa présence, elle n'a plus d'excuse, ou plutôt plus les mêmes ... Elle est quand même en position de force, une sorte de reine qui fait la loi parmi deux hommes ; s'il exprime explicitement son désir, c'est une façon d'accepter sa nouvelle situation, elle ne devrait pas s'en offusquer.
Il fait onduler son corps contre celui de son épouse, la bombarde de petits bisous dans le cou, son corps de cette dernière commence par répondre positivement ; il prend de l'assurance, la caresse de sa main encore libre, elle gémit, pose une main derrière elle pour sentir son corps, ses fesses. Jean-Louis qui a eu son comptant de satisfactions continue à dormir, elle essaie d'éviter de le réveiller.
- Va-s-y doucement Minou, Nono dort.
Là elle s'est trahie, elle n'est pas bien réveillée et ne s'est pas encore rendue compte que c'est son mari qui tente de la sodomiser. Garder ce genre de découvertes pour lui ne lui a pas porté chance jusqu'à présent, Daniel décide de changer de tactique : en dévoilant qui il est, sans chercher la bagarre, il se donne la possibilité de reprendre le dessus par la suite.
- Ce n'est pas Minou, lui chuchote-t-il dans le creux de l'oreille pour bien lui montrer qu'il a parfaitement entendu, c'est ton époux officiel, Daniel.
Nadine sursaute et manque de réveiller son amant, qui heureusement a le sommeil lourd. Il grogne comme s'il était en recherche de nourriture, mais reste endormi. Elle réalise son erreur et tente de reprendre le dessus :
- Tu es fou, qu'est-ce que tu fabriques ?
- J'ai envie de toi.
La réponse de son mari la comble de plaisir autant qu'elle la rassure sur ses intentions.
- Par derrière !?
- Pourquoi pas ?
Elle n'a pas beaucoup de temps pour réfléchir. Si elle refuse, il va y avoir de l'explication dans l'air et Jean-Louis risque de se retrouver sur le trottoir. Pour l'instant son mari a l'air de continuer à accepter la situation.
- Retire ton bras et va chercher les capotes.
Daniel s'exécute ; quand il revient, il est déjà moins excité !
- Pour me pénétrer, il faut que tu y ailles avec précaution.
Daniel ne rétorque pas que son amant n'en a pas pris tant que ça. Puisqu'elle est d'accord, il ne va pas la contrarier.
- Tu vas commencer par m'humidifier. Lèche-moi le cul.
Daniel se place en position aussi confortable que possible pour accomplir cette opération.
- Suce et lèche bien abondamment, n'hésite pas.
Pendant au moins 10 minutes, Daniel humidifie l'anus de Nadine, qui y prend un plaisir de plus en plus perceptible.
- Ecarte un peu l'entrée et passe ta langue à l'intérieur.
Daniel obéit à sa femme. Le goût est un peu désagréable, mais il faut ce qu'il faut. En même temps il lui pelote les fesses.
Elle lui permet ensuite d'introduire un doigt, puis un second. Le penis de Daniel commence à durcir.
- Mets deux doigts de chaque côté et glisse ta langue aussi profondément que tu peux pour humidifier de nouveau.
- Je n'arrive à mettre que deux doigts d'un côté et un de l'autre.
- Bon continue comme ça, mais suce-moi bien en te retournant un peu pour j'arrive à te mettre une capote sans réveiller Jean-Louis.
- Dis-donc il a le sommeil lourd cet amant.
Il a fait exprès d'utiliser ce terme, de toutes façons Nadine aurait du mal à nier après ce qu'elle a dit. Elle préfère d'ailleurs ne pas relever.
- Tu n'imagines pas ! Allez, remets-toi en position et va-s-y, mais doucement. Ne me défonce pas.
Daniel la pénètre doucement, il sent une petite résistance et prend son temps pour qu'elle s'ouvre. Il se remet à caresser sa femme dans le dos, à l'embrasser dans le cou. Il lui caresserait bien les seins, mais ils sont pris. C'est Nadine elle-même qui conduit la main extérieure de son mari sur l'un de ses seins après avoir retiré celle de Jean-Louis.
- Allez, pelote-moi, mon chéri.
Comme par réflexe il lui répond :
- Oui, ma princesse chérie.
Il regrette aussitôt ses paroles, mais c'est trop tard. Nadine, de son côté, les goûte pleinement : son mari, bien qu'au courant qu'elle avait des amants avant ce soir n'en profite pas pour renverser la situation et accepte son nouveau rôle de mari cocu et soumis. Ses fesses s'ouvrent et s'humidifient sous l'effet du plaisir que la réponse de Daniel lui a faite. Il s'y engoufre plus profondément tout en continuant à caresser sa femme et à l'embrasser.
Jean-Louis grogne de plus en plus. Nadine se dégage complètement de lui et se met sur le ventre en position foetale, entraînant Daniel sur elle.
Prends-moi par les deux seins, mon chéri et enfonce-toi bien. Je veux que tu m'encules aussi bien que Nono sait le faire. Elle se cache plus sa relation habituelle. Daniel, que la situation excite encore plus se transforme en une bête de plaisir. Nadine hurle de jouissance, réveillant Jean-Louis, qui ne peut que constater que la place est prise.
Heureusement les enfants n'ont pas été réveillés par les cris. Daniel et Nadine auraient probablement été incapables de mettre fin à leurs ébats pour intervenir. Daniel n'a pas encore atteint l'orgasme, il continue, et Nadine en veut encore.
Jean-Louis que le contexte empêche de dormir se dit qu'un cul c'est un cul ; sans crier gare, il enfonce un doigt de chaque main dans l'anus de Daniel qui ne peut se débattre et dans la foulée y introduit son pénis. Sa progression est lente car Daniel tente de rejeter l'intrus. Mais Jean-Louis a plusieurs cordes à son arc. Il n'a pas léché l'anus de Daniel, mais s'est lui-même humecté le sexe ; et il claque les fesses de Daniel. Nadine reconnaît ce bruit caractéristique alors qu'elle ne sent rien elle-même ; elle comprend ce qui est en train d'arriver et se dit que tout ceci ne peut que servir son plan. Elle jouit une seconde fois.
Daniel se dépêche d'en finir, espérant pouvoir ensuite se dépétrer de Jean-Louis. Mais rapidement il comprend qu'il ne s'en tirera pas ainsi. Après les premières douleurs, il prend conscience que la verge de cet amant inattendu lui procure un plaisir jusqu'alors inconnu. Il se relâche donc et le plaisir s'accroît. En même temps, alors qu'il avait quelque peu cessé de s'occuper de Nadine, préoccupé par ce qui lui arrivait, il reprend son attention envers elle, autant en dehors qu'en dedans. Au moment où elle atteint un troisième orgasme, il jouit également.
Comme il ne bouge pas, couvert par Jean-Louis, c'est Nadine qui retire le préservatif et le pose sur la table de nuit. Elle se dégage ensuite bien que difficilement en essayant de ne pas perturber les deux hommes dans leur relation amoureuse, se lève pour prendre son appareil photographique et immortaliser la scène.
Juste avant de jouir, Jean-Louis sort de Daniel, le retourne et lui enfonce son phallus dans la bouche. Nadine exulte, prend une nouveau cliché. Daniel reçoit passivement le jus de son amant et ne cherche pas à le recracher ; le culot de ces deux-là l'a annéanti, il veut seulement conserver "la tête hors de l'eau" car il a bien compris qu'il n'aura jamais le dessus.
A la grande surprise de Daniel, Nadine se met alors à le cajoler ; elle l'embrasse dans le cou, descend sur la poitrine, lui suce les tétines. Jusqu'alors il n'aurait jamais cru que ses seins puissent représenter un quelconque intérêt, d'ailleurs ils sont quasiment inexistants à part la présence visible de l'aréole et la légère pointe du mamelon ; les femmes qu'il a rencontrées en Martinique ne s'en sont pas occupées elles-mêmes, et pourtant il s'est bien rattrapé de ce qu'il a vu aux Canaries ! Et voici que c'est Nadine, avec qui la relation sexuelle avait toujours été tout ce qu'il y a de plus traditionnelle, qui lui faisait découvrir que même chez un homme cette zone pouvait représenter une source de plaisirs ! Il se laisse aller, s'étire de satisfaction, elle continue à lui lécher ou sucer le devant du corps, s'arrête au niveau de l'ombilic. Tiens, ça non plus, il ne savait pas que ce pouvait être une zone, sinon érogène, du moins sensible aux sollicitations. Elle descend encore mais évite soigneusement la seule région vers laquelle Daniel aurait a priori espéré qu'une femme - pas Nadine bien sûr - dirige sa langue. Ce sont donc ses cuisses, ses jambes qui font l'objet de ses attentions. Un début d'érection le reprend, il meurt d'envie qu'elle vienne enfin LE sucer, "LE" étant ce que - selon Daniel - tout homme sous-entend, sans qu'il soit utile de le préciser ; d'ailleurs d'après ce qu'il a pu lire sur internet ou entendre à droite ou à gauche, toute femme aussi. Au lieu de cela, ce sont ses pieds qu'elle saisit, mais avant cela elle s'est retournée, lui montrant ainsi son arrière-train. Pourtant elle aurait pu descendre du lit et s'agenouiller sur le tapis.
- C'est donc un message, se dit Daniel.
Il répond donc en lui empoignant les hanches et en lui léchant les fesses. La sensation de chaque orteil sucé par Nadine, l'un après l'autre, en même temps qu'il se met à humidifier de sa bouche l'intimité de son épouse, lui redonne vigueur. Tout comme elle, il contourne la sphère gynécologique, bave intensément sur ses cuisses, particulièrement à l'intérieur et à proximité de la vulve, un peu moins à l'extérieur. Elle se met à dandiner son postérieur au niveau de sa tête, lui faisant comprendre qu'il y a un endroit bien visible qu'il a oublié. Il ne va pas être chiche et il n'est plus à cela près, d'ailleurs, il lui a d'ailleurs déjà procuré ce plaisir ; il lèche l'entrée de son anus, elle se dandine de plus en plus. Il l'ouvre et y fait pénétrer sa langue, comme pour bien en nettoyer le pourtour intérieur.
Alors seulement elle se retourne, vient se plaquer contre lui, poitrine contre poitrine, frotter son clitoris contre le penis de son mari, puis s'écarte un peu pour caler l'extrémité de leurs glands respectifs l'un contre l'autre tout en appuyant ses seins contre ceux de Daniel. Dans ce double mouvement qu'elle maîtrise, leurs respirations s'harmonisent. La pression sur le penis de Daniel devient insupportable, il rentre partiellement à l'intérieur de lui-même, à la suite des testicules qui ne sont déjà plus perceptibles. Nadine a un premier orgasme, assez violent.
Elle demande à Jean-Louis de lui donner un préservatif, prend juste le temps de se dégager pour l'enfiler à Daniel et l'enfoncer dans son vagin, alors même que ses testicules sont restées en lui ; mais elle s'en soucie comme d'une guigne maintenant : ce qu'elle veut c'est que SON ÊPOUX lui procure le MAXIMUM de PLAISIR, dans sa situation de mari conscient d'être multiplement cocu, tout en restant à sa place d'homme SOUMIS. Elle lui prend une main pour lui placer l'index sur son clitoris pendant toute la pénétration. Et elle le monte comme une amazone, bien assise, dominatrice. Daniel souffre de sentir ses testicules bloquées par le poids de Nadine sur lui et cela ne facilite pas la venue de sa propre jouissance, mais il ne peut pas se dégager ; il tente de le lui dire.
- Je me moque de tes couilles, mon chéri. Ton rôle est de me procurer du plaisir, tu peux bien souffrir pour ta femme, non ? D'ailleurs, tu as une main libre, qu'est-ce que tu attends pour ma caresser les seins ? Redresse un peu ton dos, que diable ! Hue !!!
Le peu de confort pour Alain prolonge la durée de la scène. Jean-Louis est tellement fasciné par le spectacle que, bien que ne participant pas, il ne se rendort pas. Nadine enchaîne orgasmes sur orgasmes, non seulement du fait de la conjonction de la pénétration, de la masturbation du clitoris et des caresses sur les seins, mais aussi de la puissance qu'a son intellect dans cette situation qui les trancende tous deux. De temps en temps, lorsque l'une des mains de Daniel se relâche, soit elle gifle son mari lorsqu'il s'agit de la main supposée la masturber, soit elle lui impose de lui sucer les seins tout en la caressant SENSUELLEMENT sur le visage, au niveau du cou ou dans le dos, ce qui contraint Daniel à un effort surhumain pour maintenir son dos relevé.
Nadine aussi doit exercer un certain effort pour se tenir assise et jouer la cavalière, soit au trot, soit au galop - quoique bien moindre - mais elle en a pris l'habitude depuis le temps qu'elle chevauche ses amants.
Lorsqu'enfin épuisé Daniel se déverse dans le préservatif, Nadine lui permet de se reposer ... après avoir vérifié qu'il a bien éjaculé.
Il reste alors une heure à dormir pour Daniel.
Daniel a du mal à s'endormir. Nadine menace de le marquer au visage à coups de gifles s'il ne se calme pas.
- Laisse-moi dormir sur le canapé du salon, comme ça je ne vous dérangerai pas.
- Il n'en est pas question. D'abord les enfants ne comprendraient pas que nous ne dormions plus dans la même chambre ; ensuite, je veux sentir tes fesses contre les miennes, mon chéri. La poitrine de Jean-Louis contre mes seins, ses cuisses entre les miennes, sa queue contre ma chatte ... et tes fesses contre les miennes. Ou alors ta poitrine contre mon dos, ta bouche dans mon cou, et ta queue contre mes fesses. Oui, ce sera même mieux ! Retourne-toi, je te veux amoureux, tu m'en dois, je te le rappelle.
Ce n'est vraiment pas l'heure de discuter du culot de Nadine, et d'ailleurs il n'est pas de poids. Sans compter qu'il faut qu'il soit suffisamment en forme à son travail le lendemain ... ou plus exactement dans quelques heures. Il obét à son épouse, se retourne et se colle contre elle. Elle lui demande de passer son bras par dessous sa tête pour qu'elle puisse lui prendre la main de la sienne. Du coup il se trouve carrément coincé sans plus pouvoir se retourner.
Nadine et Jean-Louis s'endorment rapidement comme deux bébés, tandis que Daniel reste éveillé mais n'ose plus bouger.
Il réussit à sommeiller plus ou moins pendant une heure ou deux et subitement une envie irrésistible le prend. Sentir sa femme collée ainsi contre l'un de ses amants l'excite terriblement ; la promiscuité et l'énervement aidant, son sexe de dresse. Il ressent une furieuse envie de la sodomiser ; elle s'y est toujours refusée, mais maintenant que son amant l'a prise ainsi en sa présence, elle n'a plus d'excuse, ou plutôt plus les mêmes ... Elle est quand même en position de force, une sorte de reine qui fait la loi parmi deux hommes ; s'il exprime explicitement son désir, c'est une façon d'accepter sa nouvelle situation, elle ne devrait pas s'en offusquer.
Il fait onduler son corps contre celui de son épouse, la bombarde de petits bisous dans le cou, son corps de cette dernière commence par répondre positivement ; il prend de l'assurance, la caresse de sa main encore libre, elle gémit, pose une main derrière elle pour sentir son corps, ses fesses. Jean-Louis qui a eu son comptant de satisfactions continue à dormir, elle essaie d'éviter de le réveiller.
- Va-s-y doucement Minou, Nono dort.
Là elle s'est trahie, elle n'est pas bien réveillée et ne s'est pas encore rendue compte que c'est son mari qui tente de la sodomiser. Garder ce genre de découvertes pour lui ne lui a pas porté chance jusqu'à présent, Daniel décide de changer de tactique : en dévoilant qui il est, sans chercher la bagarre, il se donne la possibilité de reprendre le dessus par la suite.
- Ce n'est pas Minou, lui chuchote-t-il dans le creux de l'oreille pour bien lui montrer qu'il a parfaitement entendu, c'est ton époux officiel, Daniel.
Nadine sursaute et manque de réveiller son amant, qui heureusement a le sommeil lourd. Il grogne comme s'il était en recherche de nourriture, mais reste endormi. Elle réalise son erreur et tente de reprendre le dessus :
- Tu es fou, qu'est-ce que tu fabriques ?
- J'ai envie de toi.
La réponse de son mari la comble de plaisir autant qu'elle la rassure sur ses intentions.
- Par derrière !?
- Pourquoi pas ?
Elle n'a pas beaucoup de temps pour réfléchir. Si elle refuse, il va y avoir de l'explication dans l'air et Jean-Louis risque de se retrouver sur le trottoir. Pour l'instant son mari a l'air de continuer à accepter la situation.
- Retire ton bras et va chercher les capotes.
Daniel s'exécute ; quand il revient, il est déjà moins excité !
- Pour me pénétrer, il faut que tu y ailles avec précaution.
Daniel ne rétorque pas que son amant n'en a pas pris tant que ça. Puisqu'elle est d'accord, il ne va pas la contrarier.
- Tu vas commencer par m'humidifier. Lèche-moi le cul.
Daniel se place en position aussi confortable que possible pour accomplir cette opération.
- Suce et lèche bien abondamment, n'hésite pas.
Pendant au moins 10 minutes, Daniel humidifie l'anus de Nadine, qui y prend un plaisir de plus en plus perceptible.
- Ecarte un peu l'entrée et passe ta langue à l'intérieur.
Daniel obéit à sa femme. Le goût est un peu désagréable, mais il faut ce qu'il faut. En même temps il lui pelote les fesses.
Elle lui permet ensuite d'introduire un doigt, puis un second. Le penis de Daniel commence à durcir.
- Mets deux doigts de chaque côté et glisse ta langue aussi profondément que tu peux pour humidifier de nouveau.
- Je n'arrive à mettre que deux doigts d'un côté et un de l'autre.
- Bon continue comme ça, mais suce-moi bien en te retournant un peu pour j'arrive à te mettre une capote sans réveiller Jean-Louis.
- Dis-donc il a le sommeil lourd cet amant.
Il a fait exprès d'utiliser ce terme, de toutes façons Nadine aurait du mal à nier après ce qu'elle a dit. Elle préfère d'ailleurs ne pas relever.
- Tu n'imagines pas ! Allez, remets-toi en position et va-s-y, mais doucement. Ne me défonce pas.
Daniel la pénètre doucement, il sent une petite résistance et prend son temps pour qu'elle s'ouvre. Il se remet à caresser sa femme dans le dos, à l'embrasser dans le cou. Il lui caresserait bien les seins, mais ils sont pris. C'est Nadine elle-même qui conduit la main extérieure de son mari sur l'un de ses seins après avoir retiré celle de Jean-Louis.
- Allez, pelote-moi, mon chéri.
Comme par réflexe il lui répond :
- Oui, ma princesse chérie.
Il regrette aussitôt ses paroles, mais c'est trop tard. Nadine, de son côté, les goûte pleinement : son mari, bien qu'au courant qu'elle avait des amants avant ce soir n'en profite pas pour renverser la situation et accepte son nouveau rôle de mari cocu et soumis. Ses fesses s'ouvrent et s'humidifient sous l'effet du plaisir que la réponse de Daniel lui a faite. Il s'y engoufre plus profondément tout en continuant à caresser sa femme et à l'embrasser.
Jean-Louis grogne de plus en plus. Nadine se dégage complètement de lui et se met sur le ventre en position foetale, entraînant Daniel sur elle.
Prends-moi par les deux seins, mon chéri et enfonce-toi bien. Je veux que tu m'encules aussi bien que Nono sait le faire. Elle se cache plus sa relation habituelle. Daniel, que la situation excite encore plus se transforme en une bête de plaisir. Nadine hurle de jouissance, réveillant Jean-Louis, qui ne peut que constater que la place est prise.
Heureusement les enfants n'ont pas été réveillés par les cris. Daniel et Nadine auraient probablement été incapables de mettre fin à leurs ébats pour intervenir. Daniel n'a pas encore atteint l'orgasme, il continue, et Nadine en veut encore.
Jean-Louis que le contexte empêche de dormir se dit qu'un cul c'est un cul ; sans crier gare, il enfonce un doigt de chaque main dans l'anus de Daniel qui ne peut se débattre et dans la foulée y introduit son pénis. Sa progression est lente car Daniel tente de rejeter l'intrus. Mais Jean-Louis a plusieurs cordes à son arc. Il n'a pas léché l'anus de Daniel, mais s'est lui-même humecté le sexe ; et il claque les fesses de Daniel. Nadine reconnaît ce bruit caractéristique alors qu'elle ne sent rien elle-même ; elle comprend ce qui est en train d'arriver et se dit que tout ceci ne peut que servir son plan. Elle jouit une seconde fois.
Daniel se dépêche d'en finir, espérant pouvoir ensuite se dépétrer de Jean-Louis. Mais rapidement il comprend qu'il ne s'en tirera pas ainsi. Après les premières douleurs, il prend conscience que la verge de cet amant inattendu lui procure un plaisir jusqu'alors inconnu. Il se relâche donc et le plaisir s'accroît. En même temps, alors qu'il avait quelque peu cessé de s'occuper de Nadine, préoccupé par ce qui lui arrivait, il reprend son attention envers elle, autant en dehors qu'en dedans. Au moment où elle atteint un troisième orgasme, il jouit également.
Comme il ne bouge pas, couvert par Jean-Louis, c'est Nadine qui retire le préservatif et le pose sur la table de nuit. Elle se dégage ensuite bien que difficilement en essayant de ne pas perturber les deux hommes dans leur relation amoureuse, se lève pour prendre son appareil photographique et immortaliser la scène.
Juste avant de jouir, Jean-Louis sort de Daniel, le retourne et lui enfonce son phallus dans la bouche. Nadine exulte, prend une nouveau cliché. Daniel reçoit passivement le jus de son amant et ne cherche pas à le recracher ; le culot de ces deux-là l'a annéanti, il veut seulement conserver "la tête hors de l'eau" car il a bien compris qu'il n'aura jamais le dessus.
A la grande surprise de Daniel, Nadine se met alors à le cajoler ; elle l'embrasse dans le cou, descend sur la poitrine, lui suce les tétines. Jusqu'alors il n'aurait jamais cru que ses seins puissent représenter un quelconque intérêt, d'ailleurs ils sont quasiment inexistants à part la présence visible de l'aréole et la légère pointe du mamelon ; les femmes qu'il a rencontrées en Martinique ne s'en sont pas occupées elles-mêmes, et pourtant il s'est bien rattrapé de ce qu'il a vu aux Canaries ! Et voici que c'est Nadine, avec qui la relation sexuelle avait toujours été tout ce qu'il y a de plus traditionnelle, qui lui faisait découvrir que même chez un homme cette zone pouvait représenter une source de plaisirs ! Il se laisse aller, s'étire de satisfaction, elle continue à lui lécher ou sucer le devant du corps, s'arrête au niveau de l'ombilic. Tiens, ça non plus, il ne savait pas que ce pouvait être une zone, sinon érogène, du moins sensible aux sollicitations. Elle descend encore mais évite soigneusement la seule région vers laquelle Daniel aurait a priori espéré qu'une femme - pas Nadine bien sûr - dirige sa langue. Ce sont donc ses cuisses, ses jambes qui font l'objet de ses attentions. Un début d'érection le reprend, il meurt d'envie qu'elle vienne enfin LE sucer, "LE" étant ce que - selon Daniel - tout homme sous-entend, sans qu'il soit utile de le préciser ; d'ailleurs d'après ce qu'il a pu lire sur internet ou entendre à droite ou à gauche, toute femme aussi. Au lieu de cela, ce sont ses pieds qu'elle saisit, mais avant cela elle s'est retournée, lui montrant ainsi son arrière-train. Pourtant elle aurait pu descendre du lit et s'agenouiller sur le tapis.
- C'est donc un message, se dit Daniel.
Il répond donc en lui empoignant les hanches et en lui léchant les fesses. La sensation de chaque orteil sucé par Nadine, l'un après l'autre, en même temps qu'il se met à humidifier de sa bouche l'intimité de son épouse, lui redonne vigueur. Tout comme elle, il contourne la sphère gynécologique, bave intensément sur ses cuisses, particulièrement à l'intérieur et à proximité de la vulve, un peu moins à l'extérieur. Elle se met à dandiner son postérieur au niveau de sa tête, lui faisant comprendre qu'il y a un endroit bien visible qu'il a oublié. Il ne va pas être chiche et il n'est plus à cela près, d'ailleurs, il lui a d'ailleurs déjà procuré ce plaisir ; il lèche l'entrée de son anus, elle se dandine de plus en plus. Il l'ouvre et y fait pénétrer sa langue, comme pour bien en nettoyer le pourtour intérieur.
Alors seulement elle se retourne, vient se plaquer contre lui, poitrine contre poitrine, frotter son clitoris contre le penis de son mari, puis s'écarte un peu pour caler l'extrémité de leurs glands respectifs l'un contre l'autre tout en appuyant ses seins contre ceux de Daniel. Dans ce double mouvement qu'elle maîtrise, leurs respirations s'harmonisent. La pression sur le penis de Daniel devient insupportable, il rentre partiellement à l'intérieur de lui-même, à la suite des testicules qui ne sont déjà plus perceptibles. Nadine a un premier orgasme, assez violent.
Elle demande à Jean-Louis de lui donner un préservatif, prend juste le temps de se dégager pour l'enfiler à Daniel et l'enfoncer dans son vagin, alors même que ses testicules sont restées en lui ; mais elle s'en soucie comme d'une guigne maintenant : ce qu'elle veut c'est que SON ÊPOUX lui procure le MAXIMUM de PLAISIR, dans sa situation de mari conscient d'être multiplement cocu, tout en restant à sa place d'homme SOUMIS. Elle lui prend une main pour lui placer l'index sur son clitoris pendant toute la pénétration. Et elle le monte comme une amazone, bien assise, dominatrice. Daniel souffre de sentir ses testicules bloquées par le poids de Nadine sur lui et cela ne facilite pas la venue de sa propre jouissance, mais il ne peut pas se dégager ; il tente de le lui dire.
- Je me moque de tes couilles, mon chéri. Ton rôle est de me procurer du plaisir, tu peux bien souffrir pour ta femme, non ? D'ailleurs, tu as une main libre, qu'est-ce que tu attends pour ma caresser les seins ? Redresse un peu ton dos, que diable ! Hue !!!
Le peu de confort pour Alain prolonge la durée de la scène. Jean-Louis est tellement fasciné par le spectacle que, bien que ne participant pas, il ne se rendort pas. Nadine enchaîne orgasmes sur orgasmes, non seulement du fait de la conjonction de la pénétration, de la masturbation du clitoris et des caresses sur les seins, mais aussi de la puissance qu'a son intellect dans cette situation qui les trancende tous deux. De temps en temps, lorsque l'une des mains de Daniel se relâche, soit elle gifle son mari lorsqu'il s'agit de la main supposée la masturber, soit elle lui impose de lui sucer les seins tout en la caressant SENSUELLEMENT sur le visage, au niveau du cou ou dans le dos, ce qui contraint Daniel à un effort surhumain pour maintenir son dos relevé.
Nadine aussi doit exercer un certain effort pour se tenir assise et jouer la cavalière, soit au trot, soit au galop - quoique bien moindre - mais elle en a pris l'habitude depuis le temps qu'elle chevauche ses amants.
Lorsqu'enfin épuisé Daniel se déverse dans le préservatif, Nadine lui permet de se reposer ... après avoir vérifié qu'il a bien éjaculé.
Il reste alors une heure à dormir pour Daniel.
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je ne sais comment je dois prendre l'impatience de certains lecteurs à découvrir la
suite ; je crois avoir déjà répondu à la fin de la remarque - il est vrai plus
longuement en privé lorsque cela était possible. Qui a bien lu le début de l'histoire
a intégré que le mari s'est donné le moyen de brûler quelques cartouches ...
Je reconnais que ces dernières semaines des obligations m'ont accaparé ; tout le monde
sait que dans la vie il y a des priorités.
Quant à la première partie du message, il s'agit d'un jugement de valeur qui n'engage
que son auteur. Une histoire n'est pas nécessairement réelle, même si certains ici ont
choisi de relater purement et simplement leurs expériences. J'ai déjà expliqué que
tout en excluant de coller à la réalité, je cherchais à rendre mes récits plus ou
moins vraissemblables. Regardez attentivement autour de vous, consultez les annonces
du net, ... ici même d'ailleurs sur hds, bien que nombre d'entre elles soient
totalement "bidon".
Et puis s'il me prenait la fantaisie de présenter un personnage ayant un comportement
totalement invraissemblable, au nom de quoi cela me serait-il interdit ? De quelles
limites s'agit-il ?
Ceci dit j'apprécie toujours les remarques, y compris contestataires ou de
suggestions. On a le droit de ne pas apprécier et de l'exprimer, surtout quand c'est
respectueusement, qu'on en fournit la raison, et qu'on admet que d'autres ne soient
pas du même avis.
suite ; je crois avoir déjà répondu à la fin de la remarque - il est vrai plus
longuement en privé lorsque cela était possible. Qui a bien lu le début de l'histoire
a intégré que le mari s'est donné le moyen de brûler quelques cartouches ...
Je reconnais que ces dernières semaines des obligations m'ont accaparé ; tout le monde
sait que dans la vie il y a des priorités.
Quant à la première partie du message, il s'agit d'un jugement de valeur qui n'engage
que son auteur. Une histoire n'est pas nécessairement réelle, même si certains ici ont
choisi de relater purement et simplement leurs expériences. J'ai déjà expliqué que
tout en excluant de coller à la réalité, je cherchais à rendre mes récits plus ou
moins vraissemblables. Regardez attentivement autour de vous, consultez les annonces
du net, ... ici même d'ailleurs sur hds, bien que nombre d'entre elles soient
totalement "bidon".
Et puis s'il me prenait la fantaisie de présenter un personnage ayant un comportement
totalement invraissemblable, au nom de quoi cela me serait-il interdit ? De quelles
limites s'agit-il ?
Ceci dit j'apprécie toujours les remarques, y compris contestataires ou de
suggestions. On a le droit de ne pas apprécier et de l'exprimer, surtout quand c'est
respectueusement, qu'on en fournit la raison, et qu'on admet que d'autres ne soient
pas du même avis.
De l'avis des lecteurs, on peut être c.., mais il doit y avoir des limites ! et ... un
retournement de situation .
retournement de situation .
Merci de la suggestion, c'est une idée ... mais auparavant n'oublions pas qu'il a du blé à moudre !
Et puis ne serait-il pas dommage que cela tourne en classique "mélangisme" ou "échangisme" - les auteurs plus spécialisés pour cela ne manquent pas, et à moins de leur passer la main, je veux dire la plume, ou plus exactement le clavier, la suite pourrait devenir tristounette - ou en jet de vaisselle et invectives, ce qui est - convenons-en - moins sexy.
Et puis ne serait-il pas dommage que cela tourne en classique "mélangisme" ou "échangisme" - les auteurs plus spécialisés pour cela ne manquent pas, et à moins de leur passer la main, je veux dire la plume, ou plus exactement le clavier, la suite pourrait devenir tristounette - ou en jet de vaisselle et invectives, ce qui est - convenons-en - moins sexy.
recit bien tourne mais a quand une suite ou les rôles seront inverse peu-etre le mari
expliquant a sa femme qu'il est au courant de ce qui c'est passe pendant les vacances
expliquant a sa femme qu'il est au courant de ce qui c'est passe pendant les vacances
Ravi que ce récit continue à plaire. Même si la raison n'est pas explicitement
évoquée, d'autres informations me laissent à penser que c'est surtout le thème qui est
en question.
Quant à la question de savoir si le personnage principal va se réveiller - j'y perçois
une tentative d'influer sur la poursuite du récit, mais cela fait partie du jeu et de
l'ouverture que je propose - la lecture des épisodes déjà publiés fournit deux
éléments de réponse :
+ la nuit tire à sa fin et il va lui falloir aller "turbiner" et conduire les enfants
à l'école, peut-être éventuellement soutenu par des excitants ; ah oui ce ne serait
pas dans ce sens-là que la remarque a été faite ;
+ rappelons-nous qu'il s'est récemment fait (dans les deux acceptions du terme, la
plus générique et la moins poétique) des copines ...
évoquée, d'autres informations me laissent à penser que c'est surtout le thème qui est
en question.
Quant à la question de savoir si le personnage principal va se réveiller - j'y perçois
une tentative d'influer sur la poursuite du récit, mais cela fait partie du jeu et de
l'ouverture que je propose - la lecture des épisodes déjà publiés fournit deux
éléments de réponse :
+ la nuit tire à sa fin et il va lui falloir aller "turbiner" et conduire les enfants
à l'école, peut-être éventuellement soutenu par des excitants ; ah oui ce ne serait
pas dans ce sens-là que la remarque a été faite ;
+ rappelons-nous qu'il s'est récemment fait (dans les deux acceptions du terme, la
plus générique et la moins poétique) des copines ...
Il a intérêt de se réveiller ce mec là ! Et vite ! Pas mal...
De plus en plus génial ce récit, j'adore. Bravo.
Rudy
Rudy