Chantage envers ma belle sœur ( Partie 1)

- Par l'auteur HDS Osiris -
Récit érotique écrit par Osiris [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Chantage envers ma belle sœur ( Partie 1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Chantage envers ma belle sœur ( Partie 1)
Chantage envers ma belle-sœur. (Partie 1)

Moi, je suis Karl, je suis un homme de 40 ans, divorcé depuis cinq ans.
Mon frère, âgé de 38 ans, se nomme Nicolas.
Sa femme, qui en a 35, c’est Virginie.
Un inconnu d’environ 25 ans, le livreur.
Et enfin, mon meilleur pote qui est un peu plus âgé que moi, lui, c'est Julien.


Je gère une société de transport routier et j'habite à quelques kilomètres du domicile de mon frère.

Nicolas, mon frère, dirige avec succès une entreprise spécialisée dans la réparation de voitures de luxe telles que BMW, Mercedes, etc. endommagées par la grêle.
L'entreprise qu'il dirige est située à proximité de Paris.
Il s'en va le lundi matin et revient chez lui le jeudi soir.
Il voyage souvent à travers la France et occasionnellement dans d'autres pays.

Ma belle-sœur demeure dans un village du Calvados et ne travaille pas.
Mon frère et Virginie vivent dans une habitation luxueuse dotée d'une piscine et d'une salle de sport entièrement équipée.
Pour ma belle-sœur, le corps idéal est celui qui est parfait, jeune, élancé, vigoureux, bronzé, musclé et flexible… mais aussi en pleine forme et en bonne santé.
Il faut reconnaître qu'elle y parvient parfaitement, son corps est superbe.
C'est aussi pour toutes ces raisons qu'elle ne boit pas d'alcool ou très occasionnellement.
Pour elle, ce sont plutôt des jus de fruits, des tisanes, des thés et bien sûr de l'eau.
Restant à la maison, c'est elle qui gère toutes les questions domestiques.
Le couple ne désire pas avoir d'enfant.

L'inconnu est simplement un livreur et installateur d'appareils électroménagers.

Julien, mon ami de longue date, dirige une célèbre discothèque située à Cabourg. Il est seul et sans nul doute, son métier lui ouvre de nombreuses opportunités parmi la gent féminine. Il est familiarisé avec les femmes et leurs désirs les plus subtils, même ceux qui sont les plus cachés.
Il collectionne les aventures par dizaines.
Il faut l'admettre, il a tous les atouts pour affriander les femmes.
C'est un homme séduisant avec des yeux bleu-gris, il est grand, bien bâti et fortuné.
Son père avait des racines kabyles et sa mère était française.
En revanche, le respect qu'il accorde aux femmes ne semble pas être sa priorité.

Un jour, je me suis rendu à la maison de mon frère pour demander à ma belle-sœur de me payer un café, comme c'était souvent le cas lorsque je passai devant leur demeure.
Dans la cour, j'aperçois un véhicule de livraison Darty.
Je gare ma voiture électrique silencieuse et m'approche de la grande fenêtre de la cuisine.
Et là, surprise, je vois Virginie agenouillée devant le livreur.
 Le sexe de l'homme coulissait allègrement dans la bouche de la femme qui ne résistait pas et semblait même éprouver du plaisir, puisque sa main masturbait en même temps" le sucre d'orge."
Jusqu’à présent, je n'ai jamais eu d'inspiration ni de désirs au sujet de Virginie. 
Elle est la femme de mon frère, rien de plus. Toutefois, face à cette situation, tout bascule dans ma tête et pas uniquement dans ma tête d'ailleurs


Je choisis de m'en aller discrètement, mais bien sûr, avec des pensées indécentes.

Je décide de prendre contact avec elle et lui dis que je passerai demain après ma journée de travail.
Bien entendu, elle est d'accord.
Le lendemain, je suis devant sa porte, je sonne et j'entends :
« Rentre Karl, la porte est ouverte. »
Je rentre et elle m'accueille en tenue de sport, petit short et brassière, ce qui n'est pas rare, car elle passe la majeure partie de son temps dans sa salle de sport. 
« Installe-toi », me dit-elle, « je t'apporte ton café et moi, je me suis préparé une tisane. »
« Je suis encore en train de transpirer, j'ai juste fini une session d'entraînement, je vais me doucher ultérieurement, sauf si mon odeur te gêne et t'incommode. »
« Oui, c'est vrai que ton odeur est intense, je te suggère de te doucher correctement tout de suite. »
« Mais avant, j'ai une chose importante à te dire. »
« Assieds-toi là. »

Elle s'assoit à côté de moi et je commence à lui parler.
« Figure-toi, qu'hier, je suis passé te voir. »

Son visage blêmit et sa voix commence à trembler. « Hier, mais à quelle heure ? »

« Oh, il était 17 h 30. »
« Et alors ! », me dit-elle ? 
« Tu m'as vu dans la cuisine, c'est ça ? » me demanda-t-elle.

« C'est exactement cela, tu étais à genoux en train de sucer un homme et de le masturber, mais il me semble ne pas avoir reconnu mon frère. »


Et là, Virginie craque et se met à pleurer.

Sans attendrissement et sur un ton sec.

« Cela fait longtemps qu'il est ton amant ? »
« C'est la première fois que je le voyais, je te le jure. »

« Il a frappé à la fenêtre et je lui ai dit de rentrer. » « Il m'a trouvé à genoux, les fesses en l'air, car je nettoyais l'emplacement de l'ancienne machine à laver. »
« Sans hâte, il s'est placé derrière moi et a commencé à faire glisser sa main le long de mon dos dénudé, juste sous ma brassière, puis elle s’est insinuée dans mon legging. »
« J'aurais dû saisir sa main et lui interdire, mais j'étais paralysée, mais aussi très excitée et je l'ai laissé agir. »
« Sa main caressait mes fesses avec douceur. »
« Elle a persisté à descendre plus bas en suivant mon sillon, ensuite ses doigts ont pris possession de ma vulve. »
Mon corps a répondu instantanément, mon sexe s'est liquéfié jusqu'à ce que le bruit des clapotis se fasse entendre.
« Il m'a fait jouir très rapidement. »


« Tu comprends, cela fait bien longtemps qu'un homme s'intéresse à moi de cette façon. »
« Ce n'est qu'après qu'il m'a demandé de le sucer hâtivement, car il avait d'autres machines à livrer avant 19 h. »
« Tu la fais jouir ? » « Et as-tu pris du plaisir ? » lui dis-je.
Elle me répond :
« Effectivement, il a éjaculé près de mon visage et oui, j'ai pris plaisir à ce moment-là, mais maintenant, je me sens profondément honteuse de mon comportement. »

« Je t'en prie, garde le secret pour toi, cela rendrait ton frère malheureux et je ne souhaite pas m'éloigner de lui. » « Tu sais, je suis pratiquement seule toute la semaine et, comme toute femme, j'ai des désirs de douceur et des envies d'être caressée. »
« Toi, tu arrives à comprendre ça ? »
« Et puis, quand Nicolas rentre, il est si fatigué qu'il repart souvent sans même avoir effleuré une partie de mon corps. »

Sans me décourager, je la regarde dans les yeux et lui dis brutalement.
« Je te comprends facilement, mais je vais quand même profiter de la situation. »
« Si tu veux que je reste muet comme une carpe et que cette histoire reste sans suite, tu devras te plier à mes caprices. »
« Ce sera ta punition et en même temps ton purgatoire. »

« Je vais en tirer parti pour assouvir mon penchant au voyeurisme. » 

« Pour commencer, comme je te l'ai déjà dit tout à l'heure, tu sens la sueur. »
« Déshabille-toi devant moi et glisse-toi sous la douche. »
« Une fois propre, je veux que tu te donnes du plaisir jusqu'à avoir un orgasme, toujours sous ma surveillance. »
« Comme j'ai un profond respect pour mon frère, je ne vais pas te toucher, mais uniquement te lorgner. »
« Par contre, j'ai d'autres idées encore plus sophistiquées pour la suite, mais ce sera une autre fois. »

« Tu es un vrai salaud », m'a-t-elle dit en reniflant.

Résignée, Valérie commence alors à se déshabiller devant moi, toujours en sanglotant.
D'abord la brassière, puis le petit short de sport sans culotte en dessous.
La voici entièrement nue, elle tente de dissimuler son sexe avec ses mains croisées dessus.
Pas un poil ne recouvre son pubis.
« Mon Dieu, dire qu'auparavant, je n'avais jamais imaginé que tu étais aussi belle. »
À cause de son sport ou plutôt grâce à ses entraînements, ses seins sont fermes et arrogants.
Ses fesses sont gracieusement arrondies, présentant une forme équilibrée.
« Tu es très belle et désirable à souhait, tu sais. »
Elle me regarde, surprise de ce compliment, et cesse de pleurnicher, en esquivant un discret sourire. Je prends la parole.
« Allez, ne perdons pas de temps, allons dans la douche. »
« Maintenant, lave-toi, puis caresse-toi. »
« Je veux te regarder jouir. », puis je m’installe confortablement sur un fauteuil.


Au début, elle était réservée dans ses gestes, mais à mesure que la douche avançait, son comportement devenait de plus en plus audacieux et érotique.
Pas un centimètre de son corps n'est négligé, son éponge savonneuse se déplace et infiltre chaque recoin, y compris les plus dissimulés.
Une fois terminée, elle se rince avec le pommeau de la douche.

À ce moment-là, je commence à me sentir à l'étroit dans mon caleçon.
Je ressens un désir ardent de me jeter sur cette femme pour la dévorer avec ma bouche et la pénétrer, même vigoureusement, mais c'est prohibé, elle est l'épouse de mon frère.

C'est alors qu'elle décide de s'adresser à moi en me fixant droit dans les yeux.
« Tu veux voir comment je me masturbe sous la douche, eh bien, regarde attentivement, vieux pervers. »
Elle saisit le pommeau de douche et le règle pour obtenir deux jets puissants qui tournent sur eux-mêmes.
Valérie dirige les jets vers ses seins et plus particulièrement sur ses mamelons qui s'érigent rapidement.
Puis incessamment, à l'aide de sa main gauche, elle ouvre les babines de son sexe tout en écartant ses jambes et dirige le pommeau sur son clitoris.
Elle se positionne de manière que je puisse apprécier pleinement le spectacle et satisfaire mes tendances voyeuristes.

Les deux jets enveloppent et stimulent l'ensemble de sa vulve, dont les lèvres s'enflent de délectation et changent de teinte pour adopter une nuance plus violette.
Ses jambes se mettent à trembler, son souffle s'intensifie et sa poitrine se soulève en cadence avec sa respiration.
Elle finit par laisser tomber le pommeau, qui tombe avec un bruit assourdissant dans la douche.
Elle pose son index de sa main droite directement sur son clitoris et se masturbe avec frénésie.
Virginie se masse les seins de manière presque brutale avec sa main libre.



Soudainement, Virginie se cabre et emprisonne sa main par reflex entre ses cuisses en poussant un cri strident inhumain.
Elle reste pantoise pendant un court moment, le temps de se remettre de ce formidable orgasme.

Elle me dit alors : « Tu es fier de toi, gros dégueulasse. »

Tu sais : « Tu es vraiment belle quand tu jouis, mon frère a de la chance de t’avoir comme compagne. »
« Je ne comprends vraiment pas comment Nicolas se comporte avec toi. »
« À moins que Julien aussi ait d'autres aventures à Paris. »
« Ce qui pourrait expliquer sa grande fatigue et son manque de libido avec toi. »

« Maintenant, sort d'ici, fou le camp », me dit-elle.

Sans insister, je me prépare à partir, mais juste avant de passer la porte, je me retourne et lui confirme.
« Je t'appellerai demain au téléphone pour t'expliquer la suite de ta punition. »
« Tu as intérêt à me répondre. »

Virginie ne répond pas et me verrouille la porte sous le nez avec violence.



Une fois chez moi, je contacte mon ami Julien pour lui faire part de la situation.
« Eh bien, là, je suis vraiment surpris, voire sidéré », dit Julien.
« Toi qui es d'ordinaire si respectueux envers les femmes, tu me demandes de sauter ta belle-sœur et en plus devant toi ! » 
« Tu es vraiment un gros dépravé ! » 

« Étant donné le nombre de tes conquêtes, il est essentiel que tu te protèges avec des préservatifs. »
« Donc, Julien, tu es en accord avec cela ? »

« Bien sûr que j'accepte, cela ne fera qu'augmenter ma collection ! »
« Je peux venir chez toi la semaine prochaine, disons, mardi vers 17 h, la discothèque est fermée le mardi soir. »

Il faut préciser que Julien n'a rien à voir avec moi. Je me demande même pourquoi nous sommes amis.
Pour lui, les femmes sont comme un terrain de jeu.
Dans les moments d'intimité, il aime employer un langage cru. Il peut être doux et parfois moins docile.
Cela dépend du style de femmes qu'il a devant lui.
Je sais, par exemple, qu'il adore donner des fessées.

Rares sont les demoiselles qui résistent à ses avances. 
Il s'accorde la liberté d'explorer toutes les opportunités qu'un corps féminin peut lui offrir.

Le jour suivant, comme prévu, je téléphone à Virginie. Elle répond presque immédiatement et sans me laisser entrer dans le vif du sujet, elle me propose de venir en fin de journée pour discuter de tout cela en personne.
J'accepte cette suggestion avec surprise et plaisir.

La journée touche à sa fin et je me rends chez elle. Je toque à la porte et j'entends : « Viens, vieux sadique, elle est ouverte. » J'entre, Virginie s'avance pour m'accueillir avec un bisou et me propose un café comme à l’accoutumée, comme si rien ne s'était passé hier en fin de journée.

Je prends la parole et lui dis : « Quelle transformation depuis hier, n'oublie pas que tu m'as mis à la porte après ta splendide prestation. »
 « Je suis au courant », me répond Valérie, « mais puisque tu éprouves de la satisfaction simplement en m'observant et que tu ne prévois pas de me toucher. »
« Eh bien, j'ai médité là-dessus cette nuit et je suis d'accord pour me donner en spectacle devant un voyeur sûrement impuissant. » 
« Cela t'apportera du plaisir tout comme à moi ».

Piqué au vif, je lui fais remarquer que je n'ai pas de souci d'érection actuellement. Et que la seule raison pour laquelle je ne me précipite pas sur elle, c'est le respect profond que j'éprouve pour mon frère.
 Mais, trêve de plaisanterie, voici la suite que je te réserve et t’impose pour terminer ton purgatoire.

Valérie m’écoute avec attention.


« Puisque tu aimes tant les aventures extraconjugales, je viendrai mardi, avec un homme dont tu connais uniquement le prénom. » 
« On en a déjà parlé plusieurs fois. »
 « Il s'agit de Julien, mon meilleur ami qui est le directeur d'une boîte de nuit. » 
« Il est en quête de conquêtes féminines. » 
« Je lui ai recommandé de te posséder comme il l'entend et sans aucune restriction. »
« Tu te trouveras à sa merci. »
« Fais-moi confiance, tu ne pourras pas l'accuser d'impuissance. »

« Suite à son passage, ou plutôt à ses allées et venues incessantes dans ton corps, je suis persuadé que tu seras comblée, totalement vidée, et que tu imploreras la pitié pour qu’il cesse de te baiser. »
« Ah oui, j'oubliai, Julien ne se satisfait pas de jus de fruits, il a une préférence pour un excellent whisky. »

« Pour une fois, je te suggère de consommer de l'alcool ce jour-là et d'avoir un petit flacon d'huile d'amande douce à portée de main. »
« Cela t'aidera sans doute à te détendre et à lui faciliter son œuvre. »
« Qu'est-ce que tu racontes et pourquoi faire ça ? » s'exclame Virginie, incrédule.
« Tu verras bien. »

« Ceci sera ton ultime défi pour obtenir ton absolution. »

« Par la suite, on se retrouvera, comme à l'accoutumée, devant une tasse de café et je ne te dérangerai plus. »
« Sois certaine de ma discrétion concernant mon frère. »
« Voilà, je t'ai tout dit. »
« Qu’en penses-tu, Valérie ? »

Ma belle-sœur prend un moment pour réagir, visiblement stupéfaite par ce qu'elle vient d'écouter. 

« Mais, souligne-t-elle, tu me donnes à un étranger sans même me demander si j'accepte. » 

Je lui souligne que ce n'est pas le cas. 
La réalité serait plutôt que c'est simplement une proposition indécente, non pour de l'argent comme dans le film du même nom, mais pour compenser mon silence vis-à-vis de son mari.  

« En plus, je suis certain que tu prendras furieusement du plaisir du fait des compétences particulières en la matière de Julien. »
« De toute façon, tu n'as pas choix. »

« Sur ce, je te souhaite une bonne soirée. » On se retrouve mardi de la semaine prochaine. »
«  N'oublie pas d'embrasser mon frère jeudi pour moi. »
« Allez, bisous de ton beau-frère impuissant et à mardi. »

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
La suite va venir, mais je suis en vacances. Il faudra attendre trois semaines. Merci pour le compliment.

Osiris.

Histoire Erotique
Et bien quel départ un très beau texte erotique la douche sublime. On nous annonce une suite très hot et sulfureuse vivement cette suite
Daniel



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