Chantal à poil et baisée sur ce chemin
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-07-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Chantal à poil et baisée sur ce chemin
Le sentier des contrebandiers ou des douaniers
C’est comme cela qu’on appel près d’où on va en vacances, un chemin qui serpente en haut d’une falaise. Cette histoire vraie s’est déroulée quelques années déjà.
Voici comment j'ai réalisé le phantasme qui me poursuivait depuis bien longtemps. Chantal, ma femme, est belle. Très belle. Bien des hommes peuvent le dire. Simplement, elle est de contact froid. Un peu hautaine et parfois méprisante pour cacher une forte timidité. Je suis fou d'elle.
Quand le regard d'un homme se pose sur elle, j'ai mal de jalousie et pourtant, une sorte de chaleur et de bien être enveloppe mon sexe, alors qu'au niveau du cœur un pincement accuse mon excitation.
Je l’encourage à s’habiller sexy, elle reste classique. Quand par hasard, une jambe se dévoile ou un décolleté plongeant laisse voir le sillon entre ses seins, je me garde bien de l’avertir et mon excitation est majorée pour une exhibe à son insu.
Je lui ai parlé, à demi mots de mon fantasme de la voir dans les bras d’un autre. Le refus a toujours été cinglant, accompagné de reproches.
Une fois, pourtant, en vacance au bord de la mer, sur un de ces chemins menant à une plage peu fréquentée, j'ai saisi le regard d'un noir qui nous suivait et fixait ses longues jambes brunies par le soleil. Ce jour là, une légère chemise de plage de couleur, qui lui arrive juste sous la naissance des fesses, recouvrait un maillot de bain deux pièces et laissait croire qu'elle pourrait être nue. Il croise mon regard et le soutient. Je détourne les yeux. Plus loin, je me retourne, il est encore là et me sourit. Comme il lève le pouce pour me dire qu’il apprécie ce qu’il voit, je ferme les yeux pour lui signifier que j'ai compris et que je suis son complice. Ses yeux se posent alors sur les reins de Chantal qui ne s'est aperçue de rien et d'un geste il me fait comprendre qu'elle est belle. J’ai tout à coup envie de lui en montrer davantage. Je suis pris d’une excitation de folie et de peur en même temps. Je bande dans mon short. Je pose mon bras sur l'épaule de ma compagne tout en marchant. J'entends qu'il nous suit à distance. Alors je m'arrête pour l’embrasser en prenant soin de lui faire tourner le dos au voyeur qui se cache derrière un buisson qui orne le chemin. Nous sommes seuls. D'un geste de la main je le vois qui me demande de remonter la robe de plage. Il se caresse au dessus de son slip de bain. Pendant que je lui donne un baiser fougueux, Chantal ferme les yeux. Elle est heureuse. Alors lentement ma main se pose sur ses fesses et tire sa chemise découvrant son petit slip de bain. L'homme se caresse plus rapidement et m'encourage à continuer. Mes doigts s'insinuent sous la cordelette du léger vêtement. Chantal se raidit. J'appuie mon baiser. Elle a peur et elle regarde autour d'elle. Le noir a eu le temps de se cacher. Rassurée elle s'abandonne à nouveau. Ma main fait à peine glisser le tissu découvrant un peu de peau blanche et la naissance de la raie des fesses. Je poursuis en fixant l'homme qui est sorti de sa cachette et se caresse en fixant le cul blanc que je lui découvre lentement. Chantal est tendue, je l'embrasse encore. Les fesses sont pratiquement nues maintenant et je dégage la robe de plage vers le haut pour mieux les offrir au regard du voyeur. Cette tache blanche se détache nettement de son corps bronzé et augmente mon excitation et celle de mon complice. Chantal a peur et brutalement, elle se retourne et découvre l'homme qui se branle en regardant son cul. Rapidement elle veut remonter son slip, mais ma main la retient. Elle veut fuir mais je la rassure et la supplie de me faire plaisir. Juste un peu. J'insiste et soudain elle se détend, met sa tête sur mon épaule et s'abandonne. Je suis fou. Elle ferme les yeux et consent. Le noir vient de comprendre et il sort une énorme queue qu'il se met à branler rapidement. Toujours lentement de peur de rompre le charme, je remonte à nouveau la chemise. Bien haut. Et je dénoue les deux petites ficelles latérales qui retiennent encore le slip de bain. Il tombe sur le chemin. Ma femme est nue devant un homme qui se branle en voyant son cul ! Au milieu d'un chemin ! Je la sens qui frémit. Sa respiration s'accélère. Je l'embrasse et la tire à l'écart. Le slip reste sur le chemin pour l'homme, qui le ramasse. La chemise est remontée au dessus de l'attache du soutien gorge du maillot de bain. Je le défais dans le dos et au cou. Il tombe également. Chantal est maintenant nue sous sa chemise et on s'éloigne de ses vêtements. L'homme ramasse encore et en enveloppe son sexe humide. Nous reprenons la marche. Je la sens tendue, effrayée et en même temps, elle exprime un étrange comportement dans lequel se mélange abandon et plaisir. Elle respire rapidement. Son regard est à l'affût d'une autre, d'un autre. Elle semble pourtant avoir accepté et reconnu la présence du voyeur qui nous suit très près. Lui est dans le couple maintenant. Tout en marchant, je remonte à nouveau sa chemise bien haut, très haut pour bien exhiber ses fesses que l'homme peut alors admirer à loisir en mouvement, entraînées par le déhanchement de Chantal qui marche perchée sur ses sabots de plage. Et par devant, son sexe est découvert, exposé aux regards imaginaires... Nous arrivons sur un terre-plein. Au loin on aperçoit des estivants.
- " Montre moi ses nichons...! "
L'homme a parlé d'une voix lourde. Chantal a sursauté. La violence des mots crus la choque. Elle me regarde. Rien. Je suis sur le point de jouir dans mon short. Je réalise alors que ma femme est nue sous une simple chemise légère, ses vêtements de pudeur dans les mains d’un inconnu qui se branle derrière elle. Cette notion de non retour ajoute à mon excitation. C'est une forme intellectuelle d'abandon de soumission. Elle sait déjà que je vais l'exhiber entièrement nue. Alors elle accepte. Mes paroles la rassurent et je fais passer la chemise par dessus sa tête et la jette au loin. Et lentement je l'éloigne un peu de moi, la prend par ses épaules pour la faire pivoter vers son voyeur. Elle garde les yeux fermés. Il accélère le rythme de sa masturbation quand ses yeux caressent les seins blancs et le pubis à peine poilu, exposés, offerts. Je lui retiens les bras dans le dos pour que rien ne vienne entraver l'objet du désir de l'homme qui se branle là, à deux mètres d’elle maintenant. Sa queue est droite, raide, brillante, humide signifiant son excitation. Je passe une main sur ses seins pour les faire pointer sous ma caresse. Et cela excite encore davantage l'homme de la voir prendre du plaisir à se montrer ainsi sans retenue. Mes deux mains maintenant soulèvent sa poitrine comme pour la donner en offrande au regard de l'inconnu. Ils sont beaux, leur pointe dressée est dure. Je les pétris, les malaxe pour exciter la queue dressée qui maintenant s'approche lentement. Il est près. Le souffle chaud de sa respiration est perceptible tant il est à la toucher. Il la sait à lui. Il a très bien compris que je suis disposé à lui donner pour sa jouissance personnelle. Elle ne peut lui échapper. Elle, elle tremble tant elle a peur. Elle maintient ses yeux fermés comme pour se défendre encore un peu. Elle le sent là, devant elle. L'homme regarde sa bouche, son cou, ses seins où maintenant il s'attarde. Son regard insiste sur leurs pointes qui se dressent sous mes caresses. Chantal est sensible à cet endroit. Elles bandent excitées par mes doigts. Le noir ne peut plus détacher ses yeux de cette poitrine dont il sait qu'il va bientôt pouvoir la saisir. Mais il sait attendre. La situation l'excite. Il est le maître, on a besoin de lui. Moi j'ai du mal a contenir ma jouissance. Rien ne m'échappe : Chantal qui tremble dans mes bras, qui respire très vite, cet homme qui se prépare, qui la lèche des yeux.
- "Touche lui les seins !"
Chantal a sursauté au son de ma voix. Elle veut fuir. Je la retiens, la rassure " pour me faire plaisir..." Je maintiens encore ses mains dans le dos. La main de l'homme abandonne sa queue un moment. Elle brille, plein de sécrétions sexuelles. Elle s'élève et se pose tout doucement sur ce sein tant désiré. Elle le saisit à pleine paume et commence à le malaxer fermement. L'homme râle. Chantal se raidit et sanglote. L'homme appuie sa caresse, pétrit, écrase, soulève cette chair pour son plaisir. La peau blanche se recouvre du jus du plaisir que la main a recueilli auparavant sur le sexe en érection. L'autre sein est maintenant caressé à son tour. Au loin on entend des voix. Tant pis, Chantal est nue et pelotée en ce lieu public. Il pince sa pointe. Je sais qu'elle aime cela et, malgré la peur qui est encore trop forte, elle se laisse faire. Les deux mains sont maintenant en action, écrasant caressant sans douceur les deux globes rouges d'excitation. Alors lentement pour ne pas l'effaroucher, alors que l'homme est tout à son plaisir, je conduits une main de mon épouse vers le sexe droit et dur et l'encourage à le saisir. Après un mouvement de recul, elle s’abandonne une nouvelle fois devant mon insistance. Jusqu'où ira-t-elle ?
-" Branle-le "
Et sa main enveloppe cette queue humide et commence un lent va et vient. L'homme râle. Alors rapidement, sa main droite s'abaisse et saisit brutalement le sexe féminin. Un doigt qui m'apparaît énorme disparaît dans son intimité tandis qu'elle se cabre devant la brutalité du geste. Violemment il la doigte sans douceur. L’homme est sur le point d'exploser de jouissance. Chantal a gardé les yeux fermés. Il approche ses lèvres brûlantes, pleines de salive et se saisit de sa bouche. Elle gémit. La langue force l'entrée, les lèvres résistent refusant cette pénétration. La main s'active dans son sexe, l'autre sur son sein. L'homme va jouir et veut tout posséder en même temps pour son propre compte : les seins, le ventre, la bouche. Alors elle cède pour en finir. Sa bouche s'ouvre et la grosse langue la pénètre goulûment sans aucune complaisance l'inondant d'une salive abondante. Leurs langues se mêlent dans un baiser fougueux. Le noir halète, il se plaque contre le corps nu, exerçant une pression. Moi derrière je la maintiens et la pousse même contre lui. Elle a lâché le sexe qui maintenant s'écrase contre son ventre. L'homme plie légèrement les genoux, je saisis Chantal par les fesses et la soulève légèrement. Alors que ses pieds quittent un peu le sol, en une fraction de seconde on lui écarte les jambes ouvrant sa chatte à l'assaut de cette queue énorme qui va la défoncer sous mes yeux. Lui, l'avait saisie par les cuisses, relevant ses jambes pour s'ouvrir largement le chemin de son vagin. Le gland décalotté laisse perler une goutte de sécrétion. Il est énorme. D'où je suis je peux voir le sexe brillant de mouille de mon épouse qui va recevoir cet énorme gland tandis qu'un premier jet de sperme s'en échappe. Et la queue disparaît et glisse sans effort dans le ventre offert. L'homme le plante bien au fond et reste immobile tandis qu'il dépose sa semence dans le plus profond du sexe violé. Tout au fond. Moi, j'imagine le liquide chaud jaillir par saccades dans sa chair, en giclées violentes et successives. L'homme jouit. J’explose à mon tour sans même me toucher. Cela dure. Soudain, pour finir, il entame un rapide va et vient pour déposer loin, très loin, les dernières gouttes de cette semence donnée au détour d'une rencontre. L'homme jouit pleinement en se déversant. Ses lèvres et sa langue lèchent le visage de la femme qui laisse enfin apparaître des signes de plaisir. Chantal gémit, respire plus vite, il sent rend compte et il accentue ses va et viens pour la faire jouir, altruiste. Et soudain, elle explose dans les petits cris que je lui connais bien. Longtemps, longtemps. Enfin, la pression retombe, avec l’excitation, on reprend nos esprits. Je redoute, mais rien. Le noir se rajuste, lui sourit et lui donne un baiser tendre sur les lèvres et s’éloigne. On récupère la robe de plage et on rentre, Chantal reste nue car son "violeur" a bien pris soin de conserver son maillot de bain.
C’est comme cela qu’on appel près d’où on va en vacances, un chemin qui serpente en haut d’une falaise. Cette histoire vraie s’est déroulée quelques années déjà.
Voici comment j'ai réalisé le phantasme qui me poursuivait depuis bien longtemps. Chantal, ma femme, est belle. Très belle. Bien des hommes peuvent le dire. Simplement, elle est de contact froid. Un peu hautaine et parfois méprisante pour cacher une forte timidité. Je suis fou d'elle.
Quand le regard d'un homme se pose sur elle, j'ai mal de jalousie et pourtant, une sorte de chaleur et de bien être enveloppe mon sexe, alors qu'au niveau du cœur un pincement accuse mon excitation.
Je l’encourage à s’habiller sexy, elle reste classique. Quand par hasard, une jambe se dévoile ou un décolleté plongeant laisse voir le sillon entre ses seins, je me garde bien de l’avertir et mon excitation est majorée pour une exhibe à son insu.
Je lui ai parlé, à demi mots de mon fantasme de la voir dans les bras d’un autre. Le refus a toujours été cinglant, accompagné de reproches.
Une fois, pourtant, en vacance au bord de la mer, sur un de ces chemins menant à une plage peu fréquentée, j'ai saisi le regard d'un noir qui nous suivait et fixait ses longues jambes brunies par le soleil. Ce jour là, une légère chemise de plage de couleur, qui lui arrive juste sous la naissance des fesses, recouvrait un maillot de bain deux pièces et laissait croire qu'elle pourrait être nue. Il croise mon regard et le soutient. Je détourne les yeux. Plus loin, je me retourne, il est encore là et me sourit. Comme il lève le pouce pour me dire qu’il apprécie ce qu’il voit, je ferme les yeux pour lui signifier que j'ai compris et que je suis son complice. Ses yeux se posent alors sur les reins de Chantal qui ne s'est aperçue de rien et d'un geste il me fait comprendre qu'elle est belle. J’ai tout à coup envie de lui en montrer davantage. Je suis pris d’une excitation de folie et de peur en même temps. Je bande dans mon short. Je pose mon bras sur l'épaule de ma compagne tout en marchant. J'entends qu'il nous suit à distance. Alors je m'arrête pour l’embrasser en prenant soin de lui faire tourner le dos au voyeur qui se cache derrière un buisson qui orne le chemin. Nous sommes seuls. D'un geste de la main je le vois qui me demande de remonter la robe de plage. Il se caresse au dessus de son slip de bain. Pendant que je lui donne un baiser fougueux, Chantal ferme les yeux. Elle est heureuse. Alors lentement ma main se pose sur ses fesses et tire sa chemise découvrant son petit slip de bain. L'homme se caresse plus rapidement et m'encourage à continuer. Mes doigts s'insinuent sous la cordelette du léger vêtement. Chantal se raidit. J'appuie mon baiser. Elle a peur et elle regarde autour d'elle. Le noir a eu le temps de se cacher. Rassurée elle s'abandonne à nouveau. Ma main fait à peine glisser le tissu découvrant un peu de peau blanche et la naissance de la raie des fesses. Je poursuis en fixant l'homme qui est sorti de sa cachette et se caresse en fixant le cul blanc que je lui découvre lentement. Chantal est tendue, je l'embrasse encore. Les fesses sont pratiquement nues maintenant et je dégage la robe de plage vers le haut pour mieux les offrir au regard du voyeur. Cette tache blanche se détache nettement de son corps bronzé et augmente mon excitation et celle de mon complice. Chantal a peur et brutalement, elle se retourne et découvre l'homme qui se branle en regardant son cul. Rapidement elle veut remonter son slip, mais ma main la retient. Elle veut fuir mais je la rassure et la supplie de me faire plaisir. Juste un peu. J'insiste et soudain elle se détend, met sa tête sur mon épaule et s'abandonne. Je suis fou. Elle ferme les yeux et consent. Le noir vient de comprendre et il sort une énorme queue qu'il se met à branler rapidement. Toujours lentement de peur de rompre le charme, je remonte à nouveau la chemise. Bien haut. Et je dénoue les deux petites ficelles latérales qui retiennent encore le slip de bain. Il tombe sur le chemin. Ma femme est nue devant un homme qui se branle en voyant son cul ! Au milieu d'un chemin ! Je la sens qui frémit. Sa respiration s'accélère. Je l'embrasse et la tire à l'écart. Le slip reste sur le chemin pour l'homme, qui le ramasse. La chemise est remontée au dessus de l'attache du soutien gorge du maillot de bain. Je le défais dans le dos et au cou. Il tombe également. Chantal est maintenant nue sous sa chemise et on s'éloigne de ses vêtements. L'homme ramasse encore et en enveloppe son sexe humide. Nous reprenons la marche. Je la sens tendue, effrayée et en même temps, elle exprime un étrange comportement dans lequel se mélange abandon et plaisir. Elle respire rapidement. Son regard est à l'affût d'une autre, d'un autre. Elle semble pourtant avoir accepté et reconnu la présence du voyeur qui nous suit très près. Lui est dans le couple maintenant. Tout en marchant, je remonte à nouveau sa chemise bien haut, très haut pour bien exhiber ses fesses que l'homme peut alors admirer à loisir en mouvement, entraînées par le déhanchement de Chantal qui marche perchée sur ses sabots de plage. Et par devant, son sexe est découvert, exposé aux regards imaginaires... Nous arrivons sur un terre-plein. Au loin on aperçoit des estivants.
- " Montre moi ses nichons...! "
L'homme a parlé d'une voix lourde. Chantal a sursauté. La violence des mots crus la choque. Elle me regarde. Rien. Je suis sur le point de jouir dans mon short. Je réalise alors que ma femme est nue sous une simple chemise légère, ses vêtements de pudeur dans les mains d’un inconnu qui se branle derrière elle. Cette notion de non retour ajoute à mon excitation. C'est une forme intellectuelle d'abandon de soumission. Elle sait déjà que je vais l'exhiber entièrement nue. Alors elle accepte. Mes paroles la rassurent et je fais passer la chemise par dessus sa tête et la jette au loin. Et lentement je l'éloigne un peu de moi, la prend par ses épaules pour la faire pivoter vers son voyeur. Elle garde les yeux fermés. Il accélère le rythme de sa masturbation quand ses yeux caressent les seins blancs et le pubis à peine poilu, exposés, offerts. Je lui retiens les bras dans le dos pour que rien ne vienne entraver l'objet du désir de l'homme qui se branle là, à deux mètres d’elle maintenant. Sa queue est droite, raide, brillante, humide signifiant son excitation. Je passe une main sur ses seins pour les faire pointer sous ma caresse. Et cela excite encore davantage l'homme de la voir prendre du plaisir à se montrer ainsi sans retenue. Mes deux mains maintenant soulèvent sa poitrine comme pour la donner en offrande au regard de l'inconnu. Ils sont beaux, leur pointe dressée est dure. Je les pétris, les malaxe pour exciter la queue dressée qui maintenant s'approche lentement. Il est près. Le souffle chaud de sa respiration est perceptible tant il est à la toucher. Il la sait à lui. Il a très bien compris que je suis disposé à lui donner pour sa jouissance personnelle. Elle ne peut lui échapper. Elle, elle tremble tant elle a peur. Elle maintient ses yeux fermés comme pour se défendre encore un peu. Elle le sent là, devant elle. L'homme regarde sa bouche, son cou, ses seins où maintenant il s'attarde. Son regard insiste sur leurs pointes qui se dressent sous mes caresses. Chantal est sensible à cet endroit. Elles bandent excitées par mes doigts. Le noir ne peut plus détacher ses yeux de cette poitrine dont il sait qu'il va bientôt pouvoir la saisir. Mais il sait attendre. La situation l'excite. Il est le maître, on a besoin de lui. Moi j'ai du mal a contenir ma jouissance. Rien ne m'échappe : Chantal qui tremble dans mes bras, qui respire très vite, cet homme qui se prépare, qui la lèche des yeux.
- "Touche lui les seins !"
Chantal a sursauté au son de ma voix. Elle veut fuir. Je la retiens, la rassure " pour me faire plaisir..." Je maintiens encore ses mains dans le dos. La main de l'homme abandonne sa queue un moment. Elle brille, plein de sécrétions sexuelles. Elle s'élève et se pose tout doucement sur ce sein tant désiré. Elle le saisit à pleine paume et commence à le malaxer fermement. L'homme râle. Chantal se raidit et sanglote. L'homme appuie sa caresse, pétrit, écrase, soulève cette chair pour son plaisir. La peau blanche se recouvre du jus du plaisir que la main a recueilli auparavant sur le sexe en érection. L'autre sein est maintenant caressé à son tour. Au loin on entend des voix. Tant pis, Chantal est nue et pelotée en ce lieu public. Il pince sa pointe. Je sais qu'elle aime cela et, malgré la peur qui est encore trop forte, elle se laisse faire. Les deux mains sont maintenant en action, écrasant caressant sans douceur les deux globes rouges d'excitation. Alors lentement pour ne pas l'effaroucher, alors que l'homme est tout à son plaisir, je conduits une main de mon épouse vers le sexe droit et dur et l'encourage à le saisir. Après un mouvement de recul, elle s’abandonne une nouvelle fois devant mon insistance. Jusqu'où ira-t-elle ?
-" Branle-le "
Et sa main enveloppe cette queue humide et commence un lent va et vient. L'homme râle. Alors rapidement, sa main droite s'abaisse et saisit brutalement le sexe féminin. Un doigt qui m'apparaît énorme disparaît dans son intimité tandis qu'elle se cabre devant la brutalité du geste. Violemment il la doigte sans douceur. L’homme est sur le point d'exploser de jouissance. Chantal a gardé les yeux fermés. Il approche ses lèvres brûlantes, pleines de salive et se saisit de sa bouche. Elle gémit. La langue force l'entrée, les lèvres résistent refusant cette pénétration. La main s'active dans son sexe, l'autre sur son sein. L'homme va jouir et veut tout posséder en même temps pour son propre compte : les seins, le ventre, la bouche. Alors elle cède pour en finir. Sa bouche s'ouvre et la grosse langue la pénètre goulûment sans aucune complaisance l'inondant d'une salive abondante. Leurs langues se mêlent dans un baiser fougueux. Le noir halète, il se plaque contre le corps nu, exerçant une pression. Moi derrière je la maintiens et la pousse même contre lui. Elle a lâché le sexe qui maintenant s'écrase contre son ventre. L'homme plie légèrement les genoux, je saisis Chantal par les fesses et la soulève légèrement. Alors que ses pieds quittent un peu le sol, en une fraction de seconde on lui écarte les jambes ouvrant sa chatte à l'assaut de cette queue énorme qui va la défoncer sous mes yeux. Lui, l'avait saisie par les cuisses, relevant ses jambes pour s'ouvrir largement le chemin de son vagin. Le gland décalotté laisse perler une goutte de sécrétion. Il est énorme. D'où je suis je peux voir le sexe brillant de mouille de mon épouse qui va recevoir cet énorme gland tandis qu'un premier jet de sperme s'en échappe. Et la queue disparaît et glisse sans effort dans le ventre offert. L'homme le plante bien au fond et reste immobile tandis qu'il dépose sa semence dans le plus profond du sexe violé. Tout au fond. Moi, j'imagine le liquide chaud jaillir par saccades dans sa chair, en giclées violentes et successives. L'homme jouit. J’explose à mon tour sans même me toucher. Cela dure. Soudain, pour finir, il entame un rapide va et vient pour déposer loin, très loin, les dernières gouttes de cette semence donnée au détour d'une rencontre. L'homme jouit pleinement en se déversant. Ses lèvres et sa langue lèchent le visage de la femme qui laisse enfin apparaître des signes de plaisir. Chantal gémit, respire plus vite, il sent rend compte et il accentue ses va et viens pour la faire jouir, altruiste. Et soudain, elle explose dans les petits cris que je lui connais bien. Longtemps, longtemps. Enfin, la pression retombe, avec l’excitation, on reprend nos esprits. Je redoute, mais rien. Le noir se rajuste, lui sourit et lui donne un baiser tendre sur les lèvres et s’éloigne. On récupère la robe de plage et on rentre, Chantal reste nue car son "violeur" a bien pris soin de conserver son maillot de bain.
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12 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Déjà lue cette histoire deux fois dans "Couples"...mais toujours aussi bandant ! Merci.
tres exitant et joliment raconté, de l'érotisme comme on l'aime et l'on pourait penser que l'avanture fut réelle.
tres bien écrite et tellement bandante.........
excellent je n'ai pas arreté de bander pendant cette lecture
excitant toute la première partie ; une montée en puissance très sensuelle. La fin est
un peu brutale. Très belle histoire.
un peu brutale. Très belle histoire.
Excellente histoire
très bon.
comme j'aurais voulu être avec toi pour t'aider à offrir Chantal au plaisir
Ecrivain
Ecrivain
superbe histoire merci possible avoir une photo merci
un vrai plaisir cette rencontre, j aimerais bien decouvrir ta femme en photo
Trés branlant, j'imagine avec plaisir, une autre vite...
hummmm