Chantal et les deux homosexuels - histoire érotique

Comment Chantal arrive à séduire puis à se donner à un couple d’homosexuels au cours d‘une soirée à priori anodine.

A l’occasion d’un voyage de groupe à l’étranger, après une superbe soirée de gala, on rentrés à notre hôtel, crevés. Chantal monte directement dans notre chambre tandis que je m’attarde au bar boire un cocktail avec Jocelyn et son petit ami, deux homosexuels avec lesquels nous avons sympathisé.
Chantal a vraiment séduit tout le groupe et particulièrement ce couple. En fait tous les trois ont enthousiasmé le groupe qui les a vite élus comme meneurs : Chantal par sa beauté et les deux autres pour leur délicatesse et prévenance auprès de tous.
Jocelyn est le plus jeune, svelte et bien de sa personne il est toujours tout sourire. Il nous a avoué que préférant les hommes il se sentait bien souvent attiré par les jolies femmes et très vite on s’est aperçus qu’il n’était pas indifférent aux charmes de mon épouse. Cette dernière avec perfidie ne se gênant pas de faire la belle auprès de lui comme pour le provoquer et s’en amuser.
Valentin (c’est comme cela qu’il se fait appeler), est beaucoup plus âgé. La cinquantaine bien avancée, moustachu, il affiche un embonpoint bien en accord avec joie de vivre et de bien vivre : la bonne chaire, c’est un jouisseur. Il est très amoureux de son compagnon qui, lui, affiche une liberté à le rendre jaloux. Il s’est bien aperçu des regards de son copain sur le corps de Chantal et je l’ai surpris souvent à en manifester une jalousie nette.
Malgré tout, le groupe en vacances vit très bien ces moments de détente même si les allusions restent très bon enfant.
Jocelyn est très prévenant auprès de Chantal, il ne manque pas de lui ouvrir la porte, de la servir, de lui faire en quelque sorte la cour. Chantal séduite se laisse faire et ensemble on ne manque pas d’en faire état et d’en rire. Pourtant moi aussi je suis un peu jaloux de l’effet que ce garçon fait sur Chantal. Toute femme aime provoquer les homosexuels comme pour se convaincre qu’elles peuvent les séduire.
Cette nuit là, donc, en regagnant tous les trois nos chambres, on s’attarde quelques instants devant la porte de ma chambre. Doucement car l’heure est bien avancée. Machinalement, j’ouvre ma porte tout en continuant de parler et je surprends le regard de mes amis dirigés vers l’entrebâillement de la porte, je me retourne et m’aperçois à mon tour que Chantal est allongée sur le lit, toujours habillée de sa robe noire de soirée. Elle dort sur le dos, les pieds reposant sur le sol, face à nous. Mais ce qui attire notre regard c’est que dans cette position, sa robe est ouverte sur le devant laissant voir ses cuisses légèrement écartées, gainées de bas noirs et même une large partie de sa petite culotte blanche en coton. Juste à l’entre cuisses, le tissus est tiré sur le côté laissant paraître quelques poils de son pubis : le tableau est très excitant et je suis pris soudain d’une violente érection voir ainsi ma femme exposée à son insu à deux hommes.
On reste tous les trois silencieux contemplant la femme endormie.
Mon premier réflexe est de refermer la porte pour extraire le tableau au regard des deux hommes. Puis tous les trois silencieux on regarde autour de nous comme si d’autres avaient vu. Personne dans le couloir. On se regarde je leur souris. Personne ne bouge. Alors je prends l’initiative de rouvrir la porte et avant que je puisse réagir, Jocelyn pénètre dans la chambre sans bruit, le regard fixé sur lit. Je le suis. Son compagnon, lui, reste sur le pas de la porte, interdit.
Je lui fais signe de nous suivre et de faire silence pour ne pas réveiller la belle endormie. Rapidement, je prends notre appareil photo et j’immortalise ce moment exceptionnel. Je mitraille tandis que Jocelyn regarde, complice et excité. Valentin lui, reste à l’écart, jaloux sans doute de voir son copain attiré par les charmes d’une femme.
A maintes reprises d’ailleurs j’avais saisi ce regard chez lui quand Jocelyn faisait la cour à ma femme.
Chantal se réveille et se redresse. Elle nous regarde incrédule et se rendant compte de sa tenue se rajuste rapidement. On lui sourit et après quelques instants de flottement elle se met à rire à son tour de cette situation. Elle me fait les gros yeux en apercevant l’appareil photo, mais Jocelyn lui fait un compliment et tout s’efface.
Ne voulant pas casser l’enchantement du moment je propose de prendre un dernier verre et avant d’attendre sa réponse je fonce vers le mini bar pour sortir une bouteille de Whisky.
L’atmosphère est à la détente. C’est alors que Jocelyn vient s’asseoir sur le lit à côté de Chantal sur sa droite. Son compagnon prend place à l’écart sur une chaise tandis que je sers les boissons. Je charge bien le verre de ma femme, fatiguée je voudrais qu’elle se sente bien en cette compagnie.
On parle de choses et d’autres et Jocelyn ne quitte pas Chantal des yeux. Placé à ses côtés je le vois qui reluque à plusieurs reprises dans son décolleté. Sa robe noire est un bustier qui met en valeur sa poitrine. Au cours de la soirée d’ailleurs Chantal a beaucoup dansé, invitée à plusieurs reprises par des mâles sous le charme de sa tenue et de sa beauté. Déjà, à plusieurs reprises j’avais saisi des regards de ses cavaliers dans son décolleté. Ce soir là Chantal était très sexy ce qui avait allumé bien des hommes. Jocelyn surtout qui n’avait hésité à l’inviter danser à plusieurs reprises. J’avais même remarqué avec une pointe de jalousie qu’il la serrait un peu de près et que ma femme ne s’en défendait pas le moindre.
Tandis qu’on parle tranquillement, cette dernière montre des signes de fatigue : alcool et soirée bien avancée, je la vois qui cligne plusieurs fois des yeux. Jocelyn qui s’en est aperçu la prends délicatement par les épaules et l’incline vers lui. Elle ne réagit pas mais laisse tomber sa tête sur l’épaule de son voisin. Très vite elle ferme les yeux semblant s’endormir. On se tait tous les trois, l’instant est magique.
Je me sens pris d’une formidable érection et en même temps de jalousie. Surtout que Jocelyn ne se préoccupe plus de ma présence, la tête penchée vers ma femme endormie sur son épaule. Son visage est tout rouge, il transpire presque, les yeux braqués maintenant dans le corsage devant lui. Il regarde sans retenue. Son compagnon fait de plus en plus la gueule mais il n’en a cure. Il serre Chantal contre lui et de sa main droite il lui caresse tendrement la joue, presque amicalement. Ma femme à ce moment se réveille et se redresse. Elle demande à dormir, fatiguée et à la laisser se coucher. Jocelyn l’attire à nouveau contre lui et lui propose de dormir contre lui ; après un moment d’hésitation, elle laisse tomber sa tête sur les épaules de l’homosexuel se laissant aller.
Alors je l’entends lui dire doucement à l’oreille qu’elle est très belle et qu‘il est heureux de la sentir contre lui. Chantal, les yeux fermés, lui sourit un instant et s’endort.
La tension monte dans la chambre, je me lève pour aller baisser la lumière trop violente, juste ce qu’il faut pour laisser dormir et laisser voir ce qui se passe.
Car Jocelyn qui la maintient de son bras gauche aux épaules caresse maintenant le visage de ma femme et je vois clairement sa main droite descendre. Quand elle atteint un sein je panique de peur de la réaction de Chantal. Rien ! Elle est bien endormie ou fait semblant mais toujours est-il qu’elle se laisse caresser doucement le sein par son voisin.
Je n’en crois pas mes yeux, elle doit être vraiment fatiguée ou saoule pour se laisser ainsi faire. C’est vrai qu’elle a manifesté beaucoup de sympathie pour ce garçon et même souvent de complicité.
Maintenant je vois la main glisser dans l’échancrure du bustier à même la peau et s’emparer du sein droit de le caresser doucement. Chantal réagit elle écarte la main sans violence mais garde les yeux fermés et ne bouge pas de sa position.
Alors doucement, il la fait s’allonger à ses côtés, dans la même position qu’on l’a trouvée tout à l’heure.
Il lui immobilise les poignets de sa main libre pour entraver toute réaction et lentement il reprend sa caresse. Sa main glisse sur la peau pour disparaître dans l’échancrure de la robe. On aperçoit nettement les mouvements de caresse. Cette fois Chantal se laisse faire, elle ouvre ses yeux pour me regarder mais les referme aussitôt sans que je puisse savoir si elle m’a vu. Elle s’abandonne.
Je me demande si elle réalise qu’elle est en train se faire peloter les seins par un homosexuel en présence de son mari et du compagnon ?
Par moments, Jocelyn jette un regard à son compagnon pour lui montrer combien il est content sans imaginer que l’autre souffre. Quand je croise son regard, il m’adresse un sourire comme un enfant à qui j’aurais prêté mon jouet. Il ne réalise aucunement le sérieux de la situation. Il pelote les seins de ma femme endormie contre lui. !
Chantal à ce moment à la tête appuyée contre les hanches de son amant, dans un abandon total. Il règne dans la pièce une atmosphère étrange mélange de sexe et de plaisir. Jocelyn la caresse de plus belle, sa main passe d’un sein à l’autre. Il libère la main qui maintenait les poignets de Chantal et caresse la cuisse près de lui, doucement il fait remonter le bas de la robe découvrant les bas puis le haut des cuisses nues. Comme Chantal n’a aucune réaction, il glisse deux doigts sous l’élastique du slip et caresse le sexe à même la peau. Toujours aucune réaction de mon épouse. Je bande et mon sexe me fait mal. Je suis aussi très jaloux de voir Chantal s’abandonner aussi facilement aux caresses d’un étranger !
Quand Jocelyn tire sur la culotte pour la baisser je pense qu’il va se passer quelque chose. Et en effet, et ce n’est pas du tout ce que je pensais : Chantal soulève ses fesses afin de faciliter la manœuvre et le sous vêtement glisse maintenant sur ses cuisses pour tomber sur ses chevilles ; je suis sûr maintenant que ma femme ne dort plus et se laisse aller dans les bras de son amant d’un jour. Jocelyn glisse sa main sous la robe qui est retombée sur les cuisses et caresse le ventre nu. On l’imagine sa main allant du ventre au pubis ; ce faisant, il regarde son compagnon et l’invite à s’approcher. Il fait la gueule, ne bouge pas. Il faut dire que Jocelyn est tout excité par ce qu’il fait à une femme. Il est tout rouge, les yeux brillant, le sourire aux lèvres. Il s’occupe peu de moi tant il a pris ma femme pour sa femelle.
Soudain je vois une main de Chantal s’approcher de la braguette de Jocelyn et attraper son sexe pleine main au travers de son pantalon. Puis lentement je la vois défaire les boutons de la braguette, écarter le slip et sortir la bite de son fourreau ; on est en plein imaginaire : Chantal qui prends les initiatives ! Je vois ses doigts envelopper le sexe dressé et qui bande très dur et commencer une lente masturbation ; le gland gonflé de sang luit à la lumière, humide de ses sécrétions. L’homme est vraiment excité ; la respiration de ma femme s’accélère maintenant. Elle est bien réveillée même si elle garde les yeux fermés. Visiblement elle a pris la dimension du moment : sexuel.
C’est le moment que choisit Valentin pour rejoindre le couple sur le lit. Il s’assoit à la gauche de Chantal, de l’autre côté de son pote. Ainsi encadrée, ma femme ouvre les yeux et sourit tour à tour à ses deux amants. A sa droite Jocelyn a sa main droite entre ses cuisses nues et visiblement lui caresse la chatte. Elle a sa bite dans la main et le branle lentement. A sa gauche maintenant, le second amant s’est emparé d’un sein et le malaxe par dessus le tissu de la robe. Chantal, la tête renversée sur les hanches de son voisin se laisse aller aux caresses de ses deux soupirants.
Moi, l’appareil photo en main, je mitraille.
C’est Jocelyn qui s’empare le premier de sa bouche ; elle lui rend le baiser en ouvrant largement ses lèvres tandis qu’il la doigte violemment. Chantal gémit sous les coups de langue. Valentin de son côté à baissé le bustier de la robe pour mettre les seins à nu ; il se met à sucer celui près de lui. Chantal sous la caresse dresse la poitrine au devant de la bouche qui aspire son téton. C’est la partouze ! On le sent moins passionné par ce qu’il fait. Il accompagne plus son compagnon dans sa démarche que s’impliquer pour son propre compte. D’ailleurs, il garde les yeux sur ce que fait Jocelyn. Ce dernier branle le con de Chantal, à un rythme de plus en plus rapide. Elle halète, grimace de plaisir. Visiblement elle adore se faire branler. Valentin relève le bas de la robe pour voir la main qui doigte la chatte en faisant des petits clapotis de la mouille. La femme respire de plus en plus vite sous la caresse et le baiser de son branleur. Il découvre Chantal jusqu’au ventre pour ne rien manquer du spectacle. Il écarte les cuisses pour ouvrir encore plus le sexe humide à la caresse. Soudain, il écarte la main de Chantal sur le sexe de son compagnon et c’est lui maintenant qui le branle comme pour reprendre possession de sa propriété. Jocelyn qui s’est aperçu de la manipulation se contorsionne de plus belle excité par cette nouvelle caresse ; il n’abandonne pas pour autant sa femelle qu’il continue de doigter avec violence. Chantal pousse maintenant des petits cris au rythme de la main qui la fouille. On la sent près de la jouissance ; elle s’allonge entièrement sur le dos, les jambes pendantes, écartées. D’où je suis, face à elle je vois son sexe fouillé par la main de son violeur, cette main toute brillante de sa mouille tant Chantal est excitée par cette situation. Moi, j’ai sorti ma queue tant elle me fait mal et sans vergogne, je me branle devant le spectacle que je photographie sans arrêt.
Jocelyn se lève, enlève son pantalon et son slip. Il bande dur ! Il se place entre les jambes ouvertes de ma femme écartelée et s’approche pour la prendre. Son pote lui prends la bite et la dirige vers le sexe ouvert comme pour signifier qu’il baise aussi. Chantal prends son amant aux fesses et l’attire à elle pour l’accompagner et lui demander de la baiser. Je vois le gland décalotté tout rouge et gonflé de sang se présenter devant les lèvres gluantes de sécrétions et béantes. Les fesses de l’homme se serrent et d’un coup de rein il pénètre au fond la femelle écartelée. Chantal se cabre sous le coup mais je vois ses doigts serrer les fesses de son amant pour l’aider à la posséder encore plus profondément. Voir ainsi ma femme solliciter cette queue me rend fou d’excitation et de jalousie. Je suis au bord de l’éjaculation. Le compagnon de Jocelyn regarde maintenant en caressant les dos de son compagnon. Puis, sa main descend, s’insinue entre les fesses de son compagnon, cherche le trou et y fait pénétrer brutalement un doigt. Sous le coup, Jocelyn se cabre et sa queue pénètre encore plus au fond le vagin. Chantal à son tour pousse un petit cri. Alors, encouragé, il accélère son va et vient dans le ventre ouvert et les deux amants rythment leur respiration aux coups de bite. Le clapotis des mouilles des deux sexes rend encore plus excitant la vision de cette partie de cul. En plus dans la chambre un forte odeur de foutre ajoute au tableau une dimension supplémentaire.
Soudain, Chantal, qui semble à bout de souffle, se met à pousser des petits cris. Je la connais, elle va jouir. L’homme qui la baise lui emboîte le rythme et il se met aussi à pousser des cris à l’unisson. Valentin qui voit que son amant va jouir a sorti sa bite et se branle contre les seins nus près de lui. Tout en branlant toujours le cul de son compagnon.
C’est Chantal qui jouit la première, entraînant immédiatement ses deux amants. Moi je n’ai pas besoin de me toucher beaucoup pour éjaculer spontanément. Alors que Valentin libère sa liqueur sur les seins et le cou de ma femme, Jocelyn lui, rempli de sperme le ventre de ma bien aimée en de violente saccades.
Repus, tous les trois on se regarde heureux. Chantal se lève donne un léger baiser sur la bouche de chacun de ses trois amants et file se laver dans la salle de bain.
Les deux hommes regagnent leur chambre en se donnant rendez-vous demain.
De quoi sera fait-il demain ?
Je propose toujours de montrer des images de mon épouse. Il suffit de réclamer.