Chantal et mon pote complices (4)
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Chantal et mon pote complices (4)
La promenade pour René
Un soir, alors que je suis au salon devant la télé, le téléphone sonne. C’est Chantal qui répond. Elle a l’air gênée ; elle parle à mi-voix, et va vite s’isoler dans la chambre. Elle revient au bout de quelques minutes, écarlate, nerveuse, le visage crispé. Sans me regarder, elle passe en cuisine préparer le repas. Quand je l’interroge quelques instants après, elle a retrouvé son calme. Elle me dit que c’était son frère. Je n’en crois rien mais je passe. Quand elle me rejoint au lit, je fais une tentative de rapprochement, je la caresse pour faire l’amour, mais elle me repousse prétextant la fatigue !
Je décide de ne rien entreprendre.
Le lendemain soir, elle m’avoue que c’est René qui l’a appelée hier. Je la sens nerveuse, mal dans sa peau. Elle n’ose pas me parler. Je la laisse venir mais je sens qu’elle hésite à m’avouer quelque chose.
Après le dîner, au moment de prendre le café, je lui demande ce que voulait René. D’un seul coup, elle se met à parler, je sens qu’elle a pris une décision.
- « Il m’a demandé de faire un truc impossible. J’ai d‘abord refusé, il a insisté ».
- « C’est quoi ce truc impossible, lui dis-je en essayant de garder la maîtrise de ma voix »?
- « Il veut que j’aille seule le rejoindre au Musée de l’érotisme».
- « Quand ? Maintenant ? Et moi alors » ?
Je me sens me mettre à trembler. J’ai peur, et en même temps un sentiment de jalousie me reprend. Comme toujours alors je sens que ma bite se dresse dans mon pantalon. La dernière fois, on est allés ensembles au restaurant et j’avais participé à l’exhibe dans la rue, en auto puis à la baise avec le japonais. Je n’étais pas exclu alors, et je pouvais jouir de la situation sans danger. Et quel rapport avec le Musée de l’érotisme ? Son histoire avec l’inconnu ? Comment René est-il au courant ? Toutes ces questions sans réponses.
Comme elle ne réagit pas, c’est moi qui reprends la conversation.
- « Alors, c’est pour quand ? Je peux peut-être venir, ou te suivre, juste pour regarder », dis-je d’une voix très mal assurée. Je me rends pourtant compte du ridicule de ma proposition, mais je ne peux rien faire. Je suis drogué.
- « Tu ne penses qu’à toi, dit-elle en criant presque ! Je ne sors jamais indemne des séances de cul où je me laisse entraîner. Je ne peux résister à ce mec, je suis sans défense devant lui ».
- « Il est temps que tu me dises tout sur vos relations, Chantal. J’ai bien vu que l’autre soir au restau avec le japonais il y avait entre toi et René une complicité que je ne m’explique pas. Je crois que tu ne m’as pas tout dit sur votre première rencontre ».
- Je n’ai pas envie d’en parler. Je t’aime et tu dois te contenter de ça ! ».
Plusieurs fois je reviens à la charge et enfin un soir, à peine couchés, elle finit par se confesser.
- « Après cette première fois René m’a plusieurs fois relancée. J’ai toujours refusé mais à chaque j’étais plus troublée. Il me disait au téléphone des mots qui m’excitaient. Puis un jour, il m’a dit que j’allais enfin lui appartenir. Il ne m’a pas donné plus de détails. Et la soirée du restau est arrivée. Quand je l’ai vu mettre ce cachet dans mon verre, je l’ai laissé faire. Je ne comprends pas pourquoi mais sur le moment, je savais que j’étais prête. Pas trop à quoi mais prête. Depuis le restau, il me téléphone souvent et me tient des propos qui m’excitent toujours plus. Il me dit que c’est avec ta complicité et que cela t’excite. J’ai bien vu ton comportement l’autre soir. Tu as bien jouit de me vois baisée par ce porc. Et pour du fric en plus !
Depuis, pourtant, je ne l’ai pas revu. On a simplement échangé des conversations au téléphone quand tu n’es pas là. Il faut que tu saches que quand il me parle au téléphone, sur le moment, je prends du plaisir à me laisser aller à la débauche. Mais au réveil, je ne peux m’empêcher de me dégoûter. Il fait de moi une pute ! Une pute de luxe, mais une pute ! Et c’est cette idée-là qui est mon fantasme, ce qui m’excite immédiatement. Je prends maintenant plaisir quand on me regarde, qu’on me désire. J’ai envie d’exciter les mâles ».
En disant ces mots, je la sens qui éprouve presque du plaisir. Elle se contorsionne dans le lit. Je ne reconnais plus ma femme.
- « Il ne veut pas simplement que je vienne le rejoindre, figure-toi. Il m’a demandé de ne porter que des bas et un imperméable », finit-elle par me dire, d’une voix tremblante. Elle ajoute, comme libérée d’avoir avoué le plus difficile :
- « L’imper ne devra pas être boutonné, simplement retenu fermé par sa ceinture. Pas de culotte ni de soutien gorge. Il veut que je parte de la maison dans cette tenue, nue et sans la possibilité de me cacher ».
A ces mots, je suis pris d’une énorme érection, et Chantal s’en aperçoit de suite. Elle se redresse et vient s’agenouiller devant moi. Lentement, elle dégage ma queue qui jaillit toute tendue, et sans attendre la porte à ses lèvres. Elle la lèche avec quelques coups de langue et finit par l’engloutir dans sa bouche. Elle se dégage soudain et elle me dit :
- « Cela t’excite, de savoir que je vais m’exhiber. Tu bandes à l’idée que des salauds me touchent et me regardent. Demain, je vais sortir à poil sous un simple imperméable, et des gars pourront me voir, nue, soumise et sans défense ».
En disant cela, je la vois qui porte sa main entre ses cuisses et elle se caresse. Souvent je lui ai demandé de se caresser en la regardant et elle a toujours accepté de le faire pour me faire plaisir. Mais ce soir, c’est d’elle-même qu’elle se branle. Pour son propre plaisir.
- « Oui, c’est vrai, et je voudrais être là, quand tu vas leur montrer ton cul et tes seins. J’ai envie de sentir l’odeur de ta mouille, quand ils vont te branler, te doigter. Vas y ma belle, laisse toi toucher, peloter, reluquer, ouvre tes cuisses, ta chatte ».
Tout en parlant elle accélère sa branlette et me suce de plus en plus vite. Et d’un seul coup, j’éjacule toute ma semence dans sa bouche et je lui maintiens la tête contre mon ventre pour la forcer à tout avaler. A bout de souffle, on s’affale, l’un contre l’autre, heureux d’avoir jouis ensemble.
Je suis rassuré, car je sens qu’elle a pris du plaisir dans cette étreinte rapide, avec moi, dans nos fantasmes communs maintenant. Je crois bien qu’elle m’aime malgré l’attirance qu’elle a pour ce mec. Et, il faut bien l’avouer, cela m’arrange bien car enfin j’ai, grâce à lui, la femme que j’ai toujours désirée.
Au lit, avant de s’endormir, elle me précise que René doit lui téléphoner demain matin, pour donner des précisions sur sa promenade cul nu dans les rues de la capitale, jusqu’au Musée. Elle m’avoue que cela lui fait peur, mais qu’elle ne se sent plus la force de refuser, pour elle-même, son amant, et son mari…
- « Ce type quand il me regarde, j’ai les jambes qui se mettent à trembler, elles ne me portent plus. Jamais auparavant je n’avais ressenti ce malaise. Je suis comme électrisée. Jamais tu ne m’as fait cet effet. Ce n’est pas de l’amour, mais une dépendance, comme une drogue. Je lutte, j’essaye de ne pas y penser mais c’est plus fort que moi. J‘ai peur. Ce type est vicieux et il a très bien compris l’emprise qu’il a sur moi. Il sait que je suis sa chose. Je dois t’en parler ! Toi qui as toujours souhaité me faire entrer dans tes jeux sexuels ! Peut-être comprendras-tu et même être ravi ? Je la sens plus complice, rassurée de ma compréhension, ma coopération. On a maintenant les mêmes fantasmes.
- « Pourquoi il veut que viennes au Musée ? Quel rapport ?
- « C’est moi qui lui ai raconté que tu m’avais amenée au Musée et que certaines images m’avaient troublée. Et comme il connaît bien ce lieu ».
Elle ne me disait pas tout sur son passage dans cet endroit.
Dès le lendemain, elle m’appelle au travail. C’est pour demain samedi. Elle me dira tout ce soir.
En regagnant la maison après une dure journée de travail je la trouve toute excitée et sans attendre elle me raconte.
René lui demande de venir la rejoindre en plein jour au Musée, simplement vêtue d’un imperméable court (mi-cuisses), chaussures à talons et bas qui tiennent seuls. Elle doit être toute nue dessous. Il lui demande de venir en transports en commun : métro et finir en marche à pied jusqu’au Musée. Elle ne doit pas se dépêcher, entrer dans une boutique de chaussures de sport, essayer des paires de tennis. Ne rien acheter. S’adresser bien sûr à un vendeur mâle et s’arranger pour lui montrer qu’elle est nue sous son imperméable. S’il veut un rendez-vous, accepter mais se contenter de prendre ses coordonnées.
Aller dans un magasin de sous vêtements. Montrer dans la cabine qu’elle est nue, en laissant innocemment le rideau de la cabine entrouvert. Repartir sans rien acheter.
Aller et entrer dans le sex-shop en face du Musée. Se montrer intéressée par des objets pour branleuse. S’il y a des hommes, et il y en aura, leur montrer qu’elle est à poil sous son vêtement. Se laisser toucher mais ne pas toucher. Les seins, les fesses, un doigt dans la chatte, c’est tout ! Si la situation n’est pas trop craintive, ouvrir l’imper et se montrer en les regardant se branler.
Il lui a donné une foule d’instructions précises à suivre. Je la sens excitée et en même temps nerveuse. Elle va franchir un autre pas dans la débauche. Encore plus bas.
Le lendemain, samedi, après le petit déjeuner, elle m’annonce qu’elle va à en ville cet après midi. C’est aujourd’hui que René l’attend.
Après déjeuner elle passe dans sa chambre et je l’entends qui se prépare.
Quand elle vient me rejoindre au salon, elle est superbe. Bien coiffée, légèrement maquillée, elle porte son petit imperméable simplement attaché par une ceinture. Elle obéit totalement à son amant.
- « Tu es bien nue en dessous ? » je lui demande, la gorge serrée. Pour toute réponse, elle dénoue la ceinture et me montre sa nudité. Elle s’est coiffé le pubis. Les poils coupés courts mais pas complètement rasés sont bien arrangés formant un triangle parfait. Ils laissent apparaître les lèvres roses de son sexe. Je bande instantanément. Elle fait semblant de ne rien remarquer, et tournant les talons, elle me demande de l’accompagner à la gare du RER en voiture.
Sur le chemin elle fait exprès de laisser s’ouvrir l’imperméable pour me montrer combien il ne cache rien de sa nudité. Elle sait que cela m’excite, elle me fait plaisir.
- « Je t’aime tu sais, ne t’inquiète pas je te raconterai tout avec les détails que tu attends » me souffle-t-elle.
En sortant de l’auto, elle s’arrange pour exhiber ses jambes nues qu’un type ne manque pas de mater. Elle s’éloigne alors que son train entre en gare. En rentrant à la maison, seul, la jalousie et l’excitation sont au maximum. Je ne puis résister à l’envie de me branler en imaginant ma femme nue sous un simple vêtement dans les rues de la ville pour rejoindre son amant.
J’ai passé l’après midi et la soirée à attendre son retour. J’ai du mal à me concentrer pour faire quoi que ce soit. J’attends, ne sachant qu’imaginer.
Vers deux heures du matin, le moteur d’une auto me sort de mon demi sommeil. Une porte claque et j’entends ses pas qui s’approchent. Elle ouvre la porte et vient tout de suite dans la chambre où je suis couché. Elle a les traits tirés et semble très fatiguée.
- « Si tu veux bien j’aimerai dormir maintenant. Je suis si fatiguée. Je te raconterai tout demain. Je t’aime encore plus ».
En disant ces mots elle enlève son imperméable. Elle n’a plus ses bas et nue elle se couche et vient se blottir tout contre moi. La forte odeur de sperme qui se dégage d’elle me fait revenir à la réalité. Elle s’est faite baiser et toute pleine encore de la semence de ses amants elle vient se coucher contre moi. Comme je bande, elle me prend délicatement la bite pour la caresser tendrement sans essayer de me faire jouir. Je l’entends qui s’endort presque immédiatement. Doucement, je glisse ma main entre ses cuisses et remonte jusqu’à son sexe et bien sûr, il est encore tout trempé de foutre et je sens le sperme qui s’écoule encore de sa chatte. Les poils de son pubis sont collés par du sperme séché. Et j’imagine qu’elle a dû se faire baiser il y a peu de temps et sûrement même dans la voiture qui la raccompagnait.
Le lendemain, dimanche, c’est le bruit de la douche qui me réveille. Elle se lave. Je vais préparer le petit déjeuner.
Après un petit baiser tout chaste, on mange sans dire un mot. Je la sens mal à l’aise. Elle sait que je vais lui demander de raconter. Elle se sent mal.
Une fois fini de manger, elle se lève, vient me prendre par la main et me conduit dans la chambre. Elle me fait allonger et vient rejoindre sous les draps. Délicatement elle me prend la bite entre ses doigts et la caresse doucement.
- « Ecoute, dit-elle, je vais tout te raconter et cela va être long ! »
Et tout en me masturbant lentement elle a commencé son récit.
« Dans le train j’avais la peur au ventre. J’avais le sentiment que tous les voyageurs savaient que j’étais nue sous mon imperméable. Je le tenais fermement serré contre moi. Dans le métro également je faisais attention dans les couloirs et les escaliers. Mais plus je m’approchais du Musée plus j’étais excitée et plus je laissais le vêtement me découvrir. A la première boutique de chaussure que j’ai trouvée je me suis précipitée, tout excitée.
Quand je suis entrée dans la boutique, tout de suite deux mecs se sont empressés de venir à ma rencontre. Dragueurs. J’ai tout de suite montré que je n’étais pas beaucoup habillée en dessous. Tu aurais vu leur tête !
Il y avait un grand black, très beau mec et un autre type, arabe plutôt rigolo. Je me suis sentie en sécurité car ils étaient très sympas.
Ils m’entraînent au fond de la salle et me font asseoir sur une chaise d’essayage avec un tabouret devant. Il n’y a pas beaucoup de monde dans la boutique. Le grand black s’absente quelques instants et revient avec plein de boîtes de chaussure de sport. C’est vraiment une boutique de mecs ! Je m’assois, le black se pose sur le tabouret à mes pieds. Il me prend une cheville et me lève la jambe. Il l’a fait exprès pour confirmer ce qu’il avait déjà vu ! Je vois son regard fixer mon entrecuisse. Il doit tout voir. Un troisième vendeur s’est approché, alerté sans doute par leurs copains. Cette situation m’excite et je sens que je mouille. Les deux autres sont bien en face de moi et visiblement ils matent mon ventre nu. Le pied chaussé, le black le dépose par terre, mais, le vicelard, il s’arrange pour l’écarter de l’autre et m’ouvrir les jambes. Je me laisse faire et même je laisse mes genoux s’écarter naturellement. Je sens alors mes lèvres qui s’ouvrent doucement et l’air frais me fait du bien. Quand il me prend l’autre pied, je laisse s’ouvrir l’imperméable qui dénude mon ventre. Je laisse l’air caresser l’intérieur de mes cuisses. Les trois vendeurs restent interdits. Le jeune arabe rigolo laisse éclater un rire nerveux. Ils ont tous les trois les yeux braqués sur ma chatte. Au fond de la boutique, un client vient d’entrer. Une trentaine, il a dû comprendre ce qu’il se passait car sans attendre il se dirige vers nous. Je me cache de peur du scandale. Mais bien vite il se joint au groupe avec la ferme intention de ne rien perdre du spectacle. Je me rends compte que je prends plaisir à exciter les hommes. Je ne me reconnais plus.
Le grand noir toujours à mes pieds a compris mon envie de me montrer. Il glisse sa main le long de l’intérieur de mes cuisses et s’empare de ma chatte. Un frisson parcourt mon corps. Un instant, je ferme les yeux pour m’abandonner. Je sens ses doigts écarter mes petites lèvres et me pénétrer. Je sens que je vais crier, je prends peur, mais l’excitation est trop forte. Je me laisse faire. Soudain un bruit me rappelle à la réalité. Rapidement je serre les cuisses en signe d’arrêt. Il retire sa main et je me lève rapidement, je fais quelques pas devant la glace pour regarder les chaussures de sport qu’il m’a passées. Je regarde autour de moi. Rassurée, je me rassois en ouvrant bien mes jambes pour reprendre le spectacle. Je lève un pied, enlève lentement la chaussure en m’arrangeant de bien les laisser voir. J’enlève l’autre. Les trois larrons restent devant moi bouche bée, comme hypnotisés par ma conduite. Je remets lentement mes chaussures et quand je me lève, je fais semblant d’ajuster mon imper, mais en réalité, je l’ouvre rapidement pour leur montrer que je suis entièrement nue. Je les laisse quelques instants mater mes seins, mon sexe, mes cuisses, puis je me retourne en faisant un tour complet rapide sur moi même en levant l’arrière de l’imperméable pour leur montrer mon cul. Ils poussent tous les quatre un sifflement d’admiration. En souriant je me faufile vers la sortie. Ils n’osent pas bouger et en quelques pas je me retrouve dans la rue.
Je traverse l’avenue bourrée de monde en ce samedi après-midi. Il fait beau ; les hommes se retournent sur mon passage. Ils doivent sentir la femelle en chasse. Cette impression me rend comme folle. Je n’ai plus aucune retenue. Je suis devenue une obsédée sexuelle. A chaque fois qu’un homme pose ses yeux avides sur moi je pense à René. Car c’est pour lui que je fais tout cela. Je me sens fière de lui obéir. Crois-moi, je t’aime toujours mais tu es exclu de ces jeux. C’est René qui occupe mes pensées quand je montre mes seins à un étranger et c’est pour lui que je rentre dans cette boutique de sous-vêtements sexy. Je lui obéis tout simplement et j’aimerai qu’il me voie ainsi soumise à ses caprices.
Dans la boutique où je viens d’entrer, il y a quelques personnes. Des hommes accompagnés de leur épouse. Une vendeuse s’approche de moi et me propose de m’aider. Je lui demande de me montrer des gaines qui laissent voir la pointe des seins. En lui disant cela, je sens comme une onde de chaleur qui monte de mon ventre. Cela m’excite de parler librement de sexe avec une autre femme. Jamais je n’aurais pensé cela. La vendeuse est une femme jolie, la cinquantaine. Elle a une allure un peu vulgaire qui convient parfaitement à ces lieux. Mais cela a le don de me mettre à l’aise sans offusquer mes penchants bourgeois. Au contraire, mes jambes tremblent quand je la suis au fond de la boutique. Les hommes me regardent en coin et me suivent du regard.
Elle me présente deux corsets et m’invite à venir les essayer dans une cabine. Celle-ci est au fond de la boutique. Elle tire un léger rideau rouge et pose les vêtements sur un banc. Elle me fait entrer mais reste sur le pas de la cabine en laissant le rideau ouvert. Nos regards se croisent. Elle soutient mon regard, alors elle tire le rideau à moitié car elle a compris. Elle me tourne le dos comme pour me cacher. Je vois bien d’où je suis que l’on me voit très bien de la salle surtout qu’une grande glace couvre (et ce n’est pas par hasard) la paroi du fond de la cabine renvoyant l’autre face de mon image. L’idéal pour s’exhiber aux clients de la boutique.
Je n’hésite que quelques secondes et rapidement je défais la ceinture de mon imper et me tournant vers la glace, je feins de ne pas savoir que j’expose mon dos et mes fesses nus dressée sur mes hauts talons, aux clients et clientes de la boutique. Mes jambes tremblent encore de plus belle et elles se dérobent presque sous moi. Je suis sur le point de jouir car j’imagine soudain René qui me regarde lui obéir. Je continue de faire semblant de ne rien savoir de ce qui se passe dans mon dos mais j’ai deviné que la vendeuse s’est déplacée laissant le loisir aux clients de me regarder. Je prends mon temps pour passer un corset noir. Il laisse mes fesses nues. Sur le devant mes seins sont soutenus par un balconnet qui les met en valeur. Je contemple le résultat dans le miroir, ce qui me permet de voir les yeux braqués sur moi. Je tourne sur moi même, me regarde sur toutes les faces. En réalité j’offre mon corps gainé de noir aux yeux cupides de la salle. Je sens ma chatte tout humide de sécrétions. Je mouille à m’exhiber. J’ôte le premier vêtement et au moment où je me penche pour passer le second j’entends la vendeuse qui derrière moi me demande si cela se passe bien. Elle a cette fois tiré le rideau pour l’ouvrir complètement. Je fais comme si rien ne me choquait. Derrière elle je vois les spectateurs qui se sont rapprochés pour maintenant regarder sans se gêner. Même leurs compagnes assistent au spectacle.
La vendeuse entre dans la cabine et prétextant de m’aider elle ajuste le vêtement sur ma peau. En passant, innocemment elle me caresse les seins puis les fesses. Elle sait que je suis d’accord, et quand elle me prend les seins dans ses deux mains pour cette fois les peloter, je ferme les yeux et me laisse faire. Elle les fait ballotter pour montrer qu’ils sont fermes, elle joue avec les pointes. Je ferme les yeux, m’abandonne. C’est la première fois qu’une femme me touche en public. Je sens mon ventre qui se comble de chaleur, l’excitation me gagne et je vais jouir. Soudain elle me retourne vers la salle pour mieux me montrer aux autres quand une main quitte la poitrine pour se glisser entre mes jambes et s’empare de mon bouton qu’elle se met à branler doucement. Ses doigts écartent mes lèvres pour montrer le rose sang de ma vulve tout brillante de cyprine. Je ne contrôle plus ma respiration et soudain une décharge de plaisir me submerge et je m’entends crier au milieu de cette boutique en public. La fille me tourne la tête vers elle et je sens sa langue qui force ma bouche. Sans hésiter je lui rends son baiser et nos langues se mêlent pour un long baiser. Une fois la jouissance passée, je lui souris, elle s’écarte lentement pour me remercier et dire doucement qu’elle également avait jouit. Dans la salle, les hommes qui ont vu s’éloignent discrètement, visiblement comblés par ce qu’ils ont vus.
J’enlève alors le bustier et remets mon imper, montrant que je repars nue comme je suis venue. En sortant de la boutique, la vendeuse dépose un petit baiser chaste sur mes lèvres et m’invite à revenir quand je le désire.
Cette aventure homosexuelle m’a troublée longuement. En marchant dans la rue je pensais que jamais je n’aurais pensé jouir sous les caresses d’une autre femme.
Mais mes pas me rapprochent encore plus de mon amant. Je suis possédée, soumise. Il ne me reste qu’une épreuve avant de le rencontrer.
Le Musée est maintenant visible quand je passe devant un sexe shop. C’est une grande boutique fermée par un rideau qui empêche de voir à l’intérieur. J’hésite car là j’ai peur. Les hommes qui fréquentent ces endroits sont tous plus ou moins des obsédés sexuels et je ne sais pas encore l’effet que peut leur faire une femme seule dans un pareil endroit. Qui semble peu habillée qui plus est. Je passe devant sans m’arrêter. Après quelques pas, je fais demi tour et devant, je me dégonfle à nouveau. La peur est trop forte. J’ai remarqué qu’un homme d’un certain âge avait remarqué mon manège. Je passe, m’arrête, et sur le point de fuir une nouvelle fois, je me ravise et cette fois je me lance sous le regard de l’homme incrédule.
Je pousse le rideau rouge ; la salle est immense. Sur la droite un homme de type arabe est derrière un petit comptoir. Il lit un livre ouvert devant lui. Il me regarde et m’adresse un sourire courtois en me détaillant ; il me salue d’un bonjour chaleureux et me laisse entrer. Sur la droite contre un mur des DVD vidéo sont alignes. Sur les jaquettes, des gros seins, des bites, des culs… des consoles sont placées éparses au milieu de la salle. Des revues pornos, des cassettes … encore des images. Sur la gauche un étalage d’objets sexuels divers s’étend sur deux ou trois mètres. Certains sont en boite, d’autres exposés. Des fouets, des cravaches, des godes de toutes les couleurs, de toutes les formes, de toutes les tailles, des sous-vêtements, des menottes, des liens. Il y en a pour tous les fantasmes.
Je repère tout de suite deux hommes en train de choisir des revues. Au fond de la salle, un panneau propose de visionner des films pornos pour cinq euros les dix minutes. J’aperçois par une porte entrebâillée, un homme assis sans doute en train de visionner un film. Il se balance sur sa chaise à un rythme régulier. Je devine rapidement qu’il doit se branler.
Tout en faisant semblant de flâner, je passe devant les cassettes, les revues. L’homme de la caisse ne me quitte pas des yeux. J’ai les jambes qui tremblent et malgré les aventures que je viens de subir je me sens à nouveau en état d’excitation. Je ne suis pas sevrée, au contraire, cette atmosphère glauque de sexe, de perversion, de vice m’excite. Et je pense encore à René !
Soudain le rideau de la boutique s’ouvre laissant entrer brutalement le soleil qui éclabousse les rayons de la boutique. C’est l’homme de la rue qui a repéré mes hésitations pour entrer. Il me fixe sans vergogne, mais reste à distance ; mon cœur se met à battre à deux cents tant je suis excitée, je me sens rougir sans rien pourvoir empêcher. Mon trouble bien visible est remarqué par le propriétaire. Il me sourit et me demande si j’ai besoin d’aide. Sa voix a pour effet de faire tourner la tête de l’homme de la cabine de visionnage. Il me voit, fait un geste rapide que j’interprète comme le fait qu’il rentre sa bite dans son pantalon et sans même refermer sa braguette, il sort et vient tout près de moi. La peur mêlée à l’excitation, mes jambes se mettent à trembler. Sans un mot, il s’approche de moi figée de peur, comme tétanisée. Et là sans rien dire, il écarte les bords de mon imper pour regarder mes seins et constater que je suis à poil. Il se retourne et adresse un sourire gras au caissier qui se lève pour s’approcher. L’homme du trottoir suit le mouvement. Ils sont maintenant tous les trois autour de moi. C’est l’arabe qui défait la ceinture de l’imper. Je reste immobile consentante. Ils ont vite compris ce que je suis venue faire dans cette boutique. Celui de la cabine s’empare de mes seins qu’il malaxe sans ménagements. L’homme de la rue me pétrit les fesses, je sens son doigt qui force ma raie à la recherche de mon petit trou qu’il trouve rapidement. Je me surprends alors à me pencher vers l’avant pour faciliter l’introduction de son majeur dans mon fondement. Très vite il l’enfonce profondément, ce qui me fait un peu mal mais sans attendre il se met à me branler le trou du cul, ce qu’aucun autre homme ne m’avait fait comme cela. L’arabe a glissé une main devant moi et il me fouille sexe par devant. Lui aussi maintenant à introduit son doigt dans le vagin et il me doigte le con. Ce sont les mots qu’ils emploient en me travaillant pas les deux bouts. Celui qui s’occupe de mes seins s’est mis à me les sucer. En même temps, il a sorti sa bite et se branle. Son gland vient plusieurs fois frapper la peau de mon ventre en y laissant des traces de mouille. J’ai peur mais je suis sur le point de jouir sous leurs attouchements. Et soudain j’ai envie d’une bite, de la toucher, de la sentir. Je me surprends à saisir celle de l’homme qui se branle devant moi et j’entreprends une fougueuse masturbation. Mais cela ne me suffit pas j’ai envie de faire baiser. Et c’est l’arabe qui s’est placé derrière moi qui a maintenant sorti sa bite qui me semble énorme. Il me penche vers l’avant et je me trouve nez à nez avec la bite du branleur qui me prend par les cheveux et me la colle contre les lèvres. Je l’entends dire d’ouvrir la bouche et de le sucer. J’hésite, il me caresse le visage avec son gland tout luisant de sécrétions. Plusieurs fois il essaie de forcer ma bouche mais sa bite sent très fort et cela me dégoûte. L’arabe par derrière me caresse le cul avec sa bite. Il écarte les fesses pour contempler mon orifice. Le troisième homme s’occupe à son tour de mes seins qui ballottent sous moi, penchée en avant. L’homme derrière moi glisse un pied entre mes jambes pour les écarter. J’ai peur de me faire baiser. Je résiste mais il force tout en me travaillant le con. Ils égrènent des mots salaces qui ne font que m’exciter encore plus. Soudain je pense à René et je suis sûre qu’il souhaite que je me fasse baiser ici en ce lieu public par ces inconnus. Alors soudain je cède, j’engloutis le sexe devant moi et laisse celle derrière moi me pénétrer d’un seul coup. Mon amant se met à limer violemment, sa bite est grosse et me fait un peu mal. Mais l’idée qu’elle me remplit entièrement ajoute à mon plaisir. Le type que je suce se cabre soudain et je sens le sperme se déverser par saccades dans ma bouche. Il me maintien fermement la tête contre lui par les cheveux et quand il a fini de jouir il se maintient en moi pour m’obliger à avaler sa semence. Alors seulement il s’écarte. L’homme derrière se met à râler à son tour et sa jouissance déclenche la mienne et je me surprends à crier en même temps que lui se vide les couilles dans mon ventre.
Me voilà souillée maintenant, mon corps est rempli de sperme par les deux bouts et cette semence je vais la garder en moi longtemps avant de pouvoir me sentir purifiée. Cela m’excite encore plus.
Les deux hommes qui ont joui, repus s’écartent. Le monsieur âgé de la rue a sorti sa bite et se caresse en me regardant. Timidement, il me demande simplement de me montrer et sous ses ordres je prends des poses vulgaires ; je lui tends mes seins, m’ouvre devant lui les fesses, la vulve. Le caissier m’apporte un gode et me demande de me l’introduire. Je n’aime pas beaucoup cela mais cette fois avec cet homme qui se branle en me regardant c’est différent! Je me l’introduis dans le con, me branle puis comme le vieux me le demande, je me retourne et me le plante dans le cul. Je me branle en même temps que lui et je sens une jouissance m’envahir à nouveau. Je jouis en même temps que lui et il éjacule contre mes seins et mon visage.
Je suis crevée. Le patron nous propose de boire un verre. Je me rhabille, je bois rapidement et je les quitte sans dire un mot.
Je suis fière de moi et je suis impatiente de tout raconter à René. Lui dire que j’ai fait tout cela pour lui, que je lui suis soumise et que cette pensée m’a aidée à chaque pour jouir encore plus. Je veux qu’il sache que je suis sous son emprise et que je ferais tout ce qu’il voudra.
Il est bientôt 19 heures et je vais le rejoindre au Musée comme il me l’a demandé
Arsenne
A suivre (si vous aimez, je peux vous la montrer et raconter)
Un soir, alors que je suis au salon devant la télé, le téléphone sonne. C’est Chantal qui répond. Elle a l’air gênée ; elle parle à mi-voix, et va vite s’isoler dans la chambre. Elle revient au bout de quelques minutes, écarlate, nerveuse, le visage crispé. Sans me regarder, elle passe en cuisine préparer le repas. Quand je l’interroge quelques instants après, elle a retrouvé son calme. Elle me dit que c’était son frère. Je n’en crois rien mais je passe. Quand elle me rejoint au lit, je fais une tentative de rapprochement, je la caresse pour faire l’amour, mais elle me repousse prétextant la fatigue !
Je décide de ne rien entreprendre.
Le lendemain soir, elle m’avoue que c’est René qui l’a appelée hier. Je la sens nerveuse, mal dans sa peau. Elle n’ose pas me parler. Je la laisse venir mais je sens qu’elle hésite à m’avouer quelque chose.
Après le dîner, au moment de prendre le café, je lui demande ce que voulait René. D’un seul coup, elle se met à parler, je sens qu’elle a pris une décision.
- « Il m’a demandé de faire un truc impossible. J’ai d‘abord refusé, il a insisté ».
- « C’est quoi ce truc impossible, lui dis-je en essayant de garder la maîtrise de ma voix »?
- « Il veut que j’aille seule le rejoindre au Musée de l’érotisme».
- « Quand ? Maintenant ? Et moi alors » ?
Je me sens me mettre à trembler. J’ai peur, et en même temps un sentiment de jalousie me reprend. Comme toujours alors je sens que ma bite se dresse dans mon pantalon. La dernière fois, on est allés ensembles au restaurant et j’avais participé à l’exhibe dans la rue, en auto puis à la baise avec le japonais. Je n’étais pas exclu alors, et je pouvais jouir de la situation sans danger. Et quel rapport avec le Musée de l’érotisme ? Son histoire avec l’inconnu ? Comment René est-il au courant ? Toutes ces questions sans réponses.
Comme elle ne réagit pas, c’est moi qui reprends la conversation.
- « Alors, c’est pour quand ? Je peux peut-être venir, ou te suivre, juste pour regarder », dis-je d’une voix très mal assurée. Je me rends pourtant compte du ridicule de ma proposition, mais je ne peux rien faire. Je suis drogué.
- « Tu ne penses qu’à toi, dit-elle en criant presque ! Je ne sors jamais indemne des séances de cul où je me laisse entraîner. Je ne peux résister à ce mec, je suis sans défense devant lui ».
- « Il est temps que tu me dises tout sur vos relations, Chantal. J’ai bien vu que l’autre soir au restau avec le japonais il y avait entre toi et René une complicité que je ne m’explique pas. Je crois que tu ne m’as pas tout dit sur votre première rencontre ».
- Je n’ai pas envie d’en parler. Je t’aime et tu dois te contenter de ça ! ».
Plusieurs fois je reviens à la charge et enfin un soir, à peine couchés, elle finit par se confesser.
- « Après cette première fois René m’a plusieurs fois relancée. J’ai toujours refusé mais à chaque j’étais plus troublée. Il me disait au téléphone des mots qui m’excitaient. Puis un jour, il m’a dit que j’allais enfin lui appartenir. Il ne m’a pas donné plus de détails. Et la soirée du restau est arrivée. Quand je l’ai vu mettre ce cachet dans mon verre, je l’ai laissé faire. Je ne comprends pas pourquoi mais sur le moment, je savais que j’étais prête. Pas trop à quoi mais prête. Depuis le restau, il me téléphone souvent et me tient des propos qui m’excitent toujours plus. Il me dit que c’est avec ta complicité et que cela t’excite. J’ai bien vu ton comportement l’autre soir. Tu as bien jouit de me vois baisée par ce porc. Et pour du fric en plus !
Depuis, pourtant, je ne l’ai pas revu. On a simplement échangé des conversations au téléphone quand tu n’es pas là. Il faut que tu saches que quand il me parle au téléphone, sur le moment, je prends du plaisir à me laisser aller à la débauche. Mais au réveil, je ne peux m’empêcher de me dégoûter. Il fait de moi une pute ! Une pute de luxe, mais une pute ! Et c’est cette idée-là qui est mon fantasme, ce qui m’excite immédiatement. Je prends maintenant plaisir quand on me regarde, qu’on me désire. J’ai envie d’exciter les mâles ».
En disant ces mots, je la sens qui éprouve presque du plaisir. Elle se contorsionne dans le lit. Je ne reconnais plus ma femme.
- « Il ne veut pas simplement que je vienne le rejoindre, figure-toi. Il m’a demandé de ne porter que des bas et un imperméable », finit-elle par me dire, d’une voix tremblante. Elle ajoute, comme libérée d’avoir avoué le plus difficile :
- « L’imper ne devra pas être boutonné, simplement retenu fermé par sa ceinture. Pas de culotte ni de soutien gorge. Il veut que je parte de la maison dans cette tenue, nue et sans la possibilité de me cacher ».
A ces mots, je suis pris d’une énorme érection, et Chantal s’en aperçoit de suite. Elle se redresse et vient s’agenouiller devant moi. Lentement, elle dégage ma queue qui jaillit toute tendue, et sans attendre la porte à ses lèvres. Elle la lèche avec quelques coups de langue et finit par l’engloutir dans sa bouche. Elle se dégage soudain et elle me dit :
- « Cela t’excite, de savoir que je vais m’exhiber. Tu bandes à l’idée que des salauds me touchent et me regardent. Demain, je vais sortir à poil sous un simple imperméable, et des gars pourront me voir, nue, soumise et sans défense ».
En disant cela, je la vois qui porte sa main entre ses cuisses et elle se caresse. Souvent je lui ai demandé de se caresser en la regardant et elle a toujours accepté de le faire pour me faire plaisir. Mais ce soir, c’est d’elle-même qu’elle se branle. Pour son propre plaisir.
- « Oui, c’est vrai, et je voudrais être là, quand tu vas leur montrer ton cul et tes seins. J’ai envie de sentir l’odeur de ta mouille, quand ils vont te branler, te doigter. Vas y ma belle, laisse toi toucher, peloter, reluquer, ouvre tes cuisses, ta chatte ».
Tout en parlant elle accélère sa branlette et me suce de plus en plus vite. Et d’un seul coup, j’éjacule toute ma semence dans sa bouche et je lui maintiens la tête contre mon ventre pour la forcer à tout avaler. A bout de souffle, on s’affale, l’un contre l’autre, heureux d’avoir jouis ensemble.
Je suis rassuré, car je sens qu’elle a pris du plaisir dans cette étreinte rapide, avec moi, dans nos fantasmes communs maintenant. Je crois bien qu’elle m’aime malgré l’attirance qu’elle a pour ce mec. Et, il faut bien l’avouer, cela m’arrange bien car enfin j’ai, grâce à lui, la femme que j’ai toujours désirée.
Au lit, avant de s’endormir, elle me précise que René doit lui téléphoner demain matin, pour donner des précisions sur sa promenade cul nu dans les rues de la capitale, jusqu’au Musée. Elle m’avoue que cela lui fait peur, mais qu’elle ne se sent plus la force de refuser, pour elle-même, son amant, et son mari…
- « Ce type quand il me regarde, j’ai les jambes qui se mettent à trembler, elles ne me portent plus. Jamais auparavant je n’avais ressenti ce malaise. Je suis comme électrisée. Jamais tu ne m’as fait cet effet. Ce n’est pas de l’amour, mais une dépendance, comme une drogue. Je lutte, j’essaye de ne pas y penser mais c’est plus fort que moi. J‘ai peur. Ce type est vicieux et il a très bien compris l’emprise qu’il a sur moi. Il sait que je suis sa chose. Je dois t’en parler ! Toi qui as toujours souhaité me faire entrer dans tes jeux sexuels ! Peut-être comprendras-tu et même être ravi ? Je la sens plus complice, rassurée de ma compréhension, ma coopération. On a maintenant les mêmes fantasmes.
- « Pourquoi il veut que viennes au Musée ? Quel rapport ?
- « C’est moi qui lui ai raconté que tu m’avais amenée au Musée et que certaines images m’avaient troublée. Et comme il connaît bien ce lieu ».
Elle ne me disait pas tout sur son passage dans cet endroit.
Dès le lendemain, elle m’appelle au travail. C’est pour demain samedi. Elle me dira tout ce soir.
En regagnant la maison après une dure journée de travail je la trouve toute excitée et sans attendre elle me raconte.
René lui demande de venir la rejoindre en plein jour au Musée, simplement vêtue d’un imperméable court (mi-cuisses), chaussures à talons et bas qui tiennent seuls. Elle doit être toute nue dessous. Il lui demande de venir en transports en commun : métro et finir en marche à pied jusqu’au Musée. Elle ne doit pas se dépêcher, entrer dans une boutique de chaussures de sport, essayer des paires de tennis. Ne rien acheter. S’adresser bien sûr à un vendeur mâle et s’arranger pour lui montrer qu’elle est nue sous son imperméable. S’il veut un rendez-vous, accepter mais se contenter de prendre ses coordonnées.
Aller dans un magasin de sous vêtements. Montrer dans la cabine qu’elle est nue, en laissant innocemment le rideau de la cabine entrouvert. Repartir sans rien acheter.
Aller et entrer dans le sex-shop en face du Musée. Se montrer intéressée par des objets pour branleuse. S’il y a des hommes, et il y en aura, leur montrer qu’elle est à poil sous son vêtement. Se laisser toucher mais ne pas toucher. Les seins, les fesses, un doigt dans la chatte, c’est tout ! Si la situation n’est pas trop craintive, ouvrir l’imper et se montrer en les regardant se branler.
Il lui a donné une foule d’instructions précises à suivre. Je la sens excitée et en même temps nerveuse. Elle va franchir un autre pas dans la débauche. Encore plus bas.
Le lendemain, samedi, après le petit déjeuner, elle m’annonce qu’elle va à en ville cet après midi. C’est aujourd’hui que René l’attend.
Après déjeuner elle passe dans sa chambre et je l’entends qui se prépare.
Quand elle vient me rejoindre au salon, elle est superbe. Bien coiffée, légèrement maquillée, elle porte son petit imperméable simplement attaché par une ceinture. Elle obéit totalement à son amant.
- « Tu es bien nue en dessous ? » je lui demande, la gorge serrée. Pour toute réponse, elle dénoue la ceinture et me montre sa nudité. Elle s’est coiffé le pubis. Les poils coupés courts mais pas complètement rasés sont bien arrangés formant un triangle parfait. Ils laissent apparaître les lèvres roses de son sexe. Je bande instantanément. Elle fait semblant de ne rien remarquer, et tournant les talons, elle me demande de l’accompagner à la gare du RER en voiture.
Sur le chemin elle fait exprès de laisser s’ouvrir l’imperméable pour me montrer combien il ne cache rien de sa nudité. Elle sait que cela m’excite, elle me fait plaisir.
- « Je t’aime tu sais, ne t’inquiète pas je te raconterai tout avec les détails que tu attends » me souffle-t-elle.
En sortant de l’auto, elle s’arrange pour exhiber ses jambes nues qu’un type ne manque pas de mater. Elle s’éloigne alors que son train entre en gare. En rentrant à la maison, seul, la jalousie et l’excitation sont au maximum. Je ne puis résister à l’envie de me branler en imaginant ma femme nue sous un simple vêtement dans les rues de la ville pour rejoindre son amant.
J’ai passé l’après midi et la soirée à attendre son retour. J’ai du mal à me concentrer pour faire quoi que ce soit. J’attends, ne sachant qu’imaginer.
Vers deux heures du matin, le moteur d’une auto me sort de mon demi sommeil. Une porte claque et j’entends ses pas qui s’approchent. Elle ouvre la porte et vient tout de suite dans la chambre où je suis couché. Elle a les traits tirés et semble très fatiguée.
- « Si tu veux bien j’aimerai dormir maintenant. Je suis si fatiguée. Je te raconterai tout demain. Je t’aime encore plus ».
En disant ces mots elle enlève son imperméable. Elle n’a plus ses bas et nue elle se couche et vient se blottir tout contre moi. La forte odeur de sperme qui se dégage d’elle me fait revenir à la réalité. Elle s’est faite baiser et toute pleine encore de la semence de ses amants elle vient se coucher contre moi. Comme je bande, elle me prend délicatement la bite pour la caresser tendrement sans essayer de me faire jouir. Je l’entends qui s’endort presque immédiatement. Doucement, je glisse ma main entre ses cuisses et remonte jusqu’à son sexe et bien sûr, il est encore tout trempé de foutre et je sens le sperme qui s’écoule encore de sa chatte. Les poils de son pubis sont collés par du sperme séché. Et j’imagine qu’elle a dû se faire baiser il y a peu de temps et sûrement même dans la voiture qui la raccompagnait.
Le lendemain, dimanche, c’est le bruit de la douche qui me réveille. Elle se lave. Je vais préparer le petit déjeuner.
Après un petit baiser tout chaste, on mange sans dire un mot. Je la sens mal à l’aise. Elle sait que je vais lui demander de raconter. Elle se sent mal.
Une fois fini de manger, elle se lève, vient me prendre par la main et me conduit dans la chambre. Elle me fait allonger et vient rejoindre sous les draps. Délicatement elle me prend la bite entre ses doigts et la caresse doucement.
- « Ecoute, dit-elle, je vais tout te raconter et cela va être long ! »
Et tout en me masturbant lentement elle a commencé son récit.
« Dans le train j’avais la peur au ventre. J’avais le sentiment que tous les voyageurs savaient que j’étais nue sous mon imperméable. Je le tenais fermement serré contre moi. Dans le métro également je faisais attention dans les couloirs et les escaliers. Mais plus je m’approchais du Musée plus j’étais excitée et plus je laissais le vêtement me découvrir. A la première boutique de chaussure que j’ai trouvée je me suis précipitée, tout excitée.
Quand je suis entrée dans la boutique, tout de suite deux mecs se sont empressés de venir à ma rencontre. Dragueurs. J’ai tout de suite montré que je n’étais pas beaucoup habillée en dessous. Tu aurais vu leur tête !
Il y avait un grand black, très beau mec et un autre type, arabe plutôt rigolo. Je me suis sentie en sécurité car ils étaient très sympas.
Ils m’entraînent au fond de la salle et me font asseoir sur une chaise d’essayage avec un tabouret devant. Il n’y a pas beaucoup de monde dans la boutique. Le grand black s’absente quelques instants et revient avec plein de boîtes de chaussure de sport. C’est vraiment une boutique de mecs ! Je m’assois, le black se pose sur le tabouret à mes pieds. Il me prend une cheville et me lève la jambe. Il l’a fait exprès pour confirmer ce qu’il avait déjà vu ! Je vois son regard fixer mon entrecuisse. Il doit tout voir. Un troisième vendeur s’est approché, alerté sans doute par leurs copains. Cette situation m’excite et je sens que je mouille. Les deux autres sont bien en face de moi et visiblement ils matent mon ventre nu. Le pied chaussé, le black le dépose par terre, mais, le vicelard, il s’arrange pour l’écarter de l’autre et m’ouvrir les jambes. Je me laisse faire et même je laisse mes genoux s’écarter naturellement. Je sens alors mes lèvres qui s’ouvrent doucement et l’air frais me fait du bien. Quand il me prend l’autre pied, je laisse s’ouvrir l’imperméable qui dénude mon ventre. Je laisse l’air caresser l’intérieur de mes cuisses. Les trois vendeurs restent interdits. Le jeune arabe rigolo laisse éclater un rire nerveux. Ils ont tous les trois les yeux braqués sur ma chatte. Au fond de la boutique, un client vient d’entrer. Une trentaine, il a dû comprendre ce qu’il se passait car sans attendre il se dirige vers nous. Je me cache de peur du scandale. Mais bien vite il se joint au groupe avec la ferme intention de ne rien perdre du spectacle. Je me rends compte que je prends plaisir à exciter les hommes. Je ne me reconnais plus.
Le grand noir toujours à mes pieds a compris mon envie de me montrer. Il glisse sa main le long de l’intérieur de mes cuisses et s’empare de ma chatte. Un frisson parcourt mon corps. Un instant, je ferme les yeux pour m’abandonner. Je sens ses doigts écarter mes petites lèvres et me pénétrer. Je sens que je vais crier, je prends peur, mais l’excitation est trop forte. Je me laisse faire. Soudain un bruit me rappelle à la réalité. Rapidement je serre les cuisses en signe d’arrêt. Il retire sa main et je me lève rapidement, je fais quelques pas devant la glace pour regarder les chaussures de sport qu’il m’a passées. Je regarde autour de moi. Rassurée, je me rassois en ouvrant bien mes jambes pour reprendre le spectacle. Je lève un pied, enlève lentement la chaussure en m’arrangeant de bien les laisser voir. J’enlève l’autre. Les trois larrons restent devant moi bouche bée, comme hypnotisés par ma conduite. Je remets lentement mes chaussures et quand je me lève, je fais semblant d’ajuster mon imper, mais en réalité, je l’ouvre rapidement pour leur montrer que je suis entièrement nue. Je les laisse quelques instants mater mes seins, mon sexe, mes cuisses, puis je me retourne en faisant un tour complet rapide sur moi même en levant l’arrière de l’imperméable pour leur montrer mon cul. Ils poussent tous les quatre un sifflement d’admiration. En souriant je me faufile vers la sortie. Ils n’osent pas bouger et en quelques pas je me retrouve dans la rue.
Je traverse l’avenue bourrée de monde en ce samedi après-midi. Il fait beau ; les hommes se retournent sur mon passage. Ils doivent sentir la femelle en chasse. Cette impression me rend comme folle. Je n’ai plus aucune retenue. Je suis devenue une obsédée sexuelle. A chaque fois qu’un homme pose ses yeux avides sur moi je pense à René. Car c’est pour lui que je fais tout cela. Je me sens fière de lui obéir. Crois-moi, je t’aime toujours mais tu es exclu de ces jeux. C’est René qui occupe mes pensées quand je montre mes seins à un étranger et c’est pour lui que je rentre dans cette boutique de sous-vêtements sexy. Je lui obéis tout simplement et j’aimerai qu’il me voie ainsi soumise à ses caprices.
Dans la boutique où je viens d’entrer, il y a quelques personnes. Des hommes accompagnés de leur épouse. Une vendeuse s’approche de moi et me propose de m’aider. Je lui demande de me montrer des gaines qui laissent voir la pointe des seins. En lui disant cela, je sens comme une onde de chaleur qui monte de mon ventre. Cela m’excite de parler librement de sexe avec une autre femme. Jamais je n’aurais pensé cela. La vendeuse est une femme jolie, la cinquantaine. Elle a une allure un peu vulgaire qui convient parfaitement à ces lieux. Mais cela a le don de me mettre à l’aise sans offusquer mes penchants bourgeois. Au contraire, mes jambes tremblent quand je la suis au fond de la boutique. Les hommes me regardent en coin et me suivent du regard.
Elle me présente deux corsets et m’invite à venir les essayer dans une cabine. Celle-ci est au fond de la boutique. Elle tire un léger rideau rouge et pose les vêtements sur un banc. Elle me fait entrer mais reste sur le pas de la cabine en laissant le rideau ouvert. Nos regards se croisent. Elle soutient mon regard, alors elle tire le rideau à moitié car elle a compris. Elle me tourne le dos comme pour me cacher. Je vois bien d’où je suis que l’on me voit très bien de la salle surtout qu’une grande glace couvre (et ce n’est pas par hasard) la paroi du fond de la cabine renvoyant l’autre face de mon image. L’idéal pour s’exhiber aux clients de la boutique.
Je n’hésite que quelques secondes et rapidement je défais la ceinture de mon imper et me tournant vers la glace, je feins de ne pas savoir que j’expose mon dos et mes fesses nus dressée sur mes hauts talons, aux clients et clientes de la boutique. Mes jambes tremblent encore de plus belle et elles se dérobent presque sous moi. Je suis sur le point de jouir car j’imagine soudain René qui me regarde lui obéir. Je continue de faire semblant de ne rien savoir de ce qui se passe dans mon dos mais j’ai deviné que la vendeuse s’est déplacée laissant le loisir aux clients de me regarder. Je prends mon temps pour passer un corset noir. Il laisse mes fesses nues. Sur le devant mes seins sont soutenus par un balconnet qui les met en valeur. Je contemple le résultat dans le miroir, ce qui me permet de voir les yeux braqués sur moi. Je tourne sur moi même, me regarde sur toutes les faces. En réalité j’offre mon corps gainé de noir aux yeux cupides de la salle. Je sens ma chatte tout humide de sécrétions. Je mouille à m’exhiber. J’ôte le premier vêtement et au moment où je me penche pour passer le second j’entends la vendeuse qui derrière moi me demande si cela se passe bien. Elle a cette fois tiré le rideau pour l’ouvrir complètement. Je fais comme si rien ne me choquait. Derrière elle je vois les spectateurs qui se sont rapprochés pour maintenant regarder sans se gêner. Même leurs compagnes assistent au spectacle.
La vendeuse entre dans la cabine et prétextant de m’aider elle ajuste le vêtement sur ma peau. En passant, innocemment elle me caresse les seins puis les fesses. Elle sait que je suis d’accord, et quand elle me prend les seins dans ses deux mains pour cette fois les peloter, je ferme les yeux et me laisse faire. Elle les fait ballotter pour montrer qu’ils sont fermes, elle joue avec les pointes. Je ferme les yeux, m’abandonne. C’est la première fois qu’une femme me touche en public. Je sens mon ventre qui se comble de chaleur, l’excitation me gagne et je vais jouir. Soudain elle me retourne vers la salle pour mieux me montrer aux autres quand une main quitte la poitrine pour se glisser entre mes jambes et s’empare de mon bouton qu’elle se met à branler doucement. Ses doigts écartent mes lèvres pour montrer le rose sang de ma vulve tout brillante de cyprine. Je ne contrôle plus ma respiration et soudain une décharge de plaisir me submerge et je m’entends crier au milieu de cette boutique en public. La fille me tourne la tête vers elle et je sens sa langue qui force ma bouche. Sans hésiter je lui rends son baiser et nos langues se mêlent pour un long baiser. Une fois la jouissance passée, je lui souris, elle s’écarte lentement pour me remercier et dire doucement qu’elle également avait jouit. Dans la salle, les hommes qui ont vu s’éloignent discrètement, visiblement comblés par ce qu’ils ont vus.
J’enlève alors le bustier et remets mon imper, montrant que je repars nue comme je suis venue. En sortant de la boutique, la vendeuse dépose un petit baiser chaste sur mes lèvres et m’invite à revenir quand je le désire.
Cette aventure homosexuelle m’a troublée longuement. En marchant dans la rue je pensais que jamais je n’aurais pensé jouir sous les caresses d’une autre femme.
Mais mes pas me rapprochent encore plus de mon amant. Je suis possédée, soumise. Il ne me reste qu’une épreuve avant de le rencontrer.
Le Musée est maintenant visible quand je passe devant un sexe shop. C’est une grande boutique fermée par un rideau qui empêche de voir à l’intérieur. J’hésite car là j’ai peur. Les hommes qui fréquentent ces endroits sont tous plus ou moins des obsédés sexuels et je ne sais pas encore l’effet que peut leur faire une femme seule dans un pareil endroit. Qui semble peu habillée qui plus est. Je passe devant sans m’arrêter. Après quelques pas, je fais demi tour et devant, je me dégonfle à nouveau. La peur est trop forte. J’ai remarqué qu’un homme d’un certain âge avait remarqué mon manège. Je passe, m’arrête, et sur le point de fuir une nouvelle fois, je me ravise et cette fois je me lance sous le regard de l’homme incrédule.
Je pousse le rideau rouge ; la salle est immense. Sur la droite un homme de type arabe est derrière un petit comptoir. Il lit un livre ouvert devant lui. Il me regarde et m’adresse un sourire courtois en me détaillant ; il me salue d’un bonjour chaleureux et me laisse entrer. Sur la droite contre un mur des DVD vidéo sont alignes. Sur les jaquettes, des gros seins, des bites, des culs… des consoles sont placées éparses au milieu de la salle. Des revues pornos, des cassettes … encore des images. Sur la gauche un étalage d’objets sexuels divers s’étend sur deux ou trois mètres. Certains sont en boite, d’autres exposés. Des fouets, des cravaches, des godes de toutes les couleurs, de toutes les formes, de toutes les tailles, des sous-vêtements, des menottes, des liens. Il y en a pour tous les fantasmes.
Je repère tout de suite deux hommes en train de choisir des revues. Au fond de la salle, un panneau propose de visionner des films pornos pour cinq euros les dix minutes. J’aperçois par une porte entrebâillée, un homme assis sans doute en train de visionner un film. Il se balance sur sa chaise à un rythme régulier. Je devine rapidement qu’il doit se branler.
Tout en faisant semblant de flâner, je passe devant les cassettes, les revues. L’homme de la caisse ne me quitte pas des yeux. J’ai les jambes qui tremblent et malgré les aventures que je viens de subir je me sens à nouveau en état d’excitation. Je ne suis pas sevrée, au contraire, cette atmosphère glauque de sexe, de perversion, de vice m’excite. Et je pense encore à René !
Soudain le rideau de la boutique s’ouvre laissant entrer brutalement le soleil qui éclabousse les rayons de la boutique. C’est l’homme de la rue qui a repéré mes hésitations pour entrer. Il me fixe sans vergogne, mais reste à distance ; mon cœur se met à battre à deux cents tant je suis excitée, je me sens rougir sans rien pourvoir empêcher. Mon trouble bien visible est remarqué par le propriétaire. Il me sourit et me demande si j’ai besoin d’aide. Sa voix a pour effet de faire tourner la tête de l’homme de la cabine de visionnage. Il me voit, fait un geste rapide que j’interprète comme le fait qu’il rentre sa bite dans son pantalon et sans même refermer sa braguette, il sort et vient tout près de moi. La peur mêlée à l’excitation, mes jambes se mettent à trembler. Sans un mot, il s’approche de moi figée de peur, comme tétanisée. Et là sans rien dire, il écarte les bords de mon imper pour regarder mes seins et constater que je suis à poil. Il se retourne et adresse un sourire gras au caissier qui se lève pour s’approcher. L’homme du trottoir suit le mouvement. Ils sont maintenant tous les trois autour de moi. C’est l’arabe qui défait la ceinture de l’imper. Je reste immobile consentante. Ils ont vite compris ce que je suis venue faire dans cette boutique. Celui de la cabine s’empare de mes seins qu’il malaxe sans ménagements. L’homme de la rue me pétrit les fesses, je sens son doigt qui force ma raie à la recherche de mon petit trou qu’il trouve rapidement. Je me surprends alors à me pencher vers l’avant pour faciliter l’introduction de son majeur dans mon fondement. Très vite il l’enfonce profondément, ce qui me fait un peu mal mais sans attendre il se met à me branler le trou du cul, ce qu’aucun autre homme ne m’avait fait comme cela. L’arabe a glissé une main devant moi et il me fouille sexe par devant. Lui aussi maintenant à introduit son doigt dans le vagin et il me doigte le con. Ce sont les mots qu’ils emploient en me travaillant pas les deux bouts. Celui qui s’occupe de mes seins s’est mis à me les sucer. En même temps, il a sorti sa bite et se branle. Son gland vient plusieurs fois frapper la peau de mon ventre en y laissant des traces de mouille. J’ai peur mais je suis sur le point de jouir sous leurs attouchements. Et soudain j’ai envie d’une bite, de la toucher, de la sentir. Je me surprends à saisir celle de l’homme qui se branle devant moi et j’entreprends une fougueuse masturbation. Mais cela ne me suffit pas j’ai envie de faire baiser. Et c’est l’arabe qui s’est placé derrière moi qui a maintenant sorti sa bite qui me semble énorme. Il me penche vers l’avant et je me trouve nez à nez avec la bite du branleur qui me prend par les cheveux et me la colle contre les lèvres. Je l’entends dire d’ouvrir la bouche et de le sucer. J’hésite, il me caresse le visage avec son gland tout luisant de sécrétions. Plusieurs fois il essaie de forcer ma bouche mais sa bite sent très fort et cela me dégoûte. L’arabe par derrière me caresse le cul avec sa bite. Il écarte les fesses pour contempler mon orifice. Le troisième homme s’occupe à son tour de mes seins qui ballottent sous moi, penchée en avant. L’homme derrière moi glisse un pied entre mes jambes pour les écarter. J’ai peur de me faire baiser. Je résiste mais il force tout en me travaillant le con. Ils égrènent des mots salaces qui ne font que m’exciter encore plus. Soudain je pense à René et je suis sûre qu’il souhaite que je me fasse baiser ici en ce lieu public par ces inconnus. Alors soudain je cède, j’engloutis le sexe devant moi et laisse celle derrière moi me pénétrer d’un seul coup. Mon amant se met à limer violemment, sa bite est grosse et me fait un peu mal. Mais l’idée qu’elle me remplit entièrement ajoute à mon plaisir. Le type que je suce se cabre soudain et je sens le sperme se déverser par saccades dans ma bouche. Il me maintien fermement la tête contre lui par les cheveux et quand il a fini de jouir il se maintient en moi pour m’obliger à avaler sa semence. Alors seulement il s’écarte. L’homme derrière se met à râler à son tour et sa jouissance déclenche la mienne et je me surprends à crier en même temps que lui se vide les couilles dans mon ventre.
Me voilà souillée maintenant, mon corps est rempli de sperme par les deux bouts et cette semence je vais la garder en moi longtemps avant de pouvoir me sentir purifiée. Cela m’excite encore plus.
Les deux hommes qui ont joui, repus s’écartent. Le monsieur âgé de la rue a sorti sa bite et se caresse en me regardant. Timidement, il me demande simplement de me montrer et sous ses ordres je prends des poses vulgaires ; je lui tends mes seins, m’ouvre devant lui les fesses, la vulve. Le caissier m’apporte un gode et me demande de me l’introduire. Je n’aime pas beaucoup cela mais cette fois avec cet homme qui se branle en me regardant c’est différent! Je me l’introduis dans le con, me branle puis comme le vieux me le demande, je me retourne et me le plante dans le cul. Je me branle en même temps que lui et je sens une jouissance m’envahir à nouveau. Je jouis en même temps que lui et il éjacule contre mes seins et mon visage.
Je suis crevée. Le patron nous propose de boire un verre. Je me rhabille, je bois rapidement et je les quitte sans dire un mot.
Je suis fière de moi et je suis impatiente de tout raconter à René. Lui dire que j’ai fait tout cela pour lui, que je lui suis soumise et que cette pensée m’a aidée à chaque pour jouir encore plus. Je veux qu’il sache que je suis sous son emprise et que je ferais tout ce qu’il voudra.
Il est bientôt 19 heures et je vais le rejoindre au Musée comme il me l’a demandé
Arsenne
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