Chantal, une exhibe du 3ième type
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-08-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Chantal, une exhibe du 3ième type
La Cité des sciences, ce soir de juillet
Ce soir de juillet nous étions allés au cinéma après un restaurant. En sortant il était
déjà près de minuit. Comme il fait chaud Chantal, mon épouse, porte une légère de
coton avec un beau décolleté. Elle est tenue aux épaules par de fines bretelles laissant
nues ses épaules et ses bras, une ceinture de cuir lui enserre la taille. Elle ne porte
pas de soutien gorge et on devine sa poitrine nue sous le fin tissu.
Dans l’auto elle s’endort. Il y a beaucoup de monde. A un feu je remarque un noir dans
une voiture haute qui reluque ses cuisses. Au lieu de me contrarier, cela m’excite. Au
feu suivant je m’arrange même pour rester à sa hauteur. Il regarde à nouveau la belle
endormie. Au feu suivant, je croise son regard et je lui souris pour lui faire comprendre
que j’ai saisi son petit jeu. Il me rends mon sourire et je le trouve très sympa. Un peu
plus loin quand je prends le chemin du périphérique, je vois qu’il me suit. Je le laisse
remonter à ma hauteur sur ma droite. Je roule lentement pour l’aider à regarder.
Chantal dors toujours. Je pose délicatement une main sur sa cuisse et remonte sa
robe pour en montrer encore plus. Cette fois le gars reste à mon niveau et me fait un
signe de la main pour me faire comprendre qu’il apprécie ce qu’il voit. Alors je fais
glisser une bretelle de la robe, côté vitre qui, lâche, tombe naturellement sur le bras
découvrant une partie de son sein. Je suis de plus en plus excité. Tout en conduisant je
lui caresse les cuisses pour en découvrir encore plus. Je décide de sortie pour être
plus en sécurité.
Chantal se réveille et me demande pourquoi on se détourne. Je lui explique la situation
; elle s’énerve et me prend pour un fou. Je lui montre l’auto arrêtée derrière nous et lui
propose de se rendre compte par elle même de la situation et me dire ce qu’elle pense
de ce beau noir. Après beaucoup de palabres elle accepte, peut-être amusée par la
proposition.
On repars, le suiveur aussi. Quand il arrive à notre hauteur, il a compris le problème et
quand Chantal le regarde, il lui adresse son plus beau sourire. Surprise, Chantal le lui
rend, amusée. Je la pousse alors à jouer avec nous. D’accord mais je n’ai qu’à
prendre les initiatives. Sur ces mots elle ferme les yeux pour faire semblant de dormir
et s’abandonner à mes caprices. Quand je m’arrête au feu suivant mon suiveur vient à
ma hauteur m’interroge du regard; je lui fait comprendre qu’elle est disposée à
l’exhibe. D’ailleurs je remonte la robe jusqu’à la lisière de la culotte. On repars et je
cherche un endroit tranquille. Très vite je me gare et l’autre se met contre moi à droite. Il
fait un peu noir, alors j’allume le plafonnier. Le gars se penche et regarde. Je défaits
une bretelle et l’autre et la robe tombe naturellement sur les seins puis s'abat jusqu’à
la ceinture et cette fois la poitrine apparaît aux yeux du voyeur, bien visible. Chantal
ouvre les yeux et regarde son voyeur mais elle ne bouge pas et même elle lui adresse
un sourire complice. D’un geste de la main il la salue et la complimente sur sa beauté.
Chantal est rassurée car le type est vraiment à son goût ! moi j’éprouve soudain un
sentiment de jalousie. Un peu fou, je lui prends les tétons pour les faire bander et
montrer au voyeur combien elle aime qu’on lui caresse le bout des seins. On repars
pour chercher un autre endroit plus tranquille. Elle reste les seins nus, les cuisses
découvertes tandis qu’on roule.
J’explique à Chantal que j’aimerai que l’on sorte de l’auto. A ma grande surprise elle
accepte à la condition de ne pas prendre de risques et de ne pas la toucher. OK mais
en vérité, je ne suis sûr de rien.
On termine à la cité des sciences. C’est le désert à cette heure. On se gare, l’autre
aussi. Je prends Chantal par la taille et on part enlacés à la recherche d’un lieu sûr et
désert. Le noir nous suit. Je repère un mur en contrebas dans l’ombre et à l’écart des
passages. Je m’appuie dos au mur et enlace mon épouse et la plaque contre moi, dos
exposé aux regards.
Soudain comme une ombre, notre inconnu derrière s’approche. Tout de suite, je lui
soulève la robe pour montrer la culotte toute blanche. Elle a peur et plonge sa tête sur
mon épaule, se cache. Le gars fait une pause pour contempler la culotte tendue sur les
fesses de ma femme. Il reprend son approche encore, silencieux.
Les mains tremblantes, je prends l’élastique du fin vêtement et le commence à le
descendre, découvrant ses fesses blanches.
Panique ! Je la remonte rapidement car Chantal me demande d’arrêter, la robe
retombe sur ses reins.
Je la calme et la rassure. Le noir s’approche à la toucher, elle se raidit. Je lui fais signe
de garder ses distances. Compréhensif, il s'écarte.
Il n’a pas un regard pour moi mais il sait que je lui tiens ma femme et qu’il va pouvoir
abuser d’elle, soumise à mon caprice. Chantal, ses bras autour de mon cou, me sert
très fort tant elle a peur. Sa respiration est rapide, sans doutes que la situation l’excite.
On est dans l’ombre d’un bâtiment mais il fait assez clair pour nous distinguer. Tout
contre elle, je l’embrasse dans le cou pour la rassurer.
Ma femme n'est pas particulièrement portée sur le sexe. Nous faisons l'amour avec
plaisir mais sans débauche ni perversion. Baiser n'est pas dans son langage. A
différentes occasion je lui avait confessé mon fantasme de l'exhiber et même de la voir
faire l'amour avec un autre. Elle m'écoutait sans rien dire mais je sentais bien sa
réprobation, voire ma condamnation. Et pourtant ce soir elle s'abandonne ! Je ne sais
quoi penser sinon qu'elle est sous le charme de cet inconnu. Jaloux, j'ai mal mais je
suis trop excité pour tout arrêter et je l'ai mérité !
Coincé contre le mur je ressens les pressions de son corps contre mon propre ventre.
Je suis pris d’une énorme érection que Chantal ne peut ignorer.
Après quelques minutes, je reprends le bas de sa robe. Elle se laisse faire. Mes yeux
vont des cuisses que je découvre au regard du voyeur qui contemple en silence. Pour
finir, j'accroche la robe à la ceinture pour la maintenir relevée. Sa culotte blanche
apparaît à la lueur de la nuit. Le voyeur fixe.
Mes mains prennent l’élastique de la culotte et la tends vers le haut, puis je glisse le
tissu dans la raie culière découvrant la rondeur des fesses. L'homme regarde. Puis
toujours lentement, je me saisis de la culotte pour la faire glisser lentement jusqu’à mi
cuisses. Chantal a des fesses superbes aux rondeurs sans défauts, avec une peau
blanche, lisse.
L'homme devant moi a sorti sa queue énorme et lentement il se caresse, faisant durer
le plaisir dans une lente masturbation.
Chantal toujours accrochée à mon cou se laisse faire
Poursuivant mon entreprise, je me saisis des fines bretelles de sa robe, les dégage
des épaules et le tissu glisse silencieusement jusqu’à la ceinture. La chaleur de la nuit
rend moite nos peaux, il fait très chaud. Le bite du noir sent très fort. Tout cela rend le
moment fort excitant.
Chantal n'est plus vêtue à ce moment que d'une large ceinture faite de sa robe roulée à
la taille. Elle est nue du haut et du bas. Je me saisit des seins nus dont j'entreprend de
faire rouler entre mes doigts les deux bouts. sa respiration s’accélère. Je comprends
alors qu'elle participe maintenant au jeux que je lui impose : elle se laisse peloter
devant un inconnu un soir après s'être laissée exhiber en voiture. Elle se laisse offrir tel
l’objet contemplé et désiré quelques instants auparavant. Je la sens qui tend les
fesses vers l'arrière, accentuant la courbure de ses reins. Est-ce un appel à la
caresse?
- Veux-tu qu'il te touche? Je lui demande.
- ...
Je prends son silence pour un accord. D'un mouvement de tête j'invite notre homme à
venir toucher.
Chantal, nue, dans un lieu public, qui peut-être vue à tout moment, prise en sandwich
entre son mari et un inconnu voyeur. Derrière nous, je vois des ombres qui se
déplacent et la peur augmente mon excitation. De savoir. Elle a un bras toujours autour
de mon cou, de l'autre elle me prends la bite qu'elle commence à caresser lentement.
L'homme s'est approché et Chantal a un sursaut quand il pose une main et se saisit
des fesses tendues. Mais tout de suite après, elle remue son fessiers entrant
complètement dans cette comédie sexuelle. L'homme se branle de plus en plus vite, il
passe une main sur le devant et malaxe les seins nus sans ménagement. Chantal a le
souffle court, les yeux fermés elle prend son pied. Il passe la main entres cuisses pour
atteindre le sexe tout mouillé.
Soudain; notre branleur approche sa queue tendue des fesses devant lui et par
longues saccades il éjacule un sperme abondant qui vient s'écraser et souiller la peau
blanche de mon épouse.
Aux dernières éjaculation, le noir, un sourire aux lèvres, passe les mains sur les
fesses et étale sa semence sur toute la surface de peau.
Repus, fatigués on se rajuste. Lentement elle baisse la robe sur son ventre, remets
ses bretelles cachant ses seins et enlève complètement sa culotte. Notre complice
s’en saisit pour la mettre dans sa poche comme souvenir. Chantal le laisse faire et lui
adresse même un sourire ; une pointe de jalousie me saisit car visiblement elle
apprécie son amant. Elle s’approche de lui et délicatement elle pose ses lèvres
furtivement sur celles de son inconnu en guise de remerciement.
Ce soir de juillet nous étions allés au cinéma après un restaurant. En sortant il était
déjà près de minuit. Comme il fait chaud Chantal, mon épouse, porte une légère de
coton avec un beau décolleté. Elle est tenue aux épaules par de fines bretelles laissant
nues ses épaules et ses bras, une ceinture de cuir lui enserre la taille. Elle ne porte
pas de soutien gorge et on devine sa poitrine nue sous le fin tissu.
Dans l’auto elle s’endort. Il y a beaucoup de monde. A un feu je remarque un noir dans
une voiture haute qui reluque ses cuisses. Au lieu de me contrarier, cela m’excite. Au
feu suivant je m’arrange même pour rester à sa hauteur. Il regarde à nouveau la belle
endormie. Au feu suivant, je croise son regard et je lui souris pour lui faire comprendre
que j’ai saisi son petit jeu. Il me rends mon sourire et je le trouve très sympa. Un peu
plus loin quand je prends le chemin du périphérique, je vois qu’il me suit. Je le laisse
remonter à ma hauteur sur ma droite. Je roule lentement pour l’aider à regarder.
Chantal dors toujours. Je pose délicatement une main sur sa cuisse et remonte sa
robe pour en montrer encore plus. Cette fois le gars reste à mon niveau et me fait un
signe de la main pour me faire comprendre qu’il apprécie ce qu’il voit. Alors je fais
glisser une bretelle de la robe, côté vitre qui, lâche, tombe naturellement sur le bras
découvrant une partie de son sein. Je suis de plus en plus excité. Tout en conduisant je
lui caresse les cuisses pour en découvrir encore plus. Je décide de sortie pour être
plus en sécurité.
Chantal se réveille et me demande pourquoi on se détourne. Je lui explique la situation
; elle s’énerve et me prend pour un fou. Je lui montre l’auto arrêtée derrière nous et lui
propose de se rendre compte par elle même de la situation et me dire ce qu’elle pense
de ce beau noir. Après beaucoup de palabres elle accepte, peut-être amusée par la
proposition.
On repars, le suiveur aussi. Quand il arrive à notre hauteur, il a compris le problème et
quand Chantal le regarde, il lui adresse son plus beau sourire. Surprise, Chantal le lui
rend, amusée. Je la pousse alors à jouer avec nous. D’accord mais je n’ai qu’à
prendre les initiatives. Sur ces mots elle ferme les yeux pour faire semblant de dormir
et s’abandonner à mes caprices. Quand je m’arrête au feu suivant mon suiveur vient à
ma hauteur m’interroge du regard; je lui fait comprendre qu’elle est disposée à
l’exhibe. D’ailleurs je remonte la robe jusqu’à la lisière de la culotte. On repars et je
cherche un endroit tranquille. Très vite je me gare et l’autre se met contre moi à droite. Il
fait un peu noir, alors j’allume le plafonnier. Le gars se penche et regarde. Je défaits
une bretelle et l’autre et la robe tombe naturellement sur les seins puis s'abat jusqu’à
la ceinture et cette fois la poitrine apparaît aux yeux du voyeur, bien visible. Chantal
ouvre les yeux et regarde son voyeur mais elle ne bouge pas et même elle lui adresse
un sourire complice. D’un geste de la main il la salue et la complimente sur sa beauté.
Chantal est rassurée car le type est vraiment à son goût ! moi j’éprouve soudain un
sentiment de jalousie. Un peu fou, je lui prends les tétons pour les faire bander et
montrer au voyeur combien elle aime qu’on lui caresse le bout des seins. On repars
pour chercher un autre endroit plus tranquille. Elle reste les seins nus, les cuisses
découvertes tandis qu’on roule.
J’explique à Chantal que j’aimerai que l’on sorte de l’auto. A ma grande surprise elle
accepte à la condition de ne pas prendre de risques et de ne pas la toucher. OK mais
en vérité, je ne suis sûr de rien.
On termine à la cité des sciences. C’est le désert à cette heure. On se gare, l’autre
aussi. Je prends Chantal par la taille et on part enlacés à la recherche d’un lieu sûr et
désert. Le noir nous suit. Je repère un mur en contrebas dans l’ombre et à l’écart des
passages. Je m’appuie dos au mur et enlace mon épouse et la plaque contre moi, dos
exposé aux regards.
Soudain comme une ombre, notre inconnu derrière s’approche. Tout de suite, je lui
soulève la robe pour montrer la culotte toute blanche. Elle a peur et plonge sa tête sur
mon épaule, se cache. Le gars fait une pause pour contempler la culotte tendue sur les
fesses de ma femme. Il reprend son approche encore, silencieux.
Les mains tremblantes, je prends l’élastique du fin vêtement et le commence à le
descendre, découvrant ses fesses blanches.
Panique ! Je la remonte rapidement car Chantal me demande d’arrêter, la robe
retombe sur ses reins.
Je la calme et la rassure. Le noir s’approche à la toucher, elle se raidit. Je lui fais signe
de garder ses distances. Compréhensif, il s'écarte.
Il n’a pas un regard pour moi mais il sait que je lui tiens ma femme et qu’il va pouvoir
abuser d’elle, soumise à mon caprice. Chantal, ses bras autour de mon cou, me sert
très fort tant elle a peur. Sa respiration est rapide, sans doutes que la situation l’excite.
On est dans l’ombre d’un bâtiment mais il fait assez clair pour nous distinguer. Tout
contre elle, je l’embrasse dans le cou pour la rassurer.
Ma femme n'est pas particulièrement portée sur le sexe. Nous faisons l'amour avec
plaisir mais sans débauche ni perversion. Baiser n'est pas dans son langage. A
différentes occasion je lui avait confessé mon fantasme de l'exhiber et même de la voir
faire l'amour avec un autre. Elle m'écoutait sans rien dire mais je sentais bien sa
réprobation, voire ma condamnation. Et pourtant ce soir elle s'abandonne ! Je ne sais
quoi penser sinon qu'elle est sous le charme de cet inconnu. Jaloux, j'ai mal mais je
suis trop excité pour tout arrêter et je l'ai mérité !
Coincé contre le mur je ressens les pressions de son corps contre mon propre ventre.
Je suis pris d’une énorme érection que Chantal ne peut ignorer.
Après quelques minutes, je reprends le bas de sa robe. Elle se laisse faire. Mes yeux
vont des cuisses que je découvre au regard du voyeur qui contemple en silence. Pour
finir, j'accroche la robe à la ceinture pour la maintenir relevée. Sa culotte blanche
apparaît à la lueur de la nuit. Le voyeur fixe.
Mes mains prennent l’élastique de la culotte et la tends vers le haut, puis je glisse le
tissu dans la raie culière découvrant la rondeur des fesses. L'homme regarde. Puis
toujours lentement, je me saisis de la culotte pour la faire glisser lentement jusqu’à mi
cuisses. Chantal a des fesses superbes aux rondeurs sans défauts, avec une peau
blanche, lisse.
L'homme devant moi a sorti sa queue énorme et lentement il se caresse, faisant durer
le plaisir dans une lente masturbation.
Chantal toujours accrochée à mon cou se laisse faire
Poursuivant mon entreprise, je me saisis des fines bretelles de sa robe, les dégage
des épaules et le tissu glisse silencieusement jusqu’à la ceinture. La chaleur de la nuit
rend moite nos peaux, il fait très chaud. Le bite du noir sent très fort. Tout cela rend le
moment fort excitant.
Chantal n'est plus vêtue à ce moment que d'une large ceinture faite de sa robe roulée à
la taille. Elle est nue du haut et du bas. Je me saisit des seins nus dont j'entreprend de
faire rouler entre mes doigts les deux bouts. sa respiration s’accélère. Je comprends
alors qu'elle participe maintenant au jeux que je lui impose : elle se laisse peloter
devant un inconnu un soir après s'être laissée exhiber en voiture. Elle se laisse offrir tel
l’objet contemplé et désiré quelques instants auparavant. Je la sens qui tend les
fesses vers l'arrière, accentuant la courbure de ses reins. Est-ce un appel à la
caresse?
- Veux-tu qu'il te touche? Je lui demande.
- ...
Je prends son silence pour un accord. D'un mouvement de tête j'invite notre homme à
venir toucher.
Chantal, nue, dans un lieu public, qui peut-être vue à tout moment, prise en sandwich
entre son mari et un inconnu voyeur. Derrière nous, je vois des ombres qui se
déplacent et la peur augmente mon excitation. De savoir. Elle a un bras toujours autour
de mon cou, de l'autre elle me prends la bite qu'elle commence à caresser lentement.
L'homme s'est approché et Chantal a un sursaut quand il pose une main et se saisit
des fesses tendues. Mais tout de suite après, elle remue son fessiers entrant
complètement dans cette comédie sexuelle. L'homme se branle de plus en plus vite, il
passe une main sur le devant et malaxe les seins nus sans ménagement. Chantal a le
souffle court, les yeux fermés elle prend son pied. Il passe la main entres cuisses pour
atteindre le sexe tout mouillé.
Soudain; notre branleur approche sa queue tendue des fesses devant lui et par
longues saccades il éjacule un sperme abondant qui vient s'écraser et souiller la peau
blanche de mon épouse.
Aux dernières éjaculation, le noir, un sourire aux lèvres, passe les mains sur les
fesses et étale sa semence sur toute la surface de peau.
Repus, fatigués on se rajuste. Lentement elle baisse la robe sur son ventre, remets
ses bretelles cachant ses seins et enlève complètement sa culotte. Notre complice
s’en saisit pour la mettre dans sa poche comme souvenir. Chantal le laisse faire et lui
adresse même un sourire ; une pointe de jalousie me saisit car visiblement elle
apprécie son amant. Elle s’approche de lui et délicatement elle pose ses lèvres
furtivement sur celles de son inconnu en guise de remerciement.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbe histoire très parisienne au demeurant, j'ai connu certains coins du bois de boulogne où les maris venaient exhiber leur épouse et pour certains la faisait prendre à la chaine par des inconnus, d'autres de contentaient de la montrer et les mecs éjaculaient sur elle. superbe récit très bandant.
superbe histoire, j'aime aussi beaucoup exhiber mon épouse en voiture, puis la "livrer"
à un homme voyeur
à un homme voyeur