Chapitre 10 : Première rencontre Candauliste.
Récit érotique écrit par Caro16 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Chapitre 10 : Première rencontre Candauliste.
Les petits secrets d’un couple ordinaire : Première rencontre Candauliste.
Après l’acceptation de mon épouse de rencontrer Bernard, « mon amant », dès le lundi matin je m’empressais de l’appeler à son bureau.
- Bonjour Bernard, c’est Roger, je te dérange ?
- Non pas du tout, problème ?
- Non, au contraire, c’est tout simplement pour t’informer que nous serons présents Carole et moi dans deux semaines.
- Génial, je suis super heureux ! Tu vois, je te l’avais dit qu’elle accepterait !!!
- Je ne pensais pas qu’elle accepterait.
- Tu vois, il faut toujours me faire confiance.
- Si tu le dis !
- Bon, je vous réserve la suite vue mer au «Grand-Hôtel» de Cabourg jusqu’au dimanche 15h00 et vous verrez ensemble.
- Merci, Bernard, tu es un amour.
- Je t’en prie ! Euh, tu peux me donner ses mensurations, enfin ses tailles, si je veux lui faire un petit cadeau !
Nous avions alors conversé avec Bernard de mon retour chez moi, de ma joie de partager sa présence avec Carole, de la façon dont il m’avait pris la dernière fois avec délicatesse, que c’était agréable de ne plus souffrir après une bonne sodomie.
Pendant ces deux semaines nous avions eu Carole et moi, des relations plutôt torrides et quasi-journalières, Carole était très coquine habituellement, mais là, elle était plutôt imaginative et « gourmande » excitée par cette situation anormale ou elle allait faire la connaissance de l’amant de son mari.
Nous avions fait monter le désir petit à petit avant ce premier rendez-vous avec Bernard. Cette phase de préparation s’était déroulée dans le respect des limites de chacun, Carole me semblait très excitée. Je tentais de la calmer et faisais très attention à ce qu’elle ne s’emballait pas trop sous peine d’être déçus.
Nous sommes le jour J, Carole avait préparé une petite valise-cabine pour le weekend, mais me demandait mon avis sur sa tenue du jour, concernant les sous-vêtements, Carole aimait beaucoup la belle lingerie, elle optait pour un ensemble string-soutien-gorge blanc en dentelle. Je lui suggérais de passer sa petite robe noire sans bretelle, qui mettait bien en valeur ses jolies formes, cette robe d’ailleurs avait fait beaucoup jaser lors d’une soirée de départ à la retraite d'un ami, car elle était vraiment sexy, avec sa petite veste courte corail et des escarpins noirs.
Elle était sublime, mais soucis, avec cette robe, elle devait changer ses sous-vêtements pour enfiler son body-bustier-string réservé pour nos soirées coquines, mais qui avait l’avantage d’être invisible et sans bretelle, elle le glissait sous sa robe, elle était magnifique, sa poitrine était bien mise en valeur. Pendant nos deux heures de trajet, je ne pouvais résister à l’envie de caresser ma belle, de lui dire que Bernard allait craquer. Elle me paraissait d’humeur coquine également.
Nous arrivions enfin dans ce bel établissement que je commençais à bien connaître, les yeux de Carole s’illuminaient, elle était très heureuse d’être dans cet endroit. Elle me déclarait que nous avions beaucoup de chance d’être invités dans un tel endroit.
Carole admirait la décoration des lieux avant d’arriver au bar, nous retrouvions Bernard pour les présentations. J’avais recommandé à mon épouse de prendre le temps et de laisser les choses se faire naturellement. Je me voulais être rassurant et je restais surtout à son écoute.
Carole et Bernard s’échangeaient des regards sans un mot, mon épouse semblait impressionnée, devant Bernard, toujours élégant et raffiné.
Bernard semblait troublé également, peut-être par la jeunesse de mon épouse qui avait trente-trois ans. Il nous confiera plus tard qu’il était troublé par les yeux, la bouche et la silhouette de Carole qui s’était déjà débarrassée de sa petite veste corail.
Carole dans sa petite robe courte noire sculptante sans bretelle avec ses beaux cheveux blonds ne passait pas inaperçue dans l’établissement. Elle était rayonnante, merveilleuse et très heureuse.
Nous restions un long moment au bar, champagne, puis champagne et encore champagne, Carole adorait le champagne, puis nous passions au déjeuner au restaurant de l’hôtel, excellent repas, très fin et raffiné avec encore beaucoup de champagne.
Carole était radieuse et semblait très à l’aise avec Bernard, j’avais l’impression que l’on oubliait notre grande différence d’âge, et oui, Carole était beaucoup plus jeune que Bernard, plus de dix-huit ans d’écart d’âge. Mais cela ne semblait pas la déranger, ils plaisantaient beaucoup ensemble, Bernard avait une façon particulière de mettre les personnes à l’aise.
La conversation s’animait, Carole était curieuse et passionnée, le courant passait bien entre les deux, j’étais ravi, bizarrement, aujourd’hui personne n’était pressé de rejoindre la suite, nous étions bien tous les trois, nous abusions vraiment du champagne.
Carole me semblait un peu pompette, elle devenait un peu coquine, ses pommettes commençaient à rougir, elle semblait conquise par la conversation de Bernard, qui semblait lui, complètement hypnotisé par le regard et les rires de Carole dont la robe était remontée jusqu’à mi-cuisse laissant apparaitre ou plutôt ne cachant plus grand-chose.
Bizarrement, cela m’excitait beaucoup de voir les regards des serveurs et des clients quittant le restaurant, admirer mon épouse.
Puis, nous montions dans notre suite, Carole était folle de joie, quand elle découvrait la beauté de celle-ci, petit salon, avec terrasse et vue mer, merveilleuse salle de bains avec à disposition différents produits de beauté, et le grand lit, l’énorme lit, à l’époque ces grands lits étaient peu répandus.
- Tu vois le lit, Roger, on peut dormir à trois…quatre ? Avait-elle déclaré maladroitement.
- Ce n’est pas un problème, Carole, c’est comme tu le souhaites. Tu invites qui tu veux. Lui répondait Bernard.
- Merci, merci Bernard, pour cette belle chambre je vous embrasse. Répondait mon épouse en s’apercevant de sa petite bêtise.
- Tout le plaisir est pour moi, ma belle.
Carole embrassait Bernard qui en profitait un peu pour bien la toucher et l’enlacer avec ses bras musclés. Cela ne semblait pas poser de problème à Carole qui était vraiment pompette et nous déclarait :
- - Je vais vous laisser tranquille les garçons, j’enfile mon maillot de bains et je vais sur la terrasse.
- Tu peux rester Carole, au contraire, cela peut être sympa, qu’en penses-tu Roger ?
- Oh, oui, reste !!!
Je ne savais pas pourquoi j’avais répondu cela, puis je passais dans la salle de bains pour une petite douche et mon lavage intégral, c’était maintenant un rituel et cela ne me dérangeait plus.
A mon retour, Carole et Bernard étaient assis sur le lit, mon épouse les jambes croisées, laissant vraiment apparaitre le haut de ses cuisses, ils discutaient main dans la main. Le champagne commandé par Bernard était arrivé, et était déjà bien partagé par mes deux « associés ».
Bernard plaisantait sur la taille de mon sexe qui lui semblait très en forme. Il était en confiance avec Carole et se permettait quelques plaisanteries.
- Carole, tu veux me faire plaisir… Demandait Bernard.
- Ah, oui Bernard sans problème… Lui répondait, Carole, hilare et vraiment pompette.
- Euh, ce n’est pas facile, je ne sais pas si je peux ?
- Pourquoi ? Je te fais peur ? Bernard !
- Non, mais j’aimerai te voir prendre en bouche ton petit chéri, il parait que tu es très douée dans cet exercice ?
- Ah oui ! Quand même !
- Je suis désolé !
- Vraiment Bernard ? Ça te fait plaisir ? Il n’y a que cela qui te ferait plaisir ? Lui répondait encore très coquine, Carole.
- Oh ! Non, j’ai bien d’autres pensées, mais… J’aimerai vous voir faire l’amour devant moi, je suis très voyeur et très cochon !!!
- Eh bien moi, je ne sais pas si Roger t’a informé, je suis plutôt exhibitionniste et coquine, tu vois Bernard !!!
- Nous sommes donc faits pour nous entendre, Tu ne crois pas !!! Lui répondait Bernard.
Je n’avais pas besoin de rassurer « ma chérie », je laissais les choses se faire naturellement. Très rapidement, Carole se mettait à genoux, touchait délicatement mon sexe et commençait à le lécher et à le sucer, j’entendais Bernard qui se déplaçait pour mieux voir. Mon épouse était très excitée par l’idée d’être vue, le champagne inhibant son peu de retenue habituelle.
- C’est bien ce que tu voulais voir, Bernard ? Demandait Carole en arrêtant de me sucer un instant.
- Euh ! Oui, je vois que Roger apprécie, il a beaucoup de chance !!!
Excitée comme jamais par cette situation, Carole ne s’était pas aperçue que dans sa position à genoux, sa robe remontait imperceptiblement à chaque mouvement, ses cuisses se découvraient ainsi progressivement, alors qu’en parallèle, Bernard semblait absorbé par cette vision.
C’était vrai que ce spectacle offert par mon épouse nous excitait particulièrement tous les deux.
Elle s’appliquait, comme si elle passait un examen, elle gardait bien mon pénis en bouche en initiant une série de va-et-vient. Elle malaxait mes testicules, en regardant coquinement Bernard, léchait ma verge de bas en haut et de haut en bas et utilisait ses mains pour me masturber tout en serrant bien mon pénis. Elle était déchainée, elle variait mes plaisirs ! Elle promenait un doigt sur la zone du périnée, entre les bourses et l'anus et la caressait avec un peu de pression.
Elle passait délicatement sa langue sur la zone du frein plus sensible. Elle léchait puis reculait, puis revenait… Et ainsi de suite. Elle faisait grimper mon plaisir ! Et celui de Bernard qui n’en pouvait plus.
Je commençais à perler, elle ralentissait et éloignait mon gland car c'était signe que l'éjaculation n’allait pas tarder. Elle me rendait fou, elle choisissait ce moment pour demander une coupe de champagne à Bernard. Elle avalait sa coupe de champagne et hop, sa bouche frétillait de nouveau !
Et mon pénis aussi ! Après sa reprise en bouche. Bernard était très près de Carole, elle nous balançait quelques œillades cochonnes et romantiques à la fois.
- Je pense que Roger va "finir au chaud", Lui déclarait Bernard.
- Oui ! Lui répondait Carole avec la bouche pleine.
C’était à ce moment que j’explosais au fond de sa gorge en poussant un râle animal. Carole s’était relevée, fière du travail réalisé et des compliments que je pouvais lui faire. Dans l’excitation générale je m’hasardais à proposer :
- Eh, Bernard tu veux tester la compétence de Carole ?
Mais Bernard commençait déjà à embrasser Carole dans le cou, elle se laissait faire en appréciant, puis Bernard était arrivé à sa bouche qu'elle n'avait pas retirée, leurs langues s’étaient vite confondues. Elle souhaitait encore une coupe de champagne pour se rincer la bouche.
Carole et Bernard étaient toujours habillés, je les observais nu, et nouveauté pour moi, je prenais du plaisir à regarder mon épouse embrasser mon amant. Ce n’était pas une première pour moi, de voir ma femme embrasser un autre homme, j’avais relativement apprécié lors de nos deux rencontres libertines il y avait quelques années. J’étais très fier de Carole.
Bernard lui remontait sa petite robe pour lui caresser les fesses sous son body-string, Carole se laissait faire en me souriant, elle semblait toujours autant apprécier, j’admirais ses jolies fesses, je la voyais se trémousser, je voulais la toucher, mais sans les interrompre, je dézippais sa petite robe que je faisais glisser à ses pieds, elle était splendide dans cette tenue très coquine.
Puis il passait sa main devant, pour lui caresser son sexe, elle reculait légèrement, me regardant coquinement, elle lui ouvrait le pantalon et lui caressait le sexe, elle me regardait toujours avec un sourire comme pour me demander une autorisation.
Elle semblait étonnée et surprise par la grosseur du calibre qu'elle avait en main. Elle sortait le sexe de Bernard, en me regardant encore plus étonnée par la dimension réelle de celui-ci, le caressais du bout des doigts délicatement et naturellement.
J’étais étonné de la façon dont les choses se passaient. Bernard se déshabillait, il était maintenant nu devant elle. Il nous proposait de le rejoindre sur le lit.
Puis, nous nous étions allongés sur le lit, Carole se laissait glisser à genoux au bord du lit, elle le caressait toujours, elle me jetait un petit regard qui en disait long, puis elle avançait son visage pour enfoncer la queue de Bernard au fond de sa gorge et commençait son récital de fellatrice professionnelle.
Bernard bénéficiait des mêmes prestations que moi. Elle renouvelait les mêmes gestes, elle prenait un immense plaisir à sucer cet homme à peine plus jeune que son père, elle le pompait littéralement, reprenant sa respiration régulièrement.
Je n’éprouvais aucune jalousie, bien au contraire, cette situation m’excitait au plus haut point. A ce moment précis, j’étais loin de m’imaginer que c’était le début d’une merveilleuse histoire qui allait durer trois ans jusqu’au 1er mai 1994, c‘était une date facile à retenir, c’était le jour de l’accident mortel de mon pilote automobile fétiche : Ayrton SENNA.
Après l’explosion de Bernard au fond de la gorge de Carole, c’est moi qui étais venu nettoyer le gland de Bernard, pendant que Carole continuait de siroter des coupes de champagne.
Après les cris caractéristiques d’un homme qui éjaculait en prenant un immense plaisir, Bernard lâchait :
- Oh !!! La salooope, putain, que c’est bon !
- Ah, tu as aimé mon petit cadeau ? Bernard !!!
- Tu es modeste ma petite chérie, tu m’as fait du bien, c’est extraordinaire, comment tu es douée !
C’était à partir de ce moment-là, que Bernard appelait Carole, mon épouse : « sa petite chérie ».
- Bon, les garçons, je vais vous laisser vous amuser, je vais prendre une douche et je vais me reposer sur la terrasse.
En réalité, Carole après la douche avait besoin de récupérer, car les coupes de champagne à répétition, commençaient à faire leurs effets.
J’étais un peu nerveux, partagé entre le plaisir éprouvé pendant la fellation de Carole, et un brin de jalousie tout de même, une sensation pas facile à décrire, mais Bernard était pour sa part, plutôt excité, me remerciant de lui avoir offert la bouche de Carole.
J’avais chaud, les caresses et les mains de Bernard m’étaient agréables, c’est lui qui provoquait mon élévation de température, il me demandait de me tourner, il me caressait les fesses, il m'embrassait dans le cou, me suçait les oreilles, me léchait les tétons, sa main effleurait mon sexe, nous nous embrassions, nos langues se confondaient, il se mettait sur moi, me bloquait, je sentais son sexe, il me caressait, je bandais déjà très fort, je pensais à la fellation que Carole avait pu lui faire, il posait ses mains sur mes fesses et s'approchait de mon anus doucement.
Il me donnait des petits coups de bassin, je sentais sa chaleur contre moi, je n’en pouvais plus, il me léchait très profondément l’anus. Sa langue me faisait partir, j’étais là, offert pendant que mon épouse se reposait sur la terrasse toute proche. C’était irréaliste mais je n’attendais qu’une chose, absorber sa «grosse bite ». Il passait du lubrifiant entre mes fesses, puis il commençait à me doigter doucement, il me mettait un deuxième puis un troisième doigt, c'était très agréable, j’appréciais, puis il mettait de la vaseline sur son énorme gourdin, me demander d'écarter un peu les jambes, ce que je faisais.
Il m'écartait encore plus vigoureusement les jambes, il me caressait encore les fesses qu’il adorait, j’étais à sa merci à attendre la pénétration. Enfin, il me pénétrait doucement, je sentais son gland rentrer, mon anus s'ouvrait, il rentrait en moi, progressait lentement, m'écartait un peu plus les jambes avec les siennes et commençait les va-et-vient.
J’entendais du bruit, mais j’étais déjà au septième ciel, en fait nous avions réveillé Carole qui nous observait, qui observait avec un sourire malicieux son mari se faire enculer, défoncer par ce « vieux » Monsieur. Je crois que mon épouse prenait beaucoup de plaisir à regarder cet homme m’en donner et elle était sans aucun doute la plus excitée de nous trois !
J’étais pris, défoncé, il allait doucement pendant plusieurs minutes, le plaisir était bien présent, je gémissais. Bernard ayant aperçu Carole, son attitude changeait, il accélérait la cadence, il allait au plus profond de mon cul, il devenait très bestial, il voulait prouver à Carole que c’était lui le mâle dominant.
Ses couilles tapaient sur mes fesses, je ressentais des frissons le long du dos, une chaleur montait à moi, le rythme s’accélérait encore, j’oubliais totalement la présence de Carole, je ne pensais qu’à mon plaisir, il me défonçait littéralement, en me traitant de petite pute, de salope qui aimait sa bite.
- Tu vois Carole, ta salope aime la bite !!!
- Oui, effectivement, je vois ça, vous êtes très beaux ensembles. Lui répondait impressionnée Carole.
- C’est une véritable petite pute, tu sais !!!
- Oh oui, Bernard défonce moi, plus fort, fais-moi mal.
- Tu vois Carole, c’est ton petit mari qui réclame !!!
Bernard devenait à ma demande très bestial, encore plus violent il me démontait le cul, il accélérait de plus en plus, il continuait les fessées, il me faisait mal, très mal, je ne cessais de gémir, je m'abandonnais totalement à ses coups de butoir, il continuait, je transpirais, j’étais en pleine extase, je ressentais des spasmes dans le dos, j’étais ailleurs.
Carole m’embrassait, elle embrassait le corps de son homme avec Bernard, ensemble, chacun d’un côté, quatre mains se promenaient sur moi, deux bouches, c’était hot. Tout le monde donnait et nous avions eu droit à de belles explosions de rires.
Bernard sentait l’éjaculation proche et il se retirait, il m’offrait son sexe en me demandant de le sucer. L’éjaculation était soudaine et la première giclée était partie sur mon visage !!!
J’avais mieux géré les suivantes, j’adorais les douches de sperme sur mon corps. A ce moment, Carole avait tapé dans ses mains pour nous applaudir.
- Bravo, les garçons, c’est spectaculaire, une belle sodomie comme je les aime, peut-être un peu trop violente pour moi.
- Viens Chérie !!!
Carole nous rejoignait sur le lit, nous passions tout de suite en position 69, pendant ce temps, Bernard caressait Carole, lui retirait délicatement son string qu’elle avait passé pour se reposer sur la terrasse, il passait beaucoup de temps sur les fesses de ma femme. Celles-ci l’excitaient beaucoup.
Mais Carole, était trop excitée, elle se retirait, se positionnait sur le dos, écartait largement ses cuisses pour ouvrir son sexe mouillé, nous offrant son clitoris pour de belles caresses.
Bernard n’attendait que cela, Carole gémissait en tressaillant au rythme imprimé par nos doigts faisant monter son plaisir à la limite de la jouissance. Puis j’écartais encore plus ses cuisses, Carole n’espérait que cela.
Je la pénétrais violemment, je la prenais brutalement comme elle aimait, j’apercevais Bernard, qui observait, je demandais à Carole de se positionner en levrette, je me retrouvais face à Bernard, nos yeux complices se croisaient, je distinguais son excitation, je voyais sa main qui était en train de se masturber.
Je lui faisais signe de se positionner près du visage de Carole dont la bouche aspirait littéralement l’énorme sexe de Bernard. Carole gémissait de plaisir en sentant les quatre mains errées sur son corps. A quatre pattes sur le lit, le sexe de Bernard bien en bouche, et moi prenant un plaisir à lui défoncer « la tirelire », elle était abandonnée, tout à son plaisir ! Elle eut son premier orgasme et sa chatte se crispait sur mon sexe.
Sans avoir le temps de digérer son premier orgasme, Bernard et moi, nous continuions, suçant ses tétons, les mordillant et les rendant douloureux de plaisir. Encore une fois, nos mains écartaient ses jambes, sauf que cette fois, Carole semblait très détendue, écartant encore plus d’elle-même ses jambes, en attendant de prendre ce que l’on pouvait lui donner.
J’appréciais cette vue de ma femme bien offerte, je caressais le « centre des plaisirs » de Carole.
Une main de Bernard était venue de nulle part et avait commencé à frotter son clitoris. Carole nous dira ensuite : « qu’elle avait perdu la notion du temps alors que son clitoris était en feu, que son point G était taquiné avec précision et que son corps vivait un énorme plaisir grâce à ses deux hommes ».
Elle avait commencé à gémir de plus en plus fort, et même à crier de plaisir. Finalement, le gros sexe de Bernard (première pénétration de Carole par Bernard) était entré en jeu et lui avait défoncé la chatte. Nous alternions, chacun notre tour, nous prenions Carole en prenant soin de ne pas exploser de suite. Attention, pour la pénétration à tour de rôle, le but n'était pas de prendre un ticket et d'attendre sagement son tour. Par exemple, lorsque l'un la pénétrait, l’autre pouvait parfaitement faire des préliminaires, en l’embrassant et la caressant. Tout s'enchaînait simplement, sans que l’on ait eu l'impression d'être entre deux gosses qui attendaient leur tour de manège. Je ne pensais pas que Carole puisse aimer l'idée d'être un manège de toute façon, mais si toutefois elle l’était, elle serait le joli petit carrosse. Bon là, je pense que je divague !
Elle avait orgasme après orgasme. Elle demandait de faire une pause, en disant que son corps n’en pouvait plus, mais nous ne voulions pas nous arrêter. Nous avions continué encore et encore, trouvant la cadence dans l’alternance, jusqu’à ce qu’un jet sortit de sa chatte, mouillait le lit et les mains de Bernard occupé à la taquiner lors d’une alternance.
Après avoir récupérée de son extraordinaire orgasme, elle s’était rendue compte qu’elle était seule à être encore nue sur le lit.
En fait, elle avait apparemment perdu conscience, le plaisir et l’alcool.
Bernard et moi, nous étions passés sous la douche et nous nous étions rhabillés.
- Ça va, Carole ?
- Ça va, je suis bien ! Qu’est-ce que je suis bien ici ! Pourquoi vous êtes-vous arrêtés ?
Très vite, nous nous étions déshabillés, très vite, elle avait deux bites sur le visage. Elle les suçait l’une après l’autre, jusqu’à ce qu’elles soient toutes les deux très dures. Cela devenait un peu difficile à sucer pour Carole. Elle pouvait facilement tout prendre dans sa bouche. Ensuite, Bernard avec son énorme pieu, s’était positionné entre ses jambes et avait enfoncé sa queue dans sa chatte pendant qu’elle me suçait encore.
Bernard avait commencé lentement, puis avait accéléré le rythme, lui fourrant sa bite dans son vagin encore et encore. Elle gémissait de plaisir sous l’effet de cette sensation. Une bite au fond de sa chatte et une autre dans sa bouche en même temps ! Après l’avoir bien baisée, nous avions échangé nos places en la mettant sur le ventre. Elle avait alors ma queue dans sa chatte en levrette et la queue de Bernard, toujours aussi grosse, dans sa bouche. Après quelques minutes, je lui disais que j’étais prêt à jouir, alors je lui demandais de se retourner à nouveau parce que je voulais éjaculer sur son ventre et ses seins. J’avais atteint un tel état d’excitation, que je profitais encore pour la baiser violemment un peu avant de retirer ma bite, en attendant qu’elle se retourne, je m’étais soulagé, propulsant mon foutre sur elle !
En voyant ce spectacle, Bernard avait lui aussi atteint l’orgasme et lui avait éjaculé sur le visage et dans la bouche. Avec beaucoup de complicité, nous nous étions levés tous les deux, Bernard et moi, en lui souriant. Mon épouse était couverte de sperme. Je lui jetais une serviette. J’étais très fier de mon épouse, de sa capacité à s’adapter à cette nouvelle situation avec une facilité déconcertante. Elle avait joui d’une manière que je ne lui connaissais pas. C’était très fort comme sensation. Puis nous sommes allés l’embrasser tous les deux.
- C’était formidable ! Carole. Lui déclarait Bernard encore essoufflé.
- Franchement génial, Carole.
Avec beaucoup de provocations et en prenant son air coquin tout en se caressant, elle nous répondait :
- C’est quand vous voulez ! Messieurs, je suis à votre disposition ! Mais là, maintenant, ma petite minette a besoin de repos.
- On se refait un trio quand tu veux ma petite chérie. Lui répondait Bernard.
- Tu sais, en venant te retrouver, je n’avais pas prévu cela, crois-moi !
- Tu avais prévue quoi alors ?
- Faire ta connaissance tout simplement, Bernard !
- Alors pourquoi tu as ?
- J’étais bien dans cet environnement, et je dois t’avouer que j’ai beaucoup aimé, c’était extatique.
Cela faisait environ huit heures que nous étions en compagnie de Bernard, nous étions fort occupés, Bernard était en retard, car il devait diner à Lisieux avec ses deux fils, légèrement plus jeunes que Carole, vingt-neuf et vingt-six ans, après une douche rapide, il devait nous quitter en donnant à Carole un coffret cadeau.
Bernard partait très vite, sans oublier d’embrasser mon épouse très tendrement en la remerciant de lui avoir donné tant de plaisir, et en me remerciant d’avoir accepté de la partager.
Carole ouvrait son paquet cadeau. Elle découvrait un ensemble, nuisette, serre-taille porte-jarretelles, soutien-gorge et string en dentelle et soie de couleur blanche de chez Lise Charmel.
- Tu as vu chéri, c’est magnifique, il est fou !!!
- Vraiment magnifique, chérie !
C’était le début d’une grande collection pour Carole, car Bernard appréciait la très belle lingerie et ayant « les moyens » de pouvoir les offrir, offrira à chacune de nos rencontres des sous-vêtements, des maillots de bains ou robes sexy à Carole.
Après une douche, et un certain temps de préparation pour Carole, les ébats de l’après-midi avaient mis un peu de désordre dans la coiffure de ma belle, Carole avait revêtu sa petite robe rouge très sexy et sculptante, mais surtout pas vulgaire, nous descendions au restaurant de l’hôtel.
- Bonjour Madame, bonjour Monsieur, votre Papa, Madame, nous a demandé de vous réserver une table à « La belle Epoque », avec le menu « Spécial ».
- Très bien, merci.
Nous étions surpris par la délicatesse de Bernard, de tout prévoir, et en plus, c’était maintenant mon beau-père, c’était génial.
Après un repas excellent, nous étions fatigués et nous remontions dans notre suite directement. Carole voulait essayer la tenue offerte par Bernard, elle était sublime, dans cette tenue entièrement blanche, ses beaux cheveux blonds, ses yeux, ses petites fesses qui se trémoussaient, sa poitrine bien mise en valeur.
Malgré notre fatigue, Carole très coquine s’offrait à moi, me remerciant au passage de lui avoir faite rencontrée Bernard.
Elle me demandait « une enculade Bernard », elle voulait que je lui fasse ce qu’elle avait observé quand Bernard me démontait le cul. Carole était épuisée, et après cet exercice, nous nous étions endormis comme des bébés dans notre belle suite.
Le lendemain au réveil, je trouvais une Carole un peu perturbée, elle culpabilisait, de s’être offerte de cette façon à un presque inconnu, et en plus très vieux, elle qui jugeais mal ses copines qui étaient en couple avec des hommes plus âgés de dix ans.
- Franchement Roger, t’imagines, il a pratiquement vingt ans de plus que moi !!!
- Et alors !
- Que va-t-il penser de moi ? J’étais venu pour rencontrer ton ami, Roger !!!
- Oui, je sais !
- Pas pour !!! Cet homme à quelque chose, un pouvoir, je n’en sais rien, ce n’est pas possible, comment j’ai pu ?
- Voyons Carole, pense à toi, tu as pris du plaisir ?
- Ben, Oui, c’est ça le plus grave, et devant mon mari.
- Tu lui as donné du plaisir, tu m’as fait plaisir. Donc, c’est parfait.
- Et toi, tu n’es pas jaloux ?
- Si, justement, je n’ai pas aimé quand vous vous embrassiez, mais j’ai pris beaucoup de plaisir à te voir jouir avec Bernard. Tu as beaucoup joui avec lui, c’était fort entre vous deux.
- Tu n’es pas normal, Roger !!! Crois-moi !
- Mais si justement, tu es belle, resplendissante, souriante, joyeuse, amoureuse, coquine et divine, maintenant tu es libertine !!!
- Tu dis des bêtises Roger, je suis fidèle, enfin j’étais fidèle, hormis nos deux expériences que tu souhaitais vivre avec le couple et la sortie en club, mais je ne suis pas libertine.
- Tu es toujours fidèle Carole, voyons, cela n’a rien à voir, mais tu aimes plus que toutes autres le sexe, Carole !!! Franchement, tu aimes tout ce qui plait aux hommes : la fellation, les pénétrations anales et vaginales, les positions particulières, les lieux insolites, tu aimes te sentir belle et désirée, ne me dit pas le contraire.
- Ça, c’est vrai, mais ce n’est pas pour cela que je dois me conduire comme une « pute ».
- Tu n’es pas une pute, chérie !!!
- S’envoyer en l’air, avec mec aussi âgé que son père, c’est quoi ?
- Je n’en sais rien, mais tu as quand même apprécié son raffinement, sa classe et un peu son sexe qui t’a bien fait jouir.
- Ça, c’est vrai, c’est un bon baiseur, j’ai vraiment apprécié « l’acte » enfin la relation, il est doué, il m’a… enfin, cela me gêne !!!
- Tu as pris du plaisir, et moi aussi j’ai pris beaucoup de plaisir, c’est le but.
- Mais j’ai le sentiment d’être une pute quand même, regarde un peu : l’hôtel, un palace, une suite dans un palace, les déjeuners et dîners à la carte, les sous-vêtements, enfin… t’imagines pour nous ce que cela représente !!!
- Tu te prends la tête pour rien, Carole, il a de gros moyen, il est un peu seul, divorcé, beaucoup de travail, donc pas le temps de trouver une femme et comme nous, il souhaite prendre un peu de plaisir !!!
Nous arrêtions la conversation pour aller prendre une douche, Carole se préparait, passait les sous-vêtements offerts par Bernard hier, puis enfilait une petite robe blanche sans manche, elle était divine. Nous décidions d’aller déjeuner en zappant le petit-déjeuner, car il était déjà treize heures, nous avions besoin de récupérer. En arrivant dans hall d’accueil :
- Bonjour Madame, bonjour Monsieur, votre Papa, Madame, nous a demandé de vous réserver une table au restaurant « Côté Royal », pour une escapade gourmande. Si vous voulez bien me suivre.
- Très bien, merci.
Carole, dans ce lieu magique, avait oublié ses états d’âmes, nous avions apprécié la qualité des plats servis, le plaisir de goûter à la cuisine d’un Chef inspiré, mais aussi à la décoration « esprit années folles » de l’endroit. Sur la route du retour à notre domicile, nous devions aller chercher notre fils de quatre ans chez les parents de Carole, avant une certaine heure, Carole était moins chagrinée, satisfaite même. Certes son éducation religieuse et ses parents plutôt très catholiques pratiquants, ne la prédestinait pas à une vie de coquine et encore moins de libertine.
Déjà que ses tenues lui valaient des réflexions de sa maman, et c’était certain qu’aujourd’hui avec sa petite robe blanche, les réflexions allaient encore pleuvoir.
C’était une énigme, avec une telle éducation, comment Carole pouvait à ce point aimer le sexe, aimer à ce point pratiquer des fellations que tous les hommes du monde apprécieraient, apprécier et réclamer des pénétrations virulentes qu’elles soient anales et vaginales, les positions particulières, l’exhibition et les lieux insolites ?
Les jours suivants, nous avions repris notre vie normale, Carole était encore plus coquine que d’habitude, ayant besoin de sexe matin et soir quand c’était possible !!!
Je lui parlais peu de Bernard volontairement, mais elle, elle me parlait régulièrement de lui, c’était étonnant. Même pendant nos relations, c’était surprenant.
Bernard m’avait appelé, deux fois, pour prendre des nouvelles, de Carole et de moi également, il souhaiterait nous revoir tous les deux, il me parlait du plaisir pris avec nous, mais aussi avec mon épouse qu’il trouvait extraordinaire, aussi bien humainement que sexuellement. Il affirmait que c’était une bombe sexuelle, qu’elle suscitait un désir sexuel particulier.
C’était finalement Carole, qui me demandait des nouvelles de Bernard, je l’informais qu’il souhaitait nous revoir.
- Ah bon, il souhaite nous revoir tous les deux !!!
- Oui, chérie, cela t’étonne ?
- Oui, pourquoi ?
- il t’a beaucoup apprécié. Tu lui as beaucoup plu. Il a beaucoup aimé nos moments torrides.
- Ah oui !
- Et toi, tu as envie de revoir Bernard ?
- Euh ! Tu sais, je ne sais pas si c’est bien de le revoir, j’ai peur pour nous, pour notre couple, nous ne sommes pas du même milieu social.
- Ce n’est pas très important cela, mon amour !
- Et puis, cela me gêne d’être invitée comme cela.
- Donc, nous ne nous reverrons plus ensemble, mais moi je peux seul ?
- Non, je ne t’ai pas dit que je ne voulais plus, mais j’ai l’impression d’être une prostituée, tu comprends !!!
- Oui, je comprends, mais c’est ton papa qui t’offre tout cela. Lui répondais-je en rigolant.
- Et pourtant c’est vrai qu’il est charmant et généreux et que j’aimerai bien le revoir, mais peut être dans un endroit plus simple, enfin je ne sais pas, et peut être pas un weekend car mes parents vont avoir des doutes s’ils doivent encore garder notre loulou.
Voilà, comment tout simplement j’avais découvert avec la complicité de Bernard « ce plaisir » d’offrir mon épouse à un autre homme, de la voir prendre du plaisir avec Bernard et plus tard avec d’autres.
Ce n’était pas explicable, mais j’étais devenu candauliste.
Carole avait alors réalisé tous mes fantasmes, bien au-delà de mes attentes, car j’avais fait de mon épouse fidèle et sage, la reine des salopes.
Nous nous étions « assagis » quand, malheureusement la maladie s’était réveillée, mais nous avons vécu une période très chaude de notre expérience candauliste, qui se situait entre 1991 et 1994. Période au cours de laquelle, j’avais offert de très nombreux amants à ma belle. J’étais heureux de voir ma chérie jouir sous les caresses et les assauts d’un ou plusieurs autres partenaires et que cela correspondait aussi à ses besoins.
Car mon candaulisme et ma bissexualité était une des caractéristiques de notre couple. Mais ce qui rendait notre union particulière, c’était le besoin permanent de sexe de mon épouse quand elle n’avait pas d’ennui de santé et cela, elle l’avait découvert dès son adolescence. Était-elle nymphomane ? Peut-être. Nous avons eu une vie sexuelle libre, riche et épanouie, qui a souvent suscité beaucoup de critiques malgré notre discrétion.
Après l’acceptation de mon épouse de rencontrer Bernard, « mon amant », dès le lundi matin je m’empressais de l’appeler à son bureau.
- Bonjour Bernard, c’est Roger, je te dérange ?
- Non pas du tout, problème ?
- Non, au contraire, c’est tout simplement pour t’informer que nous serons présents Carole et moi dans deux semaines.
- Génial, je suis super heureux ! Tu vois, je te l’avais dit qu’elle accepterait !!!
- Je ne pensais pas qu’elle accepterait.
- Tu vois, il faut toujours me faire confiance.
- Si tu le dis !
- Bon, je vous réserve la suite vue mer au «Grand-Hôtel» de Cabourg jusqu’au dimanche 15h00 et vous verrez ensemble.
- Merci, Bernard, tu es un amour.
- Je t’en prie ! Euh, tu peux me donner ses mensurations, enfin ses tailles, si je veux lui faire un petit cadeau !
Nous avions alors conversé avec Bernard de mon retour chez moi, de ma joie de partager sa présence avec Carole, de la façon dont il m’avait pris la dernière fois avec délicatesse, que c’était agréable de ne plus souffrir après une bonne sodomie.
Pendant ces deux semaines nous avions eu Carole et moi, des relations plutôt torrides et quasi-journalières, Carole était très coquine habituellement, mais là, elle était plutôt imaginative et « gourmande » excitée par cette situation anormale ou elle allait faire la connaissance de l’amant de son mari.
Nous avions fait monter le désir petit à petit avant ce premier rendez-vous avec Bernard. Cette phase de préparation s’était déroulée dans le respect des limites de chacun, Carole me semblait très excitée. Je tentais de la calmer et faisais très attention à ce qu’elle ne s’emballait pas trop sous peine d’être déçus.
Nous sommes le jour J, Carole avait préparé une petite valise-cabine pour le weekend, mais me demandait mon avis sur sa tenue du jour, concernant les sous-vêtements, Carole aimait beaucoup la belle lingerie, elle optait pour un ensemble string-soutien-gorge blanc en dentelle. Je lui suggérais de passer sa petite robe noire sans bretelle, qui mettait bien en valeur ses jolies formes, cette robe d’ailleurs avait fait beaucoup jaser lors d’une soirée de départ à la retraite d'un ami, car elle était vraiment sexy, avec sa petite veste courte corail et des escarpins noirs.
Elle était sublime, mais soucis, avec cette robe, elle devait changer ses sous-vêtements pour enfiler son body-bustier-string réservé pour nos soirées coquines, mais qui avait l’avantage d’être invisible et sans bretelle, elle le glissait sous sa robe, elle était magnifique, sa poitrine était bien mise en valeur. Pendant nos deux heures de trajet, je ne pouvais résister à l’envie de caresser ma belle, de lui dire que Bernard allait craquer. Elle me paraissait d’humeur coquine également.
Nous arrivions enfin dans ce bel établissement que je commençais à bien connaître, les yeux de Carole s’illuminaient, elle était très heureuse d’être dans cet endroit. Elle me déclarait que nous avions beaucoup de chance d’être invités dans un tel endroit.
Carole admirait la décoration des lieux avant d’arriver au bar, nous retrouvions Bernard pour les présentations. J’avais recommandé à mon épouse de prendre le temps et de laisser les choses se faire naturellement. Je me voulais être rassurant et je restais surtout à son écoute.
Carole et Bernard s’échangeaient des regards sans un mot, mon épouse semblait impressionnée, devant Bernard, toujours élégant et raffiné.
Bernard semblait troublé également, peut-être par la jeunesse de mon épouse qui avait trente-trois ans. Il nous confiera plus tard qu’il était troublé par les yeux, la bouche et la silhouette de Carole qui s’était déjà débarrassée de sa petite veste corail.
Carole dans sa petite robe courte noire sculptante sans bretelle avec ses beaux cheveux blonds ne passait pas inaperçue dans l’établissement. Elle était rayonnante, merveilleuse et très heureuse.
Nous restions un long moment au bar, champagne, puis champagne et encore champagne, Carole adorait le champagne, puis nous passions au déjeuner au restaurant de l’hôtel, excellent repas, très fin et raffiné avec encore beaucoup de champagne.
Carole était radieuse et semblait très à l’aise avec Bernard, j’avais l’impression que l’on oubliait notre grande différence d’âge, et oui, Carole était beaucoup plus jeune que Bernard, plus de dix-huit ans d’écart d’âge. Mais cela ne semblait pas la déranger, ils plaisantaient beaucoup ensemble, Bernard avait une façon particulière de mettre les personnes à l’aise.
La conversation s’animait, Carole était curieuse et passionnée, le courant passait bien entre les deux, j’étais ravi, bizarrement, aujourd’hui personne n’était pressé de rejoindre la suite, nous étions bien tous les trois, nous abusions vraiment du champagne.
Carole me semblait un peu pompette, elle devenait un peu coquine, ses pommettes commençaient à rougir, elle semblait conquise par la conversation de Bernard, qui semblait lui, complètement hypnotisé par le regard et les rires de Carole dont la robe était remontée jusqu’à mi-cuisse laissant apparaitre ou plutôt ne cachant plus grand-chose.
Bizarrement, cela m’excitait beaucoup de voir les regards des serveurs et des clients quittant le restaurant, admirer mon épouse.
Puis, nous montions dans notre suite, Carole était folle de joie, quand elle découvrait la beauté de celle-ci, petit salon, avec terrasse et vue mer, merveilleuse salle de bains avec à disposition différents produits de beauté, et le grand lit, l’énorme lit, à l’époque ces grands lits étaient peu répandus.
- Tu vois le lit, Roger, on peut dormir à trois…quatre ? Avait-elle déclaré maladroitement.
- Ce n’est pas un problème, Carole, c’est comme tu le souhaites. Tu invites qui tu veux. Lui répondait Bernard.
- Merci, merci Bernard, pour cette belle chambre je vous embrasse. Répondait mon épouse en s’apercevant de sa petite bêtise.
- Tout le plaisir est pour moi, ma belle.
Carole embrassait Bernard qui en profitait un peu pour bien la toucher et l’enlacer avec ses bras musclés. Cela ne semblait pas poser de problème à Carole qui était vraiment pompette et nous déclarait :
- - Je vais vous laisser tranquille les garçons, j’enfile mon maillot de bains et je vais sur la terrasse.
- Tu peux rester Carole, au contraire, cela peut être sympa, qu’en penses-tu Roger ?
- Oh, oui, reste !!!
Je ne savais pas pourquoi j’avais répondu cela, puis je passais dans la salle de bains pour une petite douche et mon lavage intégral, c’était maintenant un rituel et cela ne me dérangeait plus.
A mon retour, Carole et Bernard étaient assis sur le lit, mon épouse les jambes croisées, laissant vraiment apparaitre le haut de ses cuisses, ils discutaient main dans la main. Le champagne commandé par Bernard était arrivé, et était déjà bien partagé par mes deux « associés ».
Bernard plaisantait sur la taille de mon sexe qui lui semblait très en forme. Il était en confiance avec Carole et se permettait quelques plaisanteries.
- Carole, tu veux me faire plaisir… Demandait Bernard.
- Ah, oui Bernard sans problème… Lui répondait, Carole, hilare et vraiment pompette.
- Euh, ce n’est pas facile, je ne sais pas si je peux ?
- Pourquoi ? Je te fais peur ? Bernard !
- Non, mais j’aimerai te voir prendre en bouche ton petit chéri, il parait que tu es très douée dans cet exercice ?
- Ah oui ! Quand même !
- Je suis désolé !
- Vraiment Bernard ? Ça te fait plaisir ? Il n’y a que cela qui te ferait plaisir ? Lui répondait encore très coquine, Carole.
- Oh ! Non, j’ai bien d’autres pensées, mais… J’aimerai vous voir faire l’amour devant moi, je suis très voyeur et très cochon !!!
- Eh bien moi, je ne sais pas si Roger t’a informé, je suis plutôt exhibitionniste et coquine, tu vois Bernard !!!
- Nous sommes donc faits pour nous entendre, Tu ne crois pas !!! Lui répondait Bernard.
Je n’avais pas besoin de rassurer « ma chérie », je laissais les choses se faire naturellement. Très rapidement, Carole se mettait à genoux, touchait délicatement mon sexe et commençait à le lécher et à le sucer, j’entendais Bernard qui se déplaçait pour mieux voir. Mon épouse était très excitée par l’idée d’être vue, le champagne inhibant son peu de retenue habituelle.
- C’est bien ce que tu voulais voir, Bernard ? Demandait Carole en arrêtant de me sucer un instant.
- Euh ! Oui, je vois que Roger apprécie, il a beaucoup de chance !!!
Excitée comme jamais par cette situation, Carole ne s’était pas aperçue que dans sa position à genoux, sa robe remontait imperceptiblement à chaque mouvement, ses cuisses se découvraient ainsi progressivement, alors qu’en parallèle, Bernard semblait absorbé par cette vision.
C’était vrai que ce spectacle offert par mon épouse nous excitait particulièrement tous les deux.
Elle s’appliquait, comme si elle passait un examen, elle gardait bien mon pénis en bouche en initiant une série de va-et-vient. Elle malaxait mes testicules, en regardant coquinement Bernard, léchait ma verge de bas en haut et de haut en bas et utilisait ses mains pour me masturber tout en serrant bien mon pénis. Elle était déchainée, elle variait mes plaisirs ! Elle promenait un doigt sur la zone du périnée, entre les bourses et l'anus et la caressait avec un peu de pression.
Elle passait délicatement sa langue sur la zone du frein plus sensible. Elle léchait puis reculait, puis revenait… Et ainsi de suite. Elle faisait grimper mon plaisir ! Et celui de Bernard qui n’en pouvait plus.
Je commençais à perler, elle ralentissait et éloignait mon gland car c'était signe que l'éjaculation n’allait pas tarder. Elle me rendait fou, elle choisissait ce moment pour demander une coupe de champagne à Bernard. Elle avalait sa coupe de champagne et hop, sa bouche frétillait de nouveau !
Et mon pénis aussi ! Après sa reprise en bouche. Bernard était très près de Carole, elle nous balançait quelques œillades cochonnes et romantiques à la fois.
- Je pense que Roger va "finir au chaud", Lui déclarait Bernard.
- Oui ! Lui répondait Carole avec la bouche pleine.
C’était à ce moment que j’explosais au fond de sa gorge en poussant un râle animal. Carole s’était relevée, fière du travail réalisé et des compliments que je pouvais lui faire. Dans l’excitation générale je m’hasardais à proposer :
- Eh, Bernard tu veux tester la compétence de Carole ?
Mais Bernard commençait déjà à embrasser Carole dans le cou, elle se laissait faire en appréciant, puis Bernard était arrivé à sa bouche qu'elle n'avait pas retirée, leurs langues s’étaient vite confondues. Elle souhaitait encore une coupe de champagne pour se rincer la bouche.
Carole et Bernard étaient toujours habillés, je les observais nu, et nouveauté pour moi, je prenais du plaisir à regarder mon épouse embrasser mon amant. Ce n’était pas une première pour moi, de voir ma femme embrasser un autre homme, j’avais relativement apprécié lors de nos deux rencontres libertines il y avait quelques années. J’étais très fier de Carole.
Bernard lui remontait sa petite robe pour lui caresser les fesses sous son body-string, Carole se laissait faire en me souriant, elle semblait toujours autant apprécier, j’admirais ses jolies fesses, je la voyais se trémousser, je voulais la toucher, mais sans les interrompre, je dézippais sa petite robe que je faisais glisser à ses pieds, elle était splendide dans cette tenue très coquine.
Puis il passait sa main devant, pour lui caresser son sexe, elle reculait légèrement, me regardant coquinement, elle lui ouvrait le pantalon et lui caressait le sexe, elle me regardait toujours avec un sourire comme pour me demander une autorisation.
Elle semblait étonnée et surprise par la grosseur du calibre qu'elle avait en main. Elle sortait le sexe de Bernard, en me regardant encore plus étonnée par la dimension réelle de celui-ci, le caressais du bout des doigts délicatement et naturellement.
J’étais étonné de la façon dont les choses se passaient. Bernard se déshabillait, il était maintenant nu devant elle. Il nous proposait de le rejoindre sur le lit.
Puis, nous nous étions allongés sur le lit, Carole se laissait glisser à genoux au bord du lit, elle le caressait toujours, elle me jetait un petit regard qui en disait long, puis elle avançait son visage pour enfoncer la queue de Bernard au fond de sa gorge et commençait son récital de fellatrice professionnelle.
Bernard bénéficiait des mêmes prestations que moi. Elle renouvelait les mêmes gestes, elle prenait un immense plaisir à sucer cet homme à peine plus jeune que son père, elle le pompait littéralement, reprenant sa respiration régulièrement.
Je n’éprouvais aucune jalousie, bien au contraire, cette situation m’excitait au plus haut point. A ce moment précis, j’étais loin de m’imaginer que c’était le début d’une merveilleuse histoire qui allait durer trois ans jusqu’au 1er mai 1994, c‘était une date facile à retenir, c’était le jour de l’accident mortel de mon pilote automobile fétiche : Ayrton SENNA.
Après l’explosion de Bernard au fond de la gorge de Carole, c’est moi qui étais venu nettoyer le gland de Bernard, pendant que Carole continuait de siroter des coupes de champagne.
Après les cris caractéristiques d’un homme qui éjaculait en prenant un immense plaisir, Bernard lâchait :
- Oh !!! La salooope, putain, que c’est bon !
- Ah, tu as aimé mon petit cadeau ? Bernard !!!
- Tu es modeste ma petite chérie, tu m’as fait du bien, c’est extraordinaire, comment tu es douée !
C’était à partir de ce moment-là, que Bernard appelait Carole, mon épouse : « sa petite chérie ».
- Bon, les garçons, je vais vous laisser vous amuser, je vais prendre une douche et je vais me reposer sur la terrasse.
En réalité, Carole après la douche avait besoin de récupérer, car les coupes de champagne à répétition, commençaient à faire leurs effets.
J’étais un peu nerveux, partagé entre le plaisir éprouvé pendant la fellation de Carole, et un brin de jalousie tout de même, une sensation pas facile à décrire, mais Bernard était pour sa part, plutôt excité, me remerciant de lui avoir offert la bouche de Carole.
J’avais chaud, les caresses et les mains de Bernard m’étaient agréables, c’est lui qui provoquait mon élévation de température, il me demandait de me tourner, il me caressait les fesses, il m'embrassait dans le cou, me suçait les oreilles, me léchait les tétons, sa main effleurait mon sexe, nous nous embrassions, nos langues se confondaient, il se mettait sur moi, me bloquait, je sentais son sexe, il me caressait, je bandais déjà très fort, je pensais à la fellation que Carole avait pu lui faire, il posait ses mains sur mes fesses et s'approchait de mon anus doucement.
Il me donnait des petits coups de bassin, je sentais sa chaleur contre moi, je n’en pouvais plus, il me léchait très profondément l’anus. Sa langue me faisait partir, j’étais là, offert pendant que mon épouse se reposait sur la terrasse toute proche. C’était irréaliste mais je n’attendais qu’une chose, absorber sa «grosse bite ». Il passait du lubrifiant entre mes fesses, puis il commençait à me doigter doucement, il me mettait un deuxième puis un troisième doigt, c'était très agréable, j’appréciais, puis il mettait de la vaseline sur son énorme gourdin, me demander d'écarter un peu les jambes, ce que je faisais.
Il m'écartait encore plus vigoureusement les jambes, il me caressait encore les fesses qu’il adorait, j’étais à sa merci à attendre la pénétration. Enfin, il me pénétrait doucement, je sentais son gland rentrer, mon anus s'ouvrait, il rentrait en moi, progressait lentement, m'écartait un peu plus les jambes avec les siennes et commençait les va-et-vient.
J’entendais du bruit, mais j’étais déjà au septième ciel, en fait nous avions réveillé Carole qui nous observait, qui observait avec un sourire malicieux son mari se faire enculer, défoncer par ce « vieux » Monsieur. Je crois que mon épouse prenait beaucoup de plaisir à regarder cet homme m’en donner et elle était sans aucun doute la plus excitée de nous trois !
J’étais pris, défoncé, il allait doucement pendant plusieurs minutes, le plaisir était bien présent, je gémissais. Bernard ayant aperçu Carole, son attitude changeait, il accélérait la cadence, il allait au plus profond de mon cul, il devenait très bestial, il voulait prouver à Carole que c’était lui le mâle dominant.
Ses couilles tapaient sur mes fesses, je ressentais des frissons le long du dos, une chaleur montait à moi, le rythme s’accélérait encore, j’oubliais totalement la présence de Carole, je ne pensais qu’à mon plaisir, il me défonçait littéralement, en me traitant de petite pute, de salope qui aimait sa bite.
- Tu vois Carole, ta salope aime la bite !!!
- Oui, effectivement, je vois ça, vous êtes très beaux ensembles. Lui répondait impressionnée Carole.
- C’est une véritable petite pute, tu sais !!!
- Oh oui, Bernard défonce moi, plus fort, fais-moi mal.
- Tu vois Carole, c’est ton petit mari qui réclame !!!
Bernard devenait à ma demande très bestial, encore plus violent il me démontait le cul, il accélérait de plus en plus, il continuait les fessées, il me faisait mal, très mal, je ne cessais de gémir, je m'abandonnais totalement à ses coups de butoir, il continuait, je transpirais, j’étais en pleine extase, je ressentais des spasmes dans le dos, j’étais ailleurs.
Carole m’embrassait, elle embrassait le corps de son homme avec Bernard, ensemble, chacun d’un côté, quatre mains se promenaient sur moi, deux bouches, c’était hot. Tout le monde donnait et nous avions eu droit à de belles explosions de rires.
Bernard sentait l’éjaculation proche et il se retirait, il m’offrait son sexe en me demandant de le sucer. L’éjaculation était soudaine et la première giclée était partie sur mon visage !!!
J’avais mieux géré les suivantes, j’adorais les douches de sperme sur mon corps. A ce moment, Carole avait tapé dans ses mains pour nous applaudir.
- Bravo, les garçons, c’est spectaculaire, une belle sodomie comme je les aime, peut-être un peu trop violente pour moi.
- Viens Chérie !!!
Carole nous rejoignait sur le lit, nous passions tout de suite en position 69, pendant ce temps, Bernard caressait Carole, lui retirait délicatement son string qu’elle avait passé pour se reposer sur la terrasse, il passait beaucoup de temps sur les fesses de ma femme. Celles-ci l’excitaient beaucoup.
Mais Carole, était trop excitée, elle se retirait, se positionnait sur le dos, écartait largement ses cuisses pour ouvrir son sexe mouillé, nous offrant son clitoris pour de belles caresses.
Bernard n’attendait que cela, Carole gémissait en tressaillant au rythme imprimé par nos doigts faisant monter son plaisir à la limite de la jouissance. Puis j’écartais encore plus ses cuisses, Carole n’espérait que cela.
Je la pénétrais violemment, je la prenais brutalement comme elle aimait, j’apercevais Bernard, qui observait, je demandais à Carole de se positionner en levrette, je me retrouvais face à Bernard, nos yeux complices se croisaient, je distinguais son excitation, je voyais sa main qui était en train de se masturber.
Je lui faisais signe de se positionner près du visage de Carole dont la bouche aspirait littéralement l’énorme sexe de Bernard. Carole gémissait de plaisir en sentant les quatre mains errées sur son corps. A quatre pattes sur le lit, le sexe de Bernard bien en bouche, et moi prenant un plaisir à lui défoncer « la tirelire », elle était abandonnée, tout à son plaisir ! Elle eut son premier orgasme et sa chatte se crispait sur mon sexe.
Sans avoir le temps de digérer son premier orgasme, Bernard et moi, nous continuions, suçant ses tétons, les mordillant et les rendant douloureux de plaisir. Encore une fois, nos mains écartaient ses jambes, sauf que cette fois, Carole semblait très détendue, écartant encore plus d’elle-même ses jambes, en attendant de prendre ce que l’on pouvait lui donner.
J’appréciais cette vue de ma femme bien offerte, je caressais le « centre des plaisirs » de Carole.
Une main de Bernard était venue de nulle part et avait commencé à frotter son clitoris. Carole nous dira ensuite : « qu’elle avait perdu la notion du temps alors que son clitoris était en feu, que son point G était taquiné avec précision et que son corps vivait un énorme plaisir grâce à ses deux hommes ».
Elle avait commencé à gémir de plus en plus fort, et même à crier de plaisir. Finalement, le gros sexe de Bernard (première pénétration de Carole par Bernard) était entré en jeu et lui avait défoncé la chatte. Nous alternions, chacun notre tour, nous prenions Carole en prenant soin de ne pas exploser de suite. Attention, pour la pénétration à tour de rôle, le but n'était pas de prendre un ticket et d'attendre sagement son tour. Par exemple, lorsque l'un la pénétrait, l’autre pouvait parfaitement faire des préliminaires, en l’embrassant et la caressant. Tout s'enchaînait simplement, sans que l’on ait eu l'impression d'être entre deux gosses qui attendaient leur tour de manège. Je ne pensais pas que Carole puisse aimer l'idée d'être un manège de toute façon, mais si toutefois elle l’était, elle serait le joli petit carrosse. Bon là, je pense que je divague !
Elle avait orgasme après orgasme. Elle demandait de faire une pause, en disant que son corps n’en pouvait plus, mais nous ne voulions pas nous arrêter. Nous avions continué encore et encore, trouvant la cadence dans l’alternance, jusqu’à ce qu’un jet sortit de sa chatte, mouillait le lit et les mains de Bernard occupé à la taquiner lors d’une alternance.
Après avoir récupérée de son extraordinaire orgasme, elle s’était rendue compte qu’elle était seule à être encore nue sur le lit.
En fait, elle avait apparemment perdu conscience, le plaisir et l’alcool.
Bernard et moi, nous étions passés sous la douche et nous nous étions rhabillés.
- Ça va, Carole ?
- Ça va, je suis bien ! Qu’est-ce que je suis bien ici ! Pourquoi vous êtes-vous arrêtés ?
Très vite, nous nous étions déshabillés, très vite, elle avait deux bites sur le visage. Elle les suçait l’une après l’autre, jusqu’à ce qu’elles soient toutes les deux très dures. Cela devenait un peu difficile à sucer pour Carole. Elle pouvait facilement tout prendre dans sa bouche. Ensuite, Bernard avec son énorme pieu, s’était positionné entre ses jambes et avait enfoncé sa queue dans sa chatte pendant qu’elle me suçait encore.
Bernard avait commencé lentement, puis avait accéléré le rythme, lui fourrant sa bite dans son vagin encore et encore. Elle gémissait de plaisir sous l’effet de cette sensation. Une bite au fond de sa chatte et une autre dans sa bouche en même temps ! Après l’avoir bien baisée, nous avions échangé nos places en la mettant sur le ventre. Elle avait alors ma queue dans sa chatte en levrette et la queue de Bernard, toujours aussi grosse, dans sa bouche. Après quelques minutes, je lui disais que j’étais prêt à jouir, alors je lui demandais de se retourner à nouveau parce que je voulais éjaculer sur son ventre et ses seins. J’avais atteint un tel état d’excitation, que je profitais encore pour la baiser violemment un peu avant de retirer ma bite, en attendant qu’elle se retourne, je m’étais soulagé, propulsant mon foutre sur elle !
En voyant ce spectacle, Bernard avait lui aussi atteint l’orgasme et lui avait éjaculé sur le visage et dans la bouche. Avec beaucoup de complicité, nous nous étions levés tous les deux, Bernard et moi, en lui souriant. Mon épouse était couverte de sperme. Je lui jetais une serviette. J’étais très fier de mon épouse, de sa capacité à s’adapter à cette nouvelle situation avec une facilité déconcertante. Elle avait joui d’une manière que je ne lui connaissais pas. C’était très fort comme sensation. Puis nous sommes allés l’embrasser tous les deux.
- C’était formidable ! Carole. Lui déclarait Bernard encore essoufflé.
- Franchement génial, Carole.
Avec beaucoup de provocations et en prenant son air coquin tout en se caressant, elle nous répondait :
- C’est quand vous voulez ! Messieurs, je suis à votre disposition ! Mais là, maintenant, ma petite minette a besoin de repos.
- On se refait un trio quand tu veux ma petite chérie. Lui répondait Bernard.
- Tu sais, en venant te retrouver, je n’avais pas prévu cela, crois-moi !
- Tu avais prévue quoi alors ?
- Faire ta connaissance tout simplement, Bernard !
- Alors pourquoi tu as ?
- J’étais bien dans cet environnement, et je dois t’avouer que j’ai beaucoup aimé, c’était extatique.
Cela faisait environ huit heures que nous étions en compagnie de Bernard, nous étions fort occupés, Bernard était en retard, car il devait diner à Lisieux avec ses deux fils, légèrement plus jeunes que Carole, vingt-neuf et vingt-six ans, après une douche rapide, il devait nous quitter en donnant à Carole un coffret cadeau.
Bernard partait très vite, sans oublier d’embrasser mon épouse très tendrement en la remerciant de lui avoir donné tant de plaisir, et en me remerciant d’avoir accepté de la partager.
Carole ouvrait son paquet cadeau. Elle découvrait un ensemble, nuisette, serre-taille porte-jarretelles, soutien-gorge et string en dentelle et soie de couleur blanche de chez Lise Charmel.
- Tu as vu chéri, c’est magnifique, il est fou !!!
- Vraiment magnifique, chérie !
C’était le début d’une grande collection pour Carole, car Bernard appréciait la très belle lingerie et ayant « les moyens » de pouvoir les offrir, offrira à chacune de nos rencontres des sous-vêtements, des maillots de bains ou robes sexy à Carole.
Après une douche, et un certain temps de préparation pour Carole, les ébats de l’après-midi avaient mis un peu de désordre dans la coiffure de ma belle, Carole avait revêtu sa petite robe rouge très sexy et sculptante, mais surtout pas vulgaire, nous descendions au restaurant de l’hôtel.
- Bonjour Madame, bonjour Monsieur, votre Papa, Madame, nous a demandé de vous réserver une table à « La belle Epoque », avec le menu « Spécial ».
- Très bien, merci.
Nous étions surpris par la délicatesse de Bernard, de tout prévoir, et en plus, c’était maintenant mon beau-père, c’était génial.
Après un repas excellent, nous étions fatigués et nous remontions dans notre suite directement. Carole voulait essayer la tenue offerte par Bernard, elle était sublime, dans cette tenue entièrement blanche, ses beaux cheveux blonds, ses yeux, ses petites fesses qui se trémoussaient, sa poitrine bien mise en valeur.
Malgré notre fatigue, Carole très coquine s’offrait à moi, me remerciant au passage de lui avoir faite rencontrée Bernard.
Elle me demandait « une enculade Bernard », elle voulait que je lui fasse ce qu’elle avait observé quand Bernard me démontait le cul. Carole était épuisée, et après cet exercice, nous nous étions endormis comme des bébés dans notre belle suite.
Le lendemain au réveil, je trouvais une Carole un peu perturbée, elle culpabilisait, de s’être offerte de cette façon à un presque inconnu, et en plus très vieux, elle qui jugeais mal ses copines qui étaient en couple avec des hommes plus âgés de dix ans.
- Franchement Roger, t’imagines, il a pratiquement vingt ans de plus que moi !!!
- Et alors !
- Que va-t-il penser de moi ? J’étais venu pour rencontrer ton ami, Roger !!!
- Oui, je sais !
- Pas pour !!! Cet homme à quelque chose, un pouvoir, je n’en sais rien, ce n’est pas possible, comment j’ai pu ?
- Voyons Carole, pense à toi, tu as pris du plaisir ?
- Ben, Oui, c’est ça le plus grave, et devant mon mari.
- Tu lui as donné du plaisir, tu m’as fait plaisir. Donc, c’est parfait.
- Et toi, tu n’es pas jaloux ?
- Si, justement, je n’ai pas aimé quand vous vous embrassiez, mais j’ai pris beaucoup de plaisir à te voir jouir avec Bernard. Tu as beaucoup joui avec lui, c’était fort entre vous deux.
- Tu n’es pas normal, Roger !!! Crois-moi !
- Mais si justement, tu es belle, resplendissante, souriante, joyeuse, amoureuse, coquine et divine, maintenant tu es libertine !!!
- Tu dis des bêtises Roger, je suis fidèle, enfin j’étais fidèle, hormis nos deux expériences que tu souhaitais vivre avec le couple et la sortie en club, mais je ne suis pas libertine.
- Tu es toujours fidèle Carole, voyons, cela n’a rien à voir, mais tu aimes plus que toutes autres le sexe, Carole !!! Franchement, tu aimes tout ce qui plait aux hommes : la fellation, les pénétrations anales et vaginales, les positions particulières, les lieux insolites, tu aimes te sentir belle et désirée, ne me dit pas le contraire.
- Ça, c’est vrai, mais ce n’est pas pour cela que je dois me conduire comme une « pute ».
- Tu n’es pas une pute, chérie !!!
- S’envoyer en l’air, avec mec aussi âgé que son père, c’est quoi ?
- Je n’en sais rien, mais tu as quand même apprécié son raffinement, sa classe et un peu son sexe qui t’a bien fait jouir.
- Ça, c’est vrai, c’est un bon baiseur, j’ai vraiment apprécié « l’acte » enfin la relation, il est doué, il m’a… enfin, cela me gêne !!!
- Tu as pris du plaisir, et moi aussi j’ai pris beaucoup de plaisir, c’est le but.
- Mais j’ai le sentiment d’être une pute quand même, regarde un peu : l’hôtel, un palace, une suite dans un palace, les déjeuners et dîners à la carte, les sous-vêtements, enfin… t’imagines pour nous ce que cela représente !!!
- Tu te prends la tête pour rien, Carole, il a de gros moyen, il est un peu seul, divorcé, beaucoup de travail, donc pas le temps de trouver une femme et comme nous, il souhaite prendre un peu de plaisir !!!
Nous arrêtions la conversation pour aller prendre une douche, Carole se préparait, passait les sous-vêtements offerts par Bernard hier, puis enfilait une petite robe blanche sans manche, elle était divine. Nous décidions d’aller déjeuner en zappant le petit-déjeuner, car il était déjà treize heures, nous avions besoin de récupérer. En arrivant dans hall d’accueil :
- Bonjour Madame, bonjour Monsieur, votre Papa, Madame, nous a demandé de vous réserver une table au restaurant « Côté Royal », pour une escapade gourmande. Si vous voulez bien me suivre.
- Très bien, merci.
Carole, dans ce lieu magique, avait oublié ses états d’âmes, nous avions apprécié la qualité des plats servis, le plaisir de goûter à la cuisine d’un Chef inspiré, mais aussi à la décoration « esprit années folles » de l’endroit. Sur la route du retour à notre domicile, nous devions aller chercher notre fils de quatre ans chez les parents de Carole, avant une certaine heure, Carole était moins chagrinée, satisfaite même. Certes son éducation religieuse et ses parents plutôt très catholiques pratiquants, ne la prédestinait pas à une vie de coquine et encore moins de libertine.
Déjà que ses tenues lui valaient des réflexions de sa maman, et c’était certain qu’aujourd’hui avec sa petite robe blanche, les réflexions allaient encore pleuvoir.
C’était une énigme, avec une telle éducation, comment Carole pouvait à ce point aimer le sexe, aimer à ce point pratiquer des fellations que tous les hommes du monde apprécieraient, apprécier et réclamer des pénétrations virulentes qu’elles soient anales et vaginales, les positions particulières, l’exhibition et les lieux insolites ?
Les jours suivants, nous avions repris notre vie normale, Carole était encore plus coquine que d’habitude, ayant besoin de sexe matin et soir quand c’était possible !!!
Je lui parlais peu de Bernard volontairement, mais elle, elle me parlait régulièrement de lui, c’était étonnant. Même pendant nos relations, c’était surprenant.
Bernard m’avait appelé, deux fois, pour prendre des nouvelles, de Carole et de moi également, il souhaiterait nous revoir tous les deux, il me parlait du plaisir pris avec nous, mais aussi avec mon épouse qu’il trouvait extraordinaire, aussi bien humainement que sexuellement. Il affirmait que c’était une bombe sexuelle, qu’elle suscitait un désir sexuel particulier.
C’était finalement Carole, qui me demandait des nouvelles de Bernard, je l’informais qu’il souhaitait nous revoir.
- Ah bon, il souhaite nous revoir tous les deux !!!
- Oui, chérie, cela t’étonne ?
- Oui, pourquoi ?
- il t’a beaucoup apprécié. Tu lui as beaucoup plu. Il a beaucoup aimé nos moments torrides.
- Ah oui !
- Et toi, tu as envie de revoir Bernard ?
- Euh ! Tu sais, je ne sais pas si c’est bien de le revoir, j’ai peur pour nous, pour notre couple, nous ne sommes pas du même milieu social.
- Ce n’est pas très important cela, mon amour !
- Et puis, cela me gêne d’être invitée comme cela.
- Donc, nous ne nous reverrons plus ensemble, mais moi je peux seul ?
- Non, je ne t’ai pas dit que je ne voulais plus, mais j’ai l’impression d’être une prostituée, tu comprends !!!
- Oui, je comprends, mais c’est ton papa qui t’offre tout cela. Lui répondais-je en rigolant.
- Et pourtant c’est vrai qu’il est charmant et généreux et que j’aimerai bien le revoir, mais peut être dans un endroit plus simple, enfin je ne sais pas, et peut être pas un weekend car mes parents vont avoir des doutes s’ils doivent encore garder notre loulou.
Voilà, comment tout simplement j’avais découvert avec la complicité de Bernard « ce plaisir » d’offrir mon épouse à un autre homme, de la voir prendre du plaisir avec Bernard et plus tard avec d’autres.
Ce n’était pas explicable, mais j’étais devenu candauliste.
Carole avait alors réalisé tous mes fantasmes, bien au-delà de mes attentes, car j’avais fait de mon épouse fidèle et sage, la reine des salopes.
Nous nous étions « assagis » quand, malheureusement la maladie s’était réveillée, mais nous avons vécu une période très chaude de notre expérience candauliste, qui se situait entre 1991 et 1994. Période au cours de laquelle, j’avais offert de très nombreux amants à ma belle. J’étais heureux de voir ma chérie jouir sous les caresses et les assauts d’un ou plusieurs autres partenaires et que cela correspondait aussi à ses besoins.
Car mon candaulisme et ma bissexualité était une des caractéristiques de notre couple. Mais ce qui rendait notre union particulière, c’était le besoin permanent de sexe de mon épouse quand elle n’avait pas d’ennui de santé et cela, elle l’avait découvert dès son adolescence. Était-elle nymphomane ? Peut-être. Nous avons eu une vie sexuelle libre, riche et épanouie, qui a souvent suscité beaucoup de critiques malgré notre discrétion.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci ma chère et fidèle lectrice, ma très chère Olga.
Quel magnifique texte! Comme je comprends Carole et Roger!