Chapitre 11 : Mon premier plan à trois avec deux hommes.

- Par l'auteur HDS Caro16 -
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Récit libertin : Chapitre 11 : Mon premier plan à trois avec deux hommes. Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-08-2024 dans la catégorie Plus on est
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Chapitre 11 : Mon premier plan à trois avec deux hommes.
Petits secrets d’un couple ordinaire - Chapitre 11 : Plan à trois avec deux hommes.
Dans le chapitre précédent, Roger vous avait raconté sa première rencontre candauliste. Je souhaitais donner ma version de cette rencontre. J’avais fait un plan à trois avec deux hommes, dont mon mari et son amant et c’était fou. Vivre une expérience sexuelle avec mon mari et un autre partenaire, ça me tentait vraiment, C’était un fantasme qu’il me fallait réaliser. À l’origine de cette expérience, il y avait une envie et un besoin plutôt précis de mon côté : je fantasmais depuis un certain temps sur les hommes exceptionnellement membrés.
Sans revenir longuement sur ma maladie qui m’avait affectée durant trois longues années, j’éprouvais réellement le besoin de vivre. Après une telle épreuve, j’avais vraiment envie de me lâcher. Si vous avez lu les chapitres précédents, nous avions eu quelques petites expériences échangistes et nous avions fréquenté un club libertin il y a quelques années. Pour autant, je n’avais jamais vraiment osé tester le pluralisme. Une véritable expérience à trois en dehors de l’échangisme et d’une soirée club, j’en rêvais pourtant ! C’était un fantasme récurrent dans ma tête, avec lequel je m’excitais souvent lors de mes séances de masturbation en solo. J’avais réussi à faire avouer à Roger qu’il était bisexuel, je l’avais encouragé à rencontrer des hommes. Niveau sexe, nous n’avions pas vraiment de complexe ou de blocage l’un et l’autre : nous aimions explorer et surtout écouter nos désirs. Parfois nous ne faisions l’amour que trois ou quatre fois par semaine, et puis soudainement il arrivait que nous nous transformions en petits lapins ! Pour nous, le plus important c’était d’être loyal, envers soi-même et envers l’autre.
Lorsque je me sentais enfin prête, en cela bien aidée par Roger qui me fournissait les détails de l’anatomie de Bernard et de ses pratiques, je n’hésitais pas à concrétiser en acceptant l’organisation d’un premier rendez-vous. Je n’avais pas la difficulté de choisir soigneusement le partenaire en faisant connaissance d’abord par échanges de mails ou discussions. Je faisais confiance à Roger. Je n’avais pas prévu de scenario de la rencontre, mais c’était important pourtant pour moi qu’il corresponde à ce que désiraient Roger et Bernard. Je ne souhaitais surtout pas minuter à la moindre seconde. Chacun devait venir avec son envie et devait visualiser comment cela allait se passer. J’imaginais bien que cela ne se passerait jamais comme dans mes rêves ! Et pourtant je me souviendrais encore très longtemps de cet après-midi, tant elle avait été une source de plaisir comme j’en avais rarement connu.
Nous avions également beaucoup parlé avec Roger de mes interrogations. J’avais en effet un peu peur que ce ne soit pas à la hauteur de mes rêves érotiques, que je ne sache pas trop quoi faire au moment venu, que l’ambiance soit un peu trop hésitante, pas du tout excitante au final. Et surtout, je ne pensais pas que dans la réalité cela pouvait vraiment se passer comme ça, ce que je voulais était très précis : je voulais deux hommes, rien que pour moi, dédiés exclusivement à mon plaisir, sans que j’ai à bouger le petit doigt !
Et là précisément, Roger avait rencontré Bernard, qui était beau, bien qu’un peu vieux, il avait dix-huit ans de plus que moi, mais c’était mon type d’homme, j’avais toujours aimé les hommes matures.
Malgré tout quand il fallait que je me prépare pour rejoindre Bernard, j’étais légèrement stressée et j’hésitais au moment de choisir ma tenue. Roger m’avait informé que Bernard aimait beaucoup la belle lingerie, j’optais pour mon body-bustier-string réservé pour nos soirées coquines ; une petite robe noire sans bretelle vraiment sexy, avec une petite veste courte corail et des escarpins noirs.
J’espérais bien faire craquer Bernard avec cette tenue. Mais déjà j’étais très excitée à l’idée de le rencontrer quand nous arrivions dans ce palace. J’étais vraiment ravie de pouvoir venir dans ce type d’établissement et je m’estimais chanceuse d’être invitée dans un tel endroit.
Nous retrouvions Bernard au bar, celui-ci m’impressionnait, il était élégant, raffiné. C’était un très beau quinquagénaire. Lui-même me semblait très troublé quand je me débarrassais de ma petite veste corail.
J’étais alors assise au bar, en face de Bernard, je me savais très sexy, je jouais volontairement la « Sharon Stone », un an avant la date de la sortie du film Basic Instinct ! La décoration de l’endroit était soignée, l’ambiance chaleureuse. Nous échangions amicalement avec Bernard, en dégustant plusieurs coupes de champagne, Bernard avait de la conversation. J’étais ravie et très à l’aise avec lui, j’oubliais qu’il avait la cinquantaine. Bref, tout était simple avec lui, alors même qu’il n’y avait pas encore de drague entre nous. Nous avions discuté pendant un long moment, nous avions plein de choses en commun tous les trois. La conversation était facile et, entre la complicité qui s’installait très vite entre nous et les coupes de champagne qui défilaient, nous commencions à parler sexe. Bernard me demandait quel était mon fantasme absolu… La question tombait à pic !
Je ne mettais pas longtemps à me décider. Ma réponse était immédiate et surprenante pour Roger et Bernard :
- Deux hommes, rien que pour moi !
Bernard me regardait étonné avant de me répondre, mais la réponse était parfaite également.
- Pourquoi ne pas réaliser ce fantasme, là maintenant ! Enfin aujourd’hui !
Deux hommes rien que pour moi en présence de mon petit mari ? Evidemment que j’allais dire oui ! J’étais déjà trempée de désir. Je n’avais qu’une envie, alors que Bernard me caressait délicatement ma cuisse, qu’il vienne m’embrasser. Alors que nous continuions de discuter et d’apprécier cet excellent champagne, Bernard de rapprochait de moi et prenait les choses en main directement sous le regard de Roger et du Barman. Ses lèvres étaient douces sur ma peau, sur ma bouche, dans ma nuque. Ses doigts étaient déjà dans mon décolleté, à effleurer la naissance de mes seins. C’était tellement bon, déjà ! Je fermais les yeux et me laissais faire totalement.
J’aurais aimé qu’il puisse continuer, mais nous devions passer au déjeuner, notre table nous attendait, j’aurais tout autant apprécié monter maintenant dans notre suite.
Le déjeuner atteignait un niveau de perfection incroyable, très fin et raffiné avec encore beaucoup de champagne. Roger me trouvait radieuse, et c’est vrai que j’étais bien avec mes deux hommes, nous avions beaucoup plaisanté avec Bernard, j’oubliais son âge et j’étais très à l’aise avec lui.
J’avais chaud, très chaud, le champagne me montait à la tête, j’étais un peu pompette, Roger ne cessait de me dire que j’étais coquine, Bernard me fixait émerveillé, tout cela m’amusait. Nous montions enfin dans notre suite, j’étais émerveillée par le raffinement de la décoration de celle-ci, le petit salon, la grande terrasse avec la vue mer. Je remerciais chaleureusement Bernard en l’embrassant, il en profitait un peu pour bien me caresser et m’enlacer dans ses bras musclés. Mais je ne me sentais pas très bien et je souhaitais me reposer un peu sur la terrasse afin de laisser jouer mes deux hommes ensemble. Bernard et Roger insistaient pour que je reste avec eux, le garçon d’étage venait nous servir le champagne commandé par Bernard. Celui-ci me faisait remarquer que derrière ses lunettes le jeune homme avait apprécié le spectacle que je lui avais offert. J’étais assise sur le lit, les jambes croisées, laissant vraiment apparaitre le haut de mes cuisses, mais cela était bien involontaire.
Bernard reprenait les choses en mains, ses lèvres étaient douces sur ma peau, Roger nous rejoignait très vite. Je fermais les yeux, et me laissais faire totalement. Ils étaient là juste pour mon plaisir, comme dans mon fantasme !
Pendant plusieurs minutes, ils m’embrassaient de partout. Je ne savais plus auquel des deux appartenait cette bouche qui me faisait tant de bien. Bernard commençait à me déshabiller, pendant que Roger, ouvrait juste mon body-string sous ma robe et m’offrait un cuni de sa langue experte. J’étais déjà trempée de désir. Les caresses s’enchainaient, j’avais toujours les yeux fermés.
J’étais bien, tout à mon plaisir avant que Bernard me fasse une demande surprenante. Il souhaitait me voir faire une fellation à mon chéri. Celui-ci lui avait tellement vanté mes talents qu’il était impatient de me voir à l’œuvre.
Très rapidement je me mettais à genoux et commençais à le lécher et à le sucer, j’étais tellement excitée, je regardais en même temps Bernard qui semblait être sur une autre planète. Je me déchainais sur sa queue, en ne pensant qu’à une chose découvrir enfin l’énorme pieu de Bernard.
Je leurs balançais quelques œillades cochonnes et romantiques à la fois. Roger était près de l’éjaculation, Bernard intervenait très excité :
- Je pense que tu vas déguster Carole !
- Oui ! C’était ma seule réponse la bouche pleine.
Ma réponse à peine terminée, Roger éjaculait au fond de ma gorge en gémissant. J’avalais ce que je pouvais, je me relevais fière de ma prestation avant que mon petit mari ne propose à Bernard de tester mes compétences. Je n’attendais que cela !
Sans répondre Bernard commençait déjà à m’embrasser dans le cou, je me laissais faire en appréciant, puis Bernard était arrivé à ma bouche, nos langues s’étaient vite confondues. Je souhaitais encore une coupe de champagne pour me rincer la bouche et enlever le gout du sperme de mon chéri. J’adore le sperme à la mise en bouche, c’est salé, c’est mignon, amer, mais c’est l’après qui est désagréable.
Roger nous observait, il regardait Bernard me remonter ma petite robe pour me caresser les fesses sous mon body-string, je me laissais faire, j’appréciais en me trémoussant pendant que mon mari dézippait ma petite robe qu’il faisait glisser à mes pieds. Bernard me caressait délicatement. J’ouvrais la fermeture de son pantalon et lui caressait le sexe de suite, impatiente, en regardant Roger comme pour lui demander une autorisation. J’étais étonnée et surprise par la grosseur du calibre que j’avais en main. Emerveillée par la dimension réelle de son sexe, je le caressais du bout des doigts délicatement et naturellement. Bernard se déshabillait, il était maintenant entièrement nu devant moi. Il me proposait de le rejoindre sur le lit ainsi que Roger. Nous nous étions allongés avec Bernard, je me laissais glisser à genoux au bord du lit, je le caressais toujours, je jetais un petit regard en direction de mon mari avant d’avancer mon visage pour enfoncer la grosse queue de Bernard au fond de ma gorge et je commençais mon récital de fellatrice. Je n’éprouvais pas la moindre gêne ou même la moindre appréhension, j’étais à l’aise. Je prenais un immense plaisir à sucer une nouvelle queue, Bernard était exceptionnellement bien membré comme j’en rêvais. Je m’attardais sur son gland et son frein, très rapidement sa respiration s’accélérait et sa jambe frétillait, c’était la preuve que je lui faisais de l’effet, c’était bon signe. J’avalais goulûment le pénis d’un homme à peine plus jeune que mon père et cela m’excitait. J’avalais son sexe jusqu’à dépasser le niveau de la glotte. J’étais et je suis toujours une grande amatrice de gorge profonde, j’ai toujours aimé la pratiquer et c’est pour cela que j’appréciais donner une fellation. Je le pompais en prenant ma respiration régulièrement. J’étais capable de contrôler l’éjaculation de l’homme que je suçais et d’y arriver au moment où je le souhaitais. Pour ajouter un côté intense et passionné j’émettais des petits cris de jouissance. Au bout d’un quart d’heure, avant d’avoir la bouche endolorie, je ne souhaitais pas m’endormir sur le gros « popol » de Bernard. Je le pompais littéralement, je me déchainais sur sa grosse queue, je sentais son gland stimulé au fond de ma gorge, Bernard ne pouvait éviter une éjaculation au fond de celle-ci. Bernard explosait, il éjaculait en prenant un immense plaisir avec des cris caractéristiques d’un homme qui prenait un énorme pied.
- Oooh ! La salope ! Que c’est bon ! Putain !
Je ne pouvais rejeter ce liquide crémeux du fond de ma gorge, j’avalais avec délice ce précieux nectar et je lui nettoyais minutieusement son gland avec ma langue.
J’essayais de reprendre un peu l’air et de me rincer la bouche avec une coupe de champagne, après mes deux fellations successives et mes deux éjaculations buccales.
Très rapidement, les caresses reprenaient, pendant plusieurs minutes, ils m’embrassaient de partout.
C’était très agréable, deux bouches, quatre mains, vingt doigts. Je ne savais plus qui me faisait quoi !
Mais ils me faisaient du bien. Roger terminait mon déshabillage, pendant que Bernard m’offrait un cuni de sa langue experte. J’étais déjà trempée de désir. Les caresses s’enchainaient, j’avais toujours les yeux fermés. Puis Bernard m’allongeait délicatement sur le dos et, les jambes relevées, me pénétrait avec douceur. Puis accélérait ses va-et-vient. Quel plaisir d’être prise ainsi devant mon mari. Pendant ce temps, mon petit « cocu » me caressait les seins avec sa langue, c’était tellement bon ! Je me déplaçais, pour me mettre en levrette. Bernard me pénétrait alors, plus vigoureusement. C’était parfait ! Pendant ce temps, Roger m’offrait son sexe, que je prenais en bouche encore avec plaisir. Il me massait les seins en même temps, me pinçait légèrement les tétons par moment, c’était extatique, vraiment. Je finissais par jouir, je ne pouvais plus me retenir. Au même moment, Roger venait en moi, dans un mouvement profond et puissant, et Bernard me jouissait une deuxième fois dans la bouche. J’avais eu ma dose de vitamine C et B12 à raison d’une moyenne de sperme éjectée de deux à cinq millilitres. C’était un moment tellement excitant, tellement intense ! J’en ai encore des frissons en écrivant ce texte.
Après quelques minutes de repos, nous avions remis ça. Cette fois, c’était plus intense, plus viril et bestial, mes deux hommes étaient aux petits soins pour moi, pour mon plus grand plaisir et surtout celui de Bernard l’amant de mon mari.
Une fois ce rendez-vous passé, nous avions pris le temps d’échanger sur ce que nous avions ressenti tous les deux. Ce que j’avais aimé ou pas ? Est-ce que je souhaitais renouveler l’expérience ou arrêter là ? Ce temps d’échange nous avait permis de renforcer notre complicité. Le candaulisme devait rester un jeu excitant pour notre couple. J’avais été très honnête pour lui demander de poursuivre car j’avais particulièrement aimé ce qui s’était produit. J’étais très à l’aise avec Bernard, j’avais vraiment apprécié cette relation et mon corps réclamait bien plus.
Nous avions souvent revu Bernard, de multiples fois. Nous sommes même devenus amis tous les trois.
Mais trente-trois ans plus tard, nous continuons d’avoir de petites relations lui et moi simplement.
Bernard a maintenant quatre-vingt-quatre ans, j’en ai soixante-six, j’adore toujours sa compagnie, son humour, et ses conversations toujours constructives, il aime beaucoup raconter sa vie sexuelle épanouie et libérée. Malheureusement, il y quatre ans, nous avons déménagé et notre changement de région nous a éloignés, et nous nous rencontrons en fonction des années deux à trois fois par an simplement maintenant. Les rapports me sont toujours aussi agréables. Je crois qu’il y met plus de temps, plus de tendresses et de paresses, ce qui n’exclue pas la montée au rideau. Il y a plus de saveur, plus d’intensité… Enfin je crois ! Mais ceci mis à part le plaisir est tout aussi intense et beaucoup plus durable, ce qui n’est pas négligeable du tout.
Petite précision, Bernard est maintenant marié, et je voulais témoigner qu’il dénotait totalement de ce que l’on pourrait imaginer de la vie sexuelle d’un homme de cet âge, d’un homme de quatre-vingt-quatre ans. Il aime ainsi raconter très calmement avoir à la fois une femme et une « amie ».
Sa femme est adorable et j’ai la chance d’être son amie.
Ainsi pour Bernard :
« Une mère peut aimer plusieurs enfants en même temps, alors pourquoi diable un homme ou une femme ne pourrait pas aimer plusieurs hommes, plusieurs femmes en même temps ?
Pour lui c’est une évidence mais nous sommes dans une civilisation judéo-chrétienne qui fait que c’est un pour la vie.
La liberté qu’il revendique pour lui, il est évident qu’il l’accorde à l’autre. Sa femme a également eu une relation très forte avec quelqu’un qui était son ami et qu’il aimait beaucoup. Et sa disparition les a touché tous les deux, de manière différente bien évidemment.
Bernard, comme Roger, mon mari et moi nous étions faits pour les relations libres et pour cela ils nous faillaient être très honnête dans notre démarche. Mais je pense qu’il est possible en revanche de vouloir être exclusif pour d’autres et ce n’est pas un problème. C’est une possibilité parmi tant d’autres.

Les avis des lecteurs

Bonjour chère lectrice,
Désolée pour ma réponse tardive, nous publions également sur un autre site avec le même pseudo.

Histoire Libertine
Finalement vous continuez à écrire ici aussi.

Vous etes Carole de plaisir sex bi ??

Histoire Erotique
Et oui Olga, quel plaisir ! J'adore !

@ Chère Caro, je confirme: "Quel plaisir d’être prise ainsi devant son mari!



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