Chapitre 12 : Libertins candaulistes ? ou Triolistes ?

- Par l'auteur HDS Caro16 -
Récit érotique écrit par Caro16 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Chapitre 12 : Libertins candaulistes ? ou Triolistes ? Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-09-2024 dans la catégorie Plus on est
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Chapitre 12 : Libertins candaulistes ? ou Triolistes ?
Petits secrets d’un couple ordinaire - Chapitre 12 : Libertins candaulistes ou Triolistes.
Après cette première rencontre avec Bernard, Carole était véritablement troublée, elle ne voulait pas s’avouer son besoin permanent de sexe, mais au fond d’elle-même, elle en avait très envie. Elle avait été très honnête pour me demander de poursuivre car elle avait particulièrement aimé baisé avec Bernard devant moi. Mais ce n’était pas simple pour elle d’assumer une sexualité volage, une féminité revendiquée et affirmée alors qu’elle y était encouragée en ce sens par moi son mari. Elle ne cessait de me répéter qu’elle n’était pas une femme célibataire qui pouvait enchaîner les conquêtes et elle ne voulait pas être une femme adultère trompant son mari.
- Tu es une femme mariée, ma chérie, dont le mari prend un vrai plaisir à te savoir avec d’autres hommes !
Je la rassurais comme je pouvais et c’était pour cette raison, que je ne l’avais pas brusqué, jouant l’indifférence en attendant que cela vienne d’elle. Et c’était donc à sa demande que nous allions retrouver Bernard. Ne voulant pas que ses parents (qui gardaient notre fils) se doutent de quelque chose, nous le confions cette fois-ci à mes parents.
Carole choisissait de rencontrer Bernard plus près de chez nous, pour nous éviter les longs trajets, et simplement un après-midi et dans un endroit beaucoup plus simple.
C’était pour ne pas passer pour une « pute » entretenue. Nous convenions d’une date, c’était un samedi après-midi, et Bernard réservait une chambre simple dans un hôtel « Campanile » dans une zone commerciale de Barentin, près de Rouen, pratique pour nous qui habitions à trente minutes de l’hôtel.
C’était tout simplement moins glamour que le Grand Hôtel de Cabourg, et Carole regrettera beaucoup « son luxe » et avouera plus tard que c’était une erreur.
Nous nous retrouvions sur le parking de l’hôtel, Carole portait partiellement les sous-vêtements de Bernard avec une petite robe à volants manches courtes à fleurs plutôt sexy.
Pour les retrouvailles sur le parking, il nous manquait vraiment le prestige du bar du « Grand Hôtel ». Et nous prenions possession de la chambre simple. Celle-ci, manifestement ne semblait pas faire rêver Carole qui regrettait déjà ses exigences.
Nous discutions sur le lit, personne n’était à l’aise, ou plutôt nous étions tous coincés, Carole avait la tête des mauvais jours, je voyais que ça n’allait pas. Je connaissais bien ma petite chérie.
- Ça n’a pas l’air d’aller Carole. Lui demandait Bernard.
- Eh bien, je me demande ce que je fais là, Bernard dans cette petite chambre avec deux hommes !!!
- Ne t’inquiètes pas Carole, je ne t’oblige à rien, c’est l’endroit qui ne te convient pas ?
- Oui !
- Roger m’a demandé de choisir un hôtel simple car tu ne voulais pas passer pour…
- Eh bien justement, dans cette chambre j’ai vraiment l’impression d’en être une, tu vois !!!
- Calme-toi, Carole, si tu le souhaites, tu peux rester spectatrice.
Pendant que je répondais à Carole, Bernard sortait une petite « glacière », il était arrivé avant nous à la chambre et avait déposé des surprises avant de nous attendre sur le parking. Il recouvrait la petite tablette d’une petite nappe blanche, déposait des petites coupelles, disposait des macarons, des fraises et des framboises, sortait trois coupes et ouvrait une première bouteille de champagne.
- Tu vois Carole, j’ai bien noté que tu aimais le champagne, c’est le même qu’au «Grand Hôtel», et puis tu m’as dit que tu aimais les framboises et les fraises !!!
- Oh merci Bernard, tu es un amour !
- Les macarons, c’est pour Roger, je sais ce que tu aimes Carole !!!
Carole retrouvait le sourire, et semblait oublier la tristesse d’une chambre d’un hôtel Campanile quand on avait d’autres projets que de dormir. Nous prenions une première coupe.
- A nos retrouvailles, et… Carpe diem !!! Disait Bernard.
- Oui, je suis bête, profitons de l’instant présent, je suis en train de gâcher votre fête !!! Lui répondait Carole.
- Ça peut être la tienne aussi, « ma chérie »… S’aventurait à lui répondre Bernard.
- Ah Oui… Répondait Carole en lui souriant gentiment comme pour accepter la proposition.
- Bernard, nous devons te présenter ton dernier « cadeau ». Tu peux passer entièrement la tenue offerte par Bernard ?
- Maintenant ?
- Ah Oui, je suis vraiment impatient, je veux savoir si j’ai bon gout !!!
Carole passait dans la salle de bains, la porte n’était pas complètement fermée, elle portait déjà le soutien-gorge et le string en dentelle et soie de couleur blanche de chez Lise Charmel. Elle retirait sa petite robe, et prenait le serre-taille porte-jarretelles et enfilait la petite nuisette de la même collection.
Elle se refaisait une beauté, rouge aux lèvres, coiffure. Nous nous regardions Bernard et moi silencieusement.
Bernard semblait apprécier le spectacle, d’un moment volé, car Carole ne se doutait pas qu’elle était observée, elle repositionnait la ficelle de son string, s’admirait à nouveau et revenait vers nous.
Carole était sublime, il n’y avait pas d’autre mot, je lui demandais de se tourner, elle s’exécutait délicatement, sensuellement.
La petite nuisette était bien transparente, nous invitions Carole à nous rejoindre sur le lit, mais elle souhaitait une deuxième coupe et volait au passage quelques framboises.
Carole était maintenant allongée, je caressais ma femme adorée, je dégrafais son soutien-gorge sous la nuisette, j’étais dans un état d’excitation maximal.
Bernard lui prenait alors une main, la portait à ses lèvres pour l'embrasser, puis la gardait serrée entre les siennes.
Bernard me souriait, Carole semblait sereine complètement abandonnée, avec le regard interrogateur. Elle me souriait aussi. Ils avaient l'air complices. Elle semblait impatiente que la « partie » démarre.
Bernard prenait son autre main et l'embrassait dans le cou, puis sur la bouche tandis que sa main libre allait caresser un de ses seins.
Elle répondait à son baiser, malgré mes recommandations d’éviter de le faire. Mais mon épouse adorait vraiment embrasser, jouer avec les langues.
D’une main je lui caressais l'autre sein. Ses tétons durcissaient et son petit string devait commencer à être humide.
Carole se dégageait, nous nous regardions tous les trois et trois grands sourires finissaient de décoincer la situation. Bernard et moi, nous lui donnions alors un gros bisou sur les joues. Puis nous lui retirions sa nuisette.
Son serre-taille porte-jarretelles ne tardait pas à rejoindre la nuisette et elle découvrait le plaisir d'avoir les deux tétons sucés en même temps.
Je connaissais le comportement intime et les réactions de son corps. Au bout d'un moment, Carole demandait une nouvelle coupe de champagne.
Elle était toute excitée torse nue devant ses deux hommes, je passais ma main sur son petit string qui était de plus en plus humide.
Carole recevait de notre part des bisous, des bisous partout. Seins, ventre, cuisses. Je sentais qu’elle planait sans réagir. Puis une main de Bernard s'insérait dans son string et commençait à caresser sa petite toison tandis que je commençais à lui caresser les lèvres par-dessus le tissu.
- Mais elle est complètement trempée la coquine !!! S’exclamait Bernard.
C'était la fin de son petit string qui allait rejoindre la nuisette et nous, les deux hommes nous nous mettions à l'aise.
Nous étions allongés nus tous les trois, puis Carole avec une impulsion rapide, marquant son impatience, se relevait et prenait le sexe de Bernard en bouche et commençait à le sucer.
Je lui écartais ses cuisses et venait coller ma bouche à sa fente. Quelle merveilleuse sensation, je voyais en plus les mains de Bernard qui excitaient ses seins.
Je jouais avec deux doigts dans son vagin et ma langue jouait avec son clitoris. Je sentais son plaisir monter, elle gémissait, gémissait encore et dans un cri très strident bien particulier à mon épouse elle ressentait son premier orgasme de l’après-midi.
Il lui fallait quelques minutes de récupération durant lesquelles nos mains (Bernard et moi) se promenaient sur son corps en évitant les endroits sensibles.
Carole ouvrait les yeux, nous faisait un sourire et prenait nos sexes, un dans chaque main. Nos sexes étaient bien raides, Elle nous branlait doucement.
Quelle étrange sensation de voir sa femme avec le sexe d’un autre homme dans la main. Bernard la faisait mettre sur le côté, lui tournant le dos. Il se préparait, soulevait une de ses cuisses et je voyais son sexe à l'entrée de son vagin.
Elle était trempée, il la pénétrait facilement et commençait de lents va et viens. Je me plaçais face à elle, tête-bêche. Elle prenait mon sexe en bouche pendant que je regardais le sexe de mon ami Bernard aller et venir dans son intimité.
Je savourais ce moment, Bernard accélérait, je devinais ses contractions, il jouissait fort accompagné d’un râle aussi puissant.
Carole se libérait rapidement. Moi, sur le dos, je la regardais. Elle venait très vite s'empaler sur moi, avec un besoin profond d’être de nouveau remplie.
Elle commençait ses mouvements frénétiques sur mon sexe qui la remplissait totalement. Je sentais venir « son »plaisir, j’effleurais son clitoris et elle jouissait en criant.
Je ne pouvais plus résister, elle continuait ses mouvements et je jouissais en elle en grognant. Elle me gardait en elle pendant que Bernard venait se placer face à elle pour la serrer dans ses bras.
Nous restions ainsi tous les trois un long moment à récupérer. Puis nous séparant, nous décidions d'aller profiter d'une bonne douche.
Carole n’avait jamais été aussi bien lavée. Deux gants, très doux, parcouraient avec délicatesse la moindre parcelle de son corps. Elle se laissait faire longuement avant de remarquer que nos deux membres reprenaient de la vigueur. Elle nous laissait alors terminer notre propre toilette. Elle se séchait et allait s'allonger sur le lit en reprenant au passage une coupe de champagne.
Nous ne tardions pas à la rejoindre, et chacun d'un côté nous recommencions à la caresser. Connaissant la sensibilité de ses tétons je m’y attardais plus particulièrement. Nous lui sucions les seins tour à tour. Ma main écartait ses cuisses, un doigt s'introduisait dans son vagin. Une autre main (Bernard) se posait sur sa toison et un doigt commençait à tournoyer sur son clitoris. Nous accélérions les mouvements ensemble.
Elle gémissait de plus en plus. Nous l'achevions.
- Oh ouiiiiiiiii !!!
- Tu aimes ça hein… Profites bien… ma petite salope préférée !!! Luis disait Bernard.
Je la faisais mettre à genoux, je me plaçais derrière elle et lentement introduisais ma queue dans son vagin à nouveau détrempé.
Elle faisait signe à Bernard qui venait présenter aussi sa « grosse » queue. Elle la caressait puis commençait à la sucer. Je m'activais de plus en plus puissamment. Je remplissais bien ma salope offerte. Elle contractait son vagin tout en continuant à masturber Bernard, de plus en plus vite. La tension montait encore. Bernard et moi commencions à grogner.
- Oh ouiiiiiiii !!! Les garçons, je sens une grande chaleur m'envahir.
- Ça vient pour moi !!!
- Ça y est !!!
Carole était déchainée, elle criait, nous étions trop occupés pour répondre. J’accélérais encore. Je me contractais pendant que je me vidais en elle. Bernard ne pouvait plus se retenir, elle le prenait en bouche juste à temps pour recevoir son jus. Elle continuait à le branler pour le vider complètement. Puis, nous nous écroulions tous les trois, le souffle court.
Petite douche rapide tous les trois et nous retrouvions notre minuscule chambre du Campanile, nous avions un besoin urgent de nous rafraichir ! Champagne, Carole se sifflait encore une coupe de champagne. Nous plaisantions. Mon épouse se moquait de nous avec nos petits sexes dégonflés. Elle, par contre, avait les lèvres toutes gonflées qui ressortaient plus que d'habitude. Je le remarquais en me moquant d’elle à mon tour. Nous restions ainsi une demi-heure à discuter joyeusement, de l’avenir, du futur anniversaire de Carole, le 11 juin, c’était dans dix jours. Bernard nous proposait de le fêter ensemble.
Mais le dimanche précédent, Carole avait invité ses parents, sa sœur et son frère et leurs enfants… Ce n’était pas possible de voir Bernard.
- Et le 10 et 11 juin, c’est possible pour vous ? Demandait Bernard.
- Non, nous travaillons Bernard !!! Répondait Carole.
- Vraiment pas possible ? Je vous propose deux jours en Bretagne !!!
- Ah oui !!! Répondait Carole.
- Je vous propose d’aller à Perros-Guirec sur la côte de Granit rose, un hôtel cinq étoiles avec une vue panoramique sur la mer, tu vas adorer Carole.
- Effectivement, Bernard, c’est certainement très bien, mais nous travaillons et puis notre fils ? C’était ma réponse.
- Je dois pouvoir m’arranger en ce qui me concerne, Roger et puis pour notre fils je peux demander à mes parents de le récupérer le lundi soir chez la nounou !!!
Aussi étonnant que cela puisse paraitre, c’était maintenant Carole qui était motivée pour retrouver Bernard…
Il était déjà très tard, l’après-midi était bien avancée, nous ne pouvions pas être en retard chez mes parents pour récupérer notre fils.
C'est Bernard qui donnait le premier signe de reprise. Son sexe commençait à se remplir tandis qu'il ne quittait pas l’entrejambe de mon épouse des yeux. Je m'en rendais compte et cela me donnait des idées car moi aussi je commençais à retrouver une petite raideur.
- Eh bien, Messieurs, que vous arrive-t-il ? Nous demandait coquine, Carole.
Sans un mot, nous nous levions, nous saisissions ensemble Carole, puis nous la jetions sur le lit et aussitôt Bernard lui écartait les jambes et venait coller sa bouche à son sexe.
Il était déchaîné, écartait ses lèvres pour introduire sa langue le plus loin possible. Je sentais l'excitation de mon épouse remonter, elle gémissait déjà. Pendant ce temps, je prenais une de ses mains pour la poser sur mon sexe. Elle me masturbait avec vigueur, elle était aussi déchaînée. Soudain Bernard la plaçait au bord du lit, puis il se courbait, se mettait à genoux en plaçant les jambes de ma belle sur ses épaules et la pénétrait avec violence.
- Cela me semble encore plus gros que d'habitude Bernard !!! Lui lançait Carole, qui ruisselait de partout.
- Ah ! Tu trouves ?
- Elle est bonne !
- Qu’est-ce qui est bonne ?
- Ta bite, j’adore !
Pendant ce temps, elle continuait à me branler, je m’activais sur ses seins avec les doigts et la bouche. Nous accélérions la cadence simultanément tous les deux.
Elle aussi. Elle ne savait plus où elle en était. Elle criait plusieurs fois, de plus en plus fort. Nos sexes semblaient de plus en plus gros. Soudain Bernard se retirait, se découvrait et éjaculait sur son ventre et sa toison.
Je le remplaçais immédiatement. Mon sexe était très gros, excité par cette situation et j’étais déchaîné, par la vision de mon épouse qui absorbait nos sexes comme une salope.
Elle aussi était déchainée, je ne l’avais encore jamais vu comme cela, cela me faisait même un peu peur, elle criait encore et encore, elle voulait encore continuer. Mais je me retirais pour mêler mon sperme à celui de Bernard. Elle restait un long moment inerte, anéantie, à demi consciente.
Nous passions encore une fois par la douche en regrettant amèrement le luxe des hôtels cinq étoiles précédents.
Il était dix-neuf heures. Nous étions vraiment en retard, mes parents n’allaient pas nous féliciter et leur belle-fille était bien ébouriffée et en plus elle portait une robe beaucoup trop sexy pour ma maman…
Nous devions rentrer très vite, Bernard offrait un paquet cadeau à sa « petite chérie », mon épouse, pour notre prochaine rencontre. Nous nous embrassions, Carole échangeait encore un baiser appuyé, beaucoup trop à mon gout avec Bernard.
Sur la route du retour, Carole me confiait qu’elle sentait ses parties intimes toutes irritées et gonflées. Mais qu’elle avait vraiment apprécié d’être prise comme cela !
- Tu penses que c’est normal, Roger ?
- Quoi, mon amour ?
- Que tu prennes du plaisir à me voir baiser avec Bernard !!!
- Je n’en sais rien, je ne me l’explique pas, et toi, ne me dis pas que tu n’as pas pris de plaisir !
- Ben oui, justement, j’adore être prise comme cela, bestialement par vous deux, je ne comprends pas et Bernard me fait me lâcher, il est doué pour cela, et puis je l’aime bien !!!
J’avais recherché un homme pour une relation « bisexuelle », je l’avais trouvé, un homme mûr bien trop âgé certainement, bien conservé ayant beaucoup de savoir-vivre, cultivé, bon baiseur, divorcé, disponible et riche. Il nous permettait de vivre des expériences dans des endroits merveilleux, mais disons le directement, comme j’étais plutôt passif, et que j’appréciai les bonnes « enculades », comment expliquer que le plaisir de voir mon épouse prise par ce cinquantenaire et plus tard par d’autres hommes avait pu supplanter mon besoin initial.
C’était une bonne question !!!
Sans connaître le terme, à cette période, j’étais devenu candauliste, c’est une pratique sexuelle dans laquelle l’homme ressent une forte excitation en exposant sa compagne, ou une image de celle-ci, à d’autres hommes. Par extension, on parle aussi de candaulisme lorsque des rapports sexuels ont lieu entre une femme et un ou plusieurs hommes, devant le regard consentant du mari « exclusif » de celle-ci. Le mari est alors voyeur. Mais, et ce n’est pas mon cas, le mari peut aussi ne pas assister à la scène du moment qu’il est dans la confidence sinon cela serait considéré comme de l’adultère et on ne serait plus du tout dans le même état d’esprit.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
1 reponse oui non peut etre ?

Histoire Libertine
Etes vous Caro de plaisir sex bi ?

Vous continuez et votre mari ses plaisirs et son coté bi ?

Merci à vous Olga pour votre commentaire. La suite est en cours d'écriture, cela comme vous le savez prend beaucoup de temps, nous voulons vraiment être précis. A travers nos publications nous souhaitons également laisser une "trace" d'une partie de notre vie. Et c'est important pour nous.

Le plaisir, le bonheur du candaulisme. Oui Carole, raconte nous la suite!

Histoire Libertine
Tant que vous ne tombez pas amoureuse de ce cher Bernard tout va bien.
Et le mari ses penchants bi il n’y a plus droit ?
Vous n’avez pas répondu, vous êtes l’auteur plaisir sex bi ou pas du tout ?



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