Chapitre 8 : Première en club libertin et découverte du candaulisme.

- Par l'auteur HDS Caro16 -
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Récit libertin : Chapitre 8 : Première en club libertin et découverte du candaulisme. Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2024 dans la catégorie Plus on est
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Chapitre 8 : Première en club libertin et découverte du candaulisme.
Petits secrets d’un couple ordinaire - Chapitre 8 : Première en club libertin et découverte du candaulisme.
Lors de notre première expérience échangiste, nous avions pris Roger et moi du plaisir et nous avions trouvé très excitant ce moment de partage. Fabienne et Jean Paul avaient su nous guider délicatement sans nous brusquer. Pour eux, être échangiste, c’était un mode de vie particulièrement jouissif. Personnellement j’avais singulièrement appréciée, sauf lorsque je voyais que Roger ne quittait pas la belle brune des yeux. J’étais à la fois excitée et jalouse, mais il avait eu mon aval et j’avais le sien. Rapidement Jean Paul ne tardait pas à effleurer ma cuisse, en me demandant si tout allait bien. Je lui répondais que oui en le caressant à mon tour.
Bien vite, les caresses étaient accompagnées de baisers, doux, et on se déshabillait lentement, mutuellement, dévoilant nos dessous sexy. Nous étions tous les quatre, dénudés, et j’étais prête à partager cette première expérience échangiste en bonne compagnie. Le plus étonnant, alors que nous nous caressions, c’est que tout cela me semblait très naturel. (Voir chapitre 7).
Au retour, dans la voiture, l’ambiance était assez étrange, je pense que chacun était un peu perdu dans ses pensées mais une fois chez nous, nous laissions place à la discussion. J’avais beaucoup aimé l’expérience et Roger m’avouait que lui aussi. Cependant, il ne voulait pas que ça devienne quelque chose de régulier ! Il préfèrerait vivre ce genre d’aventure de manière spontanée, une fois de temps en temps. J’étais très surprise, je rigolais et lui disais que je pensais la même chose. J’avais su profiter du moment présent. Sans trop me poser de question lors de la soirée. Je m’étais amusée, je m’étais bien lâchée et j’en avais profité pour assouvir mes envies !
Pour moi, une soirée échangiste, c’était du sexe, du plaisir, mais également un moment qui devait être agréable du début à la fin.
Nous avions donc repris le cours normal de notre vie, Roger ne semblait pas avoir de réel besoin de retenter des aventures. Quelques temps plus tard Fabienne et Jean Paul nous avait contactés pour nous inviter après l’ouverture d’un club libertin situé entre Rouen et le Havre. C’était nouveau, à la fin des années 80. Je laisse la plume à Roger afin qu’il décrive à sa manière notre première en club libertin et sa découverte du candaulisme. Cette pratique remettra en question et redéfinira nos rôles traditionnels dans notre sexualité. Grace à cela je pourrais éprouver une autonomie et un pouvoir renouvelés et je pourrais explorer plus librement les différents plaisirs que je me refusais sans les barrières du jugement traditionnel. Cela me permettait d’éviter les pièges de l’infidélité en intégrant Roger dans mes fantasmes sexuels, plutôt que de chercher satisfaction hors du foyer familial. Nos enfants, bien que loin de ces pratiques, bénéficiaient indirectement d’un environnement familial où régnaient honnêteté et satisfaction.
Merci Carole, j’ajouterais avant de poursuivre que cette pratique, était souvent mal comprise, c’était perçu comme une forme d’infidélité, mais c’était et c’est toujours en réalité un témoignage de transparence et de confiance entre nous, où la sexualité de notre couple était et est toujours enrichie et non menacée.
Pour revenir à mon récit, nous avions toujours aimé découvrir mon épouse et moi de nouvelles expériences. C’était avant tout Carole qui souhaitait rejoindre Jean Paul et Fabienne. Elle était d’un naturel curieuse ce qui l’avait amené à expérimenter pas mal de choses au niveau sexuel depuis la fin de son adolescence jusqu’à notre rencontre.
Lorsque ceux-ci, nous invitèrent à les accompagner dans une sortie de groupe en club libertin, elle n’avait pas hésité longtemps avant d’accepter, pour lui faire plaisir j’avais acquiescé. Au fond, nous ne risquions pas grand-chose à part une déception et puis, n’ayant jamais été dans ce genre d’endroit, nous étions curieux de voir ça.
Nous nous étions retrouvés le jour prévu à la terrasse d’un bar pas très loin du club, avant de nous y rendre tous ensemble. Avant cela, il nous avait fallu choisir nos tenues et les premiers questionnements étaient apparus. Si pour moi, le choix d’un costume beige, d’une chemise noire et d’une paire de chaussure de ville de la même couleur, avec un joli boxer en soie en dessous, avait paru évident, concernant Carole, elle avait eu besoin d’un peu plus de recherches. Elle voulait être élégante sans être vulgaire. Elle souhaitait être sexy tout en restant discrète. Elle voulait que les vêtements soient les plus pratiques, pour se mouvoir. Elle avait finalement optée pour une tenue somme-toute assez sobre, avec une jupe plissée noire au-dessus des genoux surmontée d’un chemiser rouge légèrement transparent. Pour les sous-vêtements, elle avait opté pour mon ensemble fétiche, string et soutien-gorge en dentelle d’un rouge vif qui devrait attirer les regards. Une paire de talons et une touche de maquillage plus tard, nous étions en route pour notre premier club libertin.
Les trente minutes de route m’avaient semblé longues, avec les doutes qui apparaissaient et une pointe de stress. Mais ma chérie, d’humeur taquine, m’avait rassuré et nous avions déjà bien discuté du sujet avant le jour J, et puis nous avions une précédente expérience échangiste avec Fabienne et Jean Paul. Ce qui faisait que c’était l’esprit léger, mais le cœur battant, que nous avions retrouvé nos amis à la terrasse d’une brasserie.
Nous formions une joyeuse bande de cinq couples, certains se connaissaient déjà, d’autres pas, pour notre part, nous ne connaissions que Fabienne et Jean Paul.
Après quelques verres et des échanges cordiaux et sympathiques, nous allions tous ensemble sonner à la porte de ce temple libertin dans une bonne ambiance accompagnée de franches rigolages.
Il s’agissait d’un club dit « humide », c’est la définition que l’on donne maintenant, mais à l’époque, tout cela était nouveau pour nous.
La dame de l’accueil nous avait accueillis avec le sourire et elle nous avait fait faire le tour du propriétaire, en nous expliquant les règles en vigueur et en nous présentant les diverses commodités. Nos amis, déjà habitués, acquiesçaient poliment tandis que nous buvions ses paroles. À cette heure-ci, c’était encore calme et nous pouvions donc nous acclimater tranquillement à cet élégant endroit.
La lumière tamisée partout rassurait, avec même certains endroits très sombres pour les plus discrets et des salles presque privées dans lesquelles on pouvait se retirer plus tranquillement. J’avais repéré le sauna, ainsi qu’une salle avec divers instruments de bondage que Carole ne pensait pas expérimenter ce soir-là !
Puis, nous discutions au bar avec nos amis qui répondaient à nos interrogations, alors que peu à peu, l’espace se remplissait. Carole était surprise par plusieurs choses : la plupart des arrivants étaient en couple, la moyenne d’âge devait être de trente à cinquante-cinq ans et il y avait très peu d’hommes seuls. Elle me faisait remarquer qu’elle sentait quelques regards sur elle et réalisait que c’était appréciable.
Le groupe se levait, un peu perdus, Carole et moi avions suivi, nous devions nous changer pour une tenue plus appropriée. Un paréo avait été gracieusement distribué à l’entrée du club. Contre toute attente, Carole, se déshabillait entièrement naturellement pour enfiler son paréo, elle me semblait beaucoup plus à l’aise que moi.
Après s’être changés, nous retournions au bar. Une jeune femme de notre groupe, Marie, se proposait de nous faire faire de nouveau un tour, étant elle-même déjà venue plusieurs fois.
Nous acceptions, contents d’avoir quelque chose à faire pour cacher notre gêne première, enfin surtout pour moi. Marie nous montrait donc toutes les installations ainsi que les « coins câlins » à l’étage. Je dois dire que j’étais positivement impressionné. L’endroit était calme, élégant, et pour ne rien gâcher les couples croisés en route étaient plutôt agréables à regarder ! Puis nous rejoignions assez vite les autres qui s’étaient recommandés à boire au bar et étaient présentement installés autour d’une grande table.
Nous prenions plaisir à discuter avec eux, afin de mettre un visage sur un prénom.
Assez rapidement, le groupe se proposait de passer au jacuzzi. C’était une première pour nous.
L’un des hommes du groupe, je ne me souviens pas exactement du prénom, je pense qu’il s’appelait Bruno, en profitait pour glisser une main autour de la taille de Carole et lui glissait qu’il la trouvait très belle. J’étais surpris par la tournure des évènements. Et la rapidité avec laquelle Bruno entrait en action. C’était un métis aux yeux verts, très athlétique avec un sourire charmant. Il était déjà venu et semblait assez à l’aise. Apparemment, le compliment ne se refusant pas, Carole lui lançait un grand sourire avant de rejoindre le groupe devant le bassin.
Je suivais le mouvement à distance, car j’étais vraiment dérouté. Là, bien sûr, il fallait tomber le paréo, et je dois admettre que nous n’étions pas encore bien à l’aise. Le temps que nous tergiversions, ils étaient tous rentrés dans le bain et s’installaient confortablement pour poursuivre leurs conversations. Sauf le partenaire de jeu de Carole qui venait lui dénouer son paréo, celle-ci sans un regard pour moi rentrait dans l’eau et le rejoignait. Moi-même, je restais là, en prenant bien soin de regarder les décorations plutôt que les gens déjà nus dans le jacuzzi.
Carole passait alors dans l’eau au milieu de ce groupe de joyeux lurons pour trouver une place et ne manquait pas de sentir une main ou deux l’effleurer au passage.
Une fois installée, elle tentait de suivre le fil des conversations, toujours sans un regard pour moi.
Puis Bruno, qui me semblait très attiré par ma femme, venait vite s’assoir à côté d’elle et lui demandait ce qu’elle pensait de l’endroit. Je me rapprochais d’eux discrètement pour pouvoir entendre les échanges.
Ils discutaient un moment, elle toujours souriante et lui de plus en plus près. Au détour d’une phrase il lui glissait qu’il aimait particulièrement ses courbes et se mettait en devoir de lui indiquer lesquelles à l’aide de sa main. Pourtant pas habituée de ce genre d’endroit, Carole le laissait faire, glissait sa main le long de ses épaules, de ses bras, puis de ses seins et de ses cuisses.
Le plus étonnant, alors qu’ils se caressaient, c’est que tout cela semblait très naturel à Carole. Chacun cherchait le plaisir de l’autre et sentir les mains de cet homme sur sa poitrine, alors que j’étais à quelques centimètres, l’excitait réellement. De mon côté, je la cherchais du regard, constamment. Je commençais à bouillir de jalousie. Carole semblait apprécier ces délicieuses caresses légères dans l’eau chaude.
Sans me considérer, elle laissait ses mains jouer sur son torse en même temps qu’il lui expliquait par le menu tout ce qu’il appréciait sur son corps. Entendant des rires derrière elle, mon épouse se retournait et trouvait quelques membres de notre groupe en train de se moquer de moi. Il paraît que je semblais un peu penaud. En fait je me mordais les doigts de ne pas l’avoir suivi dans l’eau plus tôt. Riant elle-même, elle s’approchait de moi en me disant qu’il n’était jamais trop tard. Je les rejoignais dans l’eau à sa demande. Je riais un peu jaune mais j’en profitais pour immédiatement passer ma main le long de son ventre. Voyant Bruno qui s’éloignait dans son coin, elle lui attrapait le bras et le tirait vers elle pour l’embrasser à pleine bouche tandis que je continuais à balader mes mains sur son corps. Et bizarrement, c’était à ce moment, que cette situation m’excitait particulièrement.
Nous avions joué comme ça pendant de longues minutes, nos mains la caressant tandis qu’elle nous embrassait à tour de rôle et nous caressait doucement. Bruno proposait alors que nous allions prendre une douche avant de faire un petit hammam. Nous sortions donc tous les trois de l’eau pour passer rapidement à la douche. Les cabines étaient assez étroites, c’était chacun la sienne et nous nous retrouvions devant le hammam moins d’une minute plus tard, à nouveau en paréo.
Bruno dénouait délicatement le nœud du paréo de mon épouse tandis que déjà débarrassé de ce bout de tissu, j’ouvrais la porte du hammam et lui faisait signe d’entrer. Dans la pièce surchauffée, nous nous installions sur l’un des bancs. Nous encadrions Carole et Bruno semblait vouloir reprendre son jeu là où il l’avait laissé. L’un de nos voisins de banc n’en manquait pas une miette et décidait même de changer de place pour avoir une meilleure vue à travers toute cette buée.
Je remarquais discrètement la taille du sexe de notre compagnon d’un soir, il disposait d’un équipement hors norme. Les caresses se faisaient plus insistantes et Carole laissait la main de Bruno s’attarder sur son entrejambe plus que de raison. Je malaxais ses seins délicieusement, elle se laissait aller. Bruno s’agenouillait alors pour venir embrasser son sexe. Il prenait son temps pour caresser de sa langue son intimité. Bruno avait la délicatesse de bien positionner mon épouse et se glissait idéalement entre ses cuisses pour lui prodiguer un cunni. Carole était chaude, je continuais de l’embrasser, je lui caressais les fesses, les cuisses, le bas-ventre. La vue de cet homme léchant mon épouse m’excitait particulièrement. Cela me semblait irréel et pourtant, nous étions bien là à nous exciter avec d’autres. J’avais chaud, très chaud encore plus quand Carole excitée comme jamais gémissait en me caressant la cuisse. J’oubliais totalement que nous avions des voisins qui se masturbaient avec vigueur devant le spectacle offert par Carole. Par rapport à la température ambiante, Carole me dira plus tard que sa bouche lui semblait fraiche et que c’était un vrai plaisir. Il la léchait avec tant de douceur et de technique qu’elle en perdait vite le contrôle de sa respiration. De mon côté je m’étais levé et je me tenais maintenant debout à côté de mon épouse, mon pénis en érection à seulement quelques centimètres de son visage. Carole tendait la bouche vers mon sexe offert et commençait à me lécher depuis la base jusqu’au gland. Cela l’excitait encore plus et Bruno dût s’en apercevoir car il appuyait de plus en plus fort avec sa langue. Assez rapidement ce traitement ne suffisait plus à ma petite chérie et il semblait clair qu’il nous fallait trouver un endroit plus confortable pour poursuivre.
Nous sortions donc de la pièce, la tête étourdie par la chaleur et l’excitation, et nous filions vers l’un des « coins câlins » sans prendre la peine de nous doucher. Carole choisissait l’une des alcôves dont la porte se fermait au verrou mais avec une ouverture sur le côté pour ceux qui voudraient nous regarder.
Là, j’allongeais ma tendre et chère épouse et venais à mon tour gouter son intimité tandis que Bruno lui caressait le reste de son corps avec langueur. Elle saisissait son gros sexe et le prenait à pleine bouche tandis que je la pénétrais maintenant d’un doigt en continuant à la lécher. Assez vite, un deuxième, puis un troisième doigt venaient accompagner mon index, lui arrachant des gémissements de plaisir. Puis je m’étais relevé et étais venu placer mes doigts devant sa bouche. Carole me les suçait avec avidité, sentant son odeur dessus avant de tendre la main vers mon sexe qu’elle commençait à branler.
Bruno l’attrapait virilement alors par les hanches et venait coller son membre contre son entrejambe. Il profitait de ce qu’elle avait la tête ailleurs pour enfiler un préservatif et se présentait maintenant à l’orée, glissant le bout de son gland entre ses grandes lèvres. Carole se cambrait au mieux pour l’accueillir, sentait son bassin débuter un va et vient lent. Tout en me branlant, elle sentait la grosse verge de Bruno la pénétrer de plus en plus profondément jusqu’à la remplir entièrement.
Les mouvements de Bruno se faisaient de plus en plus rapides, jusqu’à la secouer comme un prunier. Ce faisant, elle lâchait involontairement mon sexe, et je venais me branler devant sa bouche. Ainsi, chaque secousse la faisait toucher de la bouche mon membre et ressentais Bruno profondément. C’était parfait pour elle comme pour moi, c’était la première fois que je découvrais le plaisir d’offrir mon épouse, de la partager et de la voir jouir avec un autre. J’étais candauliste sans le savoir.
Ses gémissements avaient attiré quelques badauds qui venaient à leur tour se caresser en nous regardant à travers la lucarne. J’avais l’impression qu’il faisait mille degrés dans la pièce alors que leurs corps se mélangeaient. Cette situation me semblait de plus en plus irréelle, j’étais là à regarder Carole jouissant avec un inconnu de façon naturelle. Je l’observais avec délectation, le rythme s’accélérait, Bruno la défonçait bestialement jusqu’à ce qu’il pousse un long râle. Il se retirait alors, tandis que je faisais alors retourner mon épouse sur le ventre et que je me plaçais derrière elle.
Excité comme jamais, par cette pénétration virile de notre ami métis, je la pénétrais d’un coup et je m’accrochais à ses longs cheveux. Mes mouvements étaient rapides, violents et bestiaux, la traitant au passage de salope pour m’exciter encore plus.
Puis après ce moment de folie mêlant excitation et jalousie, j’alternais avec des mouvements bien plus lents. Je prenais tout mon temps pour qu’elle me sente entrer et sortir avec délice. Après un moment à ce régime, j’agrippais ses hanches de mes deux mains et commençait à la pilonner violemment. Elle criait, tant elle aimait ça. Je distinguais du coin de l’œil Bruno qui observait la scène les bras croisés avec un regard appréciateur. Elle était secouée de spasmes lorsqu’elle jouissait enfin sous mes coups de butoir. Je continuais encore quelques instants avant de m’effondrer à son tour sur elle. Nous reprenions enfin nos esprits tous les trois et nous nous sourions avant de remettre en place nos paréo et de quitter cette alcôve désormais pleine de souvenirs…
Après une bonne douche et un petit encas, nous remercions Bruno pour ce bon moment partagé. Il fût très étonné et surpris d’apprendre que nous étions mariés et que c’était une première pour nous.
Pour Carole cette expérience fut très bonne pour elle, elle avait pris son pied avec un super amant, un bel étalon. Quant à moi je regrette le fait d'avoir été trop stressé puis trop excité par Carole et son amant d’un soir car j'aurais bien fait l'amour à cette tornade de Christelle qui m’avait beaucoup chauffé.
C’était important pour la suite de mes aventures que je revienne sur ces deux rencontres.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
C'était le début d'une grande aventure qui perdure depuis trente trois ans.
Même si nous sommes moins actifs maintenant.
A nôtre âge nous devenons plus exigeant dans nos critères de rencontres

Ce fut une belle première expérience candauliste. Pas la dernière, j’imagine!



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