Chapitre 9 : Besoins obsessionnelles de sexe.

- Par l'auteur HDS Caro16 -
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Récit libertin : Chapitre 9 : Besoins obsessionnelles de sexe. Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Chapitre 9 : Besoins obsessionnelles de sexe.
Les petits secrets d’un couple ordinaire - Chapitre 9 : Besoins obsessionnelles de sexe.
Après cette parenthèse importante pour nous (Chapitres 7 et 8), à savoir nos premières expériences libertines avec Carole juste avant ses gros problèmes de santé, je vous propose de revenir en 1991 et à mes rencontres avec Bernard.
Les jours qui avaient suivis mon premier trio avec Pierre et Bernard (Chapitre 6) furent douloureux.
Physiquement, mes deux lascars avaient abusé, j’avais de violentes douleurs à cause de petites déchirures bénignes mais qui étaient très douloureuses. Celles-ci étaient dues en partie à des pénétrations trop brutales de Bernard, peut-être aussi à un manque de lubrification et certainement à un manque de stimulation de l'anus au préalable ou tout simplement, un abus de pénétrations multiples.
Je ne souhaitais plus souffrir de la sorte, et j’allais en informer Bernard. J’adorais me faire « enculer », je prenais un plaisir incroyable pendant nos rencontres, mais l’après était trop difficile.
J’avais une certitude par contre, c’est que j’étais obsédé par ces relations sexuelles avec Bernard et ces pratiques sexuelles à risques.
Depuis le début de notre relation, j’avais pris l’habitude de penser au sexe une grande partie de ma journée et je pensais inconsciemment ou consciemment à nos relations sexuelles passées ou futures en permanence, mon désir sexuel était désormais une véritable obsession. Je ressentais de la culpabilité et pourtant j’étais emporté par une sorte de vague d’un univers sexuel violent amené par Bernard et je ne pouvais plus m’en passer.
Malgré mes états d’âme, c’était l’esprit tranquille que je prenais de nouveau la direction de Cabourg et du « Grand Hôtel ».
J’avais une petite crainte, tout de même, concernant Pierre, j’espérais que Bernard allait respecter sa parole de ne pas l’inviter, je ne souhaitais pas trahir Carole, cette rencontre ayant été validée et planifiée avec mon épouse.
Elle avait bien compris que j’avais maintenant ce besoin régulier, elle m’encourageait à aller le rejoindre, mais seul.
J’arrivais dans le merveilleux hall de ce palace, je me dirigeais vers le bar, une silhouette se détachait, j’apercevais Bernard, mon homme de cinquante ans, élégant, raffiné, je m’approchais, je ne pouvais résister à l’envie de l’embrasser, Bernard était ravi et se laissait embrasser malgré l’assistance.
Pour rappel, nous étions en 1991, et la dépénalisation de l'homosexualité ou de la bisexualité datait de 1982. C’était un projet pour favoriser une meilleure acceptation des homosexuels dans la société française. Mais neuf années plus tard c’était toujours très compliqué.
Nous passions ensuite au déjeuner, vraiment succulent dans cet établissement. Les caresses discrètes sous la table me m’étaient déjà dans état indescriptible. Je profitais de ce moment pour demander à Bernard d’être plus doux, de peut-être mieux me stimuler l’anus et surtout de bien me le lubrifier. Je savais également que j’étais aussi responsable car à chaque fois je manifestais mon impatience !!!
Nous prenions ensuite possession de notre suite, la jeune femme chargée de nous accompagner nous souhaitait : « un excellent après-midi », Messieurs. Sans autre commentaire, mais avec un regard qui nous faisait comprendre qu’elle savait ce que nous allions faire.
Très vite, impatient de passer aux choses sérieuses, je me déshabillais, je passais par la douche avec le petit rituel du lavage intégral, le tuyau bien enfoncé et je faisais couler l’eau lentement, pour que Bernard puisse disposer d’un cul très propre, prêt à servir. J’étais surpris, Bernard m’observait me laver. Je le voyais nu, debout, dans toute sa splendeur. Il était magnifique, imposant, stylé, raffiné, d'une beauté brute, très bel homme comme j'aimais, l'équilibre était là, des muscles imposants. Humm !
Et que dire de son sexe, j’étais en admiration à regarder son « braquemard », une grosse queue fièrement dressée et Bernard devinait de suite mon envie.
- Tu veux la toucher, petite salope !
- Humm, oui !
- Alors va t’assoir sur le lit, petite pute.
Je m’asseyais sur le bord du lit « King-size », Bernard se présentait devant moi, debout son sexe tendu de désir pour moi. Je comprenais maintenant pourquoi ma rondelle souffrait à chaque intrusion. Comment Bernard pouvait-il me prendre avec un « outil » pareil. Comment pouvais-je absorber un tel engin au plus profond de moi. Je commençais par le caresser, puis je le léchais, je lui léchais les couilles bien pleines, je prenais son sexe en main pour le branler, puis je le léchais encore pour enfin le mettre dans ma bouche. J’y allais de tout mon cœur, j’étais heureux, nous nous regardions dans les yeux, je m'amusais avec son gland, je le mordillais, je m'amusais comme un fou avec sa bite, Bernard appréciait, j’étais maintenant très à l’aise dans mes fellations, j’avais bien compris que j’avais un certain talent, mais je ne voulais pas le décevoir. Je prenais mon pied. Je le pompais comme une pute.
- Et ta petite pute de Carole, elle pompe bien aussi ?
- Ouais !!!
- Tu ne parles pas la bouche pleine, petite salope.
Je restais les lèvres bien ouvertes, la tête en arrière afin qu’il puisse me baiser la bouche. Il allait et venait doucement. Il enfonçait son membre au fond de ma gorge. Il introduisait son pénis le plus loin possible dans ma gorge, à plusieurs reprises je manquais de m’étouffer et de vomir. Mais son gland stimulé avec le fond de ma gorge ne pût éviter une éjaculation bien rapide au fond de celle-ci.
Je ne pouvais rejeter ce liquide crémeux du fond de ma gorge, j’avalais avec délice ce précieux nectar et je lui nettoyais minutieusement son gland avec ma langue.
- Tu deviens expert en gorge profonde, petite pute !!!
- Euh !!! Pas vraiment Bernard, ce n’est pas facile… Carole, elle est experte !!!
- Je demande à voir, si tu veux ?
- Je ne sais pas !
- Ah ! Donc tu n’es pas contre partager ta petite femme ?
- Non, je ne dis pas ça. Je dois encore savoir doser ma respiration !!!
- Pourtant j’ai aimé ma petite salope.
- Je dois pouvoir mieux faire ! Avec la tête plus inclinée, comme Carole ! Bernard.
Nous nous allongions sur le lit pour nous caresser, nous câliner, nous embrasser, et discuter.
Les caresses reprenaient, il s'allongeait sur moi, me dominait, mais je n’avais aucune envie de résister.
- Mets-toi sur le ventre.
Le ton était directif, je m'allongeais sur le ventre, il s'allongeait sur moi, me donnait des petits coups de bassin me laissant présager de la suite, me suçait les oreilles, je sentais sa chaleur contre moi.
Puis il se positionnait pour bien me lécher l’anus, j’adorais, j’adorais ces moments particuliers, je partais complètement abandonné, je sentais bien son jeu de langue. Mon Bernard était très doué, il me bouffait vraiment le cul, comme je le désirais, je poussais des petits cris et réagissais vivement à ces mouvements de langue, puis il jouait avec sa langue et ses doigts, je sentais une légère froideur, je pensais que c’était le lubrifiant, oui c’était la vaseline !!!
Il passait de la vaseline entre mes fesses, commençait à me doigter doucement, il prenait en compte mes demandes de précaution. Dans ma tête, je me disais : « ça y est, je vais encore y passer ».
Je m’offrais à cet homme pour mon plus grand plaisir, il commençait à me mettre un deuxième puis un troisième doigt, j’appréciais cette petite intrusion dans mon intimité, c'était plutôt agréable, puis il mettait beaucoup de vaseline sur son énorme sexe, c’était jouissif pour moi de le faire bander à ce point, puis Bernard me demandait d'écarter un peu les jambes, ce que je faisais, et il s'allongeait sur moi.
- Ma grosse bite est pour toi, petite salope.
- Oooh Oui, j’ai de la chance !!!
- Tu as vu, je suis très doux.
- Oh Oui, vas-y, j'ai envie de toi, Bernard.
- Moi aussi, tu me rends dingue petite pute !!!
Il était très attentionné, il m'écartait un peu plus les jambes, il me caressait encore les fesses, j’étais à lui. Enfin, il me pénétrait doucement, très doucement, mon anus était bien stimulé, je sentais son gland essayer de rentrer, mon anus s'ouvrait, ce n’était pas douloureux, ça rentrait gentiment, simplement. Je respirais fort, il me demandait régulièrement si ça allait, j’acquiesçais, c’était tout en douceur aujourd’hui. Puis il progressait, jusqu’au moment où mon anus l'aspirait, il rentrait complètement en moi, je ne pouvais plus bouger, j’appréciais ces instants où j’avais le sentiment d’être rempli, avec la longueur et le diamètre de son sexe, j’avais des sensations incroyables, indescriptibles. Il s'allongeait complètement sur moi, il me tenait les mains, m'écartait un peu plus les jambes avec les siennes et commençait les va-et-vient, j’étais pris, je ne pouvais plus bouger.
J’appréciais cette sensation de soumission, j’aimais être placé dans cette position d’infériorité et j’aimais surtout répondre aux désirs sexuels de Bernard. Je m’abandonnais à lui totalement.
C’était très certainement ce besoin d'éprouver des émotions érotiques très fortes, qui me poussait à renouveler mes rencontres avec Bernard. Cette pratique de la soumission, était intense émotionnellement au point même, parfois, d'avoir une fonction un peu comme un shoot, une drogue dont j’étais devenu totalement dépendant.
Bernard continuait par des petits mouvements de bassin, il allait très doucement pendant plusieurs minutes, je ne ressentais pas de douleur, le plaisir était bien présent, puis il me glissait des baisers dans le cou, me suçait avec tendresse les oreilles, me caressait, il adorait faire ça et le faisait très bien. J’étais bien, je mesurais la chance que j’avais de l’avoir rencontré.
Bernard se réjouissait de mes gémissements qui lui confirmaient ma satisfaction d'être ainsi « enculé », il savait qu’il me faisait du bien.
- Tu aimes vraiment, salope ?
- Oooooh Oui !!!
- Tu aimes être enculé, hein ?
- Ooooh Oui, j’aime ta bite, j’aime être à toi.
- Moi aussi j’adore être avec toi, dans ton cul, je ne peux plus m’en passer !
Mes gémissements l’incitaient à continuer, il m’enculait pour une fois délicatement, il avait compris qu’il était plus que bien « monté », mais faisait attention pour ne pas me faire mal cette fois ci.
- C’est trop bon, mon Bernard chéri.
Je prenais un plaisir fou, je décollais de nouveau dans l’espace, littéralement propulsé, tant l'enculage était somptueux, le rêve absolu. Son énorme sexe emboité, je lui abandonnais mon corps, je cambrais mon cul pour lui montrer tout mon désir. Il redevenait plus directif, me distribuait alors violemment ses coups de bites sans contrainte tellement mon cul était maintenant ouvert.
Mes gémissements continuaient, je transpirais, je délirais.
- Bourres moi le cul, Bernard.
- Vraiment ?
- Défonces moi, Ooooh oui !
- Si c’est ce que tu veux !!! Tu ne vas pas être déçu !
Puis il se donnait à fond à ma demande, c’était la défonce totale, il me faisait gémir sous ses coups de butoirs.
- T’es vraiment une salope… Tu aimes ça ?
- Oui, vas-y, encore.
- Je n’ai jamais défoncé une personne avec une telle violence ! Et toi tu encaisses çà !
- Tu aimes me défoncer alors ?
- J’adore, je n’ai jamais pris un tel pied !
Il prenait son temps, trop heureux de pouvoir faire durer son plaisir et le mien, mon cul se faisait bien ramoner pour une grosse queue, le pied intégral.
Bernard finissait par décharger dans mon cul en poussant un râle bestial et libérateur, nous jouissions ensemble.
- Alors, bien enculé, ma salope !!! Comme tu aimes ?
Encore dans l’espace, je n’avais pas la force de répondre, je planais, j’attendais qu’il veuille bien se retirer de mon cul, je récupérais, j’attendais pour lui nettoyer son gland après cette belle et bonne enculade. Il se retirait rapidement en m’ordonnant, comme prévu de lui nettoyer son sexe avec ma bouche, j'avalais tout ce que je pouvais, un peu de son sperme, toujours au gout d’anus, je le léchais goulument et on s'arrêtait là.
Je m'allongeais contre lui, nous étions restés un moment comme ça, sans rien dire sur le lit, je devais m’essuyer car je m’étais éjaculé dessus. Nous restions allongés à parler, de Carole, il voulait savoir ce que je pouvais lui dire en rentrant chez moi.
- La vérité, Bernard !!!
- Toute la vérité ?
- Oui, je ne lui cache rien, j’évite de lui donner trop de détails, je ne lui parle pas de nos rapports bestiaux, mais elle est au courant de tout, Bernard !!!
- Et Pierre ?
- Et Pierre aussi, au début, elle fut très surprise, même sidérée en m’imaginant avec deux hommes, et très âgés ! Mais l’enveloppe remise par Pierre l’a bien amusée.
- Et Alors ! Cela n’a pas dû être facile… Mon Loulou !!!
C’était la première fois que Bernard, m’appelait ainsi, d’habitude c’était pute ou salope. Donc il voulait savoir comment Carole réagissait quand je lui racontais les relations que nous consommions ensemble. Comment avait-elle réagie en apprenant que je me faisais sodomiser sans protection.
- Tu sais Bernard, en acceptant ma rencontre avec un homme, elle se doutait bien, de ce qu’il allait arriver.
- Vous en aviez parlé ? Ouvertement ?
- Oui, de la possibilité d’avoir une relation suivie avec un homme ?
- Ah ! Oui, Et ?
- Tu sais, mon épouse pendant trois ans a dû suivre des traitements lourds, je l’ai accompagnée pendant toute cette période…
- Je comprends, et donc ?
- Ce n’était pas simple pour l’accompagnateur aussi, nous avions développé une autre forme de sexualité, j’ai découvert ma bissexualité, mes envies et mes besoins comblés quand elle le pouvait par mon épouse.
- Vous n’aviez plus de relations normales ?
- Non, ce fut l’élément déclencheur qui nous a amené à nous poser les bonnes questions :
Est-ce que vivre dans un couple ouvert pouvait régler certains de nos problèmes ?
- Il faut beaucoup d’amour entre vous et d’ouvertures d’esprit pour ce poser ces questions, enfin je pense ?
- C’est Carole qui a eu cette idée de couple ouvert, mais elle ne souhaitait pas de relation avec une femme.
- C’est très étonnant, elle connaissait tes envies et besoins ?
- Bien sûr, elle savait parfaitement ce que je pensais et ce que je ressentais, c’est pour cela que nous avons établis des règles.
- Et pour les préservatifs ?
- Cela faisait partie des règles, mais c’est trop tard !
Bernard continuait, de me parler de Carole, qu’il était très impatient de la rencontrer, pour faire connaissance simplement. Eventuellement si elle le souhaitait elle pouvait venir voir son mari se faire « enculer » par son amant.
- Tu n’es pas sérieux, Bernard ?
- Pourquoi pas, cela te gêne ?
- Oui, un peu, enfin, je ne sais pas, j’aime Carole, et j’aime nos relations.
- Tu vois, il faut lui proposer.
Ayant promis à Carole de rentrer relativement tôt, c’était un samedi et nous avions une invitation, nous nous séparions avec Bernard, qui me confirmait le projet de nous retrouver deux semaines plus tard au même endroit mais avec Carole pour une présentation. Le retour était serein pour moi, déjà la douceur de Bernard était appréciable, j’avais beaucoup joui avec la seule pénétration anale, j’avais réussi à érotiser mon anus, le plaisir passant par le corps mais aussi par la tête.
Mon anus et mon rectum restaient potentiellement riches en sensations. Sur un plan psychologique, se soumettre à la puissance de Bernard était un puissant ressort de l'excitation et du plaisir sexuel.
Je racontais également, la rencontre à mon épouse, elle-même ravie de la douceur de Bernard, elle comprenait mon besoin et mes envies. Elle acceptait moins l’absence de protection.
J’argumentais que Bernard était divorcé, sans relation sexuelle et partenaire depuis très longtemps. Que c’était une personne responsable, chef d’entreprise à la tête de plusieurs imprimeries en France, il ne faisait pas n’importe quoi. Et puis la différence de génération, il avait seize ans de plus que moi, c’était une génération pas habituée à se protéger. Je lui confirmais que j’avais encore pris un immense plaisir, que j’aimerai continuer, que Bernard avait confirmé la date de notre future rencontre à trois. Je lui montrais la photo de Bernard que celui-ci m’avait confiée pour elle justement, à cette période nous ne disposions pas de portable.
- Ah, oui, bel homme.
- Tu trouves ?
- Un peu vieux, mais il est pas mal, il ressemble un peu à Delon
- C’est vrai, Carole, tu as raison.
- Pourquoi, le rencontrer ?
- Je ne sais pas ?
- Je ne vais pas tenir la chandelle !!!
- Pour faire connaissance, on verra bien Carole.
Contre toute attente, Carole était positive à l’idée de retrouver Bernard, deux semaines plus tard au « Grand Hôtel» de Cabourg, elle était contente que l’on se retrouve dans ce superbe hôtel de luxe, devant lequel, elle avait beaucoup rêvé de passer au moins une nuit.
Je dois vous avouer que je fus extrêmement surpris par son acceptation rapide sans trop de réflexions, mais avec une seule condition, elle souhaitait passer une nuit dans le Palace de ses rêves.
Je ne pouvais pas laisser les lecteurs du site sur la conclusion de Roger avec sa surprise de ma réponse positive, je vous devais ces quelques précisions.
Avant ma rencontre avec mon mari, j’avais toujours été une petite coquine niveau sexe. Autant ne pas se mentir ! J’avais très vite voulu tester mes limites et tenter toujours plus de nouvelles expériences. La monogamie, c’était très peu pour moi ! J’avais décidé, très jeune, de ne pas me caser avant d’avoir vraiment pris mon pied et fait tout ce qui me plaisait niveau sexe. Et encore, je me disais à l’époque que je ne me caserai qu’avec un mec vraiment cool et libre sur ces questions de sexualité ! Vous l’aurez compris : dès le début de ma vie sexuelle, un petit vent libertin me trottait déjà dans la tête ! J’avais donc passée de super moments sexe à enchainer les conquêtes, parfois d’un soir, parfois sur plusieurs semaines ou mois, mais toujours sans trop me poser de questions. Je faisais ce dont j’avais envie, et quand j’en avais envie. Je ne reviendrais pas sur mes trois longues années où ma maladie m’avait ôté toute envie de sexe. Mais après une telle épreuve, j’avais vraiment envie de me lâcher. Si vous avez lu les chapitres précédents, nous avions eu quelques petites expériences échangistes et nous avions fréquenté un club libertin il y a quelques années.
Pour autant, je n’avais jamais vraiment osé tester le pluralisme. Une véritable expérience à trois en dehors de l’échangisme et d’une soirée club, j’en rêvais pourtant ! C’était un fantasme récurrent dans ma tête, avec lequel je m’excitai souvent lors de mes séances de masturbation en solo. J’en parlais également beaucoup avec Roger et avec deux amies très proches, elles aussi très ouvertes sur la sexualité, mais sans pour autant vraiment passer à l’acte. Je ne sais pas pourquoi, je me disais qu’il fallait faire trainer quelques fantasmes dans ma tête avant de tous les réaliser, et surtout attendre le bon moment, pour ne pas être déçue. J’avais en effet un peu peur que ce ne soit pas à la hauteur de mes rêves érotiques, que je ne sache pas trop quoi faire au moment venu, que l’ambiance soit un peu trop hésitante, pas du tout excitante au final. Et surtout, je ne pensais pas que dans la réalité cela pouvait vraiment se passer comme ça, ce que je voulais était très précis : je voulais deux hommes, rien que pour moi, dédiés exclusivement à mon plaisir, sans que j’ai à bouger le petit doigt !
Et là précisément, Roger avait rencontré Bernard, qui était beau, bien qu’un peu vieux, il avait dix-huit ans de plus que moi, mais c’était mon type d’homme, j’ai toujours aimé les hommes matures.
J’avais donc fini par avoir exactement ce que je voulais ! Il fallait donc foncer sans réfléchir.

Les avis des lecteurs

Et oui ! Olga.

Ca va être e tour de Carole!

Merci à vous, nous apprécions vos encouragements.
Nous allons poursuivre l'écriture de nos aventures passées.

Vivement la suite.
Vos textes sont tres bien écrits et mettent en scène le contexte, les attentes, le ressenti et pas seulement les rencontres.
Merci.



Texte coquin : Chapitre 9 : Besoins obsessionnelles de sexe.
Histoire sexe : Une rose rouge
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