Chapitre quatre

- Par l'auteur HDS SoumiseLudivie -
Auteur femme.
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Récit libertin : Chapitre quatre Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Chapitre quatre
Chapitre 4



Revenons sur le sujet des punitions.
Je crois qu’il y a une connotation éminemment érotique dans le fait d’être punie. De plus, je lui donnerai ainsi la possibilité de faire des « oublis volontaires » afin de recevoir un châtiment qu'elle aura elle même choisi. Pourquoi pas, même, d’en inventer de nouveaux auxquels je n’aurais pas pensé ou qui m'auraient semblés trop risqués sur le moment.
Par ailleurs, la séance précédente m'avait enseigné que, dans certaines conditions, ma chérie pouvait avoir des désirs que je n'aurais pas soupçonner.
J’ai donc imaginé le fonctionnement suivant et j'en ai fait un addendum au contrat:
A chaque manquement de sa part,elle devra me proposer une punition, si possible en rapport avec la faute commise, que pourrais réévaluer ou substituer si je l’estime insuffisante ou inadaptée.

Evidemment cela m'a tout de suite donné des idées pour la séance suivante.

Samedi 27 Juillet

Séance 8
Je lui avais dit: « Ce soir, 17h, tenue publique, sandalettes de plage, nous sortons ».
A 17 heures, elle me rejoint à la voiture, garée dans le jardin. Je suis déjà assis à la place du conducteur. Elle ouvre la porte côté passager, se place dos à moi, soulève sa jupe et attend...
La jupe est relevée bien en haut sur les hanches et ses fesses sont parfaitement exposées mais...
« Les jambes sont insuffisamment écartées, tu te moques de moi? «
Je constate qu’elle a parfaitement intégré le nouveau paragraphe du contrat:
« Non Monsieur! je suis désolée. Je suis une petite soumise qui à mérité une punition. »
« Absolument, je t’écoute. »
« Je propose une fessée, Monsieur. Trente claques »
Je tiens à garder le contrôle et montrer qu’en dernière instance, c’est moi qui décide:
« Tu en auras cinquante. Fais le tour de la voiture et viens t’installer sur mes genoux. »
Sans que j’ai eu à lui le préciser, elle garde sa jupe relevée pour faire le tour par l’avant de la voiture. Elle est maintenant de mon côté et s’allonge sur mes genoux, les fesses en l’air.
La première claque cingle sur son postérieur.

«Un! Merci Monsieur ». Je vise la fesse opposée:

"Deux! Merci Monsieur"

Je sais qu'elle adore la fessée. C'est la toute première chose qu'elle avait coché dans la grille:

-Claques sur les fesses: J'accepte ça m'excite X

"Trois! Merci Monsieur"

En sept ans de vie commune, je ne me suis jamais permis, pendant nos ébats amoureux, la moindre claque sur les fesses, ni où que ce soit d'ailleurs. Cela me semblait être un manque de respect et une marque de vulgarité, ce qui, à mes yeux, est presque pire. J'ai une véritable aversion pour les violences conjugales, même verbales.

En fait, ce contrat est arrivé, je pense, à point nommé. On dit que le cap des sept ans, pour une relation amoureuse, est critique.

"Quatre! Merci Monsieur"

C'est vrai qu'en sept ans, on a largement le temps de laisser transparaître son "natural behaviour":

-Monsieur se vautre en slip sur le canapé en regardant le sport et en éructant sa bière.
-Madame oublie de se raser et passe trois heures par jour au téléphone avec ses copines.
La liste serait longue, ce ne sont pas les "tue-l'amour" qui manquent.

"Cinq! Merci Monsieur"

Comment traduire ce que je ressens à ce moment. C'est un vrai bonheur de voir ses fesses nues, de sentir le moelleux, la douceur de sa peau et par dessus tout, de savoir que c'est elle même qui a demandé à recevoir ce châtiment.

"Six! Merci Monsieur"

Soyons lucide malgré tout: Nous participons tous les deux à un véritable jeux de dupes: Je suis supposé lui administrer une punition et elle a choisi une fessée qui, nous le savons maintenant, a pour principal effet de réveiller sa libido. J'en ai la confirmation:

"Sept! Merci Monsieur. Je suis la petite salope de monsieur! Est-ce que je peux me caresser la chatte s'il vous plait?"

Je lui accorde volontiers cette faveur.
J'enchaîne les claques avec une certaine régularité et j'obtiens maintenant des petits gémissements et ondulations de bassin qui en disent long sur son ressenti.

"Huit! Merci Monsieur"

Et ainsi de suite jusqu'à ce que son derrière prennent de belles couleurs.

Arrivés à quarante, elle demande:

"Puis-je avoir les dix dernières un peu plus fort s'il vous plait Monsieur? "

Décidément, je ne peux rien lui refuser et un peu plus tard:

« Cinquante! Merci Monsieur. Je suis une petite pute qui a le feu aux fesses maintenant »
Je me demande de quelle nature est l'excitation qu'elle éprouve pendant la fessée ou un autre châtiment corporel.
Il est vrai que cela tourne le plus souvent autour des principales zones érogènes mais comment, et à quel moment, la douleur peut-elle se muer en plaisir. Ce ne peut-être que cérébral, bien sûr.
Il faut, je pense, avoir en arrière plan le fantasme d'être dominée, maltraitée. La libido est quelque chose d'assez énigmatique.

Le mien, de fantasme, c'est plutôt de la voir se transformer en véritable salope et réclamer des choses que je n'aurais jamais osé lui proposer.
Ainsi, avec Monsieur Akèna, la semaine dernière, je l'ai vue supplier qu'on lui pince les tétons pendant son orgasme. Je ne l'aurais jamais deviné, ni elle non plus certainement.


Quant elle se replace devant l’encadrement de sa portière, la position est parfaite: Les jambes bien écartées. Elle a même cambré son dos pour que, de ma place, je puisse entrevoir son abricot et les petites lèvres qui dépassent un peu.
Sur mon ordre, elle monte dans la voiture et suit la procédure imposée: Fesses bien écartées l'une après l'autre.
« Mon petit trou touche bien le cuir, Monsieur, je suis la petite pute de Monsieur »
Elle défait deux boutons à son chemisier et place les bras le long du corps, mains sur ses cuisses.
Je cherche la petite bête mais c’est le but de la séance:
« Tu as oublié d’écarter les pans du chemisier »
Elle se confond en excuses:
« C’est vrai Monsieur, j’ai été négligente, je demande pardon à Monsieur. » Elle commence à rectifier son vêtement, s’arrête puis enchaîne:
« Je propose à Monsieur d’ouvrir complètement mon haut et de rester seins nus pendant tout le trajet. Est ce que la punition convient à Monsieur? »
Cela me semble être très convenable mais, en me souvenant de l'épisode "véranda", j’en rajoute:
« C’est une bonne idée mais tu devras, en plus, te pincer le bout des seins et les tirer vers l’avant »
« Bien Monsieur »
Elle ouvre grand son chemisier, dégage ses seins, attrape ses tétons entre le pouce et l’index et tire au maximum »
« Comme ça je me sens beaucoup plus chienne. Merci Monsieur »
Ses petits seins ont pris une forme inhabituelle, tendus vers l'avant, en apesanteur.
Cette fois, nous démarrons.
C’est l’été et de nombreux résidents et touristes sont venus profiter du beau temps et de la plage. Je vais être obligé de rouler au pas sur deux cents mètres, je ne peux pas la laisser comme ça sans risquer de provoquer un esclandre:
« Penche toi en avant »
C'est mieux, pour l'instant. Vue de l'extérieur, son chemisier couvre son dos et on pourrait penser qu'elle est en train de lacer ses chaussures.
Un peu plus loin, nous sortons des zones d’accès à la plage et je peux lui demander de se redresser. Bien sûr, il y a encore des gens sur les trottoirs mais nous avons repris une vitesse normale et, le temps qu'ils réalisent, nous somme déjà loin.
Tout en conduisant, je pense au défi suivant:
« Tu vas entrer dans un bureau de tabac pour m’acheter un paquet de cigarettes »
Cinq secondes passent.
"Eh bien qu'est ce que tu attends pour me répondre"
"Pardon, je n'étais pas concentrée. Oui Monsieur! Voulez vous que j'y aille entièrement nue pour me punir Monsieur?"
Alors là, elle m’en bouche un coin ! Soit elle me provoque, soit elle a perdu pied, excitée par la fessée de tout à l'heure. J'ai envie de savoir: J’avance ma main vers son sexe et de façon automatique, elle s’écarte un peu plus. Deux de mes doigts vont aux renseignements.
D’accord: Elle dégouline littéralement. Il doit même y avoir une petite flaque sur le siège. L’exhib, c’est vraiment son truc et quand elle est partie, elle ne réfléchit plus. J’ai bien envie de la prendre au mot mais il faut que je sois raisonnable pour deux:
" Je réfléchis à ta proposition. Pour l'instant continue à tirer sur tes seins"
"Oui Monsieur Je suis une bonne petite chienne"
Nous arrivons au village voisin. C'est une petite bourgade à déjà trois kilomètres de la côte et donc, surtout à cette heure, beaucoup moins surpeuplé, de sorte que j'ai pu garder ma petite chienne dans sa posture.
Autour de la place de l'église, quelques commerces attendent la remontée des plages. Je me gare sur ma droite, le long du trottoir, à une dizaine de mètres du tabac. Force est de constater que les fumeurs ne sont pas tous en train de bronzer. Sans parler de foule, ce sont tout de même des entrées et sorties sans discontinuer.
" Regarde! Tu veux toujours y aller toute nue? "
Elle lève les yeux. Constate les allées et venues:
" Je suis la petite salope de Monsieur et je suis prête à tout pour lui plaire. "
Je sens quand même à son intonation qu'elle est un peu moins décidée.
Un client, qui sortait du tabac, marche vers nous sur le trottoir.
"Déshabille-toi"
"Oui Monsieur"
Elle libère ses seins et obéi.
Enlever son haut ne lui prend qu'une seconde et la jupe à peine trois.
Le soleil tape en plein sur le pare brise et l'homme qui arrive face à nous ne peut pas manquer de la voir.
Ca y est! Je le vois à l'air surpris, mais intéressé, qu'il affiche sur son visage. Ses yeux se sont fixés sur les seins de ma femmes et, plus il avance, plus son angle de vue lui permet d'en découvrir d'avantage.
Quand il sera à hauteur de la vitre, il pourra constater qu'elle est entièrement nue, les jambes à l'équerre et la chatte bien écartée.
Même les yeux baissés, ma petite soumise doit percevoir une silhouette passer à moins de trente centimètres d'elle, de l'autre côté de la portière.
Tout cela me met en appétit mais, malheureusement, je ne pourrai pas l’envoyer nue dans un commerce, comme ça, sans prétexte cohérent. C'est dommage, ça lui aurait fait les pieds, mais je suis bien obligé de tenir compte des conventions sociales.
A l’endroit où nous sommes, proche des campings et des plages, il est courant de voir des gens se promener et même faire leurs courses en maillot de bain. Il en est ainsi dans toutes les stations balnéaires. Mais ils ont tout de même un maillot.
Maintenant, j'imagine le scénario suivant:
Nous habitons à quelques kilomètres dans les terres, nous sommes venus sur la côte profiter de la plage et Madame s’est baignée. En revenant à notre voiture, elle s’est rapidement vêtue d’un paréo pour retirer son maillot devenu glacial parce que trempé d’eau de mer.
Elle passe devant un tabac, lui rappelant qu’elle va bientôt manquer de cigarette. On ne peut pas dire qu'on est en pleine science fiction.
En tous les cas, c’est fort de ce raisonnement que je compte l'envoyer dans cette tenue faire son achat.
Je lui tends le morceau de tissu que j'ai moi même acheté cette semaine. Cela m'a pris un peu de temps parce que je ne voulais pas qu'il soit aussi couvrant que celui qu'elle a déjà. J'en ai choisi un qui, noué au dessus des seins, descend jusqu'en haut des cuisses. Relativement pudique donc, si l'on considère qu'elle est sensée le porter à la plage avec un maillot dessous.
Elle prend le vêtement et le noue sur le côté, au dessus du sein gauche. Pas folle, elle a tout de suite calculé que si elle le nouait devant, il risquait de s'ouvrir en exposant ce qu'elle a de plus féminin.

Vivement, elle rafle un billet dans la boite à gants, sort de la voiture,et relève l'arrière du paréo. Cachée par la portière d'un côté, elle n'en reste pas moins visible de l'autre.
"Je suis une bonne salope qui montre ses fesses, Monsieur"
"C'est bien! Va maintenant"
La voila qui s'éloigne sur le trottoir. Au gré de ses mouvement, les deux pans s’écartent un peu et dévoilent sa hanche jusqu’à l’aisselle, révélant ainsi qu’elle ne porte rien dessous. Bien dressée, elle ne fait rien pour contrer les courants d'air et, l'espace d'un instant, une de ses fesses apparaît au grand jour. Elle disparaît dans le magasin, suivie par d’autres clients.
Je suis perplexe. Se pourrait-il que, dans certains domaine, en l’occurrence: l’exhibition, elle ait envie de plus que ce que je lui propose? Je n’en reviens pas. Elle qui, il y a moins de deux mois était si prude.
J'en suis là de mes réflexions quand je la vois revenir vers la voiture. Arrêt devant la portière, d'une main, elle met le paréo de côté, fesses nues, elle attend...
Je la laisse en plan pendant un moment. Elle a les yeux baissés, et moi seul sait si elle peut être vue. En l'occurrence, toute l'activité a lieu autour du bureau de tabac et elle en est séparée par dix mètres de distance et une portière de voiture. Je scrute alentour tout en profitant de la vue imprenable sur ses deux petites fesses dénudées et offertes.

"Monte maintenant"
Pendant qu'elle s'installe, c'est à dire, en fait, qu'elle pose son petit trou du cul sur son siège, je me dis qu'il faut finir cette séance en apothéose mais je ne sais pas encore comment m'y prendre.
J’opte pour un bar, un peu plus loin, le long de la côte et en dix minutes nous y sommes. Il n’est que 18 h 30 et c'est encore très calme.
Sur le parking, je choisis un coin tranquille et quand elle se met debout devant la portière, le paréo à nouveau relevé, je lui tends deux pinces à grelots.
« Mets ça! "

« Oui Monsieur.»

J'ai volontairement omis de préciser ou elle devait les mettre. J'avais envie de savoir quel serait son choix.
Elle opte pour sa chatte et se penche en avant pour les fixer.

Sur le chemin, j'entends distinctement les clochettes tinter sous son paréo.
Depuis plusieurs années, tous les endroits branchés, se doivent d'avoir un bar placé au centre de la salle. Nous le contournons pour rejoindre le fond de la pièce. Une musique d'ambiance en sourdine et une déco style "savane" rendent l'endroit plutôt sympathique. Un petit box avec deux banquettes en vis à vis nous accueille. Ma chérie relève l'arrière du paréo pour s'asseoir et je perçois, malgré la musique, le bruit des clochettes qui heurtent la banquette. Le barman s’affaire derrière son comptoir entre les tapas et le glaçage des verres à cocktails. Il se prépare pour le rush de 19 heures et nous sommes, pour l’instant, les seuls clients. Dans ce genre d’endroit, le service se fait au bar:
« Va nous commander quelque chose à boire, je te prie »
« Oui Monsieur »
Elle a compris que le type de boisson n’avait aucune importance et évite de me demander des précisions.
Je la vois maintenant, de dos, face au comptoir, qui parle au barman puis attend la commande. Je l’interpelle et elle reviens vers moi:
« Tu as oublié les termes du contrat selon lesquelles tu dois me montrer tes fesses ou ta chatte chaque fois que l’occasion t’en est donnée? Là ou tu te tenais, tu avais tout loisir de le faire en toute discrétion. A quoi tu penses? »
« Pardonnez moi Monsieur, je vais y retourner, »
« C’est très bien mais cela ne te dispense pas de me proposer une punition »
« Oui Monsieur. »
Elle retourne vers le barman qui continue à préparer notre commande, elle a dû demander quelque chose de compliqué.
Une main vient écarter l’arrière du paréo. La voila fesses nue au bar. A peine ai-je eu le temps d'apprécier qu'elle se retourne, me faisant face. De ses deux mains, elle ouvre grand les pans du tissu pour m'exposer l'intégralité de sa nudité. Les pinces ouvre un peu la fente de son sexe et, d'ou je suis, je devine ses petites lèvres. Cette fois, le contrat est respecté.
J’ai hâte de savoir quelle punition elle va me proposer. C’est une façon de me dire ce qui lui plairait sur le moment et je vais peut-être avoir des surprises.
Elle revient vers moi, pose les deux verres:
« Est ce que j’ai été une bonne salope Monsieur? » dit-elle en s’asseyant à même la banquette puis en s’écartant les fesses.
« C’est mieux! Mais j’attends tes propositions de punitions »
« Je peux me mettre entièrement nue là, maintenant, si vous le souhaitez »
Allons bon! Elle n'en démord pas.
Ca n’est pas l’envie qui me manque mais je ne vois pas comment ça pourrait être possible. Même s’il n’y a pas d’autres clients pour l’instant, il reste le barman qui va probablement réagir. A moins de le mettre de notre côté.
Très bien. Je sais comment faire.
Je vais au bar et je pose un joli billet sur le comptoir. Je m’adresse au barman:
« Ma femme a perdu un pari, Je lui ai demandé de se mettre entièrement nue et de faire le tour du bar. Vous pourrez garder la monnaie « J’avance le billet vers lui mais je garde les doigts dessus. J'ai vu faire ça dans un film.
Interloqué, il lève les yeux vers moi puis vers ma chérie qui est restée assise à notre table. Il ne l’avait pas « calculée » tout à l’heure, mais en la regardant, il doit se dire qu’il ne détesterait pas la voir à poil. Son regard revient vers le billet. Ca fait quand même un sacré pourboire. Il prend un petit moment, semblant peser le pour et le contre. Je crois suivre ses pensées: En fait, il a déjà dû arriver que, en fin de soirée, désinhibées par l'alcool, des clientes se soient livrées à des strip-tease improvisés. D'autant que, pendant la saison, l'endroit propose des animations Gogo Girls le samedi soir. La différence, c'est uniquement l'heure à laquelle ça se passe.
« Bon d’accord mais, vite fait, parce que les clients ne vont pas tarder. » J'abandonne le billet sur le comptoir.
Quand je reviens à notre table, ma chérie est là, en train de déguster son cocktail.
« Très bien, voici ta punition: Mets toi debout et déshabille- toi. »
Elle ne sait pas que j’ai passer un accord avec le gars derrière le bar, mais elle s’exécute: le paréo tombe au sol. La voilà entièrement nue, devant notre table.
Le barman ne se gêne pas pour la détailler du regard. Ce sont les pinces qui semblent le captiver. Ma salope a les yeux baissés et attend les ordres.
« Tu vas faire le ..... » Je m’interromps, un client vient de franchir la porte.
C’est un homme dans la quarantaine, genre décontracté, il connaît l’endroit:
« Salut Seb! Comme d’hab! »
Il vient de dehors, ses yeux ne sont pas habitués à la pénombre, il ne nous a pas vu. En revanche, le barman tourne la tête vers moi, paniqué.
Il est trop tard pour faire marche arrière. Je reprends:
« Tu vas faire le tour du bar. Marche tranquillement. »
Bien sûr, elle dû entendre le nouveau venu et elle sait qu’elle va devoir passer devant un inconnu mais cela ne la retient pas, elle se lance.
Elle est sublime dans sa nudité. Elle marche nonchalamment, comme si elle se promenait dans un champs de fleurs. En passant devant l’homme nouvellement arrivé, elle passe une main dans ses cheveux pour redonner du volume à sa coiffure. Il a bien sûr entendu les clochettes et son regard est tombé sur une chatte épilée, sous laquelle pendait deux petites pinces suivies de grelots. Ca, même à deux heures du matin, il ne l'avait pas encore vu, je pense.
Magnifique.
De retour à son point de départ, elle remet son paréo comme si de rien n’était et je me lève pour donner le signal de départ.
Sur le pas de la porte, le barman me rattrape et me met un post it dans la main.
"C'est mon numéro, j'aime bien mater et elle est canon"
Je lui ai peut être fait découvrir une vocation. En tous cas, si je l'avais su avant, j'aurais pu faire l'économie d'un billet.
Il est 18heures.
Le rituel pour la montée en voiture. Cette fois je lui ai ouvert la portière côté passager. Elle connaît la procédure et s’assoit fesses nue sur le siège en laissant une jambe à l’extérieur:
« Je suis une petite salope qui écarte bien les jambes pour montrer sa chatte toute mouillée »
Effectivement, dans cette position, il lui est impossible de cacher son excitation: Entre les lèvres, un petit filet de cyprine s'échappe et vient se répandre sur le cuir. Elle ondule du bassin.
Je ne perds pas l'objectif de la séance:
"Tu as oublié d'écarter tes fesses"
Un petit sourire lui vient sur le visage:
"Oh pardon Monsieur. Comme punition, je propose de passer toute la journée de demain avec pour seuls vêtements mon collier et ma laisse"

Moi aussi, j'ai besoin de faire le point.

Fin mai, ma femme couche avec un de ses collègues de travail. C'est elle même qui me l'avoue dès le lendemain.
Je ne sais pas ce qui lui a pris. Nous sommes en couple depuis sept ans et, pour ma part, je lui suis fidèle. Je me sens tellement déçu et blessé que je suis prêt à tout sans réfléchir.

Donc: crise conjugale. Ma première réaction est de vouloir rompre
puis de divorcer.

Face à ses supplications, j'envisage de profiter de la situation: je lui propose un contrat: des séances de deux heures, une fois par semaine. Si elle a des sentiments pour moi et qu'elle ne veut pas qu'on se sépare, elle n'a pas le choix.
Je me sens coupable de la mettre au pied du mur: Son infidélité me donne l'occasion de lui demander de faire des choses qu'elle n'aurait pas considérées comme légitimes sans cela.
Apres sept ans de vie commune, notre sexualité est au point mort et je dois dire que, sans parler d'ennui, nous étions dans une certaine routine sexuelle.

Les premières séances ont du être une véritable torture pour elle. Elle a dû penser que je voulais l'avilir, l'humilier, la rabaissée plus bas que terre. Et puis, constatant que je cherchais à ce qu'elle prenne le maximum de plaisir, que je faisait en sorte que ce soit le plus confortable possible pour elle, elle a dû se dire qu'il s'agissait d'autre chose.
Dans le fantasme, j'imagine parfois des scénarios tout bonnement irréalisables.
En lisant le chapitre trois, écrit de sa main la semaine dernière, j'ai compris que elle aussi, pouvait perdre pied.

Je crois qu'en état d'excitation, tout comme en état d'ébriété, on peut faire des choses que l'on serait amené à regretter le lendemain.
Donc, j'essai de prendre le maximum de précautions. Le fait que nous habitions à 300kms de l'endroit ou nous passons nos week-end est une sécurité mais pas absolue car le monde est petit, comme on dit.

Demain, et pendant toute la journée, je vais profiter du spectacle de ma femme, évoluant toute nue à la maison, dans des occupations ordinaires. C'est sans danger mais quand même, c'est la première fois que les séances vont déborder des deux heures qui leur sont allouées.

Pour la prochaine séance, je vais faire appel à d'anciens copains, des amis d'enfance. Je vais leurs expliquer la situation. Ce sont des célibataires endurcis, enfermés dans le monde de l'informatique, ingénus mais très intelligents. Ils comprendront je crois.

Les avis des lecteurs

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Bravo ! Bravo ! Bravo !

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De loin les meilleurs récits récents sur le site!
Bravo et de grâce revenez vite avec un cinquième chapitre!

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J'aime faire ce genre de chose et il m'est arrivé plusieurs fois de me promener en rue en
kilt sans rien d'autre en-dessous qu'une clochette accrochée à mon sexe.

Crabou
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Moi aussi je suis la petite salope et soumise de mon mari .Je lui doit obéissance . Quand
ont va faire les courses.je doit être nue comme toujours.Je doit être à sa disposition
24h24 toujours d accord avec toutes ses mais rein de mieux.



Texte coquin : Chapitre quatre
Histoire sexe : Une rose rouge
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