Charlene
Récit érotique écrit par Cureuil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-09-2006 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Charlene
Je suis en vacances. Il est 22h et je suis installé au bar de mon hôtel. Comme nous sommes samedi, il y a de nouveaux venus. Une femme magnifique vient s’asseoir au bar près de moi. Nous entamons la conversation. Elle se prénomme Charlene et vient de la Réunion. Elle est vraiment splendide. De longs cheveux noirs qui lui descendent jusqu’à la taille, des yeux d’un noir profond. Elle porte une robe de soie verte avec un profond décolleté et qui ne va pas plus bas que le milieu de ses cuisses. Sa peau est basanée et son parfum m’enivre déjà. Je lui propose de prendre un verre et elle accepte.
Comme le bar fait aussi discothèque et qu’un slow vient de commencer, je lui propose de danser. Elle accepte. Sur la piste de danse, elle passe ses bras autour de mon cou et pose sa tête sur mon épaule. Je la prends par la taille en la serrant contre moi. Elle danse merveilleusement bien. Elle a collé son bas ventre au mien et se frotte doucement contre moi. Très vite elle me demande : « D’après ce que je sens, je crois que je te fais de l’effets. ». Je suis lui répond que je la trouve vraiment très attirante et qu’elle me plait énormément. Elle se colle alors encore plus fort contre moi, ce qui a pour effet d’augmenter mon excitation.
Après cette danse, nous retournons au bar et elle me glisse à l’oreille : « Je suis à la chambre 420, et toi ? ». Je lui réponds que nous sommes voisins puisque j’occupe la 425.
- Tu es face à la mer ?
- Oui- J’aimerais bien voir la vue que tu as de ta chambre- Alors allons-y
Nous sommes montés dans ma chambre. Elle est allée sur la terrasse puis elle est revenue vers moi. Son regard à plongé dans le mien et elle m’a dit : « J’ai très envie de baiser avec toi ». Joignant le geste à la parole, elle retira sa robe. Elle ne portait rien dessous. Son corps était parfait. Des seins magnifiques, les tétons déjà tendus, une peau fine et soyeuse, des jambes d’une longueur incroyable et elle était complètement rasée. Elle s’allongea sur mon lit. Rapidement je me dévêtis puis je vins la rejoindre.
Je me suis allongé sur elle et nos bouches ont échangé un baiser voluptueux et passionné. « Je n’ai aucun tabous et j’aime pas qu’on me fasse l’amour, mais qu’on me baise. » me dit-elle, et d’ajouter : « Tu peux me prendre comme tu veux et où tu veux. Demande moi ce que tu veux, je le ferais. J’aime trop le sexe. ». En guise de réponse, je lui demandais de se mettre à genoux devant moi et de me tailler une bonne pipe, tout en précisant que je voulais lui vider mon jus sur son visage. Elle me répondit qu’elle adorait ça en guise de préliminaire et qu’avant de se faire prendre, elle aimait goûter au sperme de son amant.
Elle se mit à genoux et moi debout devant elle. Elle pris ma queue entre ses doigts, puis elle l’engloutis entre ses lèvres. Sa langue léchait mon gland et elle me pompait avec délice. Elle faisait aller et venir ma queue dans sa bouche, me pompant de plus en plus fort. En même temps, elle me masturbait avec frénésie. A ce rythme, je n’allais pas tenir très longtemps. Elle m’abandonna et me disant : « Finis-toi et vide toi sur mon visage. Je veux voir ta queue quand elle m’inonde de ton jus. ». Je me mis alors à me masturber. Elle se tenait à quelques centimètres de moi, la bouche grande ouverte et la langue en avant. Rapidement j’explosais. Mon sperme giclant sur son visage. Elle me pris dans sa bouche et me pompa très fort pour finir de me vider. Ensuite avec ses doigts, elle essuya mon jus de son visage, le portant à sa bouche. « Il est bon ton foutre. Chaud et avec un très bon goût d’amandes. ». « J’ai aussi envie de goûter à ta liqueur ». « Je vais t’en donner plein la bouche. Couche toi et je viens ».
Je me suis allongé sur le dos et elle se mit à califourchon sur mon visage, sa moule collée à ma bouche. Ses doigts commencèrent à titiller son clitoris. Elle se frottait contre mes lèvres. Je sentais sa chatte devenir moite et humide. De son autre main, elle se caressait sa poitrine, pinçant ses mamelons. Elle murmurait : « Humm, c’est bon, je vais vider toute ma liqueur entre tes lèvres et tu pourra me boire ».
Soudain, elle se cabra et un flot de sève coula dans ma bouche, inondant mes joues et mon menton. Elle se retira et vint me lécher le visage, puis elle m’embrassa à pleine bouche. « J’ai très envie que tu t’occupe de mon petit cul. Il adore qu’on lui fasse bouton d’Or et qu’une belle bite se glisse en lui ». Elle se mit à quatre pattes. J’écartais ses fesses avec mes mains et ma langue se mis à lui lécher son anus. Elle tournait autour, et par moment elle s’insinuait en lui. Son anus avait une légère senteur poivrée et j’avais très envie de la sodomiser. Je me mis à genoux et je guidais ma queue vers ce petit trou si accueillant. Je m’enfonçais d’une seule poussée. Mes mains ont agrippés ses hanches et je me suis mis à la faire aller et venir le long de mon pieu. Elle gémissait : « Ouiiii, plante-la bien au fond. Je la veux. C’est trop bon. Défonce-moi mon cul, j’adorrrrrrre ». En même temps elle se frottait son clitoris avec une main. Je me mis alors à la défoncer comme un perdu, n’ayant plus qu’une seule envie, vider mon foutre au fond de son merveilleux petit cul. Au bout de quelques minutes, je me plantais le plus profondément en elle et je me vidais en longues et fortes saccades.
Pour reprendre nos esprits, j’ouvris le frigo et je nous servis deux verres. Nous avons bavardé un moment et elle me dit : « Tu vas t’allongé sur le dos, je vais te grimper dessus et m’empaler sur ta queue. Je te ferais une de mes spécialités ». Une fois plantée sur moi, elle resta immobile et commença de faire fonctionner ses muscles intimes. C’était comme si des milliers de doigts me caressaient ma verge. Lentement, elle se mis à aller d’avant en arrière, de gauche à droite. Je sentais sa vulve devenir toute humide et sa liqueur commençait à couler doucement. Elle commença alors de monter et descendre, tout en se masturbant son clitoris d’aune main et massant ses seins de l’autre. Avec mes mains, je lui caressais ses fesses. Elle se mit à aller de plus en plus vite, se plantant de plus en plus fort sur ma queue et je me sentais buter contre sa matrice. Elle hurlait : « Je vais me faire jouir, je vais couler comme une fontaine et t’inonder. C’est bon de baiser avec toi, j’aime ta queue, elle me donne un plaisir fou. ».
Ne pouvant résister plus longtemps, j’explosais. Aussitôt son orgasme fût géant, elle hurla un « Ouiiii » et sa sève coula sur mes couilles. Elle se dégagea de moi et se mis à me lécher consciencieusement pour me nettoyer.
Nous avons repris un verre, puis elle c’est rhabillée. En partant, elle m’embrassa en me disant. Demain tu viendras dans ma chambre et j’aurais une surprise pour toi.
Comme le bar fait aussi discothèque et qu’un slow vient de commencer, je lui propose de danser. Elle accepte. Sur la piste de danse, elle passe ses bras autour de mon cou et pose sa tête sur mon épaule. Je la prends par la taille en la serrant contre moi. Elle danse merveilleusement bien. Elle a collé son bas ventre au mien et se frotte doucement contre moi. Très vite elle me demande : « D’après ce que je sens, je crois que je te fais de l’effets. ». Je suis lui répond que je la trouve vraiment très attirante et qu’elle me plait énormément. Elle se colle alors encore plus fort contre moi, ce qui a pour effet d’augmenter mon excitation.
Après cette danse, nous retournons au bar et elle me glisse à l’oreille : « Je suis à la chambre 420, et toi ? ». Je lui réponds que nous sommes voisins puisque j’occupe la 425.
- Tu es face à la mer ?
- Oui- J’aimerais bien voir la vue que tu as de ta chambre- Alors allons-y
Nous sommes montés dans ma chambre. Elle est allée sur la terrasse puis elle est revenue vers moi. Son regard à plongé dans le mien et elle m’a dit : « J’ai très envie de baiser avec toi ». Joignant le geste à la parole, elle retira sa robe. Elle ne portait rien dessous. Son corps était parfait. Des seins magnifiques, les tétons déjà tendus, une peau fine et soyeuse, des jambes d’une longueur incroyable et elle était complètement rasée. Elle s’allongea sur mon lit. Rapidement je me dévêtis puis je vins la rejoindre.
Je me suis allongé sur elle et nos bouches ont échangé un baiser voluptueux et passionné. « Je n’ai aucun tabous et j’aime pas qu’on me fasse l’amour, mais qu’on me baise. » me dit-elle, et d’ajouter : « Tu peux me prendre comme tu veux et où tu veux. Demande moi ce que tu veux, je le ferais. J’aime trop le sexe. ». En guise de réponse, je lui demandais de se mettre à genoux devant moi et de me tailler une bonne pipe, tout en précisant que je voulais lui vider mon jus sur son visage. Elle me répondit qu’elle adorait ça en guise de préliminaire et qu’avant de se faire prendre, elle aimait goûter au sperme de son amant.
Elle se mit à genoux et moi debout devant elle. Elle pris ma queue entre ses doigts, puis elle l’engloutis entre ses lèvres. Sa langue léchait mon gland et elle me pompait avec délice. Elle faisait aller et venir ma queue dans sa bouche, me pompant de plus en plus fort. En même temps, elle me masturbait avec frénésie. A ce rythme, je n’allais pas tenir très longtemps. Elle m’abandonna et me disant : « Finis-toi et vide toi sur mon visage. Je veux voir ta queue quand elle m’inonde de ton jus. ». Je me mis alors à me masturber. Elle se tenait à quelques centimètres de moi, la bouche grande ouverte et la langue en avant. Rapidement j’explosais. Mon sperme giclant sur son visage. Elle me pris dans sa bouche et me pompa très fort pour finir de me vider. Ensuite avec ses doigts, elle essuya mon jus de son visage, le portant à sa bouche. « Il est bon ton foutre. Chaud et avec un très bon goût d’amandes. ». « J’ai aussi envie de goûter à ta liqueur ». « Je vais t’en donner plein la bouche. Couche toi et je viens ».
Je me suis allongé sur le dos et elle se mit à califourchon sur mon visage, sa moule collée à ma bouche. Ses doigts commencèrent à titiller son clitoris. Elle se frottait contre mes lèvres. Je sentais sa chatte devenir moite et humide. De son autre main, elle se caressait sa poitrine, pinçant ses mamelons. Elle murmurait : « Humm, c’est bon, je vais vider toute ma liqueur entre tes lèvres et tu pourra me boire ».
Soudain, elle se cabra et un flot de sève coula dans ma bouche, inondant mes joues et mon menton. Elle se retira et vint me lécher le visage, puis elle m’embrassa à pleine bouche. « J’ai très envie que tu t’occupe de mon petit cul. Il adore qu’on lui fasse bouton d’Or et qu’une belle bite se glisse en lui ». Elle se mit à quatre pattes. J’écartais ses fesses avec mes mains et ma langue se mis à lui lécher son anus. Elle tournait autour, et par moment elle s’insinuait en lui. Son anus avait une légère senteur poivrée et j’avais très envie de la sodomiser. Je me mis à genoux et je guidais ma queue vers ce petit trou si accueillant. Je m’enfonçais d’une seule poussée. Mes mains ont agrippés ses hanches et je me suis mis à la faire aller et venir le long de mon pieu. Elle gémissait : « Ouiiii, plante-la bien au fond. Je la veux. C’est trop bon. Défonce-moi mon cul, j’adorrrrrrre ». En même temps elle se frottait son clitoris avec une main. Je me mis alors à la défoncer comme un perdu, n’ayant plus qu’une seule envie, vider mon foutre au fond de son merveilleux petit cul. Au bout de quelques minutes, je me plantais le plus profondément en elle et je me vidais en longues et fortes saccades.
Pour reprendre nos esprits, j’ouvris le frigo et je nous servis deux verres. Nous avons bavardé un moment et elle me dit : « Tu vas t’allongé sur le dos, je vais te grimper dessus et m’empaler sur ta queue. Je te ferais une de mes spécialités ». Une fois plantée sur moi, elle resta immobile et commença de faire fonctionner ses muscles intimes. C’était comme si des milliers de doigts me caressaient ma verge. Lentement, elle se mis à aller d’avant en arrière, de gauche à droite. Je sentais sa vulve devenir toute humide et sa liqueur commençait à couler doucement. Elle commença alors de monter et descendre, tout en se masturbant son clitoris d’aune main et massant ses seins de l’autre. Avec mes mains, je lui caressais ses fesses. Elle se mit à aller de plus en plus vite, se plantant de plus en plus fort sur ma queue et je me sentais buter contre sa matrice. Elle hurlait : « Je vais me faire jouir, je vais couler comme une fontaine et t’inonder. C’est bon de baiser avec toi, j’aime ta queue, elle me donne un plaisir fou. ».
Ne pouvant résister plus longtemps, j’explosais. Aussitôt son orgasme fût géant, elle hurla un « Ouiiii » et sa sève coula sur mes couilles. Elle se dégagea de moi et se mis à me lécher consciencieusement pour me nettoyer.
Nous avons repris un verre, puis elle c’est rhabillée. En partant, elle m’embrassa en me disant. Demain tu viendras dans ma chambre et j’aurais une surprise pour toi.
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