Charlotte (IX)
Récit érotique écrit par Kaminu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Charlotte (IX)
Le reste de l'après-midi se déroula sans fait notoire, principalement autour de la
piscine. Vers 7 heures, Fabrice nous propose un apéro que nous ne refusons pas :
whisky pour lui, gin fizz pour Charlotte, kir pour moi. Le bar est bien garni ainsi
que la cave.
Toujours dehors, sur la (très grande) terrasse cette fois, nous parlons de choses et
d'autres.
- alors dites-moi, comment vous vous êtes rencontrées ? si ce n'est pas indiscret.
- par les petites annonces, répond Charlotte.
- tiens ! c'est pas banal.
- Sylvain cherchait une copine naturiste.
- [moi] eh oui, c'est bête à dire mais dans mon cercle d'amis, c'est plutôt mal vu.
- [Fabrice] et ça fait longtemps que tu es naturiste ?
- en fait, vraiment, depuis environ 2 mois, mais j'en avais envie depuis longtemps.
- [Charlotte] il en rêvait !
- [moi] c'est pas faux.
- [Fabrice] marrant. J'ai eu une copine qui l'était vaguement mais sans plus.
- [Charlotte] Sandrine ?
- [Fabrice] ah oui, c'est vrai que vous vous connaissiez. Tu la vois encore ?
- [Charlotte] rarement, je me demande si elle n'est pas partie sur Paris.
- [Fabrice] si ça vous dit, il y a des filets de sole à l'oseille avec du riz et en
dessert de la tarte aux pommes.
- [moi] tu cuisines en plus ? Chapeau.
- [Fabrice] ça m'arrive mais là, j'avoue que j'ai acheté les filets de sole chez le
poissonnier-traiteur. Ce n'est pas la première fois que j'en prends, ils sont à
tomber.
- [Charlotte] j'ai déjà faim."
Il nous quitte pour aller faire un brin de toilette et s'habiller.
- il est sympa, non ? me demande-t-elle.
- très. Franchement, je ne m'attendais pas à ce qu'on soit reçus comme ça. Demande-lui
combien on lui doit pour tout ça.
- oh, à mon avis c'est pas le genre, il dira non.
- il n'a pas l'air d'être dans le besoin, ses parents non plus.
- c'est ce que Sandrine m'avait dit. En fait il a tout ce qu'il veut.
Fabrice redescend alors que nous mettons la table. Nous l'aidons un peu à la cuisine
puis commençons tous à dîner vers 9 heures moins le quart. Nous voyant toujours nus,
il nous en fait la remarque :
- vous êtes vraiment à poil tout le temps alors, même pour manger.
- [moi] en fait, les seuls moments où on s'habille chez les naturistes, c'est quand on
ne peut pas faire autrement, quand il fait froid ou qu'on pratique des activités "à
risque" par exemple, comme un sport violent ou des travaux de bricolage avec des
outils dangereux. Et bien sûr en milieu non naturiste.
- finalement, pourquoi pas."
J'ai envie de lui demander pourquoi il se rase le sexe intégralement mais je n'ose
pas.
Trois heures plus tard, Charlotte et moi sommes dans notre chambre. Pas fâché d'être
seul avec elle, je me brosse les dents avant de la rejoindre sur le lit.
- salut mon petit cochon.
- salut ma grande cochonne.
- bien remis de tes émotions ? tu vois, il t'a pas mangé.
- non, et c'était très bon. Super journée.
- tu m'as gardé un peu de foutre ?
- Charlotte ?
- quoi ?
- quand tu parles comme ça, c'est exprès pour m'exciter ?
- oui, c'est pour te faire triquer.
- j'arrive pas à parler comme ça.
- pourtant, avec toutes tes cassettes de cul, tu devrais connaître le vocabulaire par
coeur.
- tu sais que ça marche, tu m'excites.
- je sais, sinon je le ferais pas. Fais-moi mouiller sale pervers.
- "salope"... non, ça sort pas. Rien à faire, j'arrive pas à t'appeler "salope".
- pourtant je suis une salope, je suis ta petite salope et tu aimes ça.
- garce...
- branleur...
- sale pute... non ! pas sale pute.
- viens baiser ta petite chienne, explose-moi la moule, ramone-moi bien profond."
J'éclate de rire :
- non, vraiment j'peux pas !
- tu vois Sylvain, les mots, ça veut rien dire..."
Je m'assois à califourchon sur elle, mes couilles sur son ventre et ma queue tendue
vers ses seins.
- tu peux me raser demain ?
- bien sûr. Ça pique ?
- un peu, oui. Et je crois que je ne supporte plus les poils.
- fais-moi voir."
Je me mets sur les genoux, elle se redresse pour s'approcher de mon sexe et commence à
le sucer.
- tu suces vraiment comme une déesse.
- ("glurps") la reine des pipes on m'appelle. Tu m'as pas vu dans, attends...
"Charlotte reine des pipeuses" ?
- sérieux, tu aimes vraiment ça ?
- j'adore, et je suis sérieuse là.
- et le sperme ?
- ah... LA question que tous les mecs rêvent de poser. Oui j'aime, à condition qu'il
ait bon goût, je suis déjà tombé sur des mecs qui avaient un sperme dégueulasse, je
recrachais tout. Le tien ça va, il est pas mal, j'ai déjà eu meilleur mais il est pas
mal.
- tu es vraiment incroyable.
- c'est sûr que t'as pas dû en connaître beaucoup des pipeuses comme moi" ("glurps" -
elle reprend sa fellation).
Je ne me formalise plus quand elle me doigte ; au contraire, je n'attends que ça, j'en
redemande.
Après l'avoir sucée et branlée à mon tour, nous changeons de position : elle se met à
quatre pattes :
- prends-moi par derrière."
Je m'agenouille derrière ses fesses, approche ma bite de sa vulve comme toujours
trempée et commence à la pénétrer.
- non, pas là."
Elle sort ma queue de son vagin et la place au bord de son rectum.
- rentre doucement au début."
C'est encore plus étroit qu'en haut, moins humide mais toujours aussi chaud. Mon gland
passe sa rondelle sans trop de difficulté mais la suite est plus difficile.
- ça va Charlotte ?
- attends... excuse-moi, ressors, juste le temps de..."
Je me retire. D'un geste sûr, elle se doigte le vagin toujours dégoulinant et lubrifie
son petit trou avec son doigt, comme ça deux ou trois fois. Puis elle m'enduit
abondemment la queue et le gland de sa mouille.
- vas-y, réessaie."
Cette fois, ça rentre plus facilement.
- je crois que c'est mieux...
- oui, continue à rentrer doucement."
Elle pousse un petit gémissement, je m'arrête net.
- non non, continue. Il est encore un peu sec mais ça va rentrer, après ça ira
mieux.".
Je pousse encore, ma queue doit être à la moitié du chemin. Je continue, j'ai
l'impression que ça s'élargit et qu'elle passe entièrement.
- ça y est, elle y est, tu peux commencer."
Je la lime très doucement, son rectum se détend progressivement.
- c'est plus étroit que ton vagin.
- eh oui, normal. Continue, lime-moi, tu vas voir que ça va être de mieux en mieux."
Mes va-et-vient prennent plus d'amplitude jusqu'à ce que son conduit soit mieux dilaté
et que mes craintes de lui faire mal s'estompent, pour ensuite disparaître. Je peux
désormais faire coulisser ma verge sans retenue.
- ça va toujours Charlotte ?
- de mieux en mieux même. Continue, tu commences à me faire du bien."
À moi aussi, elle fait du bien. Je m'enfonce le plus loin possible jusqu'à sentir mon
pubis rebondir sur ses fesses. Elle s'empare alors de son petit gode qu'elle avait
préparé sur la table de nuit et se l'enfonce dans le vagin.
- là, ça y est, je prends mon pied ! continue à me limer, vas-y n'aie pas peur."
Elle se gode pendant que je continue à la sodomiser. Ses gémissements d'habitude
discrets se transforment en cris : "encore, surtout t'arrête pas !" J'ai l'impression
de baiser une pile électrique. Son gode la fait jouir mais ça ne la calme pas, elle
continue à se branler et insiste : "lime-moi encore et jouis dans mon cul, dans mon
cul."
Ses derniers mots déclenchent presque instantanément mon éjaculation : je jute 3 ou 4
fois en continuant de branler ma queue dans son rectum inondé, "donne-le moi, remplis
mon cul de foutre, de ton foutre, fais-moi ce cadeau Sylvain..."
L'éblouissement de la jouissance passé, je reste dans son trou la queue raide, n'ayant
pas envie d'en sortir. Je recommence à la limer et là, je débande. Je ressors mon
membre couvert de semence, m'agenouille et lèche le cul de Charlotte maculé de mon
sperme mâtiné de mouille et de sueur annale. C'est âcre, écoeurant mais je continue.
J'écarte un peu plus ses fesses pour plonger le nez plus bas : sa mouille, son nectar,
mon délice. Je m'en mets plein la bouche pour essayer d'oublier le goût de son cul
foutreux. Puis je m'écroule sur le lit.
Elle se retourne vers moi et m'embrasse tendrement.
- ben mon cochon...
- ...
- ça va Sylvain ?
- deux secondes... oui, ça va. Et toi ?
- on a fait fort, là.
- "salope", lui répondis-je d'une voix très douce et avec un grand sourire.
Sans rien dire, elle reprend le gode, le fait rouler sur ma queue pour le recouvrir de
sperme puis me l'enfonce dans le cul. Je ferme les yeux et râle de plaisir. J'adore me
faire sodomiser par Charlotte.
À suivre . . .
piscine. Vers 7 heures, Fabrice nous propose un apéro que nous ne refusons pas :
whisky pour lui, gin fizz pour Charlotte, kir pour moi. Le bar est bien garni ainsi
que la cave.
Toujours dehors, sur la (très grande) terrasse cette fois, nous parlons de choses et
d'autres.
- alors dites-moi, comment vous vous êtes rencontrées ? si ce n'est pas indiscret.
- par les petites annonces, répond Charlotte.
- tiens ! c'est pas banal.
- Sylvain cherchait une copine naturiste.
- [moi] eh oui, c'est bête à dire mais dans mon cercle d'amis, c'est plutôt mal vu.
- [Fabrice] et ça fait longtemps que tu es naturiste ?
- en fait, vraiment, depuis environ 2 mois, mais j'en avais envie depuis longtemps.
- [Charlotte] il en rêvait !
- [moi] c'est pas faux.
- [Fabrice] marrant. J'ai eu une copine qui l'était vaguement mais sans plus.
- [Charlotte] Sandrine ?
- [Fabrice] ah oui, c'est vrai que vous vous connaissiez. Tu la vois encore ?
- [Charlotte] rarement, je me demande si elle n'est pas partie sur Paris.
- [Fabrice] si ça vous dit, il y a des filets de sole à l'oseille avec du riz et en
dessert de la tarte aux pommes.
- [moi] tu cuisines en plus ? Chapeau.
- [Fabrice] ça m'arrive mais là, j'avoue que j'ai acheté les filets de sole chez le
poissonnier-traiteur. Ce n'est pas la première fois que j'en prends, ils sont à
tomber.
- [Charlotte] j'ai déjà faim."
Il nous quitte pour aller faire un brin de toilette et s'habiller.
- il est sympa, non ? me demande-t-elle.
- très. Franchement, je ne m'attendais pas à ce qu'on soit reçus comme ça. Demande-lui
combien on lui doit pour tout ça.
- oh, à mon avis c'est pas le genre, il dira non.
- il n'a pas l'air d'être dans le besoin, ses parents non plus.
- c'est ce que Sandrine m'avait dit. En fait il a tout ce qu'il veut.
Fabrice redescend alors que nous mettons la table. Nous l'aidons un peu à la cuisine
puis commençons tous à dîner vers 9 heures moins le quart. Nous voyant toujours nus,
il nous en fait la remarque :
- vous êtes vraiment à poil tout le temps alors, même pour manger.
- [moi] en fait, les seuls moments où on s'habille chez les naturistes, c'est quand on
ne peut pas faire autrement, quand il fait froid ou qu'on pratique des activités "à
risque" par exemple, comme un sport violent ou des travaux de bricolage avec des
outils dangereux. Et bien sûr en milieu non naturiste.
- finalement, pourquoi pas."
J'ai envie de lui demander pourquoi il se rase le sexe intégralement mais je n'ose
pas.
Trois heures plus tard, Charlotte et moi sommes dans notre chambre. Pas fâché d'être
seul avec elle, je me brosse les dents avant de la rejoindre sur le lit.
- salut mon petit cochon.
- salut ma grande cochonne.
- bien remis de tes émotions ? tu vois, il t'a pas mangé.
- non, et c'était très bon. Super journée.
- tu m'as gardé un peu de foutre ?
- Charlotte ?
- quoi ?
- quand tu parles comme ça, c'est exprès pour m'exciter ?
- oui, c'est pour te faire triquer.
- j'arrive pas à parler comme ça.
- pourtant, avec toutes tes cassettes de cul, tu devrais connaître le vocabulaire par
coeur.
- tu sais que ça marche, tu m'excites.
- je sais, sinon je le ferais pas. Fais-moi mouiller sale pervers.
- "salope"... non, ça sort pas. Rien à faire, j'arrive pas à t'appeler "salope".
- pourtant je suis une salope, je suis ta petite salope et tu aimes ça.
- garce...
- branleur...
- sale pute... non ! pas sale pute.
- viens baiser ta petite chienne, explose-moi la moule, ramone-moi bien profond."
J'éclate de rire :
- non, vraiment j'peux pas !
- tu vois Sylvain, les mots, ça veut rien dire..."
Je m'assois à califourchon sur elle, mes couilles sur son ventre et ma queue tendue
vers ses seins.
- tu peux me raser demain ?
- bien sûr. Ça pique ?
- un peu, oui. Et je crois que je ne supporte plus les poils.
- fais-moi voir."
Je me mets sur les genoux, elle se redresse pour s'approcher de mon sexe et commence à
le sucer.
- tu suces vraiment comme une déesse.
- ("glurps") la reine des pipes on m'appelle. Tu m'as pas vu dans, attends...
"Charlotte reine des pipeuses" ?
- sérieux, tu aimes vraiment ça ?
- j'adore, et je suis sérieuse là.
- et le sperme ?
- ah... LA question que tous les mecs rêvent de poser. Oui j'aime, à condition qu'il
ait bon goût, je suis déjà tombé sur des mecs qui avaient un sperme dégueulasse, je
recrachais tout. Le tien ça va, il est pas mal, j'ai déjà eu meilleur mais il est pas
mal.
- tu es vraiment incroyable.
- c'est sûr que t'as pas dû en connaître beaucoup des pipeuses comme moi" ("glurps" -
elle reprend sa fellation).
Je ne me formalise plus quand elle me doigte ; au contraire, je n'attends que ça, j'en
redemande.
Après l'avoir sucée et branlée à mon tour, nous changeons de position : elle se met à
quatre pattes :
- prends-moi par derrière."
Je m'agenouille derrière ses fesses, approche ma bite de sa vulve comme toujours
trempée et commence à la pénétrer.
- non, pas là."
Elle sort ma queue de son vagin et la place au bord de son rectum.
- rentre doucement au début."
C'est encore plus étroit qu'en haut, moins humide mais toujours aussi chaud. Mon gland
passe sa rondelle sans trop de difficulté mais la suite est plus difficile.
- ça va Charlotte ?
- attends... excuse-moi, ressors, juste le temps de..."
Je me retire. D'un geste sûr, elle se doigte le vagin toujours dégoulinant et lubrifie
son petit trou avec son doigt, comme ça deux ou trois fois. Puis elle m'enduit
abondemment la queue et le gland de sa mouille.
- vas-y, réessaie."
Cette fois, ça rentre plus facilement.
- je crois que c'est mieux...
- oui, continue à rentrer doucement."
Elle pousse un petit gémissement, je m'arrête net.
- non non, continue. Il est encore un peu sec mais ça va rentrer, après ça ira
mieux.".
Je pousse encore, ma queue doit être à la moitié du chemin. Je continue, j'ai
l'impression que ça s'élargit et qu'elle passe entièrement.
- ça y est, elle y est, tu peux commencer."
Je la lime très doucement, son rectum se détend progressivement.
- c'est plus étroit que ton vagin.
- eh oui, normal. Continue, lime-moi, tu vas voir que ça va être de mieux en mieux."
Mes va-et-vient prennent plus d'amplitude jusqu'à ce que son conduit soit mieux dilaté
et que mes craintes de lui faire mal s'estompent, pour ensuite disparaître. Je peux
désormais faire coulisser ma verge sans retenue.
- ça va toujours Charlotte ?
- de mieux en mieux même. Continue, tu commences à me faire du bien."
À moi aussi, elle fait du bien. Je m'enfonce le plus loin possible jusqu'à sentir mon
pubis rebondir sur ses fesses. Elle s'empare alors de son petit gode qu'elle avait
préparé sur la table de nuit et se l'enfonce dans le vagin.
- là, ça y est, je prends mon pied ! continue à me limer, vas-y n'aie pas peur."
Elle se gode pendant que je continue à la sodomiser. Ses gémissements d'habitude
discrets se transforment en cris : "encore, surtout t'arrête pas !" J'ai l'impression
de baiser une pile électrique. Son gode la fait jouir mais ça ne la calme pas, elle
continue à se branler et insiste : "lime-moi encore et jouis dans mon cul, dans mon
cul."
Ses derniers mots déclenchent presque instantanément mon éjaculation : je jute 3 ou 4
fois en continuant de branler ma queue dans son rectum inondé, "donne-le moi, remplis
mon cul de foutre, de ton foutre, fais-moi ce cadeau Sylvain..."
L'éblouissement de la jouissance passé, je reste dans son trou la queue raide, n'ayant
pas envie d'en sortir. Je recommence à la limer et là, je débande. Je ressors mon
membre couvert de semence, m'agenouille et lèche le cul de Charlotte maculé de mon
sperme mâtiné de mouille et de sueur annale. C'est âcre, écoeurant mais je continue.
J'écarte un peu plus ses fesses pour plonger le nez plus bas : sa mouille, son nectar,
mon délice. Je m'en mets plein la bouche pour essayer d'oublier le goût de son cul
foutreux. Puis je m'écroule sur le lit.
Elle se retourne vers moi et m'embrasse tendrement.
- ben mon cochon...
- ...
- ça va Sylvain ?
- deux secondes... oui, ça va. Et toi ?
- on a fait fort, là.
- "salope", lui répondis-je d'une voix très douce et avec un grand sourire.
Sans rien dire, elle reprend le gode, le fait rouler sur ma queue pour le recouvrir de
sperme puis me l'enfonce dans le cul. Je ferme les yeux et râle de plaisir. J'adore me
faire sodomiser par Charlotte.
À suivre . . .
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
On dirait que c'est le même chapitre qu'au début. Mot pour mot
Vraiment de mieux en mieux.
Rudy
Rudy
Merci chère lectrice pour ce commentaire qui effectivement me fait plaisir et
m'encourage à essayer de faire toujours mieux pour la suite. Raconter cette histoire –
chose que je ne pensais jamais faire un jour – m'excite et me trouble à la fois,
parfois me coûte, c'est une expérience originale que je ne regrette pas de faire ici.
m'encourage à essayer de faire toujours mieux pour la suite. Raconter cette histoire –
chose que je ne pensais jamais faire un jour – m'excite et me trouble à la fois,
parfois me coûte, c'est une expérience originale que je ne regrette pas de faire ici.
Je suis sûre que je vous fais plaisir en vous avouant que vous lire m'excite et fait
vibrer mes petites imageries érotiques. Je vous sens proche de vos sens et vous le
traduisez si bien en mots, que d'une curieuse façon, je suis en même temps Sylvain
et Charlotte.
Voyeuse depuis le début de vos textes, je me manifeste un peu timidement pour dire que
ça me rejoint et que j attends la suite.
vibrer mes petites imageries érotiques. Je vous sens proche de vos sens et vous le
traduisez si bien en mots, que d'une curieuse façon, je suis en même temps Sylvain
et Charlotte.
Voyeuse depuis le début de vos textes, je me manifeste un peu timidement pour dire que
ça me rejoint et que j attends la suite.