Charlotte (XIX)
Récit érotique écrit par Kaminu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Charlotte (XIX)
Je me souviens qu'il était exactement cinq heures vingt. Cinq heures vingt quand je sonne chez Charlotte au terme de ce week-end aux sensations mêlées : tromperies, élans du coeur, relents de pornographie entrecoupés de doute.
– entre, c'est ouvert."
Elle est encore habillée, tee-shirt collé à la peau, visage et cheveux toujours poisseux de sperme.
– je t'attendais pour me laver.
– d'accord."
Je l'aide à se déshabiller, en fais autant, elle entre dans la douche afin que je la nettoie à grande eau en commençant par le haut. Son visage peu à peu commence à réapparaître mais dans ses cheveux, le sperme semble indélébile. Je lui passe la bouteille de shampooing dont elle s'asperge généreusement, puis se frictionne. Au tour de ses seins, elle me donne le gant de toilettes à l'aide duquel je déloge le moindre reliquat de semence dont un peu s'est même logé sous ses aisselles. Puis son ventre et sa chatte. L'eau presque crémeuse coule sur ses jambes, elle sourit.
– j'en avais vraiment partout.
– finalement, je te préfère propre !
– oui, moi aussi."
Quelques rasades de gel douche vanille terminent le nettoyage et la font sentir bon. Elle sort et enfile son peignoir de bains. Je me douche à mon tour en terminant de rincer le bac des restes de sperme, sors et m'essuie avec une serviette propre.
– [elle] tu regrettes ?
– quoi ?
– tout ça, ce week-end.
– la fin, je peux pas dire que j'ai adoré.
– ...
– et toi ?
– quoi, la fin ?
– pas seulement.
– je ne regrette rien, c'est pas bon de regretter. On aurait même pu aller plus loin avec Julie.
– justement.
– tu es déjà jaloux.
– c'est pas impossible.
– tu veux dire que c'est carrément certain.
– ..."
Malgré mon amour du sexe, à deux ou à plusieurs, ma bisexualité assumée, je redeviens exclusif quand il s'agit d'une personne comme Julie qui me frappe en plein coeur. Charlotte est plus une copine de baise.
– je ne crois pas que j'aurais supporté de la voir se faire prendre par Fabrice.
– alors que moi, ça ne pose pas de problème.
– tu m'en veux ?
– je connais les mecs.
– c'est pas la première fois que tu te fais mettre par devant et par derrière.
– non.
– qu'est-ce que tu as déjà fait d'autre ?
– quelques trucs.
– des partouzes ?
– on peut appeler ça comme ça."
Je repense au premier jour de notre rencontre, à mille lieues du stupre dans lequel nous nous vautrons aujourd'hui, et lui demande :
– quand tu m'as vu pour la première fois, tu savais qu'on en arriverait là ?
– pas le première fois.
– la seconde ?
– non plus.
– à partir de quand ?
– quand j'ai su que tu étais bi.
– quand tu m'as doigté le premier soir ?
– oui, mais je m'en doutais avant.
– ça t'amusait ?
– ça m'excitait aussi."
Ça m'excite aussi de parler de tout ça sans pudeur : doigtage, partouze, bisexualité, sodomie, ce ne sont pas des mots qu'on emploie couramment dans la vie quotidienne, il n'y a qu'avec Charlotte que je peux le faire. Ça a quelque chose de libérateur et de... bandant, il n'y a pas d'autre mot pour un mec. Et bien sûr, une trique me gagne qui n'attendait que cette occasion.
– tu veux que je te branle ?" me demande-t-elle.
– il faut que je rentre.
– juste une petite pipe pour se dire au revoir.
– au revoir ?
– après, c'est Julie qui te sucera.
– tu veux dire que nous, c'est fini ?
– on pourra encore baiser mais ce sera Julie ta copine, ton officielle.
– je suis pas sûr de pouvoir faire ça.
– comme tu n'étais pas sûr d'aimer te faire sodomiser avant d'essayer."
Elle commence à me branler tout en ouvrant son peignoir. Ma tête dit non, ma queue se laisse faire, je suis incapable de résister à Charlotte.
– viens devant la fenêtre.
– quoi ?!
– viens devant la fenêtre, j'ai un voisin qui veut encore te voir."
"*Encore* ?!" J'ai un flash : le petit mot trouvé sur le paillasson quand elle m'a rasé pour la première fois et que je me suis pour la première fois aussi branlé devant elle, « "Merci pour le spectacle", signé un voisin ».
– tu l'as prévenu ? mais c'est qui ?!
– un ex, il aime bien voir, je l'ai appelé avant que tu arrives."
Après tout, je m'en fous, je ne suis plus à ça près, mais ça reste un parfait inconnu...
– viens, je te dis.
– il s'appelle comment ?
– Éric.
– il est bi ?
– non, lui il est homo. Enfin, il l'est devenu définitivement après moi, maintenant il assume.
– et il aime voir quoi ?
– à ton avis ?
– des mecs ?
– surtout des jeunes queues bien rasées.
– ...
– comme toi."
Électrisé, je me lève et me dirige vers la fenêtre. En face, au dernier étage d'une maison constituant le seul vis-à-vis depuis cette fenêtre, j'aperçois un homme d'environ 35 ans, brun, bien habillé, look de cadre supérieur, les cheveux courts et portant des lunettes. L'air presque strict, il esquisse un sourire. Je suis nu, mon membre qui avait perdu de sa raideur se gonfle à nouveau.
– montre-lui tes couilles, il adore ça."
De naturiste pétri d'amour pour la nudité innocente, je suis devenu un exhibitionniste qui se branle devant un homo amateur de jeunes queues bien rasées. Je saisis ma verge et me masturbe en lui exposant mes petites couilles toutes lisses. Son sourire s'élargit un peu.
– il va se branler aussi ?
– pas tout de suite, il fait ça après. Colle-les au carreau, ça le rend fou."
Je dresse ma queue au maximum et me déhanche pour pouvoir les plaquer contre la vitre. Peignoir toujours ouvert, Charlotte s'agenouille, fait un signe de la main à Éric qui lui rend, puis me caresse l'anus.
– continue, je reviens."
Elle va chercher son gode, le lubrifie dans sa chatte, me demande de me retourner et de présenter mon cul au voyeur. Je fais volteface puis me penche, la rondelle bien en vue et prête à être enfilée. Ça tombe bien, je rêve de me faire sodomiser depuis ce matin et même si le gode de Charlotte est loin d'avoir la taille du membre de Fabrice, c'est toujours bon à prendre. Comme à l'habitude, elle me doigte d'abord pour me préparer et me lubrifier le rectum.
– même plus besoin de te mettre en condition, tu es tellement ouvert que ma main pourrait rentrer toute entière.
– quand même pas.
– en tout cas, il faut un plus gros gode.
– on n'a que ça pour le moment, c'est mieux que rien. Vas-y, mets-le moi au fond.
– tu parles comme une vraie petite salope Sylvain.
– encule-moi, j'en peux plus.
– il te regarde.
– ça m'excite encore plus.
– je le savais."
Elle me bourre ardemment pendant que je me branle, galvanisé par la pensée d'Éric me regardant. Dépossédé de la plus infime notion de pudeur, je n'ai qu'une envie : lui montrer mon cul rempli du gode de ma copine de baise. Nous ne pensons plus qu'à ça, baiser, prendre notre pied, nous vautrer dans un plaisir animal, jouir de partout, dans tous nos orifices, avec tous nos organes érectiles, nous répandre de toutes nos sécrétions. Elle me crache sur les couilles avant de les masser, une autre nouveauté que j'adore, et fait tournoyer le gode dans mon cul baveux. Objectif : jouir !
– je vais venir, c'est trop fort.
– essaie de te retenir un peu."
J'arrête de m'astiquer, un aller-retour de plus déclencherait mon éjaculation. Charlotte cesse aussi sa sodomie et me demande de me relever :
– retourne-toi pour juter.
– où ?
– sur la vitre, c'est ce qu'il préfère."
Je ne réfléchis même pas ni ne lui demande pourquoi. Le voyeur affiche toujours un demi sourire, vraisemblablement ravi mais pas exubérant. Il a gardé tous ses vêtements et ne se touche pas, seuls ses yeux brillants trahissent son plaisir, ce qui suffit à me motiver pour jouir devant lui, pour lui.
– maintenant, donne-lui ton foutre."
J'éjacules quatre à cinq fois sur le carreau, giclées assez importantes, orgasme qui me fait un peu vaciller, signe qu'il est très fort. Elle s'agenouille aussitôt après et lèche le sperme qui commence à couler sur la vitre.
– viens m'aider."
Surmontant mon léger vertige passager, je m'agenouille et lèche mon sperme avec elle. Il est presque bon, encore chaud, mais là n'est pas l'essentiel, l'essentiel est que le geste me plaît, c'est un geste de salope que je suis heureux de faire avec elle. Complices, nous nettoyons la vitre de toute ma semence. Avalée. Puis nous nous embrassons à pleine bouche.
– dis-lui au revoir."
J'accompagne Charlotte d'un geste de la main, il sourit enfin sans retenue, articule un "merci" lisible sur ses lèvres, se lève et disparaît.
– il va se branler ?
– maintenant, oui, avec ces images.
– ça vaut un bouquin de cul.
– ou un film."
Nous nous regardons en éclatant de rire.
À suivre . . .
– entre, c'est ouvert."
Elle est encore habillée, tee-shirt collé à la peau, visage et cheveux toujours poisseux de sperme.
– je t'attendais pour me laver.
– d'accord."
Je l'aide à se déshabiller, en fais autant, elle entre dans la douche afin que je la nettoie à grande eau en commençant par le haut. Son visage peu à peu commence à réapparaître mais dans ses cheveux, le sperme semble indélébile. Je lui passe la bouteille de shampooing dont elle s'asperge généreusement, puis se frictionne. Au tour de ses seins, elle me donne le gant de toilettes à l'aide duquel je déloge le moindre reliquat de semence dont un peu s'est même logé sous ses aisselles. Puis son ventre et sa chatte. L'eau presque crémeuse coule sur ses jambes, elle sourit.
– j'en avais vraiment partout.
– finalement, je te préfère propre !
– oui, moi aussi."
Quelques rasades de gel douche vanille terminent le nettoyage et la font sentir bon. Elle sort et enfile son peignoir de bains. Je me douche à mon tour en terminant de rincer le bac des restes de sperme, sors et m'essuie avec une serviette propre.
– [elle] tu regrettes ?
– quoi ?
– tout ça, ce week-end.
– la fin, je peux pas dire que j'ai adoré.
– ...
– et toi ?
– quoi, la fin ?
– pas seulement.
– je ne regrette rien, c'est pas bon de regretter. On aurait même pu aller plus loin avec Julie.
– justement.
– tu es déjà jaloux.
– c'est pas impossible.
– tu veux dire que c'est carrément certain.
– ..."
Malgré mon amour du sexe, à deux ou à plusieurs, ma bisexualité assumée, je redeviens exclusif quand il s'agit d'une personne comme Julie qui me frappe en plein coeur. Charlotte est plus une copine de baise.
– je ne crois pas que j'aurais supporté de la voir se faire prendre par Fabrice.
– alors que moi, ça ne pose pas de problème.
– tu m'en veux ?
– je connais les mecs.
– c'est pas la première fois que tu te fais mettre par devant et par derrière.
– non.
– qu'est-ce que tu as déjà fait d'autre ?
– quelques trucs.
– des partouzes ?
– on peut appeler ça comme ça."
Je repense au premier jour de notre rencontre, à mille lieues du stupre dans lequel nous nous vautrons aujourd'hui, et lui demande :
– quand tu m'as vu pour la première fois, tu savais qu'on en arriverait là ?
– pas le première fois.
– la seconde ?
– non plus.
– à partir de quand ?
– quand j'ai su que tu étais bi.
– quand tu m'as doigté le premier soir ?
– oui, mais je m'en doutais avant.
– ça t'amusait ?
– ça m'excitait aussi."
Ça m'excite aussi de parler de tout ça sans pudeur : doigtage, partouze, bisexualité, sodomie, ce ne sont pas des mots qu'on emploie couramment dans la vie quotidienne, il n'y a qu'avec Charlotte que je peux le faire. Ça a quelque chose de libérateur et de... bandant, il n'y a pas d'autre mot pour un mec. Et bien sûr, une trique me gagne qui n'attendait que cette occasion.
– tu veux que je te branle ?" me demande-t-elle.
– il faut que je rentre.
– juste une petite pipe pour se dire au revoir.
– au revoir ?
– après, c'est Julie qui te sucera.
– tu veux dire que nous, c'est fini ?
– on pourra encore baiser mais ce sera Julie ta copine, ton officielle.
– je suis pas sûr de pouvoir faire ça.
– comme tu n'étais pas sûr d'aimer te faire sodomiser avant d'essayer."
Elle commence à me branler tout en ouvrant son peignoir. Ma tête dit non, ma queue se laisse faire, je suis incapable de résister à Charlotte.
– viens devant la fenêtre.
– quoi ?!
– viens devant la fenêtre, j'ai un voisin qui veut encore te voir."
"*Encore* ?!" J'ai un flash : le petit mot trouvé sur le paillasson quand elle m'a rasé pour la première fois et que je me suis pour la première fois aussi branlé devant elle, « "Merci pour le spectacle", signé un voisin ».
– tu l'as prévenu ? mais c'est qui ?!
– un ex, il aime bien voir, je l'ai appelé avant que tu arrives."
Après tout, je m'en fous, je ne suis plus à ça près, mais ça reste un parfait inconnu...
– viens, je te dis.
– il s'appelle comment ?
– Éric.
– il est bi ?
– non, lui il est homo. Enfin, il l'est devenu définitivement après moi, maintenant il assume.
– et il aime voir quoi ?
– à ton avis ?
– des mecs ?
– surtout des jeunes queues bien rasées.
– ...
– comme toi."
Électrisé, je me lève et me dirige vers la fenêtre. En face, au dernier étage d'une maison constituant le seul vis-à-vis depuis cette fenêtre, j'aperçois un homme d'environ 35 ans, brun, bien habillé, look de cadre supérieur, les cheveux courts et portant des lunettes. L'air presque strict, il esquisse un sourire. Je suis nu, mon membre qui avait perdu de sa raideur se gonfle à nouveau.
– montre-lui tes couilles, il adore ça."
De naturiste pétri d'amour pour la nudité innocente, je suis devenu un exhibitionniste qui se branle devant un homo amateur de jeunes queues bien rasées. Je saisis ma verge et me masturbe en lui exposant mes petites couilles toutes lisses. Son sourire s'élargit un peu.
– il va se branler aussi ?
– pas tout de suite, il fait ça après. Colle-les au carreau, ça le rend fou."
Je dresse ma queue au maximum et me déhanche pour pouvoir les plaquer contre la vitre. Peignoir toujours ouvert, Charlotte s'agenouille, fait un signe de la main à Éric qui lui rend, puis me caresse l'anus.
– continue, je reviens."
Elle va chercher son gode, le lubrifie dans sa chatte, me demande de me retourner et de présenter mon cul au voyeur. Je fais volteface puis me penche, la rondelle bien en vue et prête à être enfilée. Ça tombe bien, je rêve de me faire sodomiser depuis ce matin et même si le gode de Charlotte est loin d'avoir la taille du membre de Fabrice, c'est toujours bon à prendre. Comme à l'habitude, elle me doigte d'abord pour me préparer et me lubrifier le rectum.
– même plus besoin de te mettre en condition, tu es tellement ouvert que ma main pourrait rentrer toute entière.
– quand même pas.
– en tout cas, il faut un plus gros gode.
– on n'a que ça pour le moment, c'est mieux que rien. Vas-y, mets-le moi au fond.
– tu parles comme une vraie petite salope Sylvain.
– encule-moi, j'en peux plus.
– il te regarde.
– ça m'excite encore plus.
– je le savais."
Elle me bourre ardemment pendant que je me branle, galvanisé par la pensée d'Éric me regardant. Dépossédé de la plus infime notion de pudeur, je n'ai qu'une envie : lui montrer mon cul rempli du gode de ma copine de baise. Nous ne pensons plus qu'à ça, baiser, prendre notre pied, nous vautrer dans un plaisir animal, jouir de partout, dans tous nos orifices, avec tous nos organes érectiles, nous répandre de toutes nos sécrétions. Elle me crache sur les couilles avant de les masser, une autre nouveauté que j'adore, et fait tournoyer le gode dans mon cul baveux. Objectif : jouir !
– je vais venir, c'est trop fort.
– essaie de te retenir un peu."
J'arrête de m'astiquer, un aller-retour de plus déclencherait mon éjaculation. Charlotte cesse aussi sa sodomie et me demande de me relever :
– retourne-toi pour juter.
– où ?
– sur la vitre, c'est ce qu'il préfère."
Je ne réfléchis même pas ni ne lui demande pourquoi. Le voyeur affiche toujours un demi sourire, vraisemblablement ravi mais pas exubérant. Il a gardé tous ses vêtements et ne se touche pas, seuls ses yeux brillants trahissent son plaisir, ce qui suffit à me motiver pour jouir devant lui, pour lui.
– maintenant, donne-lui ton foutre."
J'éjacules quatre à cinq fois sur le carreau, giclées assez importantes, orgasme qui me fait un peu vaciller, signe qu'il est très fort. Elle s'agenouille aussitôt après et lèche le sperme qui commence à couler sur la vitre.
– viens m'aider."
Surmontant mon léger vertige passager, je m'agenouille et lèche mon sperme avec elle. Il est presque bon, encore chaud, mais là n'est pas l'essentiel, l'essentiel est que le geste me plaît, c'est un geste de salope que je suis heureux de faire avec elle. Complices, nous nettoyons la vitre de toute ma semence. Avalée. Puis nous nous embrassons à pleine bouche.
– dis-lui au revoir."
J'accompagne Charlotte d'un geste de la main, il sourit enfin sans retenue, articule un "merci" lisible sur ses lèvres, se lève et disparaît.
– il va se branler ?
– maintenant, oui, avec ces images.
– ça vaut un bouquin de cul.
– ou un film."
Nous nous regardons en éclatant de rire.
À suivre . . .
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