Charlotte, Nanny Steele
Récit érotique écrit par Stan23JR [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-04-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Charlotte, Nanny Steele
C comme Charlotte (Nanny Steele)
26 septembre 2020 (Avenue du Pavillon Sully, Le Pecq)
il y a quelques semaines, Max avait fait sa rentrée en moyenne section, une rentrée quelque peu particulière avec toutes les précautions liées au Covid.
Cal rentré d’un voyage d’affaires à Doha, passa un coup de fil pour demander à « son ex » Manon, s’il pouvait récupérer Max à l’école en fin de journée, pour lui faire la surprise.
Max avait demandé toute la semaine quand papa rentrait. Cal en profita pour demander à Manon si cela la dérangerait s’il le prenait jusqu’au dimanche soir.
Comme cela, elle pourrait passer du temps avec Alex (ce-dernier avait un avantage sur lui, le dentiste voyageait peu, ayant son cabinet à Levallois-Perret).
Manon lui répondit qu’il marquait un point. Il faudrait juste que Max lui fasse un appel visio tous les soirs, afin qu’elle puisse lui dire bonne nuit.
Ils échangèrent quelques banalités avant de raccrocher puis se rendit au parking afin de récupérer sa voiture.
Avec son nouveau poste, il avait fait deux folies. Enfin une plus que l’autre, la seconde étant plutôt une conséquence indirecte du confinement.
Il s’était d’abord offert une Aston Martin Vanquish V12 avec 570 chevaux (comme James Bond).
Il s’était acheté une nouvelle maison sur les hauteurs de Paris à Le Pecq, non loin de Levallois-Perret où s’étaient installés Manon avec Alex ; c’était mieux pour Max.
Le choix de la maison ne fut pas facile et les négociations furent serrées avec l’agence immobilière (vous la découvrirez dans l’épisode F).
Il avait enchaîné les visites, très souvent par visio au début, avec la diminution des restrictions sanitaires : en présentiel.
Il avait eu un vrai coup de cœur pour cette maison, il s’imaginait déjà dedans dès la première visite.
Il fallait beaucoup monter, mais il ne le regretta pas, car la vue était magnifique, depuis le jardin, on voyait la Seine à l’Est et le château de Monte-Cristo au sud.
Les fenêtres du premier étage de la partie ouest donnaient une vue imprenable sur la forêt domaniale de Saint-Germain-en-Laye.
La maison faisait deux cents mètres carrés de surface répartie sur deux étages avec quatre chambres à l’étage et deux salles de bains (une pour chaque étage), au rez-de-chaussée se trouvait la cuisine, la salle à manger donnant sur le jardinet sur le côté de la maison ainsi que la salle de cinéma qu’il avait fait installer avec un accès direct sur un immense salon.
À l’extérieur, il bénéficiait d’un bon terrain où il avait fait construire un carport pour abriter le bar et son salon d’été.
Mais une de ces autres folies avait été la construction d’une cabane par des professionnels pour Max, il ne le regrettait pas quand il voyait son fils et ses ami(es) se réfugiait à l’intérieur pour leurs jeux.
Il en avait eu l’idée en voyant un reportage sur le basketteur Stephen Curry et ses filles.
Mais un des autres atouts charme de la maison était son sous-sol où se trouvait la cave à vin, le garage, mais surtout la piscine couverte et chauffée sans compter le spa qu’il avait fait installer en plus.
Il avait dépensé une fortune pour cette maison, mais sa nouvelle situation et sa volonté de donner le meilleur cadre possible afin que Max puisse s’épanouir était ce qui comptait le plus, rien d’autres n’avaient d’importance.
Il demanderait à Chantal qui s’occupait de l’entretien de la maison en son absence de faire quelques courses supplémentaires en plus de celle qu’elle avait déjà faite pour lui.
Il allait depuis l’application de la banque, lui alimentait le compte qu’il mettait à disposition pour les courses, les produits d’entretien et autres produits pour la maison.
Il prit une douche puis s’enferma dans son bureau qui donnait sur la cabane du petit, comme cela tout en travaillant, il avait toujours l’œil sur son petit garçon.
Il fit quelques appels visios avec ces adjoints et adjointes pour connaître l’avancement des dossiers (depuis Doha, il avait été plus compliqué de faire des réunions).
A 15 h 30 il prit la voiture pour aller chercher Max.
Ce dernier lui sauta dans les bras quand il le vit, il était enchanté de passer ces prochains jours avec papa.
Il en profita pour l’emmener au parc et pour lui offrir une glace, il faisait encore très bon en ce début d’automne, le petit avait choisi Fraise/Vanille, mais toutes les deux minutes, il voulait gouter au Chocolat/Pistache de papa.
Le soir, après le repas préparait par Chantal, il lui brossa les dents, le doucha puis lui raconta une nouvelle aventure de la Pad Patrouille (Cal lui avait offert toute la collection), ensuite vint le moment de l’appel avec Manon et Alex.
Cal embrassa ensuite son fils, le coucha et lui souhaita bonne nuit.
Il échangea des nouvelles avec Manon sur leurs familles respectives, Papy André s’était mis avec une femme qui avait 22 ans de moins que lui et apparemment son ex Belle - sœur Pauline (épisode P) quittait Eurostar où elle était contrôleuse pour prendre un poste avec plus de responsabilité au siège.
Il termina la soirée en se mettant une série en route sur Netflix dans la salle de Cinéma.
Rien de particulier ne se passa le vendredi, mais les choses changèrent le samedi matin avec l’appel de Javier (son adjoint pour l’Amérique du Sud) durant le petit déjeuner ; les membres de son équipe savaient qu’il ne fallait pas le déranger quand il avait Max, si Javier l’appelait, c’est que c’était urgent.
La société brésilienne Amazocopteros qui organisait des voyages en hélicoptères au-dessus de l’Amazonie n’avait pas reçu la première partie de la commande de pièce qu’ils avaient fait il y a de cela 1 mois et demi et menaçait d’annuler le contrat qui les liés (on parle tout de même d’un contrat de 3 millions de dollars).
Bon pas de panique, voyons les choses posément : la sortie avec Salma, son mari Clément et leurs deux enfants à Disneyland avec Max était prévu dimanche, c’est probablement la sortie du Muséum d’Histoire Naturelle qui serait remis à plus tard.
Bon les dinos attendront, Max fut un peu déçu, mais il comprenait heureusement bien à son âge ce genre de situation, le petit bonhomme fut néanmoins enchanté de passer du temps avec sa baby-sitter habituelle : Charlotte.
L’étudiante en science du langage était employée par Manon notamment quand elle et Alex devait se rendre à des galas ou des rendez-vous tard chez des amis.
Pour ne pas perturber le petit, son ex-femme lui avait donc recommandé Charlotte.
Il l’appela pour connaître sa disponibilité. Mis à part quelques révisions pour ces prochains partiels, elle n’avait pas grand-chose de prévu un samedi et heureusement pas d’autres gardes ce jour-là, elle arriverait dans 30 minutes.
Il dit à Javier qu’il prendrait le dossier en charge dans 45 minutes.
Il mit un petit polo blanc Ralph Lauren (il aurait sûrement des appels visio a passé donc on allait éviter le vieux t-shirt de Week-end), un pantalon d’alpaga blanc et une paire de Giuseppe Zanotti également blanche.
Il rejoignit son fils avant que sa baby-sitter n’arrive.
Charlotte c’est une blonde assez grande pour une jeune femme (1,78 m), il lui semblait qu’elle lui avait dit faire du volley-ball.
Elle avait de beaux yeux couleurs bleu cristallin, c’était assez envoûtant tant que son interlocuteur n’a pas les yeux plongés dans son décolleté (un bon 95C a vu d’œil), même le côté pile paraissait prometteur, une bonne paire de fesse, le tout sur une très bonne longueur de jambe.
La première fois qu’il s’était rencontré, elle avait revêtu un jean avec un croc top par-dessus, il lui avait été difficile de ne pas jeter des coups d’œil dans son décolleté si bien mis en valeur, elle paraissait l’avoir remarquée puisque ces tenues sont de plus en plus audacieuses, les jupes de plus en plus courtes et les shorts de plus en plus serrés.
Bien tiens la voilà qui sonne, il porta Max sur ces épaules jusqu’à la porte qu’il ouvra sur une Charlotte très intéressante : croc top en dentelle noire qui laissait deviner le soutien-gorge en dessous, le nombril était bien visible, en bas, elle avait opté pour une minijupe de couleur blanche, la jupe s’arrêtait environ sept centimètres au-dessus du haut de sa cuisse (il ne faudrait pas qu’elle se penche devant lui, il risquait de trop en voir).
Il lui expliqua qu’il aurait besoin d’elle probablement jusqu’en fin d’après - midi, le virement serait sur son compte en fin de journée.
Toute la maison était accessible sauf bien sûr son bureau et qu’ils pouvaient assurément utiliser la piscine si elle avait pris ce qu’il fallait.
Il tourna les talons puis se ravisa, se tourna pour lui dire quelque chose mais oublia tout quand il entraperçu son string blanc par transparence, elle semblait s’entre être aperçu et lui sourit légèrement avant de vite baisser les yeux.
Une fois arrivé dans son bureau, il appela Javier (le pauvre avait dû rester réveiller une partie de la nuit,on était au milieu de là nuit à Buenos Aires) il dit à son adjoint d’aller se coucher et qu’il récupérait le dossier.
Le panneau numérique installé en haut de la porte de l’entrée de son bureau et qui affichait l’heure partout dans le monde lui indiquait qu’il était bien trois heures du matin à Manaus, au cœur de la forêt amazonienne où est situé le siège de la société Amazocopteros, il avait un peu de temps avant de devoir les appeler pour s’expliquer.
Il appela en premier Ivan, le responsable de production à Paris, puis Grégoire, le responsable d’expédition et mue par une inspiration, il contacta Mariella, la directrice des services juridiques, celle - ci ne répondait pas sur son pro donc avant d’utiliser le perso, il appela son bureau ou son adjoint Joseph l’informa qu’elle était en séminaire du côté de Marrakech.
Il ne fallait pas le prendre pour un lapin de six semaines non plus, elle était plutôt en train de s’envoyer en l’air avec deux gars qui ensemble faisaient son âge à elle, il l’exigea de Joseph de savoir où elle était descendue et joignit l’hôtel où on lui apprit que Madame Van Baarle ne voulait être dérangé sous aucun prétexte.
Il insista et réussit à la joindre dans sa chambre d’hôtel : elle était passablement énervée mais il la coupa bien vite, lui rappelant ses devoirs envers le groupe et que si ça ne lui plaisait pas, il pouvait aller plus haut en référer à Béa.
Ne se sachant pas en position de force face à lui, surtout que chacun savait qu’il était le bras droit officieux de Béa, elle se montra plus encline à trouver des solutions.
Elle allait se mettre en relation avec ces équipes sur place pour en savoir plus, il lui confirma un Teams avec l’ensemble des intervenants du groupe pour 13 h 30 avant un autre de son côté avec les dirigeants d’Amazocopteros à 15 h.
Il en profita pour aller passer un peu de temps avec Max et Charlotte en attendant, il les observa jouer ensemble.
La blonde assez étonnamment avait du mal à le regarder dans les yeux, c’était surprenant sachant qu’elle était toujours assez franche et directe, il faudrait qu’il lui demande si tout aller bien.
Il déjeuna rapidement avec Max et Charlotte avant de s’enfermer dans son bureau d’où il pouvait surveiller la chambre de Max grâce à la caméra qu’il avait installée.
Vers 13 h 15, Charlotte lui apporta un café et lui expliqua qu’elle emmenait Max au parc afin qu’il puisse travailler tranquillement, il la remercia et lui demanda si elle allait bien, elle lui dit que oui en baissant trop vite les yeux puis les remonta et le fixa en sortant.
Tiens, c’était curieux, il allait devoir la cuisiner un peu sans être intrusif non plus, mais pour l’heure la réunion, allez commencer.
Ivan lui apprit que la marchandise était bien sortie de leurs ateliers à Buenos Aires et qu’il avait était pris en charge par les équipes de Grégoire à l’expédition, ce dernier confirma le départ de l’avion transportant la marchandise de l’aéroport d’Ezeiza à 14 h (19 heures GMT), il aurait dû arriver en fin d’après-midi à Manaus.
C’est finalement Mariella qui leur apporta la réponse à la question, l’avion avait été dérouté par l’armée paraguayenne quand l’avion a transité au-dessus de la frontière du Paraguay pour un signalement pour une affaire de drogue.
Ces équipes à Asuncion faisait le nécessaire; il ne fallait pas négliger un signalement malveillant soit d’un concurrent de Spittrain ou de l’Amazocopteros éventuellement.
Ce qu’il rapporta ensuite lors de la réunion avec les représentants de son client : Reinildo le PDG, Estrela la directrice financière et José le directeur du droit.
Quand il souleva la question du faux signalement à l’armée paraguayenne, Reinildo conclus tout de suite que c’était encore un coup tordu de son cousin Joazinho qui dirigeait une société concurrente.
Il promit de les tenir au courant tout au long de la journée de l’avancement du dossier et qu’il suivrait le vol de l’avion jusqu’à son arrivée à Manaus.
L’avion se posa avec une journée de retard sur l’horaire prévu, les avocats de Mariella avaient bien travaillés, il la remercia et lui souhaita avec un clin d’œil de bien s’amuser, elle rougit jusqu’aux oreilles, mais ne dit rien de plus avant de fermer sa page Teams.
Il lui restait un peu de temps pour jouer avec Max avant de le coucher, celui - ci était ravie, car il avait retrouvé certains de ces camarades d’école au parc, il proposa à Charlotte de rester dîner avant de repartir, elle hésita mais accepta finalement sa proposition.
Après avoir mis Max au lit, le papa se mit aux fourneaux, Charlotte eut l’air surprise, elle devait s’attendre à ce qu’il passe une commande, mais il aimait bien cuisiner, cela le détendait ; ce fut du riz à l’autocuiseur avec un sauté de porc sauce brune, le tout accompagné d’une feuille de chêne qu’il assaisonna avec une sauce fait maison.
Il en profita pour l’interroger sur ces études et sur sa vie entre deux verres de vin rouge (un Saint-Emilion), les études se passaient bien, elle entamait sa troisième année et côté cœur mis à part quelques flirts, rien d’intéressant, elle était intéressée par les hommes plus âgés, lui dit-elle tout en le regardant droit dans les yeux cette fois-ci.
Cal avait assez l’habitude désormais de ce genre de réponse pour ne pas s’emballer, il répondit qu’effectivement qu’il n’y avait pas mieux que l’expérience pour appréhender les choses de la vie ; il savait qu’il ne répondait pas du tout à la question muette, mais si elle voulait aller sur ce terrain, il allait la faire mariner un peu.
Le trentenaire orienta la conversation vers ces passions à elle, l’étudiante lui répondit qu’elle aimait beaucoup les belles œuvres comme ces collections, notamment ces nues et plus particulièrement le Nue sur toile de Jouy du peintre japonais Foujita.
Là le sang de Cal ne fit qu’un tour : elle ne pouvait pas avoir connaissance de ce tableau, il était encore dans le coffre-fort de son bureau, car il n’avait pas encore décidé de l’endroit où il allait l’accrocher, elle lui avait été apportée par sa galeriste Natacha il y a à peine deux semaines.
— Comment vous pouvez être au courant pour ce tableau, lui asséna-t-il avec un ton légèrement accusateur.
Ce tableau n’est pas sorti de mon coffre depuis que je l’ai reçu !
— Eh bien… commença-t-elle tout en se triturant les doigts l’air coupable
— J’écoute !
— Eh bien, il y a 2 semaines quand j’ai gardé Max, en repartant, j’ai oublié mes notes de cour et je suis revenue les chercher, je suis désolé !
J’ai mémorisé le code du portail pour ce genre de cas justement, je n’ai pas vu de lumière à l’entrée donc j’ai fait le tour par le côté.
La lumière venait de votre bureau, j’ai voulu m’approcher pour vous prévenir mais…
— Oui !
— Vous étiez…Euhhh… pas seul et vous…
— Oui, qu’étais-je en train de faire ?
— Vous étiez en train de vous faire… sucer par une femme blonde.
— Ah, je vois, et vous avez aimé ce que vous avez vu, mademoiselle ?
Elle bafouillait de plus en plus, elle transpirait et il en était certain, ça commençait aussi à être bien mouillé entre ces jambes, il allait pousser son avantage.
— Oui Monsieur, j’ai vraiment aimé voir cette, femme vous sucez, répondit-elle franchement sans cacher son état d’excitation.
— Et vous auriez aimé être à sa place à genou en train de me pomper ?
— Oh oui Monsieur !
— Alors que je résume, enchaîna - t - il sur un ton accusateur.
De un, vous avez mémorisé le code du portail, de deux, vous êtes entrée sur la propriété sans mon autorisation et enfin de trois, vous m’avez espionné, tout en comptant sur ces doigts ; vous savez que vous êtes une vilaine fille ? Et vous savez ce que je fais aux vilaines filles ?
— Non-monsieur, alors qu’elle n’arrêtait pas de bouger d’un pied sur l’autre.
— Je les punis ! Assena-t-il, tout en se levant de table pour aller s’asseoir au milieu du canapé d’angle trois places en cuir, levez-vous et venez ici !
Elle se déplaça docilement vers le canapé.
Il lui tendit la main quand elle arriva sa hauteur, et sans savoir ce qui allait arriver, elle le fit, il tira donc sur ce dernier et l’allongea en travers du canapé sur ces jambes ; elle était désormais parallèle à lui.
Cal commença avec sa main droite à remonter sa cuisse vers la limite de sa minijupe et remonta ce dernier pour découvrir ces deux globes fermes séparés seulement par la ficelle du string, le modèle Soleil Nocturne de chez Aubade avec sa doublure en dentelle : un ravissement.
Il traça des arabesques sur ces fesses d’abord, puis sans prévenir abattit sa main droite sur sa fesse gauche.
Elle fut prise par surprise et gémit légèrement, mais attendait patiemment la suite tout en le regardant de biais, elle avait un joli sourire et les yeux pétillants.
Alors en lui souriant avec son éternel demi - sourire, il lui claqua l’autre fesse et enchaîna les claques sur sa peau charnue, après six allers-retours et tandis que sa peau rosissait, il lui rentra directement le majeur dans sa caverne qui était totalement détrempé et se mit à la doigter comme la dernière des traînées.
Elle se mit à gémir de plus en plus et à souffler avec force, preuve que sa puissance n’était pas loin, il arrêta alors son manège et lui dit.
— Debout petite traînée ! Montre-moi que tu peux m’exciter en te déshabillant, puis mets-toi sur le fauteuil et touche-toi !
Elle exécuta son ordre avec empressement.
Elle retira d’abord son croc top en dentelle ensuite vint le tour du soutien-gorge qu’elle abaissa pour lui présenter deux seins bien laiteux, un bon 95C à bien prendre en main, elle les soupesa et passa sa langue sur chacun de ces tétons et tira sur les pointes, ce qui la fit gémir d’autant plus.
Elle passa ses mains dans son dos et dégrafa le vêtement devenu superflu qui tomba au sol, se tourna et tira sur la fermeture éclair de sa jupe qui a son tour tomba au sol.
Elle enjamba et fit bouger ses fesses en se mettant à twerker et à prendre des positions lascives, elle voulut retirer son string, mais il lui dit de le garder.
Elle se mit alors sur le fauteuil et toujours dos à lui se mit à se doigter la chatte avec le regard tourné légèrement vers lui, elle se donnait du mal la demoiselle pour son bon plaisir, mais semblait prendre vite son plaisir, alors il lui dit de lui présenter son côté face et de continuer.
Désormais deux doigts coulissé dans sa chatte et un doigt effleuré de plus en plus son anus, tandis que de son autre main, elle se triturait les seins, la jouissance était proche, il le sentait et c’est à l’instant où elle rentra son doigt entre ses fesses qu’il s’adressa à elle.
— Stop ! Tu arrêtes de te toucher ! À quatre pattes petite chienne et rampe vers moi !
Ce petit jeu de dominant / dominée lui avait donné une trique d’enfer qu’il sortit de sa braguette et tendit ostensiblement vers elle.
Elle se mit à quatre pattes comme il lui avait ordonné et tout en avançant sur le sol, se mit à remuer de l’arrière-train ; quelle chienne vraiment ! Pensa-t-il
Quand elle arriva à sa hauteur, il commença à la biffler avec son membre de chair puis il frotta sa bite sur le bout de ses lèvres qu’elle entrouvrit pour lécher le bout.
— Aller suce-moi ! Et applique-toi sinon je saurai te le faire regretter !
Elle s’employa à le sucer du mieux qu’elle put, bava abondamment afin de bien la lustrer sur toute sa longueur, la vue était incroyable.
Il y avait là une fille d’à peine vingt ans à genou entre ces cuisses avec rien d’autres qu’un string et une paire d’escarpins en train de lui tailler une pipe.
L’homme en voulait plus, alors il se mit debout et lui attrapa sa queue de cheval pour dicter le rythme, cette fois il y allait franco, en lui baisant littéralement la bouche et plusieurs fois, elle faillit s’étrangler quand il la força à une gorge profonde, mais chaque fois, elle revenait et tentait d’aller le plus loin possible ; quand il sentit son nez sur son pubis, il ne put s’empêcher de prendre un cliché avec son smartphone.
Cela n’eut pas l’air de la déranger, car elle suçait encore plus fort, il ne se sentit presque pas partir, au dernier moment, il lui attrapa l’arrière de la tête et poussa le plus loin possible pour expulser tout le sperme qu’il avait au fond de sa gorge.
Elle déglutit plusieurs fois, faillit s’étouffer, mais le bu et le nettoya jusqu’à la dernière goutte.
— Bonne chienne, tu l’as aimé ton os ? Tu as bien mérité une récompense.
Sans lui demander son reste, il la retourna et la posa sur le canapé, pour la doigter avec fureur dans les deux trous.
En moins de deux minutes, elle se mit à feuler et à gémir.
Il était bien content de savoir que la chambre de Max était la pièce la mieux isolé de la maison (il recevait parfois des clients à la maison et quelques fois le soir), il jeta quand même un coup d’œil dans le visiophone, son petit dormait à poing fermé, il allait pouvoir passer à la suite des réjouissances.
Cal se débarrassa de ses derniers vêtements, récupéra une capote sans son bureau pendant qu’elle se reposait un peu sur le canapé, il l’attrapa par les deux cuisses et la hissa telle un fétu de paille sur lui, la fit glisser un peu et l’empala avec son pieu avant de se mettre à la besogner avec force au milieu du salon.
Et tandis qu’il la baisait, sa question fusa :
— Alors, elle est comment ma queue de vieux ? Tu l’aimes hein ?
— Ouiiii, Monsieurrr, elle me fait trop de bienn… Oui comme ça, j’aime ce que vous me faites, vous me ramonez bien à fond, vous me ravagez la chatteeee
— Tiens prend ça et ça ! Continua - t - il tout en la faisant monter et descendre de plus en plus vite sur son vit, tu veux autre chose pour te combler peut - être ?
— Oiiii encore, oui, mettez votre doigt dans mon cullll, enculez-moi monsieur, je suis votre chienne, plus vite, s’il vous plaît….
— Avec plaisir mademoiselle.
Son doigt coulissa dans son conduit anal, il pouvait le sentir à travers la membrane entre sa chatte et son cul ; puis il la colla à la baie vitrée.
Il avait une magnifique vue sur la ville et en même temps par le reflet, il voyait sa queue qui rentrait et sortait ainsi que son doigt qui l’enculait.
Après plusieurs minutes de ce traitement, il la retourna et commença à lui faire le cul debout contre la baie vitrée tout en lui tirant sur sa queue de cheval.
La jeune blonde gueulait comme un goret alors, il tira plus fort sur la queue de cheval, la colla à lui et lui glissa :
— Ferme la sale pute, tu vas réveiller mon fils ! Et pour faire bonne mesure, il lui bâillonna la bouche avec sa main.
Puis la bourra encore tout en la doigtant de l’autre main, ce qui la fit jouir du cul, ses parois se contractant autour de sa queue et de ses doigts.
Mais notre beau mâle n’en avait pas fini avec elle, il la coucha sur le canapé et se plaça au-dessus d’elle.
— Écarte bien tes deux fesses, on va repartir pour un tour, quand j’en aurai fini avec toi, tu marcheras plus droit.
L’étudiante lui obéit et écarta au maximum ses deux fesses, il put donc la bourrer en mode marteau-piqueur avec de fréquent changement de rythme.
Deux autres orgasmes suivirent avant qu’il ne lâche un torrent de sperme sur ses deux globes rebondis, il ne se souvenait pas en avoir déjà lâché une telle quantité.
La nuit fut très longue, les deux amants baisèrent encore dans la piscine, le maître des lieux l’avait notamment sodomisé sur le bord de la piscine et elle l’avait chevauché dans le spa.
C’est totalement vidé qu’il la laissa partir aux alentours de quatre heures du matin, la jeune femme marchait presque en canard.
Notre héros dut dormir à peu près trois heures et c’est seulement au bout du troisième café serré qu’il eut plus les idées claires, fort heureusement Max quoiqu’un peu fatigué, fut un amour ce matin-là.
Salma et Clément comprirent vite à sa tête que la nuit fut agitée, ils étaient morts de rire, mais son amie eut la bonté de s’occuper des petits une bonne partie de la matinée, chargeant son mari de l’aider à retrouver une meilleure tête et surtout de récolter un maximum de détail.
Ce fut une excellente journée avec son fils, ce dernier était encore tout excité avec sa peluche Woody et son ballon Mickey quand il le déposa chez Manon.
Il lui expliqua rapidement le déroulement des derniers jours en essayant de ne pas trop en dire sur sa folle nuit avec Charlotte, mais son ex n’était pas dupe et il lui sembla percevoir un clin d’œil que Manon fit à Alex.
Le trentenaire allait devoir creuser cette piste, cette Charlotte semblait plus mystérieuse qu’il n’y paraissait.
26 septembre 2020 (Avenue du Pavillon Sully, Le Pecq)
il y a quelques semaines, Max avait fait sa rentrée en moyenne section, une rentrée quelque peu particulière avec toutes les précautions liées au Covid.
Cal rentré d’un voyage d’affaires à Doha, passa un coup de fil pour demander à « son ex » Manon, s’il pouvait récupérer Max à l’école en fin de journée, pour lui faire la surprise.
Max avait demandé toute la semaine quand papa rentrait. Cal en profita pour demander à Manon si cela la dérangerait s’il le prenait jusqu’au dimanche soir.
Comme cela, elle pourrait passer du temps avec Alex (ce-dernier avait un avantage sur lui, le dentiste voyageait peu, ayant son cabinet à Levallois-Perret).
Manon lui répondit qu’il marquait un point. Il faudrait juste que Max lui fasse un appel visio tous les soirs, afin qu’elle puisse lui dire bonne nuit.
Ils échangèrent quelques banalités avant de raccrocher puis se rendit au parking afin de récupérer sa voiture.
Avec son nouveau poste, il avait fait deux folies. Enfin une plus que l’autre, la seconde étant plutôt une conséquence indirecte du confinement.
Il s’était d’abord offert une Aston Martin Vanquish V12 avec 570 chevaux (comme James Bond).
Il s’était acheté une nouvelle maison sur les hauteurs de Paris à Le Pecq, non loin de Levallois-Perret où s’étaient installés Manon avec Alex ; c’était mieux pour Max.
Le choix de la maison ne fut pas facile et les négociations furent serrées avec l’agence immobilière (vous la découvrirez dans l’épisode F).
Il avait enchaîné les visites, très souvent par visio au début, avec la diminution des restrictions sanitaires : en présentiel.
Il avait eu un vrai coup de cœur pour cette maison, il s’imaginait déjà dedans dès la première visite.
Il fallait beaucoup monter, mais il ne le regretta pas, car la vue était magnifique, depuis le jardin, on voyait la Seine à l’Est et le château de Monte-Cristo au sud.
Les fenêtres du premier étage de la partie ouest donnaient une vue imprenable sur la forêt domaniale de Saint-Germain-en-Laye.
La maison faisait deux cents mètres carrés de surface répartie sur deux étages avec quatre chambres à l’étage et deux salles de bains (une pour chaque étage), au rez-de-chaussée se trouvait la cuisine, la salle à manger donnant sur le jardinet sur le côté de la maison ainsi que la salle de cinéma qu’il avait fait installer avec un accès direct sur un immense salon.
À l’extérieur, il bénéficiait d’un bon terrain où il avait fait construire un carport pour abriter le bar et son salon d’été.
Mais une de ces autres folies avait été la construction d’une cabane par des professionnels pour Max, il ne le regrettait pas quand il voyait son fils et ses ami(es) se réfugiait à l’intérieur pour leurs jeux.
Il en avait eu l’idée en voyant un reportage sur le basketteur Stephen Curry et ses filles.
Mais un des autres atouts charme de la maison était son sous-sol où se trouvait la cave à vin, le garage, mais surtout la piscine couverte et chauffée sans compter le spa qu’il avait fait installer en plus.
Il avait dépensé une fortune pour cette maison, mais sa nouvelle situation et sa volonté de donner le meilleur cadre possible afin que Max puisse s’épanouir était ce qui comptait le plus, rien d’autres n’avaient d’importance.
Il demanderait à Chantal qui s’occupait de l’entretien de la maison en son absence de faire quelques courses supplémentaires en plus de celle qu’elle avait déjà faite pour lui.
Il allait depuis l’application de la banque, lui alimentait le compte qu’il mettait à disposition pour les courses, les produits d’entretien et autres produits pour la maison.
Il prit une douche puis s’enferma dans son bureau qui donnait sur la cabane du petit, comme cela tout en travaillant, il avait toujours l’œil sur son petit garçon.
Il fit quelques appels visios avec ces adjoints et adjointes pour connaître l’avancement des dossiers (depuis Doha, il avait été plus compliqué de faire des réunions).
A 15 h 30 il prit la voiture pour aller chercher Max.
Ce dernier lui sauta dans les bras quand il le vit, il était enchanté de passer ces prochains jours avec papa.
Il en profita pour l’emmener au parc et pour lui offrir une glace, il faisait encore très bon en ce début d’automne, le petit avait choisi Fraise/Vanille, mais toutes les deux minutes, il voulait gouter au Chocolat/Pistache de papa.
Le soir, après le repas préparait par Chantal, il lui brossa les dents, le doucha puis lui raconta une nouvelle aventure de la Pad Patrouille (Cal lui avait offert toute la collection), ensuite vint le moment de l’appel avec Manon et Alex.
Cal embrassa ensuite son fils, le coucha et lui souhaita bonne nuit.
Il échangea des nouvelles avec Manon sur leurs familles respectives, Papy André s’était mis avec une femme qui avait 22 ans de moins que lui et apparemment son ex Belle - sœur Pauline (épisode P) quittait Eurostar où elle était contrôleuse pour prendre un poste avec plus de responsabilité au siège.
Il termina la soirée en se mettant une série en route sur Netflix dans la salle de Cinéma.
Rien de particulier ne se passa le vendredi, mais les choses changèrent le samedi matin avec l’appel de Javier (son adjoint pour l’Amérique du Sud) durant le petit déjeuner ; les membres de son équipe savaient qu’il ne fallait pas le déranger quand il avait Max, si Javier l’appelait, c’est que c’était urgent.
La société brésilienne Amazocopteros qui organisait des voyages en hélicoptères au-dessus de l’Amazonie n’avait pas reçu la première partie de la commande de pièce qu’ils avaient fait il y a de cela 1 mois et demi et menaçait d’annuler le contrat qui les liés (on parle tout de même d’un contrat de 3 millions de dollars).
Bon pas de panique, voyons les choses posément : la sortie avec Salma, son mari Clément et leurs deux enfants à Disneyland avec Max était prévu dimanche, c’est probablement la sortie du Muséum d’Histoire Naturelle qui serait remis à plus tard.
Bon les dinos attendront, Max fut un peu déçu, mais il comprenait heureusement bien à son âge ce genre de situation, le petit bonhomme fut néanmoins enchanté de passer du temps avec sa baby-sitter habituelle : Charlotte.
L’étudiante en science du langage était employée par Manon notamment quand elle et Alex devait se rendre à des galas ou des rendez-vous tard chez des amis.
Pour ne pas perturber le petit, son ex-femme lui avait donc recommandé Charlotte.
Il l’appela pour connaître sa disponibilité. Mis à part quelques révisions pour ces prochains partiels, elle n’avait pas grand-chose de prévu un samedi et heureusement pas d’autres gardes ce jour-là, elle arriverait dans 30 minutes.
Il dit à Javier qu’il prendrait le dossier en charge dans 45 minutes.
Il mit un petit polo blanc Ralph Lauren (il aurait sûrement des appels visio a passé donc on allait éviter le vieux t-shirt de Week-end), un pantalon d’alpaga blanc et une paire de Giuseppe Zanotti également blanche.
Il rejoignit son fils avant que sa baby-sitter n’arrive.
Charlotte c’est une blonde assez grande pour une jeune femme (1,78 m), il lui semblait qu’elle lui avait dit faire du volley-ball.
Elle avait de beaux yeux couleurs bleu cristallin, c’était assez envoûtant tant que son interlocuteur n’a pas les yeux plongés dans son décolleté (un bon 95C a vu d’œil), même le côté pile paraissait prometteur, une bonne paire de fesse, le tout sur une très bonne longueur de jambe.
La première fois qu’il s’était rencontré, elle avait revêtu un jean avec un croc top par-dessus, il lui avait été difficile de ne pas jeter des coups d’œil dans son décolleté si bien mis en valeur, elle paraissait l’avoir remarquée puisque ces tenues sont de plus en plus audacieuses, les jupes de plus en plus courtes et les shorts de plus en plus serrés.
Bien tiens la voilà qui sonne, il porta Max sur ces épaules jusqu’à la porte qu’il ouvra sur une Charlotte très intéressante : croc top en dentelle noire qui laissait deviner le soutien-gorge en dessous, le nombril était bien visible, en bas, elle avait opté pour une minijupe de couleur blanche, la jupe s’arrêtait environ sept centimètres au-dessus du haut de sa cuisse (il ne faudrait pas qu’elle se penche devant lui, il risquait de trop en voir).
Il lui expliqua qu’il aurait besoin d’elle probablement jusqu’en fin d’après - midi, le virement serait sur son compte en fin de journée.
Toute la maison était accessible sauf bien sûr son bureau et qu’ils pouvaient assurément utiliser la piscine si elle avait pris ce qu’il fallait.
Il tourna les talons puis se ravisa, se tourna pour lui dire quelque chose mais oublia tout quand il entraperçu son string blanc par transparence, elle semblait s’entre être aperçu et lui sourit légèrement avant de vite baisser les yeux.
Une fois arrivé dans son bureau, il appela Javier (le pauvre avait dû rester réveiller une partie de la nuit,on était au milieu de là nuit à Buenos Aires) il dit à son adjoint d’aller se coucher et qu’il récupérait le dossier.
Le panneau numérique installé en haut de la porte de l’entrée de son bureau et qui affichait l’heure partout dans le monde lui indiquait qu’il était bien trois heures du matin à Manaus, au cœur de la forêt amazonienne où est situé le siège de la société Amazocopteros, il avait un peu de temps avant de devoir les appeler pour s’expliquer.
Il appela en premier Ivan, le responsable de production à Paris, puis Grégoire, le responsable d’expédition et mue par une inspiration, il contacta Mariella, la directrice des services juridiques, celle - ci ne répondait pas sur son pro donc avant d’utiliser le perso, il appela son bureau ou son adjoint Joseph l’informa qu’elle était en séminaire du côté de Marrakech.
Il ne fallait pas le prendre pour un lapin de six semaines non plus, elle était plutôt en train de s’envoyer en l’air avec deux gars qui ensemble faisaient son âge à elle, il l’exigea de Joseph de savoir où elle était descendue et joignit l’hôtel où on lui apprit que Madame Van Baarle ne voulait être dérangé sous aucun prétexte.
Il insista et réussit à la joindre dans sa chambre d’hôtel : elle était passablement énervée mais il la coupa bien vite, lui rappelant ses devoirs envers le groupe et que si ça ne lui plaisait pas, il pouvait aller plus haut en référer à Béa.
Ne se sachant pas en position de force face à lui, surtout que chacun savait qu’il était le bras droit officieux de Béa, elle se montra plus encline à trouver des solutions.
Elle allait se mettre en relation avec ces équipes sur place pour en savoir plus, il lui confirma un Teams avec l’ensemble des intervenants du groupe pour 13 h 30 avant un autre de son côté avec les dirigeants d’Amazocopteros à 15 h.
Il en profita pour aller passer un peu de temps avec Max et Charlotte en attendant, il les observa jouer ensemble.
La blonde assez étonnamment avait du mal à le regarder dans les yeux, c’était surprenant sachant qu’elle était toujours assez franche et directe, il faudrait qu’il lui demande si tout aller bien.
Il déjeuna rapidement avec Max et Charlotte avant de s’enfermer dans son bureau d’où il pouvait surveiller la chambre de Max grâce à la caméra qu’il avait installée.
Vers 13 h 15, Charlotte lui apporta un café et lui expliqua qu’elle emmenait Max au parc afin qu’il puisse travailler tranquillement, il la remercia et lui demanda si elle allait bien, elle lui dit que oui en baissant trop vite les yeux puis les remonta et le fixa en sortant.
Tiens, c’était curieux, il allait devoir la cuisiner un peu sans être intrusif non plus, mais pour l’heure la réunion, allez commencer.
Ivan lui apprit que la marchandise était bien sortie de leurs ateliers à Buenos Aires et qu’il avait était pris en charge par les équipes de Grégoire à l’expédition, ce dernier confirma le départ de l’avion transportant la marchandise de l’aéroport d’Ezeiza à 14 h (19 heures GMT), il aurait dû arriver en fin d’après-midi à Manaus.
C’est finalement Mariella qui leur apporta la réponse à la question, l’avion avait été dérouté par l’armée paraguayenne quand l’avion a transité au-dessus de la frontière du Paraguay pour un signalement pour une affaire de drogue.
Ces équipes à Asuncion faisait le nécessaire; il ne fallait pas négliger un signalement malveillant soit d’un concurrent de Spittrain ou de l’Amazocopteros éventuellement.
Ce qu’il rapporta ensuite lors de la réunion avec les représentants de son client : Reinildo le PDG, Estrela la directrice financière et José le directeur du droit.
Quand il souleva la question du faux signalement à l’armée paraguayenne, Reinildo conclus tout de suite que c’était encore un coup tordu de son cousin Joazinho qui dirigeait une société concurrente.
Il promit de les tenir au courant tout au long de la journée de l’avancement du dossier et qu’il suivrait le vol de l’avion jusqu’à son arrivée à Manaus.
L’avion se posa avec une journée de retard sur l’horaire prévu, les avocats de Mariella avaient bien travaillés, il la remercia et lui souhaita avec un clin d’œil de bien s’amuser, elle rougit jusqu’aux oreilles, mais ne dit rien de plus avant de fermer sa page Teams.
Il lui restait un peu de temps pour jouer avec Max avant de le coucher, celui - ci était ravie, car il avait retrouvé certains de ces camarades d’école au parc, il proposa à Charlotte de rester dîner avant de repartir, elle hésita mais accepta finalement sa proposition.
Après avoir mis Max au lit, le papa se mit aux fourneaux, Charlotte eut l’air surprise, elle devait s’attendre à ce qu’il passe une commande, mais il aimait bien cuisiner, cela le détendait ; ce fut du riz à l’autocuiseur avec un sauté de porc sauce brune, le tout accompagné d’une feuille de chêne qu’il assaisonna avec une sauce fait maison.
Il en profita pour l’interroger sur ces études et sur sa vie entre deux verres de vin rouge (un Saint-Emilion), les études se passaient bien, elle entamait sa troisième année et côté cœur mis à part quelques flirts, rien d’intéressant, elle était intéressée par les hommes plus âgés, lui dit-elle tout en le regardant droit dans les yeux cette fois-ci.
Cal avait assez l’habitude désormais de ce genre de réponse pour ne pas s’emballer, il répondit qu’effectivement qu’il n’y avait pas mieux que l’expérience pour appréhender les choses de la vie ; il savait qu’il ne répondait pas du tout à la question muette, mais si elle voulait aller sur ce terrain, il allait la faire mariner un peu.
Le trentenaire orienta la conversation vers ces passions à elle, l’étudiante lui répondit qu’elle aimait beaucoup les belles œuvres comme ces collections, notamment ces nues et plus particulièrement le Nue sur toile de Jouy du peintre japonais Foujita.
Là le sang de Cal ne fit qu’un tour : elle ne pouvait pas avoir connaissance de ce tableau, il était encore dans le coffre-fort de son bureau, car il n’avait pas encore décidé de l’endroit où il allait l’accrocher, elle lui avait été apportée par sa galeriste Natacha il y a à peine deux semaines.
— Comment vous pouvez être au courant pour ce tableau, lui asséna-t-il avec un ton légèrement accusateur.
Ce tableau n’est pas sorti de mon coffre depuis que je l’ai reçu !
— Eh bien… commença-t-elle tout en se triturant les doigts l’air coupable
— J’écoute !
— Eh bien, il y a 2 semaines quand j’ai gardé Max, en repartant, j’ai oublié mes notes de cour et je suis revenue les chercher, je suis désolé !
J’ai mémorisé le code du portail pour ce genre de cas justement, je n’ai pas vu de lumière à l’entrée donc j’ai fait le tour par le côté.
La lumière venait de votre bureau, j’ai voulu m’approcher pour vous prévenir mais…
— Oui !
— Vous étiez…Euhhh… pas seul et vous…
— Oui, qu’étais-je en train de faire ?
— Vous étiez en train de vous faire… sucer par une femme blonde.
— Ah, je vois, et vous avez aimé ce que vous avez vu, mademoiselle ?
Elle bafouillait de plus en plus, elle transpirait et il en était certain, ça commençait aussi à être bien mouillé entre ces jambes, il allait pousser son avantage.
— Oui Monsieur, j’ai vraiment aimé voir cette, femme vous sucez, répondit-elle franchement sans cacher son état d’excitation.
— Et vous auriez aimé être à sa place à genou en train de me pomper ?
— Oh oui Monsieur !
— Alors que je résume, enchaîna - t - il sur un ton accusateur.
De un, vous avez mémorisé le code du portail, de deux, vous êtes entrée sur la propriété sans mon autorisation et enfin de trois, vous m’avez espionné, tout en comptant sur ces doigts ; vous savez que vous êtes une vilaine fille ? Et vous savez ce que je fais aux vilaines filles ?
— Non-monsieur, alors qu’elle n’arrêtait pas de bouger d’un pied sur l’autre.
— Je les punis ! Assena-t-il, tout en se levant de table pour aller s’asseoir au milieu du canapé d’angle trois places en cuir, levez-vous et venez ici !
Elle se déplaça docilement vers le canapé.
Il lui tendit la main quand elle arriva sa hauteur, et sans savoir ce qui allait arriver, elle le fit, il tira donc sur ce dernier et l’allongea en travers du canapé sur ces jambes ; elle était désormais parallèle à lui.
Cal commença avec sa main droite à remonter sa cuisse vers la limite de sa minijupe et remonta ce dernier pour découvrir ces deux globes fermes séparés seulement par la ficelle du string, le modèle Soleil Nocturne de chez Aubade avec sa doublure en dentelle : un ravissement.
Il traça des arabesques sur ces fesses d’abord, puis sans prévenir abattit sa main droite sur sa fesse gauche.
Elle fut prise par surprise et gémit légèrement, mais attendait patiemment la suite tout en le regardant de biais, elle avait un joli sourire et les yeux pétillants.
Alors en lui souriant avec son éternel demi - sourire, il lui claqua l’autre fesse et enchaîna les claques sur sa peau charnue, après six allers-retours et tandis que sa peau rosissait, il lui rentra directement le majeur dans sa caverne qui était totalement détrempé et se mit à la doigter comme la dernière des traînées.
Elle se mit à gémir de plus en plus et à souffler avec force, preuve que sa puissance n’était pas loin, il arrêta alors son manège et lui dit.
— Debout petite traînée ! Montre-moi que tu peux m’exciter en te déshabillant, puis mets-toi sur le fauteuil et touche-toi !
Elle exécuta son ordre avec empressement.
Elle retira d’abord son croc top en dentelle ensuite vint le tour du soutien-gorge qu’elle abaissa pour lui présenter deux seins bien laiteux, un bon 95C à bien prendre en main, elle les soupesa et passa sa langue sur chacun de ces tétons et tira sur les pointes, ce qui la fit gémir d’autant plus.
Elle passa ses mains dans son dos et dégrafa le vêtement devenu superflu qui tomba au sol, se tourna et tira sur la fermeture éclair de sa jupe qui a son tour tomba au sol.
Elle enjamba et fit bouger ses fesses en se mettant à twerker et à prendre des positions lascives, elle voulut retirer son string, mais il lui dit de le garder.
Elle se mit alors sur le fauteuil et toujours dos à lui se mit à se doigter la chatte avec le regard tourné légèrement vers lui, elle se donnait du mal la demoiselle pour son bon plaisir, mais semblait prendre vite son plaisir, alors il lui dit de lui présenter son côté face et de continuer.
Désormais deux doigts coulissé dans sa chatte et un doigt effleuré de plus en plus son anus, tandis que de son autre main, elle se triturait les seins, la jouissance était proche, il le sentait et c’est à l’instant où elle rentra son doigt entre ses fesses qu’il s’adressa à elle.
— Stop ! Tu arrêtes de te toucher ! À quatre pattes petite chienne et rampe vers moi !
Ce petit jeu de dominant / dominée lui avait donné une trique d’enfer qu’il sortit de sa braguette et tendit ostensiblement vers elle.
Elle se mit à quatre pattes comme il lui avait ordonné et tout en avançant sur le sol, se mit à remuer de l’arrière-train ; quelle chienne vraiment ! Pensa-t-il
Quand elle arriva à sa hauteur, il commença à la biffler avec son membre de chair puis il frotta sa bite sur le bout de ses lèvres qu’elle entrouvrit pour lécher le bout.
— Aller suce-moi ! Et applique-toi sinon je saurai te le faire regretter !
Elle s’employa à le sucer du mieux qu’elle put, bava abondamment afin de bien la lustrer sur toute sa longueur, la vue était incroyable.
Il y avait là une fille d’à peine vingt ans à genou entre ces cuisses avec rien d’autres qu’un string et une paire d’escarpins en train de lui tailler une pipe.
L’homme en voulait plus, alors il se mit debout et lui attrapa sa queue de cheval pour dicter le rythme, cette fois il y allait franco, en lui baisant littéralement la bouche et plusieurs fois, elle faillit s’étrangler quand il la força à une gorge profonde, mais chaque fois, elle revenait et tentait d’aller le plus loin possible ; quand il sentit son nez sur son pubis, il ne put s’empêcher de prendre un cliché avec son smartphone.
Cela n’eut pas l’air de la déranger, car elle suçait encore plus fort, il ne se sentit presque pas partir, au dernier moment, il lui attrapa l’arrière de la tête et poussa le plus loin possible pour expulser tout le sperme qu’il avait au fond de sa gorge.
Elle déglutit plusieurs fois, faillit s’étouffer, mais le bu et le nettoya jusqu’à la dernière goutte.
— Bonne chienne, tu l’as aimé ton os ? Tu as bien mérité une récompense.
Sans lui demander son reste, il la retourna et la posa sur le canapé, pour la doigter avec fureur dans les deux trous.
En moins de deux minutes, elle se mit à feuler et à gémir.
Il était bien content de savoir que la chambre de Max était la pièce la mieux isolé de la maison (il recevait parfois des clients à la maison et quelques fois le soir), il jeta quand même un coup d’œil dans le visiophone, son petit dormait à poing fermé, il allait pouvoir passer à la suite des réjouissances.
Cal se débarrassa de ses derniers vêtements, récupéra une capote sans son bureau pendant qu’elle se reposait un peu sur le canapé, il l’attrapa par les deux cuisses et la hissa telle un fétu de paille sur lui, la fit glisser un peu et l’empala avec son pieu avant de se mettre à la besogner avec force au milieu du salon.
Et tandis qu’il la baisait, sa question fusa :
— Alors, elle est comment ma queue de vieux ? Tu l’aimes hein ?
— Ouiiii, Monsieurrr, elle me fait trop de bienn… Oui comme ça, j’aime ce que vous me faites, vous me ramonez bien à fond, vous me ravagez la chatteeee
— Tiens prend ça et ça ! Continua - t - il tout en la faisant monter et descendre de plus en plus vite sur son vit, tu veux autre chose pour te combler peut - être ?
— Oiiii encore, oui, mettez votre doigt dans mon cullll, enculez-moi monsieur, je suis votre chienne, plus vite, s’il vous plaît….
— Avec plaisir mademoiselle.
Son doigt coulissa dans son conduit anal, il pouvait le sentir à travers la membrane entre sa chatte et son cul ; puis il la colla à la baie vitrée.
Il avait une magnifique vue sur la ville et en même temps par le reflet, il voyait sa queue qui rentrait et sortait ainsi que son doigt qui l’enculait.
Après plusieurs minutes de ce traitement, il la retourna et commença à lui faire le cul debout contre la baie vitrée tout en lui tirant sur sa queue de cheval.
La jeune blonde gueulait comme un goret alors, il tira plus fort sur la queue de cheval, la colla à lui et lui glissa :
— Ferme la sale pute, tu vas réveiller mon fils ! Et pour faire bonne mesure, il lui bâillonna la bouche avec sa main.
Puis la bourra encore tout en la doigtant de l’autre main, ce qui la fit jouir du cul, ses parois se contractant autour de sa queue et de ses doigts.
Mais notre beau mâle n’en avait pas fini avec elle, il la coucha sur le canapé et se plaça au-dessus d’elle.
— Écarte bien tes deux fesses, on va repartir pour un tour, quand j’en aurai fini avec toi, tu marcheras plus droit.
L’étudiante lui obéit et écarta au maximum ses deux fesses, il put donc la bourrer en mode marteau-piqueur avec de fréquent changement de rythme.
Deux autres orgasmes suivirent avant qu’il ne lâche un torrent de sperme sur ses deux globes rebondis, il ne se souvenait pas en avoir déjà lâché une telle quantité.
La nuit fut très longue, les deux amants baisèrent encore dans la piscine, le maître des lieux l’avait notamment sodomisé sur le bord de la piscine et elle l’avait chevauché dans le spa.
C’est totalement vidé qu’il la laissa partir aux alentours de quatre heures du matin, la jeune femme marchait presque en canard.
Notre héros dut dormir à peu près trois heures et c’est seulement au bout du troisième café serré qu’il eut plus les idées claires, fort heureusement Max quoiqu’un peu fatigué, fut un amour ce matin-là.
Salma et Clément comprirent vite à sa tête que la nuit fut agitée, ils étaient morts de rire, mais son amie eut la bonté de s’occuper des petits une bonne partie de la matinée, chargeant son mari de l’aider à retrouver une meilleure tête et surtout de récolter un maximum de détail.
Ce fut une excellente journée avec son fils, ce dernier était encore tout excité avec sa peluche Woody et son ballon Mickey quand il le déposa chez Manon.
Il lui expliqua rapidement le déroulement des derniers jours en essayant de ne pas trop en dire sur sa folle nuit avec Charlotte, mais son ex n’était pas dupe et il lui sembla percevoir un clin d’œil que Manon fit à Alex.
Le trentenaire allait devoir creuser cette piste, cette Charlotte semblait plus mystérieuse qu’il n’y paraissait.
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Voilà une baby Sutter prise en mains!