Charme thaïlandais d'homme à homme - histoire érotique

J’ai 26 ans, je me prénomme Duang, fils unique, je bosse dans une agence bancaire. Bien que né en région parisienne, mes parents sont thaïlandais tous les eux, ils ont quitté Bangkok en 1980 pour s’installer en France, mon père est médecin généraliste et ma mère podologue. Je suis pour ma part, très typé, je mesure 1,72m pour 65Kg, je suis brun aux cheveux courts, ma peau est mate couleur miel, les yeux en amande comme une majorité de thaï, selon mes relations on dit que j’ai une gueule d’ange.
Je suis gay et le revendique sans gêne, je fréquente les milieux gay de la capitale et fais partie d’un petit groupe d’une douzaine d’amis homos avec qui nous organisons des sorties nature, cinéma ou concerts très régulièrement, nous avons entre 24 ans pour le plus jeune jusqu’à 31 ans pour le plus âgé, nous sommes quatre thaïs dans ce petit groupe hyper sympa et tous très soudés et les autres mecs sont français.
Je vis seul, ce qui me permet de vivre ma vie et ma sexualité en toute liberté, ceci dit mon lit est souvent sollicité pour recevoir mes hôtes mâles.
Nous sommes pratiquement tous versatiles… avec cependant nos préférences… la mienne est majoritairement passive.
Il nous arrive de faire quelques « extras » avec nos relations, à savoir être employés comme serveurs occasionnels, tenir le vestiaire pour des soirées semi privée, hôtes d’accueil, quelquefois chauffeur…
En fait nous ne nous considérons pas comme « Escort boys »… mais en réalité c’est tout comme, nos prestations d’extra ne sont pas censées être sexuelles au départ, mais là encore pour une grande partie d’entre elles… elles se terminent très souvent ainsi.
Pour ma part je fréquente plusieurs amis responsables de grandes entreprises, BTP, banque, PDG de centres commerciaux voire des médecins ou chirurgiens, qui me demandent assez souvent de me « libérer » pour passer une soirée intime avec eux, bien qu’ils soient pour la plupart (pas tous) reconnus comme hétérosexuels, mariés avec enfants.
En ce qui me concerne la semaine dernière j’ai été sollicité par Aurélien le PDG d’une société de transport routier qui m’a invité à passer l‘après-midi avec lui dans un bel hôtel de la banlieue ouest.
Aurélien à 39 ans, il est marié avec deux enfants de 15 et 18 ans, il m’appelle assez souvent pour passer un moment érotique avec moi, il est accro du charme des jeunes mecs thaïlandais, il m’a confié que mon charme, ma beauté, ma sensualité et surtout mon cul représentaient le summum de ces fantasmes sexuels, il considère ces moments d’évasion comme une récompense suprême de plaisir charnel, selon lui baiser un jeune thaï lui procure plus de plaisir que baiser sa femme.
On se voit au minimum une fois par mois voire plus, il est exigeant sur mes tenues sexy à adopter… Strings, jocks, tangas ou boxers taille basse, il me demande d’être totalement passif… Ce qui me convient parfatement, il m’achète régulièrement des sous-vêtements qui l’excite, le dernier achat fut deux strings de mec en dentelles bien transparents, l’un noir et l’autre rouge.
Aux yeux de tous c’est un hétéro pur et dur, mais son jardin secret c’est d’enculer des jeunes mecs asiatiques soumis à tous ces fantasmes.
Avec lui, c’est clair, je dois tout accepter, ne rechigner sur aucune de ses envies… et sous aucun prétexte, jusqu’ici je dois dire que nos escapades coquines ont toujours été super bonnes, à chaque fois je dois être sa lope de service, il embrasse avec passion, il a un corps bien sculpté, il pratique la natation et la course à pieds, il est très endurant voire épuisant côté sexe, il a une queue bien veinée de près de 18 x 4 cm et des couilles rasées et bien pendantes de tailles assez impressionnantes... Je les adore !
Lorsqu’il éjacule c’est une fontaine à jus, je n’ai jamais eu de partenaire autant générateur de
Sperme ! Il se refuse à enfiler une capote mais il est clean côté statut VIH.
Vendredi dernier on s’est donc retrouvés à l’hôtel habituel, il arrive toujours en premier et moi je le retrouve un quart d’heure plus tard dans sa chambre. Il fait approvisionner par habitude une bouteille de champagne et deux flûtes.
A peine arrivés, il a fait tomber sa veste et moi mon blouson et nous nous sommes couchés dans le grand lit double, durant près d’une demi-heure on s’est galochés et palpés en déboutonnant nos chemises, ouvrant nos braguettes, glissant nos mains dans nos boxers déjà tendus et l’on a fini tous les deux à poil avec nos fringues éparpillées autour du lit.
Nous sommes allés directement dans la douche à l’italienne de la belle salle de bain de marbre blanc et nous sommes savonnés, palpés, sucés, léchés sous le jet d’eau chaude pendant vingt bonnes minutes, Aurélien et moi sommes à cheval sur une hygiène irréprochable avant de nous envoyer en l’air.
Après nous être séchés mutuellement, Aurélien m’offrit une flûte de champagne que l’on but rapidement car impatients de profiter des prochaines étapes… Nous n’avions que quelques heures devant nous, il m’imposa de mettre un jock-strap jaune qu’il venait d’acheter. C’est lui qui me l’ajusta afin de bien mouler mon service trois pièces… Il me coucha au sol sur la moquette et commença par me lécher les pieds, puis les mollets, les cuisses, puis me retourna pour engouffrer sa langue dans ma raie fraichement nettoyée… Il avait la trique habituelle… mes 14 cm faisaient pâle figure près de son pieu… mais nous étions habitués… et il y a longtemps que je ne m’offusque plus d’être moins bien monté que mes partenaires… La nature est ainsi faite… Il faut l’accepter et s’éclater avec !
Il me demanda alors de lui mettre son anneau pénien qu’il sortit de sa poche de veste, il était couché sur le dos, les jambes écartées, sa paire de couilles tombant et bouchant en partie son anus… Je suis habitué à lui enfiler cet anneau de silicone que je tends pour passer son zob et sa paire de couilles, puis dans la foulée j’engouffre sa queue dans ma bouche pour commencer à le sucer… Il ne tarde pas à gémir, je suis un expert en suce, j’adapte ma fellation de façon à monter crescendo, je lui décalotte totalement le gland en même temps que je le salive abondement, je lui masse le bout de ce gland jusqu’à obtenir l’ouverture du méat, puis ma langue longe sa tige en allers-retours méthodiques, puis je lui absorbe ses couilles lisses, rasées de près et bien suspendues, je les masse avec ma langue par mouvements circulaires, en le branlant d’une main et je lui doigte l’anus de l’autre, bien qu’il n’aime pas être pénétré par une bite mon PDG… Il adore se faire doigter et apprécie le massage de sa prostate qui le fait se dandiner, se tortiller de plaisir anal, puis après de longues minutes de massage et léchage de ses organes de mâle en rut il me supplie :
« Arrête Duang, arrête mon amour… ne me fais pas jouir maintenant, tu es trop doué pour me faire monter la sauce… petite chienne que j’adore, je veux t’honorer avec faste ma petite lope adorée… Je t’aime…. Tiens je vais te mettre ce beau joujou dans ton petit cul ! » Et je le vois se lever et fouiller dans son pantalon négligemment jeté au sol, il sort un petit sac satiné noir d’où il sort un plug métal tout brillant avec un beau diamant rose, le diamètre est d’environ 5 cm… Il se met le plug en bouche pour l’humecter, me lèche la raie et l’anus en me crachant à plusieurs reprises en écartant mes fesses… Moi, jambes écartées en position de levrette, mon jock offrant mon cul à Aurélien et ma bite bandée tend l’élasthanne de mon jock… Je sens mon anus s’ouvrir sous ses sollicitations salivaires et doigtées, puis il me présente le plug et me l’enfonce par étapes, mon trou est sollicité pour accueillir ce corps étranger que j’affectionne de porter assez souvent mais avec un diamètre moins optimiste !
« Allez petite chienne, prend ça dans ton petit cul et profite de cette pénétration avant de recevoir ma queue bien raide qui te remplira les entrailles de mon nectar que tu affectionnes… ma petite salope… Tu es toujours aussi beau et bandant, espèce de pédé adoré ! » me lança-t-il en me claquant gentiment les fesses.
J’adore lorsqu’il emploie ces mots crus et qui pourraient paraître blessants à certains… moi ces adjectifs me stimulent, j’aime me sentir humilié par un maître, d’autant que malgré ce vocabulaire de charretier Aurélien respecte parfaitement mon corps.
Soudain, il me vira mon jock, je me retrouvais nu comme un ver et il me demanda de m’imaginer faire un défilé de mode dans cette grande chambre en tortillant du cul et ainsi faire jouer mon plug, qui ne laissait apparaître que ce gros diamant rose étincelant, il mis une musique d’ambiance via son smartphone et me demanda de l’exciter en me trémoussant par mes allers-retours dans la chambre, la musique rythma mes déhanchés aguicheurs, lorsque j’arrivai prés de lui je tortillais mes fesses pour lui faire apprécier le diamant de ce gros plug assez lourd qu’il m’avait enfilé dans l’anus, tout en me matant il se branlait langoureusement de coquin, son cockring lui serrant bien la base de sa queue…
Je me retournai et il se mit à me branler de son autre main… Soudain il me dit :
« Je vais te retirer ton plug maintenant qu’il t’a bien ouvert le trou et le remplacer par mon pieu, je veux t’enculer bien profondément, je veux sentir ta chaleur interne et m’introduire au plus profond de toi…. Tu me rends fou Duang… laisse-moi te baiser comme un vrai pédé, je ne résiste pas à ton petit cul de salope…
« Mets-toi à quatre pattes sur la moquette et écarte bien tes fesses petite chienne thaïlandaise bandante à souhait… » me dit-il de façon semi autoritaire.
Je m’exécutai sans souciller, impatient qu’il me pénètre avec sa queue bandée comme un taureau… Il me tartina l’anus de gel qu’il venait de récupérer sur le lit… puis m’enfonça ses deux doigts pour enduire profondément mon orifice anal, s’enduisit la queue jusqu’aux testicules… Enfin, il me cramponna les hanches et s’introduisit facilement dans mon cul grand ouvert, il est vrai que je suis tellement habitué de me faire tringler par de belles queues que mon sphincter se dilate avec une facilité déconcertante… Et le plug avait bien préparé le terrain !
Je sens sa belle queue bien raide me fourrer avec chaleur les entrailles, Aurélien fait des vas et viens lents et profonds, il adore me pénétrer sans précipitation, il m’a déjà dit que c’était pour lui une forme d’extase de dominer la proie qui s’offre totalement à lui en prenant son temps, en sentant son gland se décalotter totalement à chaque mouvement en profondeur,
Sa sensation d’être le maître de la situation… de gérer l’enculade avec délectation, domination et soumission…
Il me lime le cul d’une façon trop excitante, moi aussi j’adore être pris sans violence, je déteste les mecs qui me défoncent le cul pour prouver leur domination de mâle en rut, d’ailleurs il y a bien longtemps que j’ai pu vivre ce type de sodomie brutale et bestiale qui n’a qu’un but… vider les couilles d’un mec sans sentiments pour son partenaire.
Aurélien est tout autre, bien sûr il joue le maître dominateur, mais avec délicatesse et sensualité il arrive à me transporter dans un monde doux et passionné, respectueux de mon corps et à la recherche de l’extase commune… c’est trop bon !
Il me lima le cul pendant plus d’une demi-heure en enchainant ses râles de mâle excité, ses gémissements de plaisirs, sa queue toujours aussi raide et chaude dans mon ventre, c’est moi ensuite qui donnais le rythme d’avancer et reculer en me tortillant, je me délectais de sentir ce pieux me labourer sensuellement le cul…
Puis d’un seul coup il gémit en me disant :
« Je sens que je viens, je vais te cracher mon jus dans ton corps de rêve… ma petite salope adorée… je vais vider mes burnes du sperme chaud et épais que tu aimes tant jeune tantouze que je vénère »
A ces mots crus et vulgaires j’entrai en transe, me faire enculer avec une telle classe de vas et viens lents et profonds… je sentis le rythme qui s’accélérai et qui annonçait une éjaculation imminente… Puis je ressentis un jet, puis deux puis trois en moi, je gémissais, mon orgasme était à son comble, j’étais trempé de partout, je jouissais comme une vraie pute, dans ces moments d’extase je me sens tellement femelle… mon corps était à lui, il pouvait m’éclater le cul, me remplir de sa semence abondante… j’étais totalement parti en criant des « Encore », « Encule-moi fort », « Défonce-moi », « Féconde-moi » ….
Après m’avoir tapissé les entrailles de son sperme chaud et visqueux, il sorti son membre, me retourna sur le dos et continua de larguer sa purée chaude sur mon visage et mes cheveux, puis m’engouffra sa pine au gland violacé et baveux dans la bouche et me baisa la bouche en gorge profonde et les jets venaient s’éclater sur ma glotte à chaque pénétration profonde, je manquai de tirer au cœur avec ce gourdin énorme qui m’empêchait de respirer par la bouche, ses grosses couilles pendantes venaient battre mon menton à chaque coup de boutoir…
Puis il se retira, ma bouche et mon anus recrachaient l’excédent de sa liqueur blanche et épaisse, ce trop-plein de sperme s’étalait sur la moquette de la chambre… Aurélien tira le drap pour essuyer sa queue encore bandée et nettoyer cette abondance de jus… Moi je débordais de partout !
Mon PDG avait assuré une nouvelle fois comme un as, un baiseur de première, il me dit :
« Tu sais, ton corps de jeune thaï, svelte et coloré m’excite tellement que je n’arrive jamais à baiser ma femme comme je le fais avec toi, d’abord parce qu’elle refuse la sodomie et sa chatte est moins gourmande que la tienne, tu as tout d’une pute… tu es pédé passif jusqu’au bout des ongles mon amour… Je t’aime trop mon Duang, avec toi je m’éclate et je ne peux plus me passer de ton corps »
Après ces révélations flatteuses nous prîmes la direction de la douche à l’italienne, où mon soi-disant hétéro me suça jusqu’au jus… il en pris plein le visage ce qui m’amusa beaucoup, puis, à peine séchés nous nous étalâmes sur le lit et enlacés nus, bite contre bite, nous nous roulâmes des pelles gourmandes et nourries, Aurélien me léchai la raie en enfonçant exagérément sa langue dans mon fondement en guise de remerciements puis durant une bonne heure nous nous endormîmes.
Soudain son smartphone nous réveilla, il devait repartir au bureau.
Il se rhabilla, j’en fis autant en enfilant le string de dentelles rouge transparent qu’il m’avait apporté, avant de partir il me palpa mon entrejambe bien visible en me déposant un baiser sur la bouche et me dit :
« Tu es à croquer dans ce string de dentelles… A très bientôt Duang, mon petit pédé adoré, ce soir en me glissant dans le lit conjugal je ne penserais qu’à ton petit cul et ta douceur charnelle… j’aurai la trique et ma femme pensera que c’est elle qui m’excite ! »
Comme j’aime me sentir près de toi et surtout en toi mon petit amour interdit.

La prochaine fois je vous raconterai les extras très spéciaux réalisés avec mes amis gays lors d’une « réunion de travail » entre médecins…