CHARMED: l'origine de leurs pouvoirs, façon porno# Gremlins

Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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CHARMED: l'origine de leurs pouvoirs, façon porno# Gremlins
CHARMED. L’origine de leurs pouvoirs, version porno.
DEUXIEME PARTIE : Gremlins. Quel est le rapport ?
Paige intègre la saga de Charmed , après la mort de sa demi-sœur ainée Prue. Elle devient donc la plus jeune des sœurs. Paige est aventureuse, indépendante, et obstinée. Comme ses demi-sœurs, Paige apprend qu’elle est une sorcière, enfant secret de la mère des sœurs Halliwell , Patty, abandonnée à la naissance et élevée par des parents adoptifs.
Les sœurs Halliwell ont perdu à la mort de Prue une grande partie de leurs pouvoirs. Il faut donc les reconstituer et Paige en prenant la place de Prue doit elle aussi connaître le Grand Maître et se soumettre au rituel.
Suite :
Paige :
Quand vous apprenez du jour au lendemain que vous avez trois « sœurs », c’est dur à avaler. Que l’une d’elle est morte dans des conditions bizarres, ça ne s’arrange pas. Quand deux tantes inconnues vous prennent à part pour vous dire qu’elles sont des sorcières et que ces nouvelles sœurs aussi, je me demande si je ne suis pas tombée dans un asile de folles furieuses.
Mais les révélations s’enchainent encore : Je serais moi aussi une sorcière et dois reformer la trilogie avec Piper et Phoebe après que me soient révélé mes pouvoirs.
Là où ça bloque pour moi, c’est quand on m’explique comment y parvenir. Jackie, une de mes tantes, me dit comment acquérir les pouvoirs de mon ancêtre Melinda Warren, enfin ce qui avait été transmis à Prue. Il faut que je fasse la connaissance du seul mâle de cette histoire et c’est lui qui me transmettra le don, mais pas par des grimoires et autres incantations. Il va donner de sa personne, et moi aussi d’ailleurs. Il se prénomme Tom, on m’a montré des photos de lui mais c’est à peine si je le reconnais, le gamin frêle de la photo n’a rien à voir avec ce jeune homme digne des défilés de mode, un vrai Appolon.
Ce n’est pas que je sois une fille innocente, je n’ai eu qu’un petit copain et il ne tiendrait pas la comparaison. Mais tante Jackie me met en garde, un avertissement, une clause écrite sur un certain livre magique lui pose souci. Nous sommes en début avril… Et alors…
Pour me mettre dans le bain et après m’avoir expliqué en détail les bienfaits de la liqueur de ce jeune mâle suivant les endroits où on le reçoit, elles me demandent de n’être que spectatrice pendant une soirée de débauche. Je dois dire que je suis favorablement impressionnée en voyant Tom pour la première fois entièrement dénudé par Phoebe et Piper. Il a un corps de rêve, de beaux pectoraux, une tablette de chocolat et surtout une verge qui, bien que molle, est déjà de la taille de celle de mon copain en pleine érection. En vraies expertes elles ont tôt fait de changer la consistance de ce serpent qui se transforme en un gourdin impressionnant de bonne taille, mais surtout massif. J'ai envie de l'embrasser, de le caresser, de lui donner aussi du plaisir mais je me retiens et assiste, médusée, à une véritable bacchanale.
Elles ont beau être deux pour un seul mâle, il est infatigable, que ce soit pour leur brouter le minou, caresser ces deux corps magnifiques ou se servir de son service trois pièces pour les faire monter au plafond. Pour m’éduquer, Phoebe s’arrange pour tenir sa lance au moment ultime. La puissance de son éjaculation est incroyable, dantesque, autant en quantité qu’en puissance. Les jets se succèdent sans interruption, balafrant le corps de Tom de lignes blanchâtres et discontinues, mais aussi sa tête et même le mur juste derrière. Putain d’étalon !!! Je me lance et demande à Phoebe :
- Tu crois que Tom voudrait bien que j’essaie de le sucer.
- Je suis sûr qu'il serait d'accord, me rétorque-t-elle, si tu le veux vraiment, demande-lui.
-Tom, m’autorises-tu de branler ta merveilleuse bite, j'aimerais aussi la sucer.
-Je veux bien Paige. Je ne suis ici rien que pour ça, m’informe Tom.
-C’était super de vous regarder, ça m'a tellement excitée que ma culotte est toute mouillée. Ça te dérangerait si pendant que je te suce, je me caresse ?
-Bien sûr que non, au contraire, un peu d’excitation supplémentaire ne me fera pas de mal.
-Visiblement je te fais autant d’effets que mes demi-sœurs vu que ta queue est de nouveau en pleine forme, (je le félicite en osant poser ma petite main sur ce pal magnifique, n’en revenant pas de ce qu’elles m’ont affirmé : Sa queue aurait grandi de cinq centimètres en quelques mois.) Laisse-moi faire.
Je déboutonne mon mini-short, le baisse mais garde ma culotte, avant de prendre son sexe et commencer à le branler. Je n'ai jamais été dans un tel état, tellement avide de cette bite si dure que mes doigts fermés ne peuvent en faire le tour. Mes deux mains l’une au-dessus de l’autre sur sa formidable hampe me permettent pourtant de prendre en bouche sa grosse prune, jouant bien avec ma langue sur son gland. Je retire une main pour la glisser dans ma petite culotte. J'ai maintenant la bouche pleine, je suis dans tous mes états, réalisant que j’ai encore une main solidement agrippée à la base de son phallus. Je continue encore plus fort et plus vite avant d'arrêter, craignant qu’il me remplisse ma petite bouche d’une dose de sperme aussi abondante que tout à l’heure. Je veux pourtant faire juter ce gros pieu en moi. J’attends quelques instants puis reprend à nouveau à fond son dard, enfin ce que je peux supporter. J’arrive enfin à mes fins, sentant vibrer sous mes doigts sa lance prête à faire jaillir tout son suc
-Oh bon sang ! oui ça vient. Tu vas recevoir ton premier élixir et en éprouver le pouvoir, éructe Tom.
-Gloups-gloups-gloups ! ma réponse n’est qu’une suite onomatopées qui se répètent à mesure qu’il se vide les couilles dans ma bouche et que je dois avaler les unes après les autres. Un effet bizarre me prend, comme si j’avalais plusieurs tubes de fortifiant en même temps, c’est incroyable… Putain !!! C'était vraiment génial ! J'ai tout bu et c'était trop chouette. Ça m'a donné un coup de boost monstrueux. J'ai adoré me toucher en même temps. Je peux recommencer, Tom ? Merci pour ton don, Grand Maître…
-Pas tout de suite, ma bite se repose quelques minutes. Mais si tu veux continuer, il faudra retirer ta culotte. J’espère que tu n’es pas vierge. Je vais m’en assurer.
Il glisse une main dans ma culotte, me caresse la vulve très vite avant d’introduire son majeur entre mes lèvres intimes en cherchant un point sur le haut de la paroi, à l’entrée du vagin. Je le laisse faire, il sait s’y prendre, le bougre… Je me tords de plaisir et pousse des petits cris.
Phoebe et Piper en profitent chacune à leur tour pour reprendre en entier dans leur bouche une queue demi-molle qui ne demande qu’à se raffermir à nouveau, et je crois qu’elles vont vite obtenir la consistance désirée.
-Non-Tom, je ne suis plus vierge. Mais mon amant n'était pas aussi bien équipé que toi.
-On dirait que le spectacle t'a plu avec tes demi-sœurs et que la marchandise te tente. Viens-t- asseoir à côté de moi et me faire un petit bisou sur la joue comme approbation de tout ce qui va suivre, tu dois entière obéissance au grand Maître si tu désires aller plus loin.
Je n'arrive plus à penser à autre chose que mes lèvres autour de sa bite, ou plutôt que si.
-Puis-je commencer par te sucer ta queue ?
-Oh oui, je te l’ordonne, suce-moi !
-J'adore quand tu m'ordonnes de te sucer. Ton concombre n’a rien à voir avec les carottes habituelles. Laisse-moi faire…
Mes mains courent sur son sexe en petit jeu pour l'exciter encore plus, je peux sentir l'énergie qui en émane. Je le branle tout doucement sans même y mettre la bouche pour faire monter encore plus le plaisir, m'appliquant de mon mieux en un va-et-vient dont J’accélère le rythme au fur et à mesure en m’occupant de tout l'attirail du costume 3 pièces, crachant même sur son nœud pour qu’il glisse de mieux dans ma bouche. Je mets son sexe entre mes seins et joue avec. Il pose sa main sur ma chatte en même temps que je le branle avant d’y mettre sa queue qui est toujours aussi dure malgré ses exploits précédents. C'est comme si elle était impatiente d'être en moi alors je ne vais pas la faire attendre.
Je me positionne enfin pour la prochaine expérience. Je fais jouer son gland sur la porte de ma chatte mais quand Tom veut me pénétrer, je mets les mains devant ma fente et mes cuisses. Il doit voit la frayeur sur mon visage. Il essaie de me calmer en m’encourageant.
-N’aie-pas peur Paige, je vais y aller doucement.
Je suis un peu rassurée mais l’introduction de son gland dans mon vestibule prouve que je ne m’étais pas trompée. Jamais une chose aussi massive ne s’est enfoncée en moi, je serre les dents mais à mon grand étonnement, ma gaine s’adapte avec quelques difficultés à son braquemard.
- Ça ne t'a pas fait trop mal quand je te l'ai mise dans la chatte ? Je peux continuer ?
-Oui, mais fais gaffe quand même.
Que n’ai-je pas dit là ? Il commence en douceur à me prendre mais assez vite, son atavisme revient au galop. Il se sert maintenant de son formidable gourdin comme d'un piston. Je n’ai jamais ressenti ça avec aucun de mes amants, mon cœur s’affole, et il n’y a pas que lui, mon vagin aussi… C’est comme s’il était branché sur le courant alternatif, se contractant et se détendant sans que je ne puisse rien y faire, broyant sa bite et me faisant ressentir une sensation que je ne connaissais pas, les orgasmes s’enchainent mais à puissance dix par rapport à ce que croyais être le « plaisir ». Est-ce que c’est parce que je suis une sorcière et lui un « Grand maître » ? Mais pour lui c’est naturel, c’est à peine s’il s’étonne :
-Putain que tu es serré ! Et les spasmes de ta chatte sont incroyables, je ne vais pas pouvoir tenir longtemps à ce rythme.
Pourtant, il me fait subir une grande partie du Kamasutra. Je suis comme une poupée de chiffon dont il se sert comme d’un vide-couilles pendant quasiment vingt minutes avant d’effectivement me remplir d’une dose de sperme incompatible avec un homme normal qui vient d’éjaculer pour la troisième fois. Ces derniers coups de bites expulsent de ma chatte le surplus de ma cyprine et de sa semence. L’effet que je ressens est immédiat, bien plus fort que quand j’ai avalé son foutre. On dirait Astérix buvant de la potion magique. J’ai l’impression que rien ne pourrait me résister, c’est ouf…
Le mois qui suit n’est fait que d’orgies. Nous accumulons nos énergies jusqu’à fin avril quand une prédiction du grand Livre se rappelle à nous d’une drôle de façon.
A suivre…
DEUXIEME PARTIE : Gremlins. Quel est le rapport ?
Paige intègre la saga de Charmed , après la mort de sa demi-sœur ainée Prue. Elle devient donc la plus jeune des sœurs. Paige est aventureuse, indépendante, et obstinée. Comme ses demi-sœurs, Paige apprend qu’elle est une sorcière, enfant secret de la mère des sœurs Halliwell , Patty, abandonnée à la naissance et élevée par des parents adoptifs.
Les sœurs Halliwell ont perdu à la mort de Prue une grande partie de leurs pouvoirs. Il faut donc les reconstituer et Paige en prenant la place de Prue doit elle aussi connaître le Grand Maître et se soumettre au rituel.
Suite :
Paige :
Quand vous apprenez du jour au lendemain que vous avez trois « sœurs », c’est dur à avaler. Que l’une d’elle est morte dans des conditions bizarres, ça ne s’arrange pas. Quand deux tantes inconnues vous prennent à part pour vous dire qu’elles sont des sorcières et que ces nouvelles sœurs aussi, je me demande si je ne suis pas tombée dans un asile de folles furieuses.
Mais les révélations s’enchainent encore : Je serais moi aussi une sorcière et dois reformer la trilogie avec Piper et Phoebe après que me soient révélé mes pouvoirs.
Là où ça bloque pour moi, c’est quand on m’explique comment y parvenir. Jackie, une de mes tantes, me dit comment acquérir les pouvoirs de mon ancêtre Melinda Warren, enfin ce qui avait été transmis à Prue. Il faut que je fasse la connaissance du seul mâle de cette histoire et c’est lui qui me transmettra le don, mais pas par des grimoires et autres incantations. Il va donner de sa personne, et moi aussi d’ailleurs. Il se prénomme Tom, on m’a montré des photos de lui mais c’est à peine si je le reconnais, le gamin frêle de la photo n’a rien à voir avec ce jeune homme digne des défilés de mode, un vrai Appolon.
Ce n’est pas que je sois une fille innocente, je n’ai eu qu’un petit copain et il ne tiendrait pas la comparaison. Mais tante Jackie me met en garde, un avertissement, une clause écrite sur un certain livre magique lui pose souci. Nous sommes en début avril… Et alors…
Pour me mettre dans le bain et après m’avoir expliqué en détail les bienfaits de la liqueur de ce jeune mâle suivant les endroits où on le reçoit, elles me demandent de n’être que spectatrice pendant une soirée de débauche. Je dois dire que je suis favorablement impressionnée en voyant Tom pour la première fois entièrement dénudé par Phoebe et Piper. Il a un corps de rêve, de beaux pectoraux, une tablette de chocolat et surtout une verge qui, bien que molle, est déjà de la taille de celle de mon copain en pleine érection. En vraies expertes elles ont tôt fait de changer la consistance de ce serpent qui se transforme en un gourdin impressionnant de bonne taille, mais surtout massif. J'ai envie de l'embrasser, de le caresser, de lui donner aussi du plaisir mais je me retiens et assiste, médusée, à une véritable bacchanale.
Elles ont beau être deux pour un seul mâle, il est infatigable, que ce soit pour leur brouter le minou, caresser ces deux corps magnifiques ou se servir de son service trois pièces pour les faire monter au plafond. Pour m’éduquer, Phoebe s’arrange pour tenir sa lance au moment ultime. La puissance de son éjaculation est incroyable, dantesque, autant en quantité qu’en puissance. Les jets se succèdent sans interruption, balafrant le corps de Tom de lignes blanchâtres et discontinues, mais aussi sa tête et même le mur juste derrière. Putain d’étalon !!! Je me lance et demande à Phoebe :
- Tu crois que Tom voudrait bien que j’essaie de le sucer.
- Je suis sûr qu'il serait d'accord, me rétorque-t-elle, si tu le veux vraiment, demande-lui.
-Tom, m’autorises-tu de branler ta merveilleuse bite, j'aimerais aussi la sucer.
-Je veux bien Paige. Je ne suis ici rien que pour ça, m’informe Tom.
-C’était super de vous regarder, ça m'a tellement excitée que ma culotte est toute mouillée. Ça te dérangerait si pendant que je te suce, je me caresse ?
-Bien sûr que non, au contraire, un peu d’excitation supplémentaire ne me fera pas de mal.
-Visiblement je te fais autant d’effets que mes demi-sœurs vu que ta queue est de nouveau en pleine forme, (je le félicite en osant poser ma petite main sur ce pal magnifique, n’en revenant pas de ce qu’elles m’ont affirmé : Sa queue aurait grandi de cinq centimètres en quelques mois.) Laisse-moi faire.
Je déboutonne mon mini-short, le baisse mais garde ma culotte, avant de prendre son sexe et commencer à le branler. Je n'ai jamais été dans un tel état, tellement avide de cette bite si dure que mes doigts fermés ne peuvent en faire le tour. Mes deux mains l’une au-dessus de l’autre sur sa formidable hampe me permettent pourtant de prendre en bouche sa grosse prune, jouant bien avec ma langue sur son gland. Je retire une main pour la glisser dans ma petite culotte. J'ai maintenant la bouche pleine, je suis dans tous mes états, réalisant que j’ai encore une main solidement agrippée à la base de son phallus. Je continue encore plus fort et plus vite avant d'arrêter, craignant qu’il me remplisse ma petite bouche d’une dose de sperme aussi abondante que tout à l’heure. Je veux pourtant faire juter ce gros pieu en moi. J’attends quelques instants puis reprend à nouveau à fond son dard, enfin ce que je peux supporter. J’arrive enfin à mes fins, sentant vibrer sous mes doigts sa lance prête à faire jaillir tout son suc
-Oh bon sang ! oui ça vient. Tu vas recevoir ton premier élixir et en éprouver le pouvoir, éructe Tom.
-Gloups-gloups-gloups ! ma réponse n’est qu’une suite onomatopées qui se répètent à mesure qu’il se vide les couilles dans ma bouche et que je dois avaler les unes après les autres. Un effet bizarre me prend, comme si j’avalais plusieurs tubes de fortifiant en même temps, c’est incroyable… Putain !!! C'était vraiment génial ! J'ai tout bu et c'était trop chouette. Ça m'a donné un coup de boost monstrueux. J'ai adoré me toucher en même temps. Je peux recommencer, Tom ? Merci pour ton don, Grand Maître…
-Pas tout de suite, ma bite se repose quelques minutes. Mais si tu veux continuer, il faudra retirer ta culotte. J’espère que tu n’es pas vierge. Je vais m’en assurer.
Il glisse une main dans ma culotte, me caresse la vulve très vite avant d’introduire son majeur entre mes lèvres intimes en cherchant un point sur le haut de la paroi, à l’entrée du vagin. Je le laisse faire, il sait s’y prendre, le bougre… Je me tords de plaisir et pousse des petits cris.
Phoebe et Piper en profitent chacune à leur tour pour reprendre en entier dans leur bouche une queue demi-molle qui ne demande qu’à se raffermir à nouveau, et je crois qu’elles vont vite obtenir la consistance désirée.
-Non-Tom, je ne suis plus vierge. Mais mon amant n'était pas aussi bien équipé que toi.
-On dirait que le spectacle t'a plu avec tes demi-sœurs et que la marchandise te tente. Viens-t- asseoir à côté de moi et me faire un petit bisou sur la joue comme approbation de tout ce qui va suivre, tu dois entière obéissance au grand Maître si tu désires aller plus loin.
Je n'arrive plus à penser à autre chose que mes lèvres autour de sa bite, ou plutôt que si.
-Puis-je commencer par te sucer ta queue ?
-Oh oui, je te l’ordonne, suce-moi !
-J'adore quand tu m'ordonnes de te sucer. Ton concombre n’a rien à voir avec les carottes habituelles. Laisse-moi faire…
Mes mains courent sur son sexe en petit jeu pour l'exciter encore plus, je peux sentir l'énergie qui en émane. Je le branle tout doucement sans même y mettre la bouche pour faire monter encore plus le plaisir, m'appliquant de mon mieux en un va-et-vient dont J’accélère le rythme au fur et à mesure en m’occupant de tout l'attirail du costume 3 pièces, crachant même sur son nœud pour qu’il glisse de mieux dans ma bouche. Je mets son sexe entre mes seins et joue avec. Il pose sa main sur ma chatte en même temps que je le branle avant d’y mettre sa queue qui est toujours aussi dure malgré ses exploits précédents. C'est comme si elle était impatiente d'être en moi alors je ne vais pas la faire attendre.
Je me positionne enfin pour la prochaine expérience. Je fais jouer son gland sur la porte de ma chatte mais quand Tom veut me pénétrer, je mets les mains devant ma fente et mes cuisses. Il doit voit la frayeur sur mon visage. Il essaie de me calmer en m’encourageant.
-N’aie-pas peur Paige, je vais y aller doucement.
Je suis un peu rassurée mais l’introduction de son gland dans mon vestibule prouve que je ne m’étais pas trompée. Jamais une chose aussi massive ne s’est enfoncée en moi, je serre les dents mais à mon grand étonnement, ma gaine s’adapte avec quelques difficultés à son braquemard.
- Ça ne t'a pas fait trop mal quand je te l'ai mise dans la chatte ? Je peux continuer ?
-Oui, mais fais gaffe quand même.
Que n’ai-je pas dit là ? Il commence en douceur à me prendre mais assez vite, son atavisme revient au galop. Il se sert maintenant de son formidable gourdin comme d'un piston. Je n’ai jamais ressenti ça avec aucun de mes amants, mon cœur s’affole, et il n’y a pas que lui, mon vagin aussi… C’est comme s’il était branché sur le courant alternatif, se contractant et se détendant sans que je ne puisse rien y faire, broyant sa bite et me faisant ressentir une sensation que je ne connaissais pas, les orgasmes s’enchainent mais à puissance dix par rapport à ce que croyais être le « plaisir ». Est-ce que c’est parce que je suis une sorcière et lui un « Grand maître » ? Mais pour lui c’est naturel, c’est à peine s’il s’étonne :
-Putain que tu es serré ! Et les spasmes de ta chatte sont incroyables, je ne vais pas pouvoir tenir longtemps à ce rythme.
Pourtant, il me fait subir une grande partie du Kamasutra. Je suis comme une poupée de chiffon dont il se sert comme d’un vide-couilles pendant quasiment vingt minutes avant d’effectivement me remplir d’une dose de sperme incompatible avec un homme normal qui vient d’éjaculer pour la troisième fois. Ces derniers coups de bites expulsent de ma chatte le surplus de ma cyprine et de sa semence. L’effet que je ressens est immédiat, bien plus fort que quand j’ai avalé son foutre. On dirait Astérix buvant de la potion magique. J’ai l’impression que rien ne pourrait me résister, c’est ouf…
Le mois qui suit n’est fait que d’orgies. Nous accumulons nos énergies jusqu’à fin avril quand une prédiction du grand Livre se rappelle à nous d’une drôle de façon.
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