CHARMED, l'origine des pouvoirs, version porno# gremlins - histoire érotique

CHARMED. L’origine de leurs pouvoirs, version porno.


Après s’être bien rassasiée, elle me demande de venir m'installer à côté de Tom sur le divan.
-Qu’est-ce que tu lui voulais à Tom ? M’interroge-t-elle comme si ce que je viens de voir était parfaitement naturel.
-A part de tomber sur ma tante en train de tailler une pipe à Tom ? Comme si c'était normal, tout à fait normal. Avoue que la situation est plus que déstabilisante. Je vous trouve tous les deux nus sur le canapé, toi en train de sucer sa bite et, et…

Suite :
Mon regard est comme hypnotisé en voyant la verge de Tom toujours bien droite malgré la fellation que ma tante venait de lui faire et ses exploits avec Prue il y a moins d’une heure. Ma tante discute comme si c’était normal de sucer Tom dans le salon. Plutôt cocasse, non ?
-Rien de plus normal pour une sorcière qui a trouvé un Grand Maître, ma chérie. Je vous ai expliqué de quoi il en retournait, à tes sœurs et toi. Ne te fais pas de soucis pour le moment. A cette étape, il peut largement forniquer trente fois par jour. Par la suite, ce ne sera plus pareil et je vous dirai en temps voulu pourquoi. Ah, tu diras aussi à tes sœurs que dans les premiers mois, le physique de Tom va beaucoup changer, il va devenir un vrai « Escort Boys » et tout ce qui va avec. Mais vous vous en rendrez vite compte par vous-même. Je t'ai donné beaucoup d’informations, alors maintenant, je vais te laisser avec ton cousin. La magie va vous apporter beaucoup, mais tout doit être fait de manière consensuelle et pour le plaisir en respectant certaines règles…

Encore des énigmes et des explications foireuses. Que sous-entend-t-elle ?
Je regagne ma chambre et attends l’arrivée de Tom. Je me suis mise dans l’ambiance dans un chemisier ultra moulant, il faut ce qu’il faut, avec un décolleté plongeant laissant apparaître une grande partie de ma poitrine et suffisamment court pour voir ma touffe si je me penche pour constater que je ne porte rien en dessous. Je sais qu'on va être réunis pour que je le fasse jouir et profiter de son énergie spermique. Ça, c’est la théorie. Que je vous fasse une petite description de moi. Je menue, 1m65, de jolis cheveux auburn mi-longs et de petits seins bien ronds en forme de pomme.
Je suis assise sur mon lit, Tom entre en short, torse nu. Je dois constater que son physique laisse à désirer, il n’est pas un habitué des salles de muscu. Il se met aussitôt tout nu, au fait. Ça met tout de suite dans l'ambiance.
-Viens t'asseoir ici.

Il accède à ma demande, le sexe déjà demi- dur rien qu'à l'idée de ce qui va suivre. Je me lance et le touche et ressens comme de l’électricité statique faire dresser tous les poils de mon corps. Je saisis alors délicatement de ma petite main son membre déjà en pleine érection, qui vibre d'excitation sous mes doigts.
-Est-ce que toi aussi tu ressens comme de l’énergie ? Me demande-t-il.

J’anone de la tête, agrippant fermement sa verge, et joue de mon poignet de haut en bas sur cette chose douce et dure, chaude comme de la braise. Ma main est enroulée dessus, je décalotte son gland gorgé de sang sans rien perdre du spectacle car seulement trois ou quatre aller/retour suffisent pour faire perler quelques gouttes translucides d'un premier plaisir annonciateur d’une éjaculation précoce.
-Continue comme ça, je ne vais pas tarder à cracher ma première obole, rien que pour toi, Phoebe…

Je joue de la lenteur, ma main coulisse sur la peau fine. Sa bite n’est pas grosse, seul son gland dépasse de ma main. Son pénis commence à trembler, moins de deux minutes m’auront suffi à le faire jouir. Son premier jet bondit bien haut et les suivants maculent ma main. L'électricité qu’il s’en dégage me charge d’énergie. Je regarde son bas-ventre où s’érige toujours sa colonne.
-Tu es encore tout dur, as-tu envie de plus d'action, comme tester ma chatte ?
J’ouvre grand le compas de mes jambes lui montrant une magnifique vue sur ma fente.
-Tu aimerais tester ma chatte, regarde, elle est déjà trempée, elle n'attend que ton dard. Veux-tu baiser ta cousine ?
-Oh oui, Phoebe, j’en meurs d’envie.

Il s’étend sur moi et commence à me prendre en missionnaire. J’ai déjà connu mieux. Au début il y va tout doux, ne connaissant pas mes préférences. Comme j’apprécie et ne proteste pas, au contraire, et commence à geindre, il s’enhardit et accélère le rythme de ses coups de reins.
-Oh oui vas-y c'est bon, plus fort que je te sente bien en moi.
Mais j’en veux plus, je le repousse, il est sur le dos et je mate son un joli piquet bien droit. Je le chevauche et m’empale sur lui. Désormais, c’est moi qui gère le rythme à mon bon plaisir, il ne bouge plus, ne faisant rien d’autre qu’admirer ma plastique. Ses mains sur mes hanches accompagnent mon corps pendant que ma chatte va et vient sur son sexe et que mes seins remuent dans tous les sens.
Deux minutes de ce pur bonheur suffisent pour qu’il me graisse la moule. Incroyable l’effet que ça produit en moi. Mais moi, je n’ai pas encore joui. Je m'arrête et me retire de son rostre. Je n’en reviens-pas, il bande toujours aussi dur ! Je me mets à quatre pattes sur le sol, bien cambrée et lui ordonne :
-Vas-y, lâche-toi, défonce-moi si tu veux, mais fais-moi jouir, bordel !!!

Tout au bonheur de me prendre en levrette, il ne se prive pas de l’occasion et suit mes consignes à la lettre, tapant de plus en plus fort jusqu’à ce que j’atteigne l’orgasme accompagné d’une nouvelle éjac de sa part. Il débande un peu mais continue ses coups de bélier, retrouvant une nouvelle fois toute sa virilité. Je ne m’en rends pas compte tout de suite car mon esprit est obnubilé par les sensations que m’a donné son sperme dans mon vagin. C’est impossible à décrire mais c’est comme si je venais de finir un marathon et n’éprouvant pas plus de fatigue que dix minutes de marche rapide.
Je perds le compte de ses exploits et ne regrette rien, en fait, depuis que j'ai eu sa bite en moi, je ne pense plus qu’à remettre ça encore et encore. Au bout de deux heures de copulation, il me demande
-Tu as déjà eu des relations avec des garçons, je suis loin d’être le premier, hein ? Ma bite est rentrée toute seule
- C'est pas tes oignons, petit con ! Je l’engueule. Tu ne crois quand même pas que j’étais une oie blanche ? Mais bordel, on dirait que tu bandes encore, tu es incorrigible…
-C'est toi avec tes histoires. Arrête de frotter ton pied sur ma bite si ça te dérange.
-Fini pour moi, Tom, je suis morte de fatigue.

PIPER :
Moi, je suis lesbienne et ça ne me dit pas grand-chose de me faire tripoter et sauter par un homme. Mais ai-je le choix ? Je demande donc à tante Jackie un coup de main, si je puis dire, et deux jours plus tard, je me décide à sauter le pas.
Nous nous retrouvons tous les trois dans ma chambre. Jackie donne ses ordres :
-Viens à côté de moi sur le lit, Tom, et toi Piper, assied-toi sur l'autre lit et regarde. Tu as aussi reçu le don, et ce que je vais faire avec lui sera encore plus puissant avec toi. Le mieux est que le plaisir soit partagé, nous lui donnons un plaisir physique, mais il est la source de notre pouvoir. Nous ne lui demandons rien d'autre. Mais quand tu le branleras, quand il te pénètrera la chatte ou le cul, tu prendras également du plaisir, encore plus que lorsqu'il m'a baisée. Maintenant regarde.

J’écoute ses explications d'un ton si affirmé, voyant qu’elle enchaîne sans autre forme de procès en glissant une main dans le short de Tom. Elle lui retire ce vêtement et je vois son sexe érigé, droit comme un I. Confortablement installée sur l’autre lit, j’observe ma tante qui branle Tom comme si c’était un geste de la vie quotidienne.
-Comme tu le constates, Piper, rien que la masturbation de sa verge me donne déjà de l'énergie mais bien sûr beaucoup moins que si on reçoit son don en soi. C’est la première méthode. La deuxième est la fellation, tu suis ?
-Oui, je ne suis pas si idiote. Je peux le prendre dans ma bouche, ma chatte ou mon cul, c'est ça ?
-Tout à fait. Regarde comment je fais, m’explique-t-elle en agrippant son sexe et baissant sa tête pour pouvoir le sucer.

En moins de temps qu'il ne faut pour l’écrire, Tom sent le contact doux, chaud et humide des lèvres de Jackie sur sa teub dressée. Elle doit avoir une sacrée pratique tellement elle maîtrise son sujet, alternant les descentes et les montées lentes et délicieuses puis plus rapides. Il ne tient pas longtemps et l’avertit qu’il va jouir. Elle retire alors la lance de sa bouche pour me faire voir le sperme jaillir du méat et engluer sa main.
-Tu vois, ma chérie, j’étale son sperme comme une crème sur ma peau qui va l'absorber. Tu veux essayer, Piper ? Et toi, Tom, j'espère que tu en as gardé pour ta cousine
-Ah Ah ! Pas un souci. L’aiguille de la jauge n’a même pas bougée, rigole Tom.
-Le préliminaire pour la fellation, c’est que tu utilises tes mains puis tu te serviras aussi de ta bouche, m’explique ma tante. Oui, continue à le caresser avec tes mains tout en faisant aller et venir ta bouche de haut en bas sur son gland. Enroule ta langue autour et lubrifie son sexe avec ta salive, n'hésite pas à cracher dessus, suce mais n'aspire pas.

Pendant qu’elle m’explique la théorie, moi, je continue la pratique et ma fois, ce n’est pas si désagréable. Ma bouche prend son sexe érigé pour le sucer doucement. Contrairement à un gode, cette chose est pleine de vie et je sens même les pulsions de son cœur dans ce morceau de lui qui vit entre mes lèvres. J’accélère les mouvements de ma bouche et prends tout entière sa teub. Je le baise sauvagement avec ma bouche, voulant montrer que je me donne à fond sous le regard complaisant de Jackie. Je me déchaîne sur sa queue comme jamais.
-Ooohhh Piper… Je peux plus me retenir, je vais cracher !
-Tu aimes ça, Tom, que Piper te suce la queue ? Demande ma tante.
-Oh que oui, aaahhh… Je peux plus tenir !
-Gloups, gloups… Je suis surprise mais résiste au réflexe de sortir cet intrus de ma bouche et avale la manne sacrée sans en perdre une seule goutte, ressentant dans tout mon être l’énergie qui s’en échappe.
-Tu as tout avaler, constate Jackie quand j’ouvre grand ma bouche, alors, ça fait quel effet ?
-C'est revigorant, tata, je ne m’attendais pas à ça. Je dois reconnaître que l’effet est extraordinaire. Ma bouche est toute chaude et je sens la chaleur progressée.
-C'est tout à fait normal. L'énergie commence à se propager et se dissiper en toi.
Et tu dis que c’est la manière la plus cool pour recevoir son don ?
-Oui Piper, argumente Jackie. Je vais faire une comparaison pour que tu comprennes mieux. Ce que tu viens faire avec cette fellation, c’est comme charger une voiture électrique sur le secteur, ça charge mais c’est très long et en douceur pour la batterie. Si tu veux aller plus loin et recevoir son obole dans ta chatte, ce sera comme charger la batterie sur une borne en trois heures, l’effet est multiplié par dix. Il reste la charge rapide en 30 minutes qui agresse la batterie d’une façon violente quand tu es pressée, c’est l’effet booster et si tu as accepté qu’il te sodomise, tu te retrouveras au Nirvana car la sensation est monstrueusement forte.
-Quitte à me faire baiser pour la première fois par un homme, je préfère qu'il m'encule.
- Tu sais Piper, ça pourrait bien te plaire. La sensation que ça nous procure à nous sorcières est impossible à décrire et c'est la façon la plus rapide de propager le pouvoir du don en toi. Fais-toi confiance et tu ne seras pas déçu. Tout va bien se passer car Tom n’est pas monté très gros, (pour l’instant). C’est divin.

Ma tante s’approche de moi et me retire ma nuisette dévoilant à Tom une vue sublime de ma foufoune, puis me demande de m'installer à genoux devant lui,
-J'ai pu voir à quel point tu as apprécié ta première fellation. Tu es vraiment douée et une troisième « traite » avant l’étape suivante calmera peut-être un peu ses ardeurs, mais fais ce que ce que tu voudras. Je ne t'oblige-pas à faire ça si tu préfères tout de suite de te faire sodomiser.
-D'accord tante Jackie, un peu plus de pratique ne peut pas faire de mal.

A suivre…