CHARMED: l'origine des pouvoirs, version porno# gremlins - histoire érotique

CHARMED. L’origine de leurs pouvoirs, version porno.

DEUXIEME PARTIE : Gremlins. Quel est le rapport ?

Le mois qui suit n’est fait que d’orgies. Nous accumulons nos énergies jusqu’à fin avril quand une prédiction du grand Livre se rappelle à nous d’une drôle de façon.

Nous nous retrouvons une nouvelle fois toutes les trois dans la chambre de Tom et comme d’habitude, nous relayons sur sa pine infatigable. C’est à mon tour de le chevaucher. Je m’embroche avec volupté sur son rostre quand soudain je sens comme une gêne dans ma chatte, comme un piston non lubrifié qui se grippe dans un moteur. Sous la douleur diffuse que je ressens, j’expulse l’intrus et comme mes sœurs, constate effarée l’entrejambe de Tom.
J'entrevois son bélier que je connais par cœur, mais là, je reste baba. Je ne peux m'empêcher d'examiner l'épaisseur effarante qu’a pris son pénis dont ma main serrée à la base laisse mes doigts écartés de plusieurs centimètres de mon pouce. Il avait déjà un gourdin d'une longueur et d’une grosseur inhabituelles, je suis littéralement sidérée et ne peux retenir un mouvement de recul en retenant ma respiration et écarquillant les yeux devant ce mandrin qui nous apparaît d'une lourdeur écrasante.
Tom est maintenant doté d'un véritable monstre de pénis de catégorie poids lourds. Sa verge épaisse, blanche et veineuse, un gros gland violacé, à la base des bourses gonflées de couilles d'une taille proportionnelle à ce qui les soutient.
Je joue de mes deux mains faisant un cercle, comparant avec celle de l'engin gravé dans ma mémoire, prenant soudain conscience de son énormité soudaine. Comment une poutre si large va pouvoir coulisser à l'intérieur de ma chatte ? Je désire me faire pénétrer par cette teub d'une taille que je n'aurais pas cru connaître un jour, mais en suis-je capable ? Je veux qu'il me baise mais oserai-je vaincre la peur viscérale qui me saisit devant un tel étalon ? En fait d’étalon, il en a maintenant les attributs équins.

Tom bande comme jamais d'un gourdin massif aussi gros que mon avant-bras. La raideur de son érection est telle que dans mon souvenir mais je demeure bouche bée face au membre démesuré qui se dresse maintenant sous mes yeux, interrogative de la puissance dévastatrice qui sommeille dans ce vit.
-Oh mon Dieu ! S’exclame Phoebe, tu es maintenant monté comme un âne. Je ne suis pas sûr que je puisse supporter un tel gourdin. Je n'en ai jamais vu d'aussi gros ni d'aussi long.

Tom la regarde dans les yeux, mais son regard est bestial, avec sa main droite il se branle doucement en étalant des gouttes qui perlent sur son gland.
-J'aime voir un homme se branler, tu sais, c'est beau ! Tu peux prendre ta pine à deux mains, l’une à la base et l'autre au-dessus ? Oui comme ça ; Oh mon Dieu ! Elle dépasse encore de plusieurs centimètres. Piper, va chercher un mètre de couturière qu’on mesure ce monstre.

Piper s’exécute puis mesure sa bite. J’en suis sur le cul quand elle annonce :
- 26 centimètres pour la longueur et… 18 centimètres et demi pour la circonférence. Putain ! Dire qu’il y a quelques mois, elle faisait douze centimètres en érection qui sont transformés en quatorze centimètres au repos et vingt quand il bandait comme un âne…

Je reprends mes esprits, baisse la tête et passe ma langue sur cette hampe sans fin. Arrivée au gland violet, j’ouvre grand ma bouche pour gober ce gros bout luisant, je presse la verge sur mes lèvres qui glissent avec difficulté sur ce gland que je déguste goulûment mais j'arrive difficilement à le prendre en bouche, manquant me décrocher la mâchoire. Je commence des va et vient de plus en plus profond parce qu'il fait pression de ses deux mains sur ma tête pour remplir ma bouche mais son engin bute au fond de ma gorge.
Je suis comme asphyxiée et le peu de souffle qu'il m'accorde entre chaque pénétration buccale suffit à peine à remplir mes poumons. j'ai les yeux qui roulent dans leurs orbites, salive abondamment tandis qu'il insiste toujours plus profondément appuyant sur ma tête au risque de me rentrer sa pine dans la gorge. Ma bouche pleine au-delà du possible et ma mâchoire pratiquement déboîtée. Dans un ultime effort, j'engloutis ce que je peux de ce phallus mais abdique et le repousse.
-Je ne peux pas Tom, ta teub est trop grosse !

J'ai les yeux qui sortent des orbites de voir ce pal de chair d’une dimension exceptionnelle dressé devant moi. C’est vraiment impressionnant pour une jeune fille comme moi.
-Mon Dieu Tom, maintenant tu es monté comme un âne, c'est monstrueux, tu n’es pas gêné par un tel appendice ?
-Tu me considères comme un monstre, Paige ? je n’y suis pour rien. Je n’ai qu’une obsession, baiser, baiser, baiser…

Ce que je voie est irréel. Tom se pogne lentement. Quand tout à coup, il me bascule sur le lit et je pousse un cri horrible sous le poids de son corps qui vient de s'abattre en moi comme une masse, me perforant violemment le vagin de son chibre formidable. Je suis pliée dans la douleur et j'encaisse des coups surpuissants qu'il m’assène à un rythme effréné. Il me déchire de son pénis que je ne peux prendre tout entier. J’hurle à tout rompre du pilonnage intensif que m'impose Tom et que mes sœurs essaient de maîtriser. Il reprend enfin ses esprits.
-Excuse-moi Paige, je ne me contrôlais plus.

Piper va chercher le livre des ombres qui s’ouvre comme d’habitude immédiatement sur la bonne page et elle constate que de nouvelles lignes se sont ajoutées.
-Je vous lis : Si vous avez eu le malheur de coïter avec le « grand Maître » pendant des mois sans R, vous serez obligées d’en subir les conséquences et de les assumer. Le Grand maître va pendant ces quatre mois devoir copuler des heures durant sinon il en mourra, entrecoupé d’un long repos pour récupérer et pour se substanter. Pour cela, il faudra convoquer « le cercle des fées »
-Qu’est-ce que ça veut dire ? il faut demander à tante Thérésa et tante Jackie, propose Phoebe.

Nos deux tantes sont là, nous leur faisons lire le livre des ombres puis nous demandons à Tom de se dénuder devant elles.
-Mon Dieu ! Quelle queue ! s’écrie tante Thérésa.
-Je vois le problème, s’extasie Jackie. Vous voulez savoir ce qu’est le cercle des fées ? Déjà l’existence du « Grand maître » était une légende. Mais pour le « Grand Fornicateur », je croyais que ce n’était qu’un mythe chez les sorcières, mais que nenni… Il va falloir lancer un appel sur la terre entière, convoquer toutes les sorcières possibles, et aussi réserver et privatiser deux ou trois hôtels de la ville. Vous avez transformé Tom de « Gremlins en Mogwais ». Il va falloir organiser un roulement dans cette maison pour qu’il ait à sa disposition constamment cinq ou six sorcières prêtes à recevoir son don. Et en parlant de son don, il va être si puissant qu’une seule éjaculation de sa part les boostera comme jamais, mais attention à la surdose, elle peut être mortelle… Il faudra aussi lui interdire la sodomie, elles ne le supportaient pas non plus. Il n’y aura que vous, les sœurs Halliwell, qui pourrez supporter son obole une ou deux fois par jour, pas plus, mais pas plus d’une sodomie, sinon…

J'entends un bruit, un grognement rauque. Je me retourne et vois Piper à quatre pattes toute nue en train de tenir dans les mains la monstrueuse bite. C’est dément de la voir dans une telle position soumise, mais ce qui l'est encore plus c'est qu'elle enfourne avec douceur ce pal surdimensionné. Qui aurait pu imaginer une queue pareille chez Tom il y a encore quelques mois ? Chez un grand athlète black, peut-être, et encore, mais sûrement pas chez le gringalet qu’il était. Oh la vache ! Comme pour moi, elle peut à peine la prendre en bouche et ses doigts n'arrivent pas à se toucher autour de sa teub, loin de là...
J'ai l'impression que sa queue se tend encore de plus en plus. Je suis scotchée par la virilité nouvelle et insoupçonnée de Tom. Mon cœur bat la chamade dans ma poitrine, ma chatte suinte comme pas permis alors que mes yeux ne peuvent se détacher de la bouche de Piper qui profite de quelques centimètres de ce monstre. Nous nous regardons, Phoebe et moi et nous joignons à Piper pour goûter ensemble à ce met de reine. On se colle contre elle et câlinons cette virilité dressée. Comment un tel gourdin peut-il être si rigide et se dresser si fièrement à l’horizontal ? ça défie l’entendement, et la gravité...
-Tom, tu aimes quand on te caresse ? demande Piper.
-Oh oui ! J’espère que je ne vous dégoûte pas.
-Tu peux faire de nous ce que tu veux, on est tes femelles, les adoratrice du dieu Priape. Nos chattes sont là pour te servir de vide-couille. Montre-nous comment tu vas nous prendre avec ton formidable engin.
-Je suis tout à votre service, chères cousines, grogne Tom.


A suivre…