CHARMED: l'origine des pouvoirs, version porno# gremlins

Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 575 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.3
- • L'ensemble des récits érotiques de Mlkjhg39 ont reçu un total de 4 303 722 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 229 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
CHARMED: l'origine des pouvoirs, version porno# gremlins
CHARMED. L’origine de leurs pouvoirs, version porno.
DEUXIEME PARTIE : Gremlins. Quel est le rapport ?
Le mois qui suit n’est fait que d’orgies. Nous accumulons nos énergies jusqu’à fin avril quand une prédiction du grand Livre se rappelle à nous d’une drôle de façon.
Nous nous regardons, Phoebe et moi et nous joignons à Piper pour goûter en semble à ce met de reine. On se colle contre elle et câlinons cette virilité dressée. Comment un tel gourdin peut-il être si rigide et se dresser si fièrement à l’horizontal ? ça défie l’entendement.
-Tom, tu aimes quand on te caresse ? demande Piper.
-Oh oui ! J’espère que je ne vous dégoûte pas.
-Tu peux faire de nous ce que tu veux, on est tes femelles, les adoratrice du dieu Priape. Nos chattes sont là pour te servir de vide-couille. Montre-nous comment tu vas nous prendre avec ton formidable engin.
-Je suis tout à votre service, chères cousines, grogne Tom.
Suite :
On le branle de concert, j'ai besoin de mes deux mains et quand je le prends en bouche je suis obligée de distordre la mâchoire pour y faire entrer ce gland énorme pendant que Piper et Phoebe, chacune d’un côté de la hampe, essaient de l’enserrer entre leurs lèvres. Il se laisse aller en appréciant la triple fellation et les caresses qui soupèsent ses bourses pendant qu’il pétrit nos poitrines offertes. Les paroles de Phoebe me sortent de ma plénitude :
-Laisse-moi la place, moi aussi j'ai envie d'y goûter !
-Volontiers, j’ai la mâchoire tout ankylosée.
Elle prend à son tour son sexe en main, embouche la grosse prune et attaque directement par une gorge profonde, enfin elle essaie… Mais c’est humainement impossible. On l’accompagne de nos encouragements. Tom a placé une main derrière la tête de Phoebe pour qu'elle accélère et enfonce bien la bite au fond de sa bouche mais rien n’y fait.
-Putain ! Ta teub est si grosse que je n’ai pu en gouter que la gueule ! S’exclame-t-elle.
C’est à peine si je l’entends car il y a longtemps que mon sexe a pris le pouvoir sur ma tête. Je me positionne pour que sa grosse clé se soude à ma serrure et la défonce comme jamais je n'aurais cru cela possible. Ma chatte n'est que plaisir mais accepte avec difficulté ce pieu formidable et pourtant j’en redemande encore et encore. Ça fait dix minutes qu’il me tronche et il n'a toujours pas joui. Je divague, ne comptant plus mes orgasmes qui explosent ma chatte. il me semble que son sexe a encore grossi et j'entends enfin ses premières paroles.
-Je vais jouir, je vais te remplir de ma semence.
Il m'emplit de son sperme chaud qui vient de buter au fond de ma matrice qu’il emplit comme l'eau emplit un bassin. Je ne sais plus où j'en suis, le bruit de ventouse de l'énorme pilon qui s’en donne à cœur-joie dans ma fente résonne dans la pièce. Son jus d’amour déborde car il est toujours en moi et continue à me faire jouir encore et encore. Il me baise sans même avoir débandé, je suis labourée sans ménagement, mettant à mal ma matrice au-delà du possible et la pression qu'il impose maintenant au fond de ma grotte est extrêmement forte bien qu’une partie de son sexe reste en dehors de mon vagin. Je manque de défaillir car son sperme est encore plus chargé de pouvoir que d’habitude. Je manque de défaillir.
-Arrête Tom mon amour, je n'en peux plus, tu vas me tuer.
-J’ai encore envie. Ce sont ses seules paroles.
Tom sort enfin de ma grotte d'amour avec son bélier toujours dressé. Phoebe ne perd pas le nord et le branle des deux mains. Il la repousse et se glisse entre ses jambes, prend ses pieds pour les poser sur ses épaules. L’organe dressé entre doucement dans la vulve de Phoebe puis il fait quelques mouvements, s’enfonçant de plus en plus loin dans la grotte trempée.
-Putain de pine, je la sens jusque dans mon ventre, fais-moi jouir, mon bel étalon.
Que n’a-t-elle pas dit là ? Il se cramponne des deux main sur les cuisses de ma sœur et la baise vite et fort. Le vagin serré comprime le sexe majestueux qui lui provoque des sensations intenses de plaisir. Elle ne tarde pas à se pâmer :
-Je vais jouir, ne t'arrête pas, J’ai jamais été ramonée par un si gros tuyau.
Tom la prend sans discontinuer une bonne vingtaine de minutes, variant les positions quand soudain elle devine qu'il va jouir dans sa chatte mais elle craint la charge et préfère un endroit où elle pourra mieux gérer son obole.
-Jouis de ma bouche Tom, j’ai trop peur dans ma chatte.
Il se redresse, prend la tête de ma sœur entre ses deux mains et place sa lance à l'entrée de la bouche grande ouverte. Le gland posé sur sa lèvre inférieure, il se met à éjaculer une quantité astronomique de sperme, comme s’il ne s’était pas vidé les couilles depuis un mois, et pourtant... Je n'ai jamais rien vu de pareil, elle reçoit par grand flot la semence de Tom et sa bouche est remplie à ras bord sous son regard de fou mais il éjacule encore et encore, sans hésiter elle ingurgite la totalité du sperme sauvé, ouvrant ensuite sa bouche pour lui montrer son gosier et lui prouver qu'elle n'en a pas laissé perdre une goutte. Elle s’est allongée sur le ventre, ne bougeant plus, le temps de digérer les gigawatts supplémentaires qu’il vient de lui délivrer.
-Tu était déjà un sacré baiseur, mais là, c’est ouf, mais oh ! Tu bandes encore comme l’âne que tu es devenu.
-Je n'ai joui que deux fois, réplique-t-il, je n’y peux rien, mais il faut que…
Il se tourne vers Piper, la force à se mettre à genoux, le haut du corps en appui sur l’assise du divan et reprend son travail de sape. Il pousse doucement sa queue qui entre avec difficulté dans la vulve de ma sœur qui grimace et hurle quand il fait quelques mouvements pour s’enfoncer de plus en plus loin. Elle a le visage crispé mais doit subir sans relâche l’interminable pénétration. Un énorme orgasme secoue tout son corps, il est en train de lui exploser le vagin avec sa queue extra-large, lui procurant une sensation inconnue jusqu'alors. Il la pistonne comme un drogué en crise de délirium. Piper hurle sa jouissance quasiment sans fin comme une malade, il la ramone comme jamais personne ne l'a ramoné s’enfonçant jusqu'à buter sur son utérus, déçu qu’elle ne puisse recevoir la totalité de sa verge.
Elle aussi manque aussi de défaillir quand il inonde sa grotte. Il se retire enfin, sa queue en demi en berne.
-J’ai faim ! Ce sont les seules paroles de Tom après nous avoir tronchées pendant des heures.
Piper voudrait tester une sodomie d’anthologie avec lui mais Phoebe l’en dissuade.
-Souviens-toi des avertissements de tante Jackie, avec ce que tu viens de recevoir comme énergie, tu pourrais en mourir. Il faudra attendre un autre jour. Déjà qu’on n’a pas respecté les règles une première fois, il ne faut pas tenter le diable.
Pendant les mois qui suivent, nous sommes bien occupées par notre « activité » de sorcières se battant contre les forces obscures, dissipant sans compter notre énergie comme une voiture électrique tirant sur ses batteries. Pendant ce temps, nos tantes s’occupent de gérer les « rendez-vous » de Tom. Il enchaine parfois de vingt à trente sorcières dans la même journée, de tout âge, de toute condition, de tout physique, avant de manger comme un ogre et de s’écrouler de fatigue pour un somme réparateur de plus de douze heures.
Quand enfin nous le retrouvons après plus de trois mois, son regard est comme éteint, son corps est recru de fatigue, mais le sort continue, et chaque réveil est accompagné d’une érection quasi perpétuelle qu’il ne peut calmer que d’une seule façon, en coïtant des heures durant. Vivement que le mois d’aout se termine…
Tante Jackie et tante Thérésa ne sont pas resté inactives pendant cette période, se transformant en recueilleuses de cette gelée diabolique et royale. Toujours présentes à l’instant final, elles récupèrent le surplus de la semence de Tom qui coule des lèvres des sorcières, des bouches ou des chattes. Puis elles congèlent chaque centimètre cube en y ajoutant de la poudre de gui et de bambou. Vous vous demandez quelle est cette drôle de cuisine ? Tante Jackie a trouvé dans le livre des ombres une recette qui s’adresse aux sorciers et aux sorcières. Chaque glaçon ainsi formé est à déposer au pied d’un chêne et un an plus tard, il est couvert de boules de gui au pouvoir magique comme dans la forêt de Brocéliande en France. Une fois séchées et réduites en poudre, ce remède est vendu pour que les futures mères donnent naissance à des garçons « bien virils » ou des filles « bien fertiles ».
Elles nous ont montré la spermathèque de Tom où s’empilent les « billes diaboliques » comme des plaques d’œufs par 36. Il y en a déjà plus de 3 000 !!! L’argent ainsi collecté servira de rente pour Tom car ce seront ses seuls revenus pour toute son existence. (Un an après, il touchait un revenu de 50 000 dollars par an). Elles ont aussi créé une boutique où les sorcières avant de partir peuvent faire leurs emplettes. En plus d’une clé USB de leurs ébats filmés, elles peuvent se procurer des posters en pied, taille réelle, de Tom, habillé ou complètement nu, la verge au repos ou en pleine érection, et un gode copie conforme de son sexe. Mais Tom s’épuise et maintenant, seulement cinq ou six sorcières obtiennent encore leur tribut. Nous ne pouvons plus attendre nous aussi pour régénérer nos pouvoirs, mais pour le ménager, il n’y a qu’une seule possibilité, il faut que nous acceptions de nous faire sodomiser par sa poutre massive, par cet obélisque de chair. Le problème, c’est qu’à force de forniquer sans arrêt, le gros dard de Tom a enflé et le diamètre de sa matraque dépasse l’entendement pour de « frêles jeunes filles ».
A suivre…
DEUXIEME PARTIE : Gremlins. Quel est le rapport ?
Le mois qui suit n’est fait que d’orgies. Nous accumulons nos énergies jusqu’à fin avril quand une prédiction du grand Livre se rappelle à nous d’une drôle de façon.
Nous nous regardons, Phoebe et moi et nous joignons à Piper pour goûter en semble à ce met de reine. On se colle contre elle et câlinons cette virilité dressée. Comment un tel gourdin peut-il être si rigide et se dresser si fièrement à l’horizontal ? ça défie l’entendement.
-Tom, tu aimes quand on te caresse ? demande Piper.
-Oh oui ! J’espère que je ne vous dégoûte pas.
-Tu peux faire de nous ce que tu veux, on est tes femelles, les adoratrice du dieu Priape. Nos chattes sont là pour te servir de vide-couille. Montre-nous comment tu vas nous prendre avec ton formidable engin.
-Je suis tout à votre service, chères cousines, grogne Tom.
Suite :
On le branle de concert, j'ai besoin de mes deux mains et quand je le prends en bouche je suis obligée de distordre la mâchoire pour y faire entrer ce gland énorme pendant que Piper et Phoebe, chacune d’un côté de la hampe, essaient de l’enserrer entre leurs lèvres. Il se laisse aller en appréciant la triple fellation et les caresses qui soupèsent ses bourses pendant qu’il pétrit nos poitrines offertes. Les paroles de Phoebe me sortent de ma plénitude :
-Laisse-moi la place, moi aussi j'ai envie d'y goûter !
-Volontiers, j’ai la mâchoire tout ankylosée.
Elle prend à son tour son sexe en main, embouche la grosse prune et attaque directement par une gorge profonde, enfin elle essaie… Mais c’est humainement impossible. On l’accompagne de nos encouragements. Tom a placé une main derrière la tête de Phoebe pour qu'elle accélère et enfonce bien la bite au fond de sa bouche mais rien n’y fait.
-Putain ! Ta teub est si grosse que je n’ai pu en gouter que la gueule ! S’exclame-t-elle.
C’est à peine si je l’entends car il y a longtemps que mon sexe a pris le pouvoir sur ma tête. Je me positionne pour que sa grosse clé se soude à ma serrure et la défonce comme jamais je n'aurais cru cela possible. Ma chatte n'est que plaisir mais accepte avec difficulté ce pieu formidable et pourtant j’en redemande encore et encore. Ça fait dix minutes qu’il me tronche et il n'a toujours pas joui. Je divague, ne comptant plus mes orgasmes qui explosent ma chatte. il me semble que son sexe a encore grossi et j'entends enfin ses premières paroles.
-Je vais jouir, je vais te remplir de ma semence.
Il m'emplit de son sperme chaud qui vient de buter au fond de ma matrice qu’il emplit comme l'eau emplit un bassin. Je ne sais plus où j'en suis, le bruit de ventouse de l'énorme pilon qui s’en donne à cœur-joie dans ma fente résonne dans la pièce. Son jus d’amour déborde car il est toujours en moi et continue à me faire jouir encore et encore. Il me baise sans même avoir débandé, je suis labourée sans ménagement, mettant à mal ma matrice au-delà du possible et la pression qu'il impose maintenant au fond de ma grotte est extrêmement forte bien qu’une partie de son sexe reste en dehors de mon vagin. Je manque de défaillir car son sperme est encore plus chargé de pouvoir que d’habitude. Je manque de défaillir.
-Arrête Tom mon amour, je n'en peux plus, tu vas me tuer.
-J’ai encore envie. Ce sont ses seules paroles.
Tom sort enfin de ma grotte d'amour avec son bélier toujours dressé. Phoebe ne perd pas le nord et le branle des deux mains. Il la repousse et se glisse entre ses jambes, prend ses pieds pour les poser sur ses épaules. L’organe dressé entre doucement dans la vulve de Phoebe puis il fait quelques mouvements, s’enfonçant de plus en plus loin dans la grotte trempée.
-Putain de pine, je la sens jusque dans mon ventre, fais-moi jouir, mon bel étalon.
Que n’a-t-elle pas dit là ? Il se cramponne des deux main sur les cuisses de ma sœur et la baise vite et fort. Le vagin serré comprime le sexe majestueux qui lui provoque des sensations intenses de plaisir. Elle ne tarde pas à se pâmer :
-Je vais jouir, ne t'arrête pas, J’ai jamais été ramonée par un si gros tuyau.
Tom la prend sans discontinuer une bonne vingtaine de minutes, variant les positions quand soudain elle devine qu'il va jouir dans sa chatte mais elle craint la charge et préfère un endroit où elle pourra mieux gérer son obole.
-Jouis de ma bouche Tom, j’ai trop peur dans ma chatte.
Il se redresse, prend la tête de ma sœur entre ses deux mains et place sa lance à l'entrée de la bouche grande ouverte. Le gland posé sur sa lèvre inférieure, il se met à éjaculer une quantité astronomique de sperme, comme s’il ne s’était pas vidé les couilles depuis un mois, et pourtant... Je n'ai jamais rien vu de pareil, elle reçoit par grand flot la semence de Tom et sa bouche est remplie à ras bord sous son regard de fou mais il éjacule encore et encore, sans hésiter elle ingurgite la totalité du sperme sauvé, ouvrant ensuite sa bouche pour lui montrer son gosier et lui prouver qu'elle n'en a pas laissé perdre une goutte. Elle s’est allongée sur le ventre, ne bougeant plus, le temps de digérer les gigawatts supplémentaires qu’il vient de lui délivrer.
-Tu était déjà un sacré baiseur, mais là, c’est ouf, mais oh ! Tu bandes encore comme l’âne que tu es devenu.
-Je n'ai joui que deux fois, réplique-t-il, je n’y peux rien, mais il faut que…
Il se tourne vers Piper, la force à se mettre à genoux, le haut du corps en appui sur l’assise du divan et reprend son travail de sape. Il pousse doucement sa queue qui entre avec difficulté dans la vulve de ma sœur qui grimace et hurle quand il fait quelques mouvements pour s’enfoncer de plus en plus loin. Elle a le visage crispé mais doit subir sans relâche l’interminable pénétration. Un énorme orgasme secoue tout son corps, il est en train de lui exploser le vagin avec sa queue extra-large, lui procurant une sensation inconnue jusqu'alors. Il la pistonne comme un drogué en crise de délirium. Piper hurle sa jouissance quasiment sans fin comme une malade, il la ramone comme jamais personne ne l'a ramoné s’enfonçant jusqu'à buter sur son utérus, déçu qu’elle ne puisse recevoir la totalité de sa verge.
Elle aussi manque aussi de défaillir quand il inonde sa grotte. Il se retire enfin, sa queue en demi en berne.
-J’ai faim ! Ce sont les seules paroles de Tom après nous avoir tronchées pendant des heures.
Piper voudrait tester une sodomie d’anthologie avec lui mais Phoebe l’en dissuade.
-Souviens-toi des avertissements de tante Jackie, avec ce que tu viens de recevoir comme énergie, tu pourrais en mourir. Il faudra attendre un autre jour. Déjà qu’on n’a pas respecté les règles une première fois, il ne faut pas tenter le diable.
Pendant les mois qui suivent, nous sommes bien occupées par notre « activité » de sorcières se battant contre les forces obscures, dissipant sans compter notre énergie comme une voiture électrique tirant sur ses batteries. Pendant ce temps, nos tantes s’occupent de gérer les « rendez-vous » de Tom. Il enchaine parfois de vingt à trente sorcières dans la même journée, de tout âge, de toute condition, de tout physique, avant de manger comme un ogre et de s’écrouler de fatigue pour un somme réparateur de plus de douze heures.
Quand enfin nous le retrouvons après plus de trois mois, son regard est comme éteint, son corps est recru de fatigue, mais le sort continue, et chaque réveil est accompagné d’une érection quasi perpétuelle qu’il ne peut calmer que d’une seule façon, en coïtant des heures durant. Vivement que le mois d’aout se termine…
Tante Jackie et tante Thérésa ne sont pas resté inactives pendant cette période, se transformant en recueilleuses de cette gelée diabolique et royale. Toujours présentes à l’instant final, elles récupèrent le surplus de la semence de Tom qui coule des lèvres des sorcières, des bouches ou des chattes. Puis elles congèlent chaque centimètre cube en y ajoutant de la poudre de gui et de bambou. Vous vous demandez quelle est cette drôle de cuisine ? Tante Jackie a trouvé dans le livre des ombres une recette qui s’adresse aux sorciers et aux sorcières. Chaque glaçon ainsi formé est à déposer au pied d’un chêne et un an plus tard, il est couvert de boules de gui au pouvoir magique comme dans la forêt de Brocéliande en France. Une fois séchées et réduites en poudre, ce remède est vendu pour que les futures mères donnent naissance à des garçons « bien virils » ou des filles « bien fertiles ».
Elles nous ont montré la spermathèque de Tom où s’empilent les « billes diaboliques » comme des plaques d’œufs par 36. Il y en a déjà plus de 3 000 !!! L’argent ainsi collecté servira de rente pour Tom car ce seront ses seuls revenus pour toute son existence. (Un an après, il touchait un revenu de 50 000 dollars par an). Elles ont aussi créé une boutique où les sorcières avant de partir peuvent faire leurs emplettes. En plus d’une clé USB de leurs ébats filmés, elles peuvent se procurer des posters en pied, taille réelle, de Tom, habillé ou complètement nu, la verge au repos ou en pleine érection, et un gode copie conforme de son sexe. Mais Tom s’épuise et maintenant, seulement cinq ou six sorcières obtiennent encore leur tribut. Nous ne pouvons plus attendre nous aussi pour régénérer nos pouvoirs, mais pour le ménager, il n’y a qu’une seule possibilité, il faut que nous acceptions de nous faire sodomiser par sa poutre massive, par cet obélisque de chair. Le problème, c’est qu’à force de forniquer sans arrêt, le gros dard de Tom a enflé et le diamètre de sa matraque dépasse l’entendement pour de « frêles jeunes filles ».
A suivre…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Mlkjhg39
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

