Château Préau, une belle châtelaine se fait mettre et remettre contre la jarre de.Bocace
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Château Préau, une belle châtelaine se fait mettre et remettre contre la jarre de.Bocace
On est sur les côteaux de Cadillac, appellation Côtes de Bordeaux AOC.
Cadillac est célèbre dans le monde entier car le fondateur de Détroit, USA, cadet de Gascogne exilé en Acadie, a donné ce nom au début du XXème siècle à une marque de voitures très réputée.
Mais aussi car au XIème siècle, les pèlerins sur le chemin de Compostelle y étaient accueillis en asile. A Cadillac, village de Guyenne. Lieu qui est devenu au fil du temps un asile de fous, ce qu’il est encore aujourd’hui...
À Bordeaux, quand un gamin fait une crise, on lui dit, on va t’enfermer à Cadillac !
Les voitures Cadillac étaient précurseurs sur le plan technique. En particulier sur l’interchangeabilité des pièces qui a permis un progrès inouï passant de l’artisanat œuvre unique à l’industrie et la grande série.
Mais aussi par la mise en œuvre du démarreur électrique remplaçant la manivelle, des phares électriques remplaçant les lampes à pétrole et plus tard des synchros de boîte de vitesse économisant les fastidieux double-débrayages.
Comment s’étonner alors, avec un tel atavisme, que Château Preau, début de XXIème siècle, ait cherché lui aussi à innover ? Sans hésiter, à tâter des trucs un peu dingues, pas vraiment politiquement conformes ... même complètement déjantés.
Enfin dans la pure tradition de Cadillac.
Alors déjà, pourquoi Préau ?
Ne croyez pas que le nom ait été légué par un quelconque Comte de Préau, vassal du Duc de Cadillac. Que nenni.
Un préau, en pays de Garonne, est un édifice protégeant des pluies. En effet en notre région d’Entre-deux-Mers, il pleut assez souvent. Certains vous diront même qu’il pleut tout le temps. Mauvaises langues assurément.
En contre-partie les températures restent peu contrastées. Cela est dû aux deux fleuves Dordogne et Garonne qui bordent notre pays et tempèrent en inertie les variations.
Nous sommes pays de brouillard matin et soir et toute nuit durant, pays de pluie crachotante modeste mais permanente. Pour tout dire le soleil on le voit jamais...
Alors pour protéger nos barriques un préau est bien suffisant. Et c’est ainsi dans ce terroir depuis nuit des temps.
Mais l’innovation dont je parle n’est pas là dans cette affaire de préau. L’innovation est venue des époques étrusques, grecques, antiques.
Les barriques de chêne, invention gauloise trois siècles avant JC, avaient pour avantage sur les amphores leur solidité et surtout qu’il était commode de les faire rouler pour les déplacer.
Aujourd’hui le problème du transport des contenants ne se pose plus, Fenwick et autres chariots élévateurs permettent de les manipuler facilement.
Mais la barrique s’est révélée utile au vieillissement du vin car, non seulement elle permet, comme l’amphore de terre cuite, les échanges gazeux avec l’extérieur mais encore les tanins du bois de chêne dissous par le liquide alcoolisé viennent se mêler aux tanins du vin et la combinaison est plus agréable, plus ronde, faisant un vin plaisant. Bien qu’un peu « bricolé », pas très bio en quelque sorte...
Aussi n’est-t-il pas étonnant que certains grands châteaux aient pensé revenir à l’amphore antique, histoire de retrouver un vin plus proche de nature, sans l’adjuvant boisé de chêne, tout en gardant le vieillissement naturel. En quelque sorte l’antithèse des copeaux que certains, peu scrupuleux, mettent à tremper en décoction dans les cuves de béton de la coopérative viticole.
Le chef de chai de château Préau est un homme sérieux. Rigoureux appliqué, un homme qui ne rit jamais. Les bourgeois qui possédent le domaine se réjouissent des aptitudes de ce subordonné et de sa dévotion laborieuse.
Tous connaissent sa femme, belle Girondine, gironde du devant autant que du derrière, et fort chaleureuse aussi.
Ils étaient, ces actionnaires, douze, six Bordelais et six Bourguignons et pensaient que, douze plus un faisant treize, ils suffiraient assurément à combler les besoins de la dame.
Mais c’était compter sans la malice des filles de Garonne. Elle eut tôt fait de les convaincre d’ouvrir le capital à de multiples petits actionnaires afin d’investir largement dans un chai moderne et surtout d’acheter des amphores, de très grandes amphores.
C’est ainsi qu’ils sont maintenant 550 petits propriétaires, pour le plus grand bonheur de la dame.
Le chai n’est pas une cave ou un local fermé à température ou hygrométrie contrainte. Non, chez Preau, on est dans le bio, le vrai. Les longues théories d’amphores, plantées à quart de hauteur dans la grave, sous le préau sont soumises à tous les caprices de temps. Chaleur, froidure, pression atmosphérique, humidité, sècheresse, brouillard, soleillades, vents du nord d’ouest où d’ailleurs apportant les moiteurs d’août ou les vapeurs fraîches de septembre.
Les amphores sont « propres » et ne polluent pas le vin qu’elles font mûrir, de saveurs adjuvantes boisées incongrues.
Le chef de chai passe quotidiennement compléter le niveau de chacune, ras la bonde afin de limiter l’oxydation.
Il y a des jours où le niveau est bas, quand le temps de la veille a été ventu et sec, il y a d’autres jours où rien n’a bougé quand les berges de Garonne ont moisi la campagne alentour.
Le chef de chai est muni d’une sorte d’arrosoir de jardinier à long bec et il « fait les niveaux » de vin rouge.
Au printemps, bien avant les vendanges, on soutire pour vider les amphores et mettre en bouteilles ou en BIB, Bag In Box.
Ce afin de les préparer à recevoir la nouvelle récolte.
Alors commence pour le chef de chai un long travail qui va l’occuper, lui et son épouse, six longs mois jusqu’à octobre, aux vendanges prochaines.
En effet le vin qui est resté en vieillissement pendant presque dix-huit mois a déposé du tartre sur les flancs et le fond des amphores et il faut nettoyer cela au Karcher et à la brosse.
Car la maturation du vin se fait par les échanges gazeux à travers la terre cuite. Oxydation de l’extérieur vers l’intérieur, dite micro-oxydation, mais aussi évaporation des alcools les plus légers de l’intérieur vers l’extérieur. En particulier l’alcool méthylique, celui qui n’est vraiment pas bon pour la santé.
Les amphores sont munies d’un couvercle que l’on nomme « trou d’homme », couvercle qu’il faut dévisser de huit boulons en couronne.
Ensuite seulement le chef de chai, qui est homme svelte et souple, se glisse tout nu dans l’amphore avec son matériel de récurage. Pistolet de Karcher, brosse manuelle chiendent jaune, brosse tournante électrique et surtout aspirateur de fond d’amphore avec crépine.
Son épouse se tient près de l’ouverture. Son rôle est essentiellement de veiller à ce que son mari ne soit pas victime d’asphyxie car le fond des amphores, même vides, est souvent empli de gaz carbonique. Gaz provenant de la fermentation du vin qui n’a aucune odeur et ne peut donc pas être repéré.
Quand j’étais gamin, on racontait que les chefs de chai se munissaient toujours d’une bougie pour détecter la présence de gaz carbonique au fond des cuves.
La femme du chef de chai de château Préau avait aussi d’autres rôles. Elle surveillait le fonctionnement de la centrale Karcher, pression de l’eau, approvisionnement en eau oxygénée et détergent anti-calcaire et elle veillait à l’évacuation des eaux usées pompées en fond d’amphore.
Car les amphores n’avaient pas de bonde inférieure pour la vidange vu qu’elles étaient enterrées du bas.
Son mari tout nu nettoyait intensément les flancs de terre cuite dans un nuage d’eau pulvérisée chaude et les cris stridents de la brosse rotative qu’il passait sur la paroi.
L’intérieur de l’amphore de 1200 litres, large et évasé, de bien deux mètres de haut, était sombre car le trou d’homme n’était pas bien large. La femme était juchée sur un petit banc de bois d’à peine vingt centimètres de hauteur et surveillait l’opération de nettoyage par en dessus.
L’amphore étant semi-enterrée d’une cinquantaine de centimètres elle voyait son mari en contrebas et pouvait ainsi s’assurer que tout se passait bien pour lui.
C’est exactement à ce moment-là, à chaque fois, que l’affaire se faisait.
Au début c’était seulement un des douze actionnaires principaux qui soulevait la robe de l’épouse du chef de chai. Qui la troussait en quelque sorte et la mettait profondément lors que celle-ci prodiguait des conseils à son mari tout mouillé en fond de jarre.
La belle Girondine, debout sur son petit banc de bois, embrassant le haut de l’amphore de ses longs bras, les seins écrasés sur la face extérieure, troussée jusqu’aux aisselles, cambrait ses belles fesses en accueil de la visite tandis que son mari astiquait à grand bruit de pulvérisation la face intérieure.
L’affaire aurait pu en rester là mais la coquine Girondine a eu idée d’élargir sa chalandise et a suggeré aux actionnaires de faire appel de fond sur un grand nombre de petits actionnaires afin de lever les sommes permettant d’investir dans de nouvelles jarres.
A ce jour, ils sont 550 et la dame est présentement au paradis.
Cadillac est célèbre dans le monde entier car le fondateur de Détroit, USA, cadet de Gascogne exilé en Acadie, a donné ce nom au début du XXème siècle à une marque de voitures très réputée.
Mais aussi car au XIème siècle, les pèlerins sur le chemin de Compostelle y étaient accueillis en asile. A Cadillac, village de Guyenne. Lieu qui est devenu au fil du temps un asile de fous, ce qu’il est encore aujourd’hui...
À Bordeaux, quand un gamin fait une crise, on lui dit, on va t’enfermer à Cadillac !
Les voitures Cadillac étaient précurseurs sur le plan technique. En particulier sur l’interchangeabilité des pièces qui a permis un progrès inouï passant de l’artisanat œuvre unique à l’industrie et la grande série.
Mais aussi par la mise en œuvre du démarreur électrique remplaçant la manivelle, des phares électriques remplaçant les lampes à pétrole et plus tard des synchros de boîte de vitesse économisant les fastidieux double-débrayages.
Comment s’étonner alors, avec un tel atavisme, que Château Preau, début de XXIème siècle, ait cherché lui aussi à innover ? Sans hésiter, à tâter des trucs un peu dingues, pas vraiment politiquement conformes ... même complètement déjantés.
Enfin dans la pure tradition de Cadillac.
Alors déjà, pourquoi Préau ?
Ne croyez pas que le nom ait été légué par un quelconque Comte de Préau, vassal du Duc de Cadillac. Que nenni.
Un préau, en pays de Garonne, est un édifice protégeant des pluies. En effet en notre région d’Entre-deux-Mers, il pleut assez souvent. Certains vous diront même qu’il pleut tout le temps. Mauvaises langues assurément.
En contre-partie les températures restent peu contrastées. Cela est dû aux deux fleuves Dordogne et Garonne qui bordent notre pays et tempèrent en inertie les variations.
Nous sommes pays de brouillard matin et soir et toute nuit durant, pays de pluie crachotante modeste mais permanente. Pour tout dire le soleil on le voit jamais...
Alors pour protéger nos barriques un préau est bien suffisant. Et c’est ainsi dans ce terroir depuis nuit des temps.
Mais l’innovation dont je parle n’est pas là dans cette affaire de préau. L’innovation est venue des époques étrusques, grecques, antiques.
Les barriques de chêne, invention gauloise trois siècles avant JC, avaient pour avantage sur les amphores leur solidité et surtout qu’il était commode de les faire rouler pour les déplacer.
Aujourd’hui le problème du transport des contenants ne se pose plus, Fenwick et autres chariots élévateurs permettent de les manipuler facilement.
Mais la barrique s’est révélée utile au vieillissement du vin car, non seulement elle permet, comme l’amphore de terre cuite, les échanges gazeux avec l’extérieur mais encore les tanins du bois de chêne dissous par le liquide alcoolisé viennent se mêler aux tanins du vin et la combinaison est plus agréable, plus ronde, faisant un vin plaisant. Bien qu’un peu « bricolé », pas très bio en quelque sorte...
Aussi n’est-t-il pas étonnant que certains grands châteaux aient pensé revenir à l’amphore antique, histoire de retrouver un vin plus proche de nature, sans l’adjuvant boisé de chêne, tout en gardant le vieillissement naturel. En quelque sorte l’antithèse des copeaux que certains, peu scrupuleux, mettent à tremper en décoction dans les cuves de béton de la coopérative viticole.
Le chef de chai de château Préau est un homme sérieux. Rigoureux appliqué, un homme qui ne rit jamais. Les bourgeois qui possédent le domaine se réjouissent des aptitudes de ce subordonné et de sa dévotion laborieuse.
Tous connaissent sa femme, belle Girondine, gironde du devant autant que du derrière, et fort chaleureuse aussi.
Ils étaient, ces actionnaires, douze, six Bordelais et six Bourguignons et pensaient que, douze plus un faisant treize, ils suffiraient assurément à combler les besoins de la dame.
Mais c’était compter sans la malice des filles de Garonne. Elle eut tôt fait de les convaincre d’ouvrir le capital à de multiples petits actionnaires afin d’investir largement dans un chai moderne et surtout d’acheter des amphores, de très grandes amphores.
C’est ainsi qu’ils sont maintenant 550 petits propriétaires, pour le plus grand bonheur de la dame.
Le chai n’est pas une cave ou un local fermé à température ou hygrométrie contrainte. Non, chez Preau, on est dans le bio, le vrai. Les longues théories d’amphores, plantées à quart de hauteur dans la grave, sous le préau sont soumises à tous les caprices de temps. Chaleur, froidure, pression atmosphérique, humidité, sècheresse, brouillard, soleillades, vents du nord d’ouest où d’ailleurs apportant les moiteurs d’août ou les vapeurs fraîches de septembre.
Les amphores sont « propres » et ne polluent pas le vin qu’elles font mûrir, de saveurs adjuvantes boisées incongrues.
Le chef de chai passe quotidiennement compléter le niveau de chacune, ras la bonde afin de limiter l’oxydation.
Il y a des jours où le niveau est bas, quand le temps de la veille a été ventu et sec, il y a d’autres jours où rien n’a bougé quand les berges de Garonne ont moisi la campagne alentour.
Le chef de chai est muni d’une sorte d’arrosoir de jardinier à long bec et il « fait les niveaux » de vin rouge.
Au printemps, bien avant les vendanges, on soutire pour vider les amphores et mettre en bouteilles ou en BIB, Bag In Box.
Ce afin de les préparer à recevoir la nouvelle récolte.
Alors commence pour le chef de chai un long travail qui va l’occuper, lui et son épouse, six longs mois jusqu’à octobre, aux vendanges prochaines.
En effet le vin qui est resté en vieillissement pendant presque dix-huit mois a déposé du tartre sur les flancs et le fond des amphores et il faut nettoyer cela au Karcher et à la brosse.
Car la maturation du vin se fait par les échanges gazeux à travers la terre cuite. Oxydation de l’extérieur vers l’intérieur, dite micro-oxydation, mais aussi évaporation des alcools les plus légers de l’intérieur vers l’extérieur. En particulier l’alcool méthylique, celui qui n’est vraiment pas bon pour la santé.
Les amphores sont munies d’un couvercle que l’on nomme « trou d’homme », couvercle qu’il faut dévisser de huit boulons en couronne.
Ensuite seulement le chef de chai, qui est homme svelte et souple, se glisse tout nu dans l’amphore avec son matériel de récurage. Pistolet de Karcher, brosse manuelle chiendent jaune, brosse tournante électrique et surtout aspirateur de fond d’amphore avec crépine.
Son épouse se tient près de l’ouverture. Son rôle est essentiellement de veiller à ce que son mari ne soit pas victime d’asphyxie car le fond des amphores, même vides, est souvent empli de gaz carbonique. Gaz provenant de la fermentation du vin qui n’a aucune odeur et ne peut donc pas être repéré.
Quand j’étais gamin, on racontait que les chefs de chai se munissaient toujours d’une bougie pour détecter la présence de gaz carbonique au fond des cuves.
La femme du chef de chai de château Préau avait aussi d’autres rôles. Elle surveillait le fonctionnement de la centrale Karcher, pression de l’eau, approvisionnement en eau oxygénée et détergent anti-calcaire et elle veillait à l’évacuation des eaux usées pompées en fond d’amphore.
Car les amphores n’avaient pas de bonde inférieure pour la vidange vu qu’elles étaient enterrées du bas.
Son mari tout nu nettoyait intensément les flancs de terre cuite dans un nuage d’eau pulvérisée chaude et les cris stridents de la brosse rotative qu’il passait sur la paroi.
L’intérieur de l’amphore de 1200 litres, large et évasé, de bien deux mètres de haut, était sombre car le trou d’homme n’était pas bien large. La femme était juchée sur un petit banc de bois d’à peine vingt centimètres de hauteur et surveillait l’opération de nettoyage par en dessus.
L’amphore étant semi-enterrée d’une cinquantaine de centimètres elle voyait son mari en contrebas et pouvait ainsi s’assurer que tout se passait bien pour lui.
C’est exactement à ce moment-là, à chaque fois, que l’affaire se faisait.
Au début c’était seulement un des douze actionnaires principaux qui soulevait la robe de l’épouse du chef de chai. Qui la troussait en quelque sorte et la mettait profondément lors que celle-ci prodiguait des conseils à son mari tout mouillé en fond de jarre.
La belle Girondine, debout sur son petit banc de bois, embrassant le haut de l’amphore de ses longs bras, les seins écrasés sur la face extérieure, troussée jusqu’aux aisselles, cambrait ses belles fesses en accueil de la visite tandis que son mari astiquait à grand bruit de pulvérisation la face intérieure.
L’affaire aurait pu en rester là mais la coquine Girondine a eu idée d’élargir sa chalandise et a suggeré aux actionnaires de faire appel de fond sur un grand nombre de petits actionnaires afin de lever les sommes permettant d’investir dans de nouvelles jarres.
A ce jour, ils sont 550 et la dame est présentement au paradis.
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