Chatouilles et châtiments, fantasme numérique...
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 201 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-06-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Chatouilles et châtiments, fantasme numérique...
"Dialogues Interdits" : une série de mini-nouvelles sans narration, uniquement faite de dialogues. Confessions crues, drôles et surprenantes entre amis...
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### Chatouilles et châtiments ###
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— Notre truc à nous, dans le groupe d’enfants qu’on était, c’était les chatouilles.
— Classique ! Qui n’y a pas joué. Enfin je veux dire : qui n’y a pas joué avec une fausse innocence, en se le faisant comme des gamins s’ébattant sous les yeux rassurés des parents. Des jeux étant en fait des prétextes pour se toucher et se peloter de partout. Pas encore des caresses, mais qui en prenaient tout doucement le chemin ! C’était ça votre truc, non ?
— Evidemment, et à l’époque je pensais qu’on était les seuls au monde à avoir eu cette idée.
— Cet alibi, oui !
— Le plus beau gosse du groupe, Benny, était particulièrement fan de ces parties. Il avait des doigts d’une précision ! Toutes les chatouilleuses le craignaient. C’était fou : un geste et il te faisait pousser un cri. En une partie il connaissait tous tes points faibles, et savait où chatouiller pour faire mouche. Je n’avais jamais vu ça.
— Ça ne vous a pas fait fuir ?
— Au contraire. On faisait genre on le fuit alors qu’en fait on adorait, et on s’arrangeait toujours pour le relancer.
— Quel âge vous aviez ?
— Je dirais la quinzaine.
— C’est bien tard pour les parties de chatouilles. Généralement ces jeux-prétextes, on les découvre à dix ans.
— Tu oublies que c’était pas la même époque. On couchait tard, et bien souvent même les adultes pratiquaient ni pipe ni sodo.
— Pourtant, t’as couché assez tôt, non ?
— Oui, mais notre petit groupe faisait figure d’exception.
— Vous en êtes restés aux guilis, avec ce garçon ?
— Non, on est vite passés à l’étape suivante. J’avais très envie de Benny, lui non. J’ai dû me rabattre sur un autre garçon.
— Il était difficile, ton Benny.
— En fait quand il nous chatouillait, il voulait repérer les filles qu’il parviendrait à faire crier pendant l’amour. Son kif, c’était ça et rien d’autre. Même une fille très jolie et sensuelle dans mon genre ne l’intéressait pas si elle en restait aux souffles et petits gémissements. Par contre, toutes les filles qui criaient pendant les chatouilles, il les a mises dans son lit.
— Ah les hommes…
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### Fantasme numérique, rebelote ###
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— Mes cons de collègues ont traficoté mon ordinateur. Je crois qu’ils me pardonnent pas d’avoir dit non à chacun.
— Idiots qu’ils sont. Si t’avais dit oui à l’un d’entre eux les autres auraient été jaloux. T’aurais dit oui à tous ils se seraient fait concurrence, puis t’auraient considéré comme une salope.
— Ils me considèrent déjà comme une salope, depuis le début.
— T’es très mal tombée, dans ce service.
— Oh, je leur en veux pas vraiment. Que veux-tu, je SUIS une salope. — On le voit, on le sent dans mon regard. Ils le devinent bien que j’ai beaucoup d’amants, et que j’aime parfois en mettre deux ou trois en même temps dans mon lit. Je connais la biologie humaine ! Percevoir cette sexualité rendrait fou n’importe quel garçon.
— C’est pas non plus une raison pour traficoter ton ordinateur. Ils t’ont effacé des trucs ?
— Non, ils m’ont juste installé un petit virus blagueur. Dès qu’une fenêtre s’ouvre pour me demander de confirmer telle action ou l’installation d’un logiciel, à la place ça me pose une question de cul. « Voulez-vous vous faire sodomiser ? » / « Voulez-vous vous mettre à genoux, ouvrir la bouche et tirer la langue ? ». J’en passe et des pires. Et forcément comme je veux confirmer l’action ou installer le logiciel, je clique sur oui.
— Et tu laisses faire ? Tu les as pas dénoncés au boss ?
— Sûrement pas voyons ! Me choquer, c’est ce qu’ils veulent. Que je rougisse, que je proteste… pas question de leur faire ce plaisir.
— Dis surtout que ça t’excite.
— Oui. Dingue, non ? De simples petits mots à la con, rien que les voir écrire j’en mouille. Et pourtant, malheureusement pour eux ça m’a pas du tout donné envie de faire quoi que ce soit avec un collègue, au contraire même. Ça me met juste en train pour mes soirées de cul.
— Au fond, une partie de leur fantasme s’est réalisée. Virtuellement parlant, avec toi qui clique sur « oui », ils t’ont tous retournée dans tous les sens des tas de fois !
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### Chatouilles et châtiments ###
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— Notre truc à nous, dans le groupe d’enfants qu’on était, c’était les chatouilles.
— Classique ! Qui n’y a pas joué. Enfin je veux dire : qui n’y a pas joué avec une fausse innocence, en se le faisant comme des gamins s’ébattant sous les yeux rassurés des parents. Des jeux étant en fait des prétextes pour se toucher et se peloter de partout. Pas encore des caresses, mais qui en prenaient tout doucement le chemin ! C’était ça votre truc, non ?
— Evidemment, et à l’époque je pensais qu’on était les seuls au monde à avoir eu cette idée.
— Cet alibi, oui !
— Le plus beau gosse du groupe, Benny, était particulièrement fan de ces parties. Il avait des doigts d’une précision ! Toutes les chatouilleuses le craignaient. C’était fou : un geste et il te faisait pousser un cri. En une partie il connaissait tous tes points faibles, et savait où chatouiller pour faire mouche. Je n’avais jamais vu ça.
— Ça ne vous a pas fait fuir ?
— Au contraire. On faisait genre on le fuit alors qu’en fait on adorait, et on s’arrangeait toujours pour le relancer.
— Quel âge vous aviez ?
— Je dirais la quinzaine.
— C’est bien tard pour les parties de chatouilles. Généralement ces jeux-prétextes, on les découvre à dix ans.
— Tu oublies que c’était pas la même époque. On couchait tard, et bien souvent même les adultes pratiquaient ni pipe ni sodo.
— Pourtant, t’as couché assez tôt, non ?
— Oui, mais notre petit groupe faisait figure d’exception.
— Vous en êtes restés aux guilis, avec ce garçon ?
— Non, on est vite passés à l’étape suivante. J’avais très envie de Benny, lui non. J’ai dû me rabattre sur un autre garçon.
— Il était difficile, ton Benny.
— En fait quand il nous chatouillait, il voulait repérer les filles qu’il parviendrait à faire crier pendant l’amour. Son kif, c’était ça et rien d’autre. Même une fille très jolie et sensuelle dans mon genre ne l’intéressait pas si elle en restait aux souffles et petits gémissements. Par contre, toutes les filles qui criaient pendant les chatouilles, il les a mises dans son lit.
— Ah les hommes…
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### Fantasme numérique, rebelote ###
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— Mes cons de collègues ont traficoté mon ordinateur. Je crois qu’ils me pardonnent pas d’avoir dit non à chacun.
— Idiots qu’ils sont. Si t’avais dit oui à l’un d’entre eux les autres auraient été jaloux. T’aurais dit oui à tous ils se seraient fait concurrence, puis t’auraient considéré comme une salope.
— Ils me considèrent déjà comme une salope, depuis le début.
— T’es très mal tombée, dans ce service.
— Oh, je leur en veux pas vraiment. Que veux-tu, je SUIS une salope. — On le voit, on le sent dans mon regard. Ils le devinent bien que j’ai beaucoup d’amants, et que j’aime parfois en mettre deux ou trois en même temps dans mon lit. Je connais la biologie humaine ! Percevoir cette sexualité rendrait fou n’importe quel garçon.
— C’est pas non plus une raison pour traficoter ton ordinateur. Ils t’ont effacé des trucs ?
— Non, ils m’ont juste installé un petit virus blagueur. Dès qu’une fenêtre s’ouvre pour me demander de confirmer telle action ou l’installation d’un logiciel, à la place ça me pose une question de cul. « Voulez-vous vous faire sodomiser ? » / « Voulez-vous vous mettre à genoux, ouvrir la bouche et tirer la langue ? ». J’en passe et des pires. Et forcément comme je veux confirmer l’action ou installer le logiciel, je clique sur oui.
— Et tu laisses faire ? Tu les as pas dénoncés au boss ?
— Sûrement pas voyons ! Me choquer, c’est ce qu’ils veulent. Que je rougisse, que je proteste… pas question de leur faire ce plaisir.
— Dis surtout que ça t’excite.
— Oui. Dingue, non ? De simples petits mots à la con, rien que les voir écrire j’en mouille. Et pourtant, malheureusement pour eux ça m’a pas du tout donné envie de faire quoi que ce soit avec un collègue, au contraire même. Ça me met juste en train pour mes soirées de cul.
— Au fond, une partie de leur fantasme s’est réalisée. Virtuellement parlant, avec toi qui clique sur « oui », ils t’ont tous retournée dans tous les sens des tas de fois !
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