Chaud weekend a Royan ...
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-04-2018 dans la catégorie Plus on est
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Chaud weekend a Royan ...
Ce n’est pas encore la pleine saison donc pas encore la cohue, c’est pourquoi nous avons décidés d’aller passer un weekend en amoureux à Royan cité balnéaire que nous ne connaissons pas, réputée pour ses immenses plages et forêts de pins dont quelques une seraient très fréquentées par une faune libérée, nous voulions aussi en profiter pour déguster des fruits de mer, enfin la totale en trois jours !
Nous nous baladions nonchalamment sur le front de mer, Noémie attirait l’œil des badauds qui se tordent le cou assis aux terrasses, principalement des hommes, célibataires ou non, avec sa jupette en cuir couleur fauve, peut être démodée, mais tellement érotique sur ses cuisses bronzées, fermée par des pressions dont l’un n’était pas clippé, ce qui change tout sur l’anatomie de cette petite femme blonde de trente-cinq ans, surtout si l’on ajoute à ça un corsage opaque sous lequel frémit au gré de ses pas une poitrine provoquante, libre de tous supports
Cette mise en scène et ce voyeurisme n’est pas pour déplaire à Noémie qui m’a promis de se lâcher à la moindre occasion, certes avec moi qui bande à longueur de minutes sur cette esplanade, la sachant convoitée par des mâles à l’affut de la femelle en chaleur, c’est bien moi qui vais profiter de son excitation refoulée dès que nous serons assis dans la voiture en direction d’un parking discret qui accueillera un jeu fougueux, je sais d’avance que je vais trouver entre ses cuisses ouvertes un min slip poisseux aux senteurs enivrantes
- Thomas chéri ? où dinons-nous ce soir ?
- justement j’y pensais, de toute façon c’est fruit de mer, mais où aller pour ne pas se faire arnaquer …. j’ai une idée je vais demander à ce monsieur assis sur ce banc
- A condition qu’il soit de la région !
- Excusez-nous monsieur nous cherchons pour ce soir un petit resto fruit de mer, a l’extérieur de la ville si possible
- Vous vous adressez à la bonne personne charmants touristes ! un cadre typique, des tables discrètes et des plateaux garnis de crustacés dont vous me direz des nouvelles sur leur fraicheur
- Et où se trouve ce fabuleux endroit ?
- Route des plages à la sortie de St Palais, juste à côté d’un grand parking peu fréquenté à cette saison, l’idéal pour deux amoureux qui ont l’air de chercher la plénitude
- Merci monsieur nous allons y aller ce soir
- Je m’appelle Norman, vous pouvez venir de ma part, vous et votre charmante épouse serez royalement reçus
- Merci !
- Tu as vu comme il me scrutait ?
- Comme il était assis, et donc plus bas que nous, il cherchait sans doute à voir si tu avais une petite culotte ou pas !
- Le vieux coquin !
- C’est plutôt flatteur non ? il est très bien cet homme, genre séducteur, sûr de lui, et je pense qu’il doit être un excellent amant !
- Retournons sur nos pas tant que tu y es ? !!!
- Chiche ?
- Tu plaisante ? quelle heure est-il ? …
- Dix-huit heures
- J’en ai marre de marcher sans but
- J’ai compris, direction la voiture et la forêt ?
- Tu n’as pas envie toi ?
- Si tu touchais ma bite tu comprendrais tout !
- Quelle galanterie ! c’est comme si je te disais que j’ai la moule ouverte ? !
- Parce que ce n’est pas la vérité ?
- Beeennn si ! allons vite baiser chéri !
- Courrons à la voiture !
Noémie a extrait ma queue de mon short pour la manipuler lentement histoire d’entretenir sa rigidité sans me faire décharger inutilement tandis que mes doigts, après avoir écartés le string, barbotent dans un magma poisseux, ce petit chemin sablonneux ombragé va cacher notre folle envie de rut !
C’est nus sur les sièges arrière et portières ouvertes que nous avons jouis par deux fois, faisant fuir les animaux apeurés par nos cris! apaisés oui, mais pour combien de temps ? il ne nous reste plus qu’à prendre une douche bien méritée a l’hôtel et à nous rendre à St palais où nous arrivons juste au moment où le soleil se couche sur l’océan, ma femme n’a pas changé de tenue ... le slip ? oublié ! un bon argument pour réactiver nos pulsions et descendre sur la plage attenante pour faire la digestion !
Effectivement le parking à l’orée de la forêt est immense, il s’y passerait des choses en fin de soirée que je n’en serais pas étonné …voilà le resto, nous somment accueillis cordialement, le serveur me parle en regardant le décolleté de ma femme, ainsi il devine où nous caser pour rester en amoureux…
- Mais ?
- Tu ne rêves pas, c’est bien Norman notre ‘indicateur’ !
- Bonsoir les jeunes ! vous ne regretterez pas de m’avoir écouté, soyez sans crainte je vous laisse vous installer, je devine que vous avez besoin de rester en amoureux, bon appétit, Heeeuuuu … ça vous dirait un digestif après le diner ?
- C’est que …
- J’ai compris, vous avez envie de solitude, promis, je ne vous retiendrez pas longtemps, faites-moi ce plaisir …
- Qu’en dit tu Noémie ?
- C’est si gentiment proposé ce serait impoli de refuser …
- Vous avez gagné Norman, ma femme vous a adopté !
- Bon appétit les jeunes !
Le serveur a été aux petits soins, prenant garde lorsqu’il vient à notre table de se trouver du côté de mon épouse qui a renoncé depuis le début du repas à serrer les genoux, sa jupe étant outrageusement ouverte il doit se régaler de la vue, je crois même qu’il va rendre des comptes à notre ami Norman qui surveille de loin tous nos faits et gestes … a la fin du diner, pas plus tôt levés de table l’homme nous convie à le rejoindre, il inspecte immédiatement la jupe que Noémie a pris soin de réajuster pour traverser la salle, je lis la déception dans ses yeux
- Chérie ? assied toi a côté de Norman
- Si tu veux Thomas
- Hooooo, c’est vrai ? vous me faites un immense plaisir
La coquine a compris le message et a tiré subrepticement sur la jupe faisant sauter deux pressions, s’il a un bon angle il devrais apercevoir quelques poils pubiens, les ballons de grand-marnier achevés l’homme propose de nous accompagner sur le parking sa voiture y étant stationnée… je sens que tout ceci était prémédité depuis l’après-midi, mon épouse l’a éblouis, il n’a qu’une envie : se la taper … après quelques verres de rosé frais et le digestif je la soupçonne de ne pas y être réfractaire… et moi non plus ! sitôt sortis un frisson secoue Noémie
- Vous avez froid Noémie ?
- Ça va très bien, sans doute la réaction du chaud et froid
- Permettez-moi de vous entourer de mon bras …
- Merci mais …
Elle m’a pincé pour me signaler la situation, elle n’ose pas polémiquer lorsque le bras posé sur son épaule glisse à sa taille et continue lentement sur ses fesses, heureusement nous arrivons aux voitures, comme par hasard la sienne et collée à la notre
- Eh bien voilà ? nous allons nous séparer ici … vous rentrez directement ?
- Nous allons certainement faire quelques pas sur la plage
- Je vois... puis-je me permettre de vous faire la bise Noémie ?
Ma femme adossée à la voiture adopte une attitude plutôt offerte, ses mains derrière ses reins, le ventre en avant, pieds écartés ce qui fait ouvrir sa jupe de nouveau dépattée dévoile ses cuisses bronzées, nous serions seul il y a longtemps que je me serais collé à elle pour la pénétrer, n’ayant pas eu de réponse négative Norman vient face à ma femme, obligé de se pencher pour atteindre sa joue son ventre appuis sur celui de mon épouse qui semble disposée à toutes éventualités , elle ouvre la bouche pour me faire comprendre qu’une érection imposante pèse exactement là où il faut
- Tu es belle Noémie …
- Merci Norman …
- Si j’osais …
En fait il n’a pas attendu plus longtemps pour passer une jambe entre celle de ma femme désormais soumise à l’homme qui cherche sa bouche et passe une main entre les cuisses ouvertes, ma femme gémit lorsque le ou les doigts ouvrent son coquillage plein à craquer de jus intime, la bouche de Norman glisse vers la poitrine pour y chercher un téton ,il s’est décollé de sa proie pour pouvoir ouvrir son short, tout en surveillant les alentours j’extrait moi aussi mon braquemard tordu de mon boxer
- THOMAS ! il va … ça y est ! il me baise … haaaaaaaaaaaaaaooooooooooouuuuuuuuuuuuuiiiiii ! vas-yyyyyyyyyyyy, cogne dans ma chatte vieux salaud !
- Petite allumeuse, tu montrais ton cul à tous les passants, je rêve de cet instant depuis que je t’ai vue à Royan !! tiiieeeennnnnnt prend ça et encore çççççaaaaaaaaaaarrhhhhhhhhaaaaaaaaaaaaa meeerrrrrrrde ! je décharge !
- HHOOOOOOOOUUUUUUUIIIIIIIIIII !! il me remplit le ventre de sa purée, ça coule partout !
Le couple encore joint par les sexes reprend peu à peu son souffle, Norman semble ne pas vouloir se retirer et maintient mon épouse par la taille
- Thomas... il rebande …
- Ça te rebute ?
- NON !
- Alors profite ma chérie
- Par derrière, je voudrais par derrière … sur l’aile …
- Tu entends Norman ?
- Vient par-là poulette, retourne toi et penche toi vite fait que je t’embroche
La poitrine écrasée sur la tôle fraiche, la jupe tombée à terre, son amant les chevilles entravées par son short et son slip, le cul blanc tranche des cuisses bronzées ! Cramponné à ses hanches il cogne dans ma matrice ouverte en soufflant tel un bœuf, mon épouse complètement partie répond coups pour coups aux collisions violentes, elle jouit sans discontinuer attendant un nouvel arrosage de sperme qui la fera disjoncter totalement son amant donne des signes de non-retour, soudain il reste planté dans le con accompagnant ses jets puissants de grognements étouffés, cette fois il se recule et cherche dans une poche de quoi s’essuyer la queue ,Noémie reste penchée sans rectifier sa position, entre ses cuisses et au sol des traces luisent au claire de lune, je m’approche bite a la main prêt à saillir ma salope pour mêler mon foutre à celui de l’amant surprise ….
- Excusez-moi je suis le serveur du resto, puis-je profiter moi aussi de madame ?
Que répondre à un gars qui a la verge tendue et bave de désir en se masturbant devant le cul encore cambré de ma femme ?
- Vas-y je passerais après …
Nous nous baladions nonchalamment sur le front de mer, Noémie attirait l’œil des badauds qui se tordent le cou assis aux terrasses, principalement des hommes, célibataires ou non, avec sa jupette en cuir couleur fauve, peut être démodée, mais tellement érotique sur ses cuisses bronzées, fermée par des pressions dont l’un n’était pas clippé, ce qui change tout sur l’anatomie de cette petite femme blonde de trente-cinq ans, surtout si l’on ajoute à ça un corsage opaque sous lequel frémit au gré de ses pas une poitrine provoquante, libre de tous supports
Cette mise en scène et ce voyeurisme n’est pas pour déplaire à Noémie qui m’a promis de se lâcher à la moindre occasion, certes avec moi qui bande à longueur de minutes sur cette esplanade, la sachant convoitée par des mâles à l’affut de la femelle en chaleur, c’est bien moi qui vais profiter de son excitation refoulée dès que nous serons assis dans la voiture en direction d’un parking discret qui accueillera un jeu fougueux, je sais d’avance que je vais trouver entre ses cuisses ouvertes un min slip poisseux aux senteurs enivrantes
- Thomas chéri ? où dinons-nous ce soir ?
- justement j’y pensais, de toute façon c’est fruit de mer, mais où aller pour ne pas se faire arnaquer …. j’ai une idée je vais demander à ce monsieur assis sur ce banc
- A condition qu’il soit de la région !
- Excusez-nous monsieur nous cherchons pour ce soir un petit resto fruit de mer, a l’extérieur de la ville si possible
- Vous vous adressez à la bonne personne charmants touristes ! un cadre typique, des tables discrètes et des plateaux garnis de crustacés dont vous me direz des nouvelles sur leur fraicheur
- Et où se trouve ce fabuleux endroit ?
- Route des plages à la sortie de St Palais, juste à côté d’un grand parking peu fréquenté à cette saison, l’idéal pour deux amoureux qui ont l’air de chercher la plénitude
- Merci monsieur nous allons y aller ce soir
- Je m’appelle Norman, vous pouvez venir de ma part, vous et votre charmante épouse serez royalement reçus
- Merci !
- Tu as vu comme il me scrutait ?
- Comme il était assis, et donc plus bas que nous, il cherchait sans doute à voir si tu avais une petite culotte ou pas !
- Le vieux coquin !
- C’est plutôt flatteur non ? il est très bien cet homme, genre séducteur, sûr de lui, et je pense qu’il doit être un excellent amant !
- Retournons sur nos pas tant que tu y es ? !!!
- Chiche ?
- Tu plaisante ? quelle heure est-il ? …
- Dix-huit heures
- J’en ai marre de marcher sans but
- J’ai compris, direction la voiture et la forêt ?
- Tu n’as pas envie toi ?
- Si tu touchais ma bite tu comprendrais tout !
- Quelle galanterie ! c’est comme si je te disais que j’ai la moule ouverte ? !
- Parce que ce n’est pas la vérité ?
- Beeennn si ! allons vite baiser chéri !
- Courrons à la voiture !
Noémie a extrait ma queue de mon short pour la manipuler lentement histoire d’entretenir sa rigidité sans me faire décharger inutilement tandis que mes doigts, après avoir écartés le string, barbotent dans un magma poisseux, ce petit chemin sablonneux ombragé va cacher notre folle envie de rut !
C’est nus sur les sièges arrière et portières ouvertes que nous avons jouis par deux fois, faisant fuir les animaux apeurés par nos cris! apaisés oui, mais pour combien de temps ? il ne nous reste plus qu’à prendre une douche bien méritée a l’hôtel et à nous rendre à St palais où nous arrivons juste au moment où le soleil se couche sur l’océan, ma femme n’a pas changé de tenue ... le slip ? oublié ! un bon argument pour réactiver nos pulsions et descendre sur la plage attenante pour faire la digestion !
Effectivement le parking à l’orée de la forêt est immense, il s’y passerait des choses en fin de soirée que je n’en serais pas étonné …voilà le resto, nous somment accueillis cordialement, le serveur me parle en regardant le décolleté de ma femme, ainsi il devine où nous caser pour rester en amoureux…
- Mais ?
- Tu ne rêves pas, c’est bien Norman notre ‘indicateur’ !
- Bonsoir les jeunes ! vous ne regretterez pas de m’avoir écouté, soyez sans crainte je vous laisse vous installer, je devine que vous avez besoin de rester en amoureux, bon appétit, Heeeuuuu … ça vous dirait un digestif après le diner ?
- C’est que …
- J’ai compris, vous avez envie de solitude, promis, je ne vous retiendrez pas longtemps, faites-moi ce plaisir …
- Qu’en dit tu Noémie ?
- C’est si gentiment proposé ce serait impoli de refuser …
- Vous avez gagné Norman, ma femme vous a adopté !
- Bon appétit les jeunes !
Le serveur a été aux petits soins, prenant garde lorsqu’il vient à notre table de se trouver du côté de mon épouse qui a renoncé depuis le début du repas à serrer les genoux, sa jupe étant outrageusement ouverte il doit se régaler de la vue, je crois même qu’il va rendre des comptes à notre ami Norman qui surveille de loin tous nos faits et gestes … a la fin du diner, pas plus tôt levés de table l’homme nous convie à le rejoindre, il inspecte immédiatement la jupe que Noémie a pris soin de réajuster pour traverser la salle, je lis la déception dans ses yeux
- Chérie ? assied toi a côté de Norman
- Si tu veux Thomas
- Hooooo, c’est vrai ? vous me faites un immense plaisir
La coquine a compris le message et a tiré subrepticement sur la jupe faisant sauter deux pressions, s’il a un bon angle il devrais apercevoir quelques poils pubiens, les ballons de grand-marnier achevés l’homme propose de nous accompagner sur le parking sa voiture y étant stationnée… je sens que tout ceci était prémédité depuis l’après-midi, mon épouse l’a éblouis, il n’a qu’une envie : se la taper … après quelques verres de rosé frais et le digestif je la soupçonne de ne pas y être réfractaire… et moi non plus ! sitôt sortis un frisson secoue Noémie
- Vous avez froid Noémie ?
- Ça va très bien, sans doute la réaction du chaud et froid
- Permettez-moi de vous entourer de mon bras …
- Merci mais …
Elle m’a pincé pour me signaler la situation, elle n’ose pas polémiquer lorsque le bras posé sur son épaule glisse à sa taille et continue lentement sur ses fesses, heureusement nous arrivons aux voitures, comme par hasard la sienne et collée à la notre
- Eh bien voilà ? nous allons nous séparer ici … vous rentrez directement ?
- Nous allons certainement faire quelques pas sur la plage
- Je vois... puis-je me permettre de vous faire la bise Noémie ?
Ma femme adossée à la voiture adopte une attitude plutôt offerte, ses mains derrière ses reins, le ventre en avant, pieds écartés ce qui fait ouvrir sa jupe de nouveau dépattée dévoile ses cuisses bronzées, nous serions seul il y a longtemps que je me serais collé à elle pour la pénétrer, n’ayant pas eu de réponse négative Norman vient face à ma femme, obligé de se pencher pour atteindre sa joue son ventre appuis sur celui de mon épouse qui semble disposée à toutes éventualités , elle ouvre la bouche pour me faire comprendre qu’une érection imposante pèse exactement là où il faut
- Tu es belle Noémie …
- Merci Norman …
- Si j’osais …
En fait il n’a pas attendu plus longtemps pour passer une jambe entre celle de ma femme désormais soumise à l’homme qui cherche sa bouche et passe une main entre les cuisses ouvertes, ma femme gémit lorsque le ou les doigts ouvrent son coquillage plein à craquer de jus intime, la bouche de Norman glisse vers la poitrine pour y chercher un téton ,il s’est décollé de sa proie pour pouvoir ouvrir son short, tout en surveillant les alentours j’extrait moi aussi mon braquemard tordu de mon boxer
- THOMAS ! il va … ça y est ! il me baise … haaaaaaaaaaaaaaooooooooooouuuuuuuuuuuuuiiiiii ! vas-yyyyyyyyyyyy, cogne dans ma chatte vieux salaud !
- Petite allumeuse, tu montrais ton cul à tous les passants, je rêve de cet instant depuis que je t’ai vue à Royan !! tiiieeeennnnnnt prend ça et encore çççççaaaaaaaaaaarrhhhhhhhhaaaaaaaaaaaaa meeerrrrrrrde ! je décharge !
- HHOOOOOOOOUUUUUUUIIIIIIIIIII !! il me remplit le ventre de sa purée, ça coule partout !
Le couple encore joint par les sexes reprend peu à peu son souffle, Norman semble ne pas vouloir se retirer et maintient mon épouse par la taille
- Thomas... il rebande …
- Ça te rebute ?
- NON !
- Alors profite ma chérie
- Par derrière, je voudrais par derrière … sur l’aile …
- Tu entends Norman ?
- Vient par-là poulette, retourne toi et penche toi vite fait que je t’embroche
La poitrine écrasée sur la tôle fraiche, la jupe tombée à terre, son amant les chevilles entravées par son short et son slip, le cul blanc tranche des cuisses bronzées ! Cramponné à ses hanches il cogne dans ma matrice ouverte en soufflant tel un bœuf, mon épouse complètement partie répond coups pour coups aux collisions violentes, elle jouit sans discontinuer attendant un nouvel arrosage de sperme qui la fera disjoncter totalement son amant donne des signes de non-retour, soudain il reste planté dans le con accompagnant ses jets puissants de grognements étouffés, cette fois il se recule et cherche dans une poche de quoi s’essuyer la queue ,Noémie reste penchée sans rectifier sa position, entre ses cuisses et au sol des traces luisent au claire de lune, je m’approche bite a la main prêt à saillir ma salope pour mêler mon foutre à celui de l’amant surprise ….
- Excusez-moi je suis le serveur du resto, puis-je profiter moi aussi de madame ?
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