Chaude nièce
Récit érotique écrit par Albin Thai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Chaude nièce
Hier, nous avons fêté les 24 ans de la nièce de ma femme. Tous les gens qui la connaissent lui donnent à peine 16 ans. Elle ressemble à une gamine. En fin de journée, elle était un peu pompette. Elle s'est trompée de chambre, et a atterri dans la mienne. Elle s'est déshabillée entièrement et s'est glissée sous la couette. Elle a dit quelque chose dans sa langue(elle est asiatique) et a empoignée ma bite. Elle a glissé sa tête sous les draps et sa langue a léché la petite fente de mon gland. Tétanisé par la caresse, je me suis laissé faire. Malgré l'impression que j'avais de me taper une gosse, je me suis dit qu'après tout, elle avait quand même 24 ans.
Elle a ouvert la bouche et ses lèvres humides sont descendues jusqu'à mes couilles. Elles sont remontées jusqu'au gland, sa langue s'immisça dans la couture entre le gland et la tige, m'arrachant un soupir. Elle releva la tête, et croisa mon regard. Elle esquissa un sourire malicieux et ses lèvres redescendirent lentement, le long de ma queue qui se raidissait encore plus. Elle salivait de plus belle, attendant l'arrivée de ma jouissance. J'ai éjaculé dans sa bouche et elle a eu un soupir de soulagement. Elle a tout avalé et s'est retirée.
Son corps ressemblait à celui d'une enfant, et ça m'excitait. J'avais un vague sentiment de culpabilité, qui s'est vite envolé quand elle s'est assise sur moi. Sa chatte était trempée. Quand mon gland fut en elle, elle serra les cuisses et se laissa glisser le long de ma pine. J'ai râlé de plaisir.
- Ca fait combien de temps que t'as pas fait l'amour avec ta femme ? Me dit-elle en Anglais.
Ca fait deux ans qu'elle vit avec nous, et je pense qu'elle n'est pas idiote. Moi, je la prenais pour une enfant, ce qu'elle était en train de faire, me prouvait le contraire.
- Comment tu le sais ?
- C'est ma tante qui me l'a dit. Elle dit que faire l'amour avec toi ne lui plaît plus. Alors j'ai décidé que tu méritais de connaître le plaisir de nouveau.
Son minou très étroit, montait et descendait le long de ma queue, quand elle me dit :
- Ca te dirait de me prendre le cul ?
Je n'ai pas eu le temps de répondre. Elle s'est relevée, m'a poussé sur le côté et s'est mise à genoux. Elle s'est penchée, la tête en avant sur l'oreiller. Son petit cul bien rond était relevé. Avec ses mains, elle écarta ses fesses, me montrant son petit trou. Comme je ne réagissais pas, elle empoigna ma queue et posa le gland sue la rosette.
- Vas-y, dit-elle, pousse !
Elle était si étroite, que le gland ne rentrait pas.
- Plus fort ! dit-elle d'une voix étouffée par l'oreiller.
Comme je n'y arrivais toujours pas, elle se retourna et repris ma bite dans sa bouche. Elle l'enduit avec force salive, se retira et repris sa position, le cul offert.
Cette fois, ma queue s'enfonça dans son cul serré. Quand mes cuisses s'écrasèrent sur ses fesses, c'est elle qui poussa un soupir de plaisir. Au bout de trois ou quatre aller-retour entre ses fesses, j'ai joui dans son cul. Alors, la petite diablesse, me renversa sur le côté. Ma queue toujours dans son cul, elle se retrouva assise sur mes cuisses. Elle prit ma tête entre ses mains et m'embrassa goûlument. Elle planta ses yeux dans les miens et commença à faire coulisser son tout petit cul le long de ma pine. Elle montait et descendait de plus en plus vite. De temps en temps, elle laissait mon gland sortir et rentrer de nouveau de son cul. Puis, quand elle sentit que j'allais éjaculer, elle se releva et repris sa position dans l'oreiller. J'ai plongé ma queue d'un seul trait dans son cul. j'ai mis mes mains sur ses épaules et j'ai poussé de toutes mes forces. Mes cuisses étaient collées à ses fesses. J'ai passé mes bras autour de sa taille, et, les reins tendus, j'ai inondé ce petit cul de mon sperme.
Elle s'est détendue, a collé son corps contre le mien, retenant ma pine dans son cul et nous nous sommes endormis comme ça. Au petit matin, je me suis éveillé, elle n'était plus là.
Avais-je imaginé cette nuit ? J'ai glissé la main vers ma queue encore humide. Je l'ai ramenée à mes lèvres, et le goût que j'avais sur les doigts me prouvèrent que la chaude nuit avec la nièce de ma femme n'était pas un rêve. A ce jour, j'ai toujours envie de recommencer. D'autant plus que cette petite polissonne me lance des bisous charmants par en-dessous, quand sa tante ne la voit pas.
Elle a ouvert la bouche et ses lèvres humides sont descendues jusqu'à mes couilles. Elles sont remontées jusqu'au gland, sa langue s'immisça dans la couture entre le gland et la tige, m'arrachant un soupir. Elle releva la tête, et croisa mon regard. Elle esquissa un sourire malicieux et ses lèvres redescendirent lentement, le long de ma queue qui se raidissait encore plus. Elle salivait de plus belle, attendant l'arrivée de ma jouissance. J'ai éjaculé dans sa bouche et elle a eu un soupir de soulagement. Elle a tout avalé et s'est retirée.
Son corps ressemblait à celui d'une enfant, et ça m'excitait. J'avais un vague sentiment de culpabilité, qui s'est vite envolé quand elle s'est assise sur moi. Sa chatte était trempée. Quand mon gland fut en elle, elle serra les cuisses et se laissa glisser le long de ma pine. J'ai râlé de plaisir.
- Ca fait combien de temps que t'as pas fait l'amour avec ta femme ? Me dit-elle en Anglais.
Ca fait deux ans qu'elle vit avec nous, et je pense qu'elle n'est pas idiote. Moi, je la prenais pour une enfant, ce qu'elle était en train de faire, me prouvait le contraire.
- Comment tu le sais ?
- C'est ma tante qui me l'a dit. Elle dit que faire l'amour avec toi ne lui plaît plus. Alors j'ai décidé que tu méritais de connaître le plaisir de nouveau.
Son minou très étroit, montait et descendait le long de ma queue, quand elle me dit :
- Ca te dirait de me prendre le cul ?
Je n'ai pas eu le temps de répondre. Elle s'est relevée, m'a poussé sur le côté et s'est mise à genoux. Elle s'est penchée, la tête en avant sur l'oreiller. Son petit cul bien rond était relevé. Avec ses mains, elle écarta ses fesses, me montrant son petit trou. Comme je ne réagissais pas, elle empoigna ma queue et posa le gland sue la rosette.
- Vas-y, dit-elle, pousse !
Elle était si étroite, que le gland ne rentrait pas.
- Plus fort ! dit-elle d'une voix étouffée par l'oreiller.
Comme je n'y arrivais toujours pas, elle se retourna et repris ma bite dans sa bouche. Elle l'enduit avec force salive, se retira et repris sa position, le cul offert.
Cette fois, ma queue s'enfonça dans son cul serré. Quand mes cuisses s'écrasèrent sur ses fesses, c'est elle qui poussa un soupir de plaisir. Au bout de trois ou quatre aller-retour entre ses fesses, j'ai joui dans son cul. Alors, la petite diablesse, me renversa sur le côté. Ma queue toujours dans son cul, elle se retrouva assise sur mes cuisses. Elle prit ma tête entre ses mains et m'embrassa goûlument. Elle planta ses yeux dans les miens et commença à faire coulisser son tout petit cul le long de ma pine. Elle montait et descendait de plus en plus vite. De temps en temps, elle laissait mon gland sortir et rentrer de nouveau de son cul. Puis, quand elle sentit que j'allais éjaculer, elle se releva et repris sa position dans l'oreiller. J'ai plongé ma queue d'un seul trait dans son cul. j'ai mis mes mains sur ses épaules et j'ai poussé de toutes mes forces. Mes cuisses étaient collées à ses fesses. J'ai passé mes bras autour de sa taille, et, les reins tendus, j'ai inondé ce petit cul de mon sperme.
Elle s'est détendue, a collé son corps contre le mien, retenant ma pine dans son cul et nous nous sommes endormis comme ça. Au petit matin, je me suis éveillé, elle n'était plus là.
Avais-je imaginé cette nuit ? J'ai glissé la main vers ma queue encore humide. Je l'ai ramenée à mes lèvres, et le goût que j'avais sur les doigts me prouvèrent que la chaude nuit avec la nièce de ma femme n'était pas un rêve. A ce jour, j'ai toujours envie de recommencer. D'autant plus que cette petite polissonne me lance des bisous charmants par en-dessous, quand sa tante ne la voit pas.
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