Chaude randonnée

- Par l'auteur HDS Tellanh -
Récit érotique écrit par Tellanh [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Chaude randonnée Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(7.0 / 10)

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Chaude randonnée
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Quel plaisir et quelles sensations de se lever très tôt pour être sur les sentiers dès le lever du soleil. Etre le premier de la journée à arpenter les chemins sans crainte d'être dérangé. Cet été ne fera pas exception. Ce sont les sentiers côtiers du Finistère sur lesquels j'ai jeté mon dévolu. Rochers, falaises, plages se succèdent à bonne allure tant j'adore marcher et découvrir de nouveaux paysages. Quelques bateaux de pêcheurs semblent m'accompagner au loin. Quelle surprise lorsque j'aperçois encore loin au devant de moi une silhouette qui semble accompagnée d'un animal, sans doute un chien. J'ai toujours la crainte étant seul de passer devant des maisons ouvertes dont les propriétaires laissent leur chien divaguer, toujours prompt à aboyer et même à se précipiter tous crocs dehors!
Au fur et à mesure que nous nous approchons l'un de l'autre, je peux deviner la taille imposante de la personne et du chien. Je tente de me rassurer en pensant que le chien est bien en main et que je pourrais poursuivre ma randonnée sans être importuné. Alors que nous ne sommes plus qu'à une dizaine de mètres il me semble percevoir un sourire inquiétant. Immédiatement le chien se précipite au devant de moi en aboyant. Je reste interdit.
"Il vaut mieux que vous ne bougiez pas" me lance l'inconnu, toujours avec ce même sourire.
Je lui réponds que j'aimerais bien pouvoir poursuivre ma randonnée. Entre-temps le chien, un doberman pensais-je, s'est allongé derrière moi, étrangement silencieux et me coupant toute retraite. Je me surprends à observer l'environnement immédiat: le chemin encaissé, au milieu des fougères et un peu plus loin, près de la côte, de gros rochers.
L'inconnu, un bon mètre quatre vingt-dix, me dévisage puis son regard bascule vers le bas et semble fixer mon entrejambes. Voulant rompre avec ce face à face gênant, je tente de poursuivre mon chemin et l'obliger à s'écarter pour me laisser passer. Il ne bouge pas d'un pouce et je me retrouve presque à le toucher. Au même moment le chien s'est redressé, approché semblant me signifier que je ne devais plus bouger.
"Déshabille-toi!". D'une voix ferme, cet ordre a claqué.
Je tente de bredouiller: "Qu'est-ce que cela signifie?"
"Déshabille-toi, je ne te le redirai pas une seconde fois". Me désignant du regard son chien qui commençait à émettre de sourds grognements.
Comprenant que je n'avais pas le choix mais ne comprenant toujours pas les intentions de cet inconnu, je commençais lentement à me déshabiller. Au moment où je m’apprêtais à retirer mon slip, il me demanda de le garder et m'enjoignit de rejoindre les rochers. Nous nous trouvions ainsi à l'écart du chemin et à l'écart de la vue d'éventuels randonneurs. En me retournant et en regardant vers mon inconnu, je remarquais que son pantalon était déformé au niveau de sa braguette. Cela m'éclaira immédiatement sur ses véritables intentions. Faire l'amour avec un mec ne me dérangeait pas, bien au contraire, dès lors que cela s'accompagnait de tendresse. Visiblement cela allait prendre une toute autre tournure. J'allais tout simplement passer à la casserole, servir de vide-couilles!
Le gabarit du personnage et la présence du chien m'enlevait définitivement toute idée de révolte.
"Je vois que tu comprends vite" me lança-t-il, goguenard. Ainsi il lisait également dans mes pensées!!!
A peine eut-il prononcé ses mots qu'il me colla avec force contre les rochers et s'empara de ma bouche pour me rouler une pelle. Je sentis immédiatement mon sexe durcir. Ainsi-donc, non seulement je ne résistais pas mais j'y trouvais un certain plaisir. Relâchant sa pression, il appuya sur mes épaules, m'obligeant à m'accroupir. Je me retrouvais face à sa braguette. Il renouvela sa pression pour appuyer mon visage sur son sexe que je sentais dur derrière la toile de son pantalon. Sans même qu'il n'en ait fait la demande, j'ouvris sa braguette, et sorti un sexe de taille imposante. Oubliant le contexte contraint, je pris en main le sexe, le suçait doucement.
Visiblement cela lui faisait de l'effet.
Il en voulait cependant plus et m'obligea à le prendre en bouche. Il prenait un malin plaisir à faire coulisser son gland puis à pousser pour que sa hampe suive. Malgré mes efforts pour respirer par le nez, cela devenait difficile. Il persistait et au moment où je pensais que je ne pourrais plus tenir, il se retira. Visiblement il voulait passer à autre chose. Il s'était retenu. Il me releva, me retourna. Il me prit par les hanches pour me tirer en arrière. Pour ne pas tomber, je dus m'appuyer sur le rocher. Il m'abaissa mon slip jusqu'aux chevilles.
Docilement, de moi-même je relevai les jambes pour me débarrasser de mon slip. Je ne pensais pas être capable d'une telle soumission. Soumission à quoi? A la force physique, à la crainte de l'animal? Ou soumission à un désir inconscient d'être dominé?
A plusieurs reprises il cracha sur mon anus qui lui était désormais offert. Son gland, encapuchonné d'un préservatif, se posa contre celui-ci et alors que je m'attendais à subir une pénétration violente, douloureuse, il commença au contraire, par de petits mouvements, jusqu'à ce que son gland soit entièrement entré. Sa façon de procéder commençait à me procurer du plaisir. Il poursuivi son avancée lentement mais fermement. Je sentis son pubis contre mes fesses et ce fut le début d'une chevauchée fantastique, furieuse, jouissive. Jamais je n'aurais voulu que cela ne s'arrête. Sans même me toucher, j'éjaculais pendant de longues secondes. Il en fit de même dans le préservatif. Il s'écroula sur moi et s'en rendait-il compte, il se mit à me caresser les fesses, le bas du dos.
Je partais à rêver, me demandant si j'avais véritablement vécu ce moment. Il a dû se passer un long moment avant que je ne reprenne mes esprits. J'étais seul, nu sur un rocher, face à la mer. Mes vêtements étaient un peu plus loin sur le chemin. En me penchant pour les récupérer je vis nettement les traces des pattes d'un gros chien. Je n'avais pas rêvé. Depuis ce jour, à chacune de mes ballades, je rêve de revivre un tel moment.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Un homme dominateur et un chien...que de souvenirs....

Histoire Erotique
l homme dominateur et le chien ... un fantasme presque irréel mais pourtant tellement présent . J ai croisé les mêmes sensations , que mes souvenirs aiment les revives ( meme ) par d autre personnes



Texte coquin : Chaude randonnée
Histoire sexe : Une rose rouge
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