CHEF DE SERVICE.

- Par l'auteur HDS DeeWar -
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Auteur homme.
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Récit libertin : CHEF DE SERVICE. Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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CHEF DE SERVICE.
CHEF DE SERVICE.

… Cela faisait vingt bonnes minutes que je le pistonnais sans relâche. Agrippé au rebord de la table basse, il couinait comme un jeune puceau qui découvre la queue. Lui? L'orgueilleux chef de service de ma femme.

*************

Il venait d'intégrer l'entreprise dans laquelle bossait mon épouse et martyrisait tout le personnel dont il avait la charge. Ce jeune coq, à peine sorti de l'école de Commerce, se croyait tout permis. Il imposait des heures supplémentaires à son personnel et menaçait la plupart de licenciement pour non respect des objectifs.

Suzanne revenait souvent démoralisée du travail et cela s'en ressentait fortement sur notre couple. Je lui promis de remédier à cela. Je ne savais pas trop comment m'y prendre, jusqu'à cette soirée organisée par la boîte pour fêter la signature d'un accord de partenariat avec un grand groupe étranger. Tout le gratin était présent, dont le fameux chef de ma femme.

Au premier regard, je sus à qui j'avais affaire. Un jeune loup de vingt-sept ans aux dents longues. Sous ses airs affables et ses manières policées, on ne doutait pas un seul instant qu'il était prêt à tout pour parvenir au sommet...
Même à coucher???

Cette remarque me fit sourire.

Il serrait une multitude de mains, un sourire mielleux au coin des lèvres. C'est vrai qu'il présentait bien dans son costume beige avec son teint hâlé qui faisait ressortir ses yeux bleus et sa barbe finement taillée. L'ovale de son visage et ses cheveux courts taillés en brosse lui conférait un air de jeune premier de la classe, bien propre sur lui.

L'archétype du néophyte ambitieux.

Il paradait au bras d'une charmante blonde pulpeuse à souhait. Une belle plante que je me serais bien tapé, par pure vengeance. Il vint à notre rencontre et claqua même une bise à Suzanne qui en resta bouche bée.

- Le connard, s'étrangla-t-elle un fois qu'il se fut éloigné.

Je sentais beaucoup de malaise et de frustration dans ces deux mots lâchés à son insu. Je lui saisis la main et lui chuchotai à l'oreille.

- Je m'en occupe.

L'entreprise en question avait fait les choses en grand. Ils avaient privatisé une immense bâtisse en bord de mer, l'espace d'une journée, et beaucoup de convives se retrouvaient sur la plage à grignoter des petits fours ou à discuter entre eux. C'est là que j'ai repéré mon jeune caïd. Il tenait enlacé sa dulcinée de peur qu'on ne la lui vole et souriait de toutes ses dents blanches.

Je ne me suis pas dégonflé. Je l'ai saisi par le bras et lui ai signifié que nous devions parler en tête à tête.

Il parut surpris, d'autant qu'il venait juste d'adresser la parole au grand ponte de la boîte. Devant mon insistance, il finit par céder et rassura sa compagne d'un rapide hochement de tête.

Je l'entraînai dans l'une des nombreuses pièces inoccupées du premier étage. Je savais que là, nous ne serions pas dérangés. Je n'avais pas de plan bien défini, cependant, il importait de lui faire comprendre que son attitude professionnelle était inacceptable et que s'il n'en changeait pas, il aurait affaire à moi.

Moi, justement, je suis une personne qui en impose, avec un physique de déménageur. Ça tombe bien, c'est mon job. Malgré mes quarante balais, je suis encore bien conservé grâce au poste de trois-quart aile que j'occupe dans l'équipe de rugby de mon village. Avec ma centaine de kilos, rare sont ceux qui me cherchent des noises et ce n'est pas ce freluquet en costard-cravate qui allait me tenir tête.

Il me suivit sans protester. Je le fis passer devant pour être certain qu'il ne se débine pas. Ainsi, je pus admirer ses fesses bien rebondies dans son pantalon en flanelle. Elles moulaient parfaitement le fin tissus de nylon à mesure qu'il grimpait les escaliers. Un beau petit cul qui me donna soudain des idées salaces. Ce mec était hétéro, c'est sûr, mais peut-être qu'une bonne queue de vingt-deux centimètres pourrait le faire changer d'avis...

Je suis bi, ma femme le sait, et cela ne pose aucun problème dans notre couple.

Je me remémorai le dernier type que je j'avais culbuté, un soir d'entraînement, seuls sous les douches. Un coéquipier du club qui n'avait pu résister à mon gourdin et qui se l'était enfoncé sans rechigner, me jurant que j'étais le premier. Ce salaud avait joui sans même se toucher.

Cette simple évocation me fila la trique. Mon jeune blanc-bec se retourna à cet instant et constata les dégâts. Il ne dit rien mais pâlit encore un peu plus. J'ouvris une porte au hasard et le poussai sans ménagement à l'intérieur.

- Nous allons régler nos comptes!

Ses beaux yeux bleus cherchèrent à me résister mais au fond de lui, il n'en menait pas large.

- Qu'est-ce que vous me voulez, à la fin? Finit-il par lâcher, exaspéré de ne pas maîtriser la situation.
- Que tu foutes la paix à ma femme.
- Quoi? Mais je ne l'ai jamais draguée, je vous assure.

Je lui administrai une beigne magistrale qui l'envoya valser à l'autre bout de la pièce.

- Je ne te parle pas de ça, connard! Mais de l'enfer que tu lui fais vivre au travail. Tu vas la laisser tranquille, ainsi que les autres membres du personnel dont tu as la charge.

Il prit appui sur une chaise pour se donner meilleure contenance.

- Je vous jure que je ne vois pas ce que vous...

Je le saisis par le col de la chemise et lui fourrai sa cravate dans la bouche.

- Assez causé. Je vais te donner une bonne leçon...

Je l'obligeai à me regarder droit dans les yeux.

-… De celles que tu n'es pas prêt d'oublier.

Je relâchai l'étreinte. Il crut que je bluffais ou que j'en avais terminé avec lui mais je revins à la charge. Il mit ses mains en opposition en guise de protection. J'en profitai pour lui saisir les épaules.

- Allez, à genoux!!!
- Quoi??!
- T'as parfaitement compris. Tu vas goûter à mon gourdin. Celui que tu reluquais à 'instant, dans l'escalier.
- Mais vous êtes malade, je ne suis pas gay.
- Y'a un début à tout!

Je positionnai ma future victime face à ma braguette bien remplie. Il eut un mouvement de recul. Pas évident de découvrir le monstre emprisonné sous la toile du jeans. Un manche déjà bien bandé qui pointait sous la ceinture et un gland énorme bien moulé qui ne demandait qu'à prendre l'air.

Il résista autant qu'il put. Qu'à cela ne tienne. Tout en le maintenant fermement par la nuque, je dégrafai à la hâte les quatre boutons de mon froc et laissai admirer la bête à mon jeune hétéro qui en resta bouche bée.

Ce petit con l'avait à portée de langue et n'en profitait pas. Il roulait deux billes étonnées devant le monstre tendu qui se balançait de droite à gauche, tel un métronome. Je n'aime pas me flatter mais force est de constater que je fais des envieux dans les vestiaires de mon club. Beaucoup regardent à la dérobée ce qui pendouille entre mes cuisses en n'osant imaginer ce que cela donnerait en pleine extension. Et bien, mon putain de cadre à la gueule d'ange l'avait grandeur nature à quelques centimètres et il boudait son plaisir.

Je vous jure, ces jeunes d'aujourd'hui,... sont jamais satisfaits!!!

Je lui forçai un peu la main... Enfin, la bouche, pour être précis. Il tenta de se rebiffer, puis céda. Il ouvrit timidement les lèvres. J'en profitai pour enfourner mon gland trop gros, mon pénis trop large et trop long dans cette cavité accueillante.

C'était un vrai novice, encore hésitant pour sa première. Il me prit en bouche sans trop savoir quoi faire. Je lui administrai quelques petites claques sur les joues et le forçai à avaler en entier ma tige. J'avais une envie folle de le gaver, qu'il sente ma teub au fond de sa gorge, qu'il s'explose les mâchoires sur mon terrible engin. Je n'arrêtais pas d'essayer d'aller toujours plus loin dans sa gueule de play-boy. Il semblait par moment étouffer, ses mains se crispant sur mes cuisses, à mesure que mon dard progressait. Mais je le sentais réceptif, soumis à ma volonté, incapable de révolte. Un vrai bon passif qui en demandait encore et toujours plus. De ceux qui aiment qu'on les mate.

Au bout de cinq minutes de pilonnage en règle, je l'obligeai à me regarder. Il avait les larmes aux yeux. Je sentais dans son regard un mélange d'appréhension (il savait ce qui l'attendait) et de fatalisme... De reconnaissance aussi, comme un acquiescement.

Je ressortis ma queue et lui biffai le visage avec. J'appuyai mon gland sur les poils noirs de sa barbe et laissai perler un long filet de mouille translucide qui vint tapisser le bas de sa joue. On aurait dit de la bave d'escargot. Face à son inaction, je laissai même couler quelques gouttes d'urine, histoire de marquer mon territoire. Il n'eut aucun geste de rébellion. Au fond de lui, il avait capitulé.

Pour me montrer sa bonne volonté, il me reprit en bouche, sans que je ne demande rien. Putain, ce mec en voulait. Il s'activait sur ma tige comme si sa vie en dépendait. En fait, je réalisais que sous ses dehors de mâle dominant, se cachait la pire des salopes.

Je dus calmer ses ardeurs pour m'éviter de jouir trop tôt.

- Putain, t'as soif d'apprendre, toi. T'inquiète, à défaut des mes paroles, tu vas boire autre chose.

Il ne dit rien, à la fois résigné et excité par ce qui l'attendait. Nous étions dans cette aile sombre du château où personne ne risquait de nous surprendre. Cependant, le temps était compté. Sa femme risquait de s'inquiéter de son absence... Sans parler de la mienne.

Je le relevai et le courbai sur la table basse du salon. De son propre chef, il entreprit de dégrafer sa ceinture et baisser le zip de sa braguette. Il fit glisser son pantalon sur ses chevilles et descendit son boxer à mi-cuisses, me laissant admirer ses belles fesses fermes et poilues. Brave soumis qui savait déjà où se trouvait sa vraie place.

Je lui ordonnai de relever sa croupe pour une meilleure prise. Il obéit sans rechigner. Je me doutais que c'était une première pour lui, pourtant sa docilité me déconcertait. En le voyant ainsi offert, j'avais du mal à imaginer le chef de bureau cassant et tyrannique qui martyrisait ma femme.

Debout, derrière mon soumis, je baissais mon froc. J'étais prêt et je bandais dur depuis que ma queue avait goûté aux délices d'une bouche vierge. Je regardais mon manche durcir. Pas de doute, il allait déguster, le jouvenceau.

J'étais fier de mon corps et de ma bite. Grand, baraqué, musclé juste ce qu'il faut, j'en imposais auprès de la gente féminine. Et pas que, visiblement...
De type méditerranéen, j'arborais une peau mate et bronzée toute l'année. Ma pilosité se révélait être un précieux atout mais ma carte maîtresse restait ma queue. Une bite épaisse, bien droite et lourde, uniformément large sur toute la longueur avec un gland rond, bien dessiné et agressif quand il était décalotté, avec deux belles bourses rondes et grosses. Bien lourdes, aussi. Et tout cela avec une longueur de 22 centimètres. Un sexe impressionnant, mais attirant et excitant une fois que l'on y avait goûté.

Je plaçai mon gland à l'entré de son œillet et d'un coup sec emportai cette virginité masculine. Il cria autant de surprise que de douleur mais je n'en avais cure, mon objectif était atteint. Ma femme tenait enfin sa vengeance par l'intermédiaire de ma queue.

J'agrippai ses jambes et commençai mes va-et-vient. Je glissai mon sexe jusqu'au fond. Mes couilles tapaient contre ses fesses musclées. J'accélérai la cadence, plus vite, plus fort, le bourrai comme une vulgaire poupée gonflable.

À un moment, je le pris par les cheveux et rejetai sa tête en arrière. Ce salaud râlait de plaisir, les yeux fermés et le visage déformé par l'envie de se faire baiser. Putain, c'était sa première queue mais vu ses couinements aigus pas sûr que se soit sa dernière.

Je redoublai de violence. Bon sang, il n'était pas là pour prendre son pied mais pour payer tous ses excès d'autoritarisme. Je le pilonnais à la dure, comme un cerf en rut. À chaque poussée, je lui déboîtais le cul. C'était un rodéo viril, une affaire d'hommes. Chaque saillie faisait ressortir mon manche que je replongeais de plus belle, malgré ses suppliques. Il couinait, ânonnait, râlait ses dernières volontés de résistance, jusqu'à ce qu'un ultime coup de queue bien profond lui fasse crier grâce. Alors, je le baisai encore plus fort, le secouai dans tous les sens, sa tête cognant sur la table. Mes coups de bite dans son cul l'écrasaient contre le rebord, je lui éclatais le fion sans ménagement. Le trou offert, le dos cambré, le ventre collé à la table basse, je le baisais avec la plus grande excitation. À chaque aller-retour, je lui explosais sa prostate chauffée à blanc, ce qui lui provoquait des décharges électriques et entre deux gémissements, je le voyais s'astiquer le jonc frénétiquement. Je ralentis la cadence car à ce rythme, ce con allait jouir et il en était hors de question.

Je déculai et le retournai pour le final. Une faciale, mon pêché mignon. Je me branlai vigoureusement devant sa gueule de play-boy en lui conseillant de bien ouvrir sa bouche de pipeuse s'il ne voulait pas tâcher son beau costume trois-pièces.

D'un coup, je sentis monter la sauce dans le gland. Je me reculai pour viser ses lèvres et lui envoyai tout mon jus sur sa tronche d'hétéro. Il sortit la langue pour en récupérer un maximum mais, voulant l'humilier jusqu'au bout, je dirigeai les derniers jets vers le bas.

Le tableau final ne manquait pas de charme. Il en avait partout, mon nouvel enculé... Sur ses joues, son front, sa barbe, jusque dans ses cheveux. Il lapait les dernières gouttes qu'il récupérait sur ses doigts avant de tout avaler.

Belle petite pute en perspective. L'exercice physique ça creuse, et il avait faim, le bougre.

Je le plantai, là, dans cette pièce, sans même un regard dans sa direction. Avant de refermer la porte, je l'entendis jurer.

- Putain, ma chemise!...

FIN

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