Chemins libertins, chapitre 2 et 3

- Par l'auteur HDS Arnaud62 -
Récit érotique écrit par Arnaud62 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Chemins libertins, chapitre 2 et 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Chemins libertins, chapitre 2 et 3
Chapitre II

Il était 17h30. Comme toujours le métro était bondé. Comme toujours, les gens rentraient chez eux, comme des robots, le regard perdu dans le vague.
Mes yeux furent attirés par une très jolie fille, blonde, avec une bouche pulpeuse et une poitrine que la profondeur d'un décolleté mettait en valeur plus qu'il ne la cachait.
Je m'approchai d'elle me frayant difficilement un passage parmi les voyageurs et, arrivé derrière elle, me plaquai contre ses fesses. Elle ne se déroba pas. Elle était vêtue d'une minuscule jupe qui lui recouvrait à peine le cul. Ses jambes interminables étaient nues et la hauteur des talons de ses chaussures donnait à sa croupe une cambrure fort agréable. De plus en plus compressé par la foule tout mon corps épousait ses contours. J'avais sous mes yeux sa superbe nuque et un parfum capiteux montait jusqu'à mes narines. Fermement décidé à connaître la nature amoureuse de cette femme, je m'enhardis à poser ma main droite sur le haut de sa cuisse. Toujours aucune réaction. Décidément, j'étais tombé sur quelqu'un de complaisant. Petit à petit, je remontai sous sa jupe tout en passant ma main sur le devant de sa cuisse. Quelle ne fut pas ma stupeur de constater que cette salope ne portait pas de slip. Mes doigts atteignirent sa chatte où, je n'en fus cette fois pas surpris, aucun poil ne venait contrarier ma progression. Décidément la mode des chattes rasées était vraiment ce qui pouvait arriver de mieux à un vicieux comme moi. Les grandes lèvres étaient tendres, douces au toucher. La vulve était entrouverte et déjà très humide. Ma belle inconnue loin de se laisser démonter tendait ses fesses contre ma queue qui était maintenant dure comme de l'acier. Les autres voyageurs faisaient écran à notre douce folie et j'aventurai ma main restée libre entre les fesses de la blonde. Je découvris tout de suite son anus, qui sitôt mon doigt fouineur posé dessus s'ouvrit délicatement. Les doigts de ma main droite caressaient avec ferveur le clitoris turgescent. Je sentais la jeune femme respirer de plus en plus vite. Elle donna un coup de cul vers l'arrière pour que mon doigt s'y enfonce encore plus profondément et à ce moment, tout son être se crispa dans la jouissance.

Tout ce petit manège n'avait pas duré plus de 3 minutes et se retournant, elle me tendit une carte de visite en me disant
- Merci, c'était très bon, et elle disparu entre les personnes qui sortaient à cette station.
Elle ne s'était pas foutu de moi, son numéro de téléphone était là, bien visible sur la carte, et je savais déjà que je l'appellerais.


Chapitre III

Annick était encore toute retournée par le plaisir qui l'avait submergé. Arnaud l'avait abandonnée après leur folle sarabande et elle était restée couchée, groggy par ses jouissances successives. Ce n'est que deux heures plus tard qu'elle sortit peu à peu de sa torpeur en s'étirant langoureusement. Bien sûr son cul la faisait encore un peu souffrir mais le souvenir de son corps qui explosait sous le plaisir la faisait frissonner de désir. Ses mains descendirent malgré elle vers sa chatte et la caressèrent doucement.
- Oh, que m'arrive-t-il? J'ai tellement envie de jouir encore. Allons ma vieille, va prendre une douche, ça te calmera.
Prenant son courage à deux mains, elle se leva et se dirigea vers la salle de bain.

L'eau qui coulait sur son corps lui faisait un bien fou. La chaleur la rendait encore plus alanguie et des images lui revenaient à l'esprit. Arnaud lui suçant la chatte. Cette sensation de plénitude quand elle prit sa grosse queue dans sa bouche et quand son anus s'ouvrit à son passage. Sa jouissance au moment où il éclata en elle.

Son corps était parcouru de petits spasmes. Elle se caressait les seins dont les tétons sous l'action de l'eau et de ses doigts avaient durci. Elle descendit la pomme de douche vers sa chatte et, écartant ses lèvres, dirigea le jet vers son clitoris dardé. Tout son sexe irradiait de plaisir. Une chaleur intense montait dans ses reins. Avisant la forme phallique de la pomme de douche, elle la fit lentement entrer dans son vagin. Elle était tellement mouillée que le gros bout plastifié n'eut aucune peine à pénétrer jusqu'à son utérus. L'eau qui giflait l'intérieur de sa grotte lui procurait de délicieuses sensations.
Petit à petit, elle commença un va-et-vient avec ce phallus improvisé. Afin de s'ouvrir davantage, elle posa un pied sur le rebord de la baignoire et accéléra encore la cadence entrant et sortant de sa vulve, l'eau jaillissant hors d'elle. Enfin, quand elle sentit qu'elle était prête à exploser, elle pinça très fort le téton de son sein gauche et enfonça une dernière fois le pommeau de la douche au plus profond de son vagin ce qui la fit crier de plaisir.

Les gargouillis que faisait l'eau au fond de son sexe la ramena peu à peu à la réalité. Cette fois, elle était bien, elle avait joui tout son soûl et elle pouvait enfin se préparer pour une soirée qui s'annonçait très excitante. Elle sortit l'objet de son plaisir d'entre ses jambes, pris un petit peu de gel pour la douche, s'en barbouilla l'entrejambes et à l'aide de son rasoir ôta les quelques poils qui repoussaient sur ses lèvres. Elle fit de même pour ses aisselles.
Devant le miroir, elle se trouva belle et désirable. Ses lèvres étaient entrouvertes, comme un appel à la fellation. Elle savait qu'elle pouvait donner du plaisir avec sa bouche et ça l'excitait. Ses seins, même si elle les trouvait trop petits avaient cette faculté de lui donner tout de suite du plaisir quand on s'occupait d'eux. Ses tétons étaient nerveux et se dressaient au moindre attouchement. Elle prenait plaisir à les rouler entre ses doigts, à les mouiller de salive et son grand désespoir était de ne pouvoir les sucer. Sa chatte, à part une minuscule bande de poils restant sur son pubis était absolument imberbe. C'est Arnaud qui l'avait voulu ainsi et pour lui faire plaisir elle s'était rasée un jour d'été. Depuis, elle ne pouvait plus se passer de cette sensation de douceur que lui procurait une caresse sur ses lèvres et régulièrement elle passait la lame de son rasoir pour être encore plus désirable.

Elle se surprit à vouloir regarder son anus. Pour ce faire, elle prit un petit miroir portatif et, s'asseyant sur les W-C, elle écarta ses fesses tout en orientant le miroir afin qu'elle puisse découvrir cette partie de son anatomie. Son pauvre petit trou était tout rouge des assauts qu'il avait dû endurer. Une goutte blanche s'en échappait encore, preuve de la quantité phénoménale de sperme que son amant avait balancé au plus profond de son rectum. Elle prit un petit peu de papier de toilette et essuya son œillet avec délicatesse. Elle le trouva beau ainsi offert.
- Oh, déjà sept heures et Arnaud qui vient me chercher dans une heure.
Elle se maquilla les yeux, colora en rouge vif ses lèvres et fila dans sa chambre pour choisir ce qu'elle allait mettre. En ouvrant son armoire, elle tomba sur la petite jupe serrée et fendue qu'il aimait tant. Elle la sortit et choisit une jolie blouse en soie blanche, à peine transparente. Dans son tiroir, elle prit un petit porte-jarretelles noir ainsi que des bas coutures de même couleur. Elle hésita un court instant sur l'opportunité de mettre ou non un string et opta pour une complète nudité de sa chatte. Elle fixa son porte-jarretelles autour de sa taille et y attacha ses bas. Puis elle fit coulisser sa jupe le long de ses jambes gainées de noir. Ses seins supportant facilement l'absence de soutien-gorge, elle enfila sa blouse à même la peau ce qui la fit frissonner un peu. Elle la boutonna de telle sorte que sa gorge soit mise en valeur. Allant vers l'armoire du corridor, elle en sortit des souliers à très hauts talons qui, elle le savait la faisait se cambrer exagérément.

Ainsi habillée, elle savait que son mec allait totalement craquer et tout ce qu'elle espérait c'est qu'il la dévorerait des yeux toute la soirée.

Les avis des lecteurs

Histoires bien racontées et exitantes...... La première est peu vraissemblable mais
c'est bien de phantasmer!

Histoire Erotique
Euh les hommes n'ont-ils pas le droit d'écrire des romans sexuels?

Histoire Erotique
bien mais ecrit par un homme



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