Cherche fantasmes pour épouse pudibonde 1
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Cherche fantasmes pour épouse pudibonde 1
Une nuit en rentrant d’une soirée chaude avec son épouse pendant laquelle il lui avait demandé de s’exhiber, de se laisser toucher et même se sucer un inconnu (ce qu’elle a refusé, juste branlé), une réalité a sauté aux yeux de ce cadre supérieur. Il n’arrivait plus à imaginer des situations qui le feraient bander et qui le conduiraient à jouir en voyant sa bien aimée s’abandonner et vivre des aventures qu’il inventait, jusqu’ici, plus pour lui que pour elle.
Il y a 10 ans, il avait épousé Chantal alors qu’elle avait à peine passé 20 ans et lui presque 50 ! Il avait alors une libido à son zénith mais ses fantasmes étaient devenus avec l’âge de plus en plus exigeants pour le faire atteindre l’orgasme et l’éjaculation.
Sa jeune épouse n’est pas du genre à prendre les initiatives, encore moins en matière de sexe. Timide, réservée, facilement apeurée, elle cherche plutôt à rester dans l’ombre. L’emmener dans une soirée chaude est toujours l’occasion de discours, disputes, et, pour finir, souvent de mauvaise grâce, elle finit par accepter de le suivre dans ses débauches. Il éprouvait mauvaise conscience à la pousser à satisfaire ses propres envies car il savait bien qu’elle faisait cela par amour ou pour éviter les confrontations. Il faut dire que c’est uniquement avec elle qu’il arrivait à prendre mon pied dans tout ce qui était en dehors des sentiers communs de la sexualité de couple.
Il a bien essayé des professionnelles, des conquêtes, des amies perverses… rien n’y faisait. Il ne jouissait que lorsque sa chérie était l’actrice principale de ses libertinages.
En panne de fantasmes, il se résignait petit à petit à se contenter de lui faire l’amour ou, parfois de la baiser, dans des positions ou des situations classiques. Pas que qu’il n’aimait pas cela. Non ! Il adorait son épouse. Simplement sa libido imaginative semblait épuisée. Pourtant, à presque 30 ans, Chantal était une superbe femme, aux formes abouties. Quand il lui arrivait d’accepter de s’habiller sexy, elle attirait sur elle tous les regards vicieux ou envieux. Et pour lui, la voir nue, offerte et amoureuse aurait dû lui suffire, mais il était pervers et incapable de résister à ses pulsions.
Il constatait dans ces moments que son appétit pour Chantal existait toujours et que la cause de sa presque impuissance résultait de son manque de créativité et d’imagination. Il avait épuisé tous ses fantasmes. Pour autant sa chérie ne s’en trouvait pas du tout frustrée, bien au contraire.
Et puis un jour, une révélation.
Alors qu’ils dînaient chez un collègue, Chantal en beauté, il a remarqué et observé les regards appuyés du beau-père de son ami, sur les cuisses à peine découvertes de sa chérie. Il ne se gênait pas, le vieux cochon, subjugué par ce qu’il essayait de voir. Il semblait plus âgé que lui ! Rien que de plus banal pensa-t-il, car Chantal était bien souvent matée malgré elle.
Pourtant, cette fois, notre homme se mit à imaginer les choses bien cochonnes que cet homme pourrait faire subir à sa femme. Mais, essayant de deviner quoi, il retombait malheureux, dans ses propres fantasmes éculés. Toujours les mêmes. Sans rien d’excitant.
Mais d’un coup il se dit, qu’il pourrait demander à cet homme ce qu’il pense de sa femme et surtout ce qu’il envisagerait de lui faire faire ou subir. Ce fût la révélation. Il se mit instantanément à bander. Laissant son esprit vagabonder, il pensait qu’il pourrait lui demander quels sont ses fantasmes et les faire vivre ou subir à sa propre femme.
Depuis le début de la soirée, tout intimidée, Chantal restait très en retrait des conversations. Classique, mais elle ne réalisait pas en cet instant ce qui se tramait à son insu dans le crâne de son mari. Lui avait acquis la conviction qu’il fallait qu’il parle à cet homme.
Après le repas, ils sont invités à passer au salon boire un digestif. Chantal qui s’est laissée aller à boire, pas par alcoolisme mais par peur de refuser, est un peu « pompette ». Elle pouffe et rit facilement, affalée dans un profond fauteuil à se battre pour empêcher sa jupe de remonter et découvrir ses cuisses. Cette scène agace son époux et l’encourage à prendre le risque de parler au beau-père. Les hôtes et les autres invités sont dehors sur la terrasse à fumer une cigarette. Le vieux, comme par hasard assis en face de Chantal, essaie de mater les cuisses que l’épouse modèle refuse obstinément de montrer. N’en pouvant plus, énervé, le bon mari s’adresse à sa femme avec un ton cassant.
- Chantal, arrête de vouloir tirer sur ta jupe, tu vas la déchirer.
Il voit son épouse devenir rouge pivoine et se recroqueviller sur elle même, tirant de plus belle sur sa jupe. Elle se redresse et vient glisser sur le bord du fauteuil, cuisses serrées, les mains sur ses genoux, cherchant à dissimuler ses cuisses ou du moins à les soustraire au regard du beau-père en face. Une image de femme apeurée et soumise.
L’homme en face est surpris et vexé de s’être fait surprendre à mater. Car il s’est bien rendu compte que la réflexion peut le concerner indirectement et n’être rien d’autre que la réprimande d’un mari jaloux. Il se contente d’un sourire gênéLe mari saisit vite qu’il peut tirer avantage de la situation.
- Ne vous méprenez pas cher ami, mon épouse est d’une timidité maladive doublée d’une pudibonderie excessive qui explique son comportement en présence d’un homme, même courtois ! Il faut lui pardonner.
- Ce n’est pas grave. Je comprends très bien.
Puis après un court silence il rajoute : - Vous êtes très jolie, ChantalChantal reste silencieuse et se contente de répondre par un petit sourire crispé. Le mari, sensible au compliment sur la beauté qu’on prête à sa femme, veut porter l’estocade.
- C’est vrai qu’elle est jolie et bien souvent je lui conseille d’être plus avenante avec les personnes sensibles à ses charmes. Mais rien n’y fait. Si vous pouviez m’aider à la décider…Le mot est lâché. Le mari réalise qu’il vient de proposer à cet homme de déniaiser sa propre femme. Il l’a prononcé d’un ton naturel comme une banalité. Mais c’est le moment choisi par les autres convives de regagner le salon.
La soirée se poursuit toute banale. Au moment de quitter pour rentrer, alors que le mari s’approche de lui pour le saluer, le beau-père lui glisse discrètement sa carte de visite.
- Si voulez vraiment de l’aide…D’abord l’époux ne comprend pas, puis en voyant le sourire cupide du vieil homme, il réalise que sa ruse a bien fonctionné. Il lui adresse un sourire complice en guise d’accord.
En conduisant pour rentrer chez lui, notre homme se garde bien de mettre sa femme au courant de l’arrangement souscrit avec le beau-père de son collègue. Mais déjà il est tout excité à l’idée de la soumettre à la cupidité de cet homme déjà bien âgé. Le soir, il n’a aucun mal à l’honorer, ce qui ne manque pas de réjouir la jeune femme, tant le mari manifeste une fougue à la baiser qu’elle a rarement connue.
Il décide juste avant de s’endormir d’appeler dès le lendemain son complice.
(à suivre)
Il y a 10 ans, il avait épousé Chantal alors qu’elle avait à peine passé 20 ans et lui presque 50 ! Il avait alors une libido à son zénith mais ses fantasmes étaient devenus avec l’âge de plus en plus exigeants pour le faire atteindre l’orgasme et l’éjaculation.
Sa jeune épouse n’est pas du genre à prendre les initiatives, encore moins en matière de sexe. Timide, réservée, facilement apeurée, elle cherche plutôt à rester dans l’ombre. L’emmener dans une soirée chaude est toujours l’occasion de discours, disputes, et, pour finir, souvent de mauvaise grâce, elle finit par accepter de le suivre dans ses débauches. Il éprouvait mauvaise conscience à la pousser à satisfaire ses propres envies car il savait bien qu’elle faisait cela par amour ou pour éviter les confrontations. Il faut dire que c’est uniquement avec elle qu’il arrivait à prendre mon pied dans tout ce qui était en dehors des sentiers communs de la sexualité de couple.
Il a bien essayé des professionnelles, des conquêtes, des amies perverses… rien n’y faisait. Il ne jouissait que lorsque sa chérie était l’actrice principale de ses libertinages.
En panne de fantasmes, il se résignait petit à petit à se contenter de lui faire l’amour ou, parfois de la baiser, dans des positions ou des situations classiques. Pas que qu’il n’aimait pas cela. Non ! Il adorait son épouse. Simplement sa libido imaginative semblait épuisée. Pourtant, à presque 30 ans, Chantal était une superbe femme, aux formes abouties. Quand il lui arrivait d’accepter de s’habiller sexy, elle attirait sur elle tous les regards vicieux ou envieux. Et pour lui, la voir nue, offerte et amoureuse aurait dû lui suffire, mais il était pervers et incapable de résister à ses pulsions.
Il constatait dans ces moments que son appétit pour Chantal existait toujours et que la cause de sa presque impuissance résultait de son manque de créativité et d’imagination. Il avait épuisé tous ses fantasmes. Pour autant sa chérie ne s’en trouvait pas du tout frustrée, bien au contraire.
Et puis un jour, une révélation.
Alors qu’ils dînaient chez un collègue, Chantal en beauté, il a remarqué et observé les regards appuyés du beau-père de son ami, sur les cuisses à peine découvertes de sa chérie. Il ne se gênait pas, le vieux cochon, subjugué par ce qu’il essayait de voir. Il semblait plus âgé que lui ! Rien que de plus banal pensa-t-il, car Chantal était bien souvent matée malgré elle.
Pourtant, cette fois, notre homme se mit à imaginer les choses bien cochonnes que cet homme pourrait faire subir à sa femme. Mais, essayant de deviner quoi, il retombait malheureux, dans ses propres fantasmes éculés. Toujours les mêmes. Sans rien d’excitant.
Mais d’un coup il se dit, qu’il pourrait demander à cet homme ce qu’il pense de sa femme et surtout ce qu’il envisagerait de lui faire faire ou subir. Ce fût la révélation. Il se mit instantanément à bander. Laissant son esprit vagabonder, il pensait qu’il pourrait lui demander quels sont ses fantasmes et les faire vivre ou subir à sa propre femme.
Depuis le début de la soirée, tout intimidée, Chantal restait très en retrait des conversations. Classique, mais elle ne réalisait pas en cet instant ce qui se tramait à son insu dans le crâne de son mari. Lui avait acquis la conviction qu’il fallait qu’il parle à cet homme.
Après le repas, ils sont invités à passer au salon boire un digestif. Chantal qui s’est laissée aller à boire, pas par alcoolisme mais par peur de refuser, est un peu « pompette ». Elle pouffe et rit facilement, affalée dans un profond fauteuil à se battre pour empêcher sa jupe de remonter et découvrir ses cuisses. Cette scène agace son époux et l’encourage à prendre le risque de parler au beau-père. Les hôtes et les autres invités sont dehors sur la terrasse à fumer une cigarette. Le vieux, comme par hasard assis en face de Chantal, essaie de mater les cuisses que l’épouse modèle refuse obstinément de montrer. N’en pouvant plus, énervé, le bon mari s’adresse à sa femme avec un ton cassant.
- Chantal, arrête de vouloir tirer sur ta jupe, tu vas la déchirer.
Il voit son épouse devenir rouge pivoine et se recroqueviller sur elle même, tirant de plus belle sur sa jupe. Elle se redresse et vient glisser sur le bord du fauteuil, cuisses serrées, les mains sur ses genoux, cherchant à dissimuler ses cuisses ou du moins à les soustraire au regard du beau-père en face. Une image de femme apeurée et soumise.
L’homme en face est surpris et vexé de s’être fait surprendre à mater. Car il s’est bien rendu compte que la réflexion peut le concerner indirectement et n’être rien d’autre que la réprimande d’un mari jaloux. Il se contente d’un sourire gênéLe mari saisit vite qu’il peut tirer avantage de la situation.
- Ne vous méprenez pas cher ami, mon épouse est d’une timidité maladive doublée d’une pudibonderie excessive qui explique son comportement en présence d’un homme, même courtois ! Il faut lui pardonner.
- Ce n’est pas grave. Je comprends très bien.
Puis après un court silence il rajoute : - Vous êtes très jolie, ChantalChantal reste silencieuse et se contente de répondre par un petit sourire crispé. Le mari, sensible au compliment sur la beauté qu’on prête à sa femme, veut porter l’estocade.
- C’est vrai qu’elle est jolie et bien souvent je lui conseille d’être plus avenante avec les personnes sensibles à ses charmes. Mais rien n’y fait. Si vous pouviez m’aider à la décider…Le mot est lâché. Le mari réalise qu’il vient de proposer à cet homme de déniaiser sa propre femme. Il l’a prononcé d’un ton naturel comme une banalité. Mais c’est le moment choisi par les autres convives de regagner le salon.
La soirée se poursuit toute banale. Au moment de quitter pour rentrer, alors que le mari s’approche de lui pour le saluer, le beau-père lui glisse discrètement sa carte de visite.
- Si voulez vraiment de l’aide…D’abord l’époux ne comprend pas, puis en voyant le sourire cupide du vieil homme, il réalise que sa ruse a bien fonctionné. Il lui adresse un sourire complice en guise d’accord.
En conduisant pour rentrer chez lui, notre homme se garde bien de mettre sa femme au courant de l’arrangement souscrit avec le beau-père de son collègue. Mais déjà il est tout excité à l’idée de la soumettre à la cupidité de cet homme déjà bien âgé. Le soir, il n’a aucun mal à l’honorer, ce qui ne manque pas de réjouir la jeune femme, tant le mari manifeste une fougue à la baiser qu’elle a rarement connue.
Il décide juste avant de s’endormir d’appeler dès le lendemain son complice.
(à suivre)
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