Cherche fantasmes pour épouse pudibonde 10
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Cherche fantasmes pour épouse pudibonde 10
Une voix la fait sortir de ses pensées. Elle ne l’a pas encore entendue, ou du moins elle ne la reconnaît pas.
- Louis, s’il te plait, fait rassoir cette belle sur ton tabouret. Nue bien sûr. Mais enlève lui ses petits escarpins aussi. Je la veux encore plus nue. Elle a de jolis pieds cette dame et s’ils sont bien découverts, ils cachent encore un petit peu de son corps. Comme ce masque qui est une insulte à sa beauté.
Le vieil homme s’exécute. Une fois assise, un silence lourd s’installe dans la salle. On attend les demandes du dernier des invités.
Depuis son siège, dans l’ombre, il prend la parole. Son ton est péremptoire, autoritaire. Il inquiète et fait peur à Chantal qui est surprise par le ton employé.
- Tu t’es comportée comme une vrai salope, non ?
- Oui.
- Tu n’as pas honte ?
- Si.
- Tu aimes être humiliée ?
- Je ne sais pas.
- Comment tu ne sais pas. C’est comme te faire baiser devant tout le monde. Tu ne savais pas et on a vu le résultat ! Une véritable chienne en chaleur. Met toi debout devant le tabouret et met tes mains sur la tête.
Chantal a honte. Elle se sent considérée comme un objet sexuel sans âme. Elle souffre car ses principes d’éducation sont toujours présents même s’ils sont étouffés par la soif de jouir. Et c’est cette dernière qui la pousse à obéir. La honte qu’elle ressent devient un moteur pour sa libido.
- Ecarte tes jambes. Je veux voir s’écouler le foutre qu’on t’a balancé. C’est assez glauque non ?
- Oui.
- Et cela ne te gêne pas qu’on assiste à ce qu’on peut appeler la vidange de ta chatte ?
- Si.
- Tu sens le sexe Chantal. Tu pues même ! Une odeur de foutre, de sécrétions et même d’urine. Tu as envie de pisser ?
- Non.
- Tu sais ce que diraient tes amis et collègues s’ils te voyaient là ? Dans cette tenue, souillée de foutre et de cyprine, à t’exhiber devant tous ces mâles que tu ne connais pas.
- Non.
- Et pourtant tu aimes ça, non ?
- Oui.
Chantal sens le plaisir monter en elle. Jusqu’alors c’est son corps qu’elle dévoilait à l’assistance. Ses lieux intimes aussi. Mais là, elle a le sentiment qu’il lui déshabille son âme. Petit à petit, elle a l’impression de se vider le cœur, l’esprit. Tout son être se sent violé, fouillé. Elle devrait fuir, mais une force puissante la laisse interdite, incapable de la volonté de partir. Au contraire plus la honte et son indignation augmentent, plus son plaisir s’accroît.
- Caresse-toi Chantal.
L’injonction est tombée froide impérative.
Encore un interdit ! Jamais elle ne s’est abandonnée à se caresser devant un inconnu, même son mari. Elle ne peut pas, trop c’est trop. Elle cherche le regard de Louis pour la secourir. Elle ne le voit pas.
Elle hésite. L’assemblée a saisi son trouble et dans la salle une voix s’élève :- Branle-toi petite salope. Montre-nous comment tu chauffes ta chatte et ton bouton d’amour !
Alors Chantal, à nouveau balancée entre honte et débauche, descend sa main entre ses cuisses et de son majeur elle commence à se titiller le clitoris. Elle ferme les yeux pour s’isoler dans ce jeu solitaire. Très vite cela a pour effet d’exacerber son excitation bien visible maintenant pour les voyeurs devant elle.
Alors, ses mouvements s’accélèrent, sa respiration devient plus forte. Les yeux fermés elle s’abandonne à des images de son enfance, celles qu’elle rejetait quand ses pulsions d’adolescente guidaient sa main entre ses cuisses. Toutes ces images interdites.
Oncle pervers, médecin de famille… Chien- Ouvre les yeux Chantal et regarde nous.
Elle abandonne ses rêves et fixe la pénombre devant elle. Elle ne voit toujours que des ombres, sans visages. Des mains s’activent sur des sexes qu’elle devine sortis.
- Enlève ton masque !
C’est la voix de son dernier amant qui vient de jeter cet ordre. Non, ce n’est pas possible. Louis ne laissera pas faire. Et cette voix qu’elle croit avoir reconnue…- Chantal obéit !
C’est Louis qui vient de parler. Elle comprend que lui aussi ressent la même excitation de la mettre encore plus nue.
- Enlève ton masque qu’on te voit te faire jouir.
Elle refuse. Elle se révolte.
- Non ! S’il vous plait. Ce n’est pas prévu comme cela. Non !
Elle sait bien pourtant que cette dernière barrière n’est qu’illusoire et que tous dans cette salle seront à même de la reconnaître. Elle sait aussi que la tension palpable dans la salle est dictée par ce geste qu’elle refuse de faire.
Soudain elle sent des mains se saisir des lacets qui maintiennent le masque sur son visage et libérer ce dernier rempart. Elle le rattrape juste avant qu’il ne tombe.
Dans la salle un murmure s’élève. De plus en plus fort lui incombant d’obéir. Sa résistance faiblit.
- Allez Chantal ! Tu ne peux plus reculer.
C’est Louis qui vient de parler. Alors, lentement, comme un automate, elle laisse glisser son masque. Dans la salle un murmure de satisfaction s’élève.
- Que tu es belle ! C’en est un péché. Et tu voulais nous priver de cela !
Elle a des larmes aux yeux car elle sait qu’elle a accompli l’irréparable. Elle ne pourra plus jouer le rôle d’une bourgeoise respectable. On va savoir qu’elle n’est rien qu’une salope, facile à baiser.
Son mari a été sur le point de s’interposer pour éviter l’irréparable. Il sait que dans la salle se trouvent des personnes qui connaissent Chantal dans sa vie sociale. Il mesure l’ampleur des dégâts. Mais en même temps il ressent une excitation extrême, celle de voir sa femme exhibée plus nue que nue.
Louis aussi est satisfait. Il sait combien ses pervers d’amis vont lui être reconnaissants du spectacle offert. Et ils ne seront pas ingrats.
Un silence suit ce moment. On comprend que tous sont en observation. Les yeux de Chantal brillent sous le projecteur. Elle est au bord des larmes. Le spectacle est saisissant : cette belle femme contrainte de baisser tous les remparts de sa dignité. Pas vraiment contrainte d’ailleurs car elle est consciente du plaisir qu’elle a de s’exhiber en allant encore plus loin.
Bien sûr dans la salle, il y a un membre d’une association bénévole de bienfaisance pour laquelle elle s’investit depuis plusieurs années. Une de celles qui l’assoit dans le respect et qui fait d’elle une femme honorable. L’homme est lui aussi compromis, surtout qu’il est celui qui a exhibé et doigté son cul avec une perversion impardonnable. Il s’est lâché car il ne l’a pas reconnue. Maintenant il se garde bien de se manifester et reste dans l’ombre. Chantal ne peut pas connaître sa présence. Le silence est rompu par Louis.
- Les amis, le moment est venu de proposer votre fantasme pour gagner un WE avec notre égérie. Je vous rappelle qu’elle vous sera entièrement dévouée à vos caprices pendant 24 heures, aux conditions de la garder dans son intégralité physique. Ce sont les seules limites. Elle ne vous verra pas aujourd’hui et partira sans savoir qui est le gagnant ni quel fantasme lui est promis. Elle vous a été dévoilée, vous restez anonymes.
Chantal tremble. Nue, visage découvert, elle a peur mais ne veut pas le montrer. Ces hommes devant lesquels elle a abandonné toute pudeur et dignité parlent d’elle sans se soucier de sa condition humaine. Elle se sent un objet. Un objet de désirs et c’est cela qui lui fait peur et en même temps l’excite.
Louis s’approche d’elle, lui prend le menton et approche sa bouche pour lui voler un baiser.
- Tu vas te rhabiller ma chérie et rentre chez toi. Je te renseignerai très vite, toi et ton cocu de mari de ce qui t’attend.
Sans un mot, Chantal reprend ses vêtements et lentement se rhabille. Même ce moment là, elle goûte le plaisir de savoir que les hommes dans la salle admirent ses appâts qui lentement se cachent à leurs yeux sous les vêtements, un striptease à l’envers. Elle s’aperçoit qu’involontairement elle prend son temps comme si cette cérémonie ne devait pas se terminer.
Quand elle quitte la pièce, elle se sent investie d’une fierté qui n’a d’égal que le plaisir qu’elle a connu pendant ces deux heures de débauche. Elle est heureuse et n’imagine que des choses excitantes à venir sans aucunement redouter ce qui pourrait lui advenir dans les prochains jours. Chantal, la nouvelle Chantal est heureuse. Et ça se voit !
(à suivre)
- Louis, s’il te plait, fait rassoir cette belle sur ton tabouret. Nue bien sûr. Mais enlève lui ses petits escarpins aussi. Je la veux encore plus nue. Elle a de jolis pieds cette dame et s’ils sont bien découverts, ils cachent encore un petit peu de son corps. Comme ce masque qui est une insulte à sa beauté.
Le vieil homme s’exécute. Une fois assise, un silence lourd s’installe dans la salle. On attend les demandes du dernier des invités.
Depuis son siège, dans l’ombre, il prend la parole. Son ton est péremptoire, autoritaire. Il inquiète et fait peur à Chantal qui est surprise par le ton employé.
- Tu t’es comportée comme une vrai salope, non ?
- Oui.
- Tu n’as pas honte ?
- Si.
- Tu aimes être humiliée ?
- Je ne sais pas.
- Comment tu ne sais pas. C’est comme te faire baiser devant tout le monde. Tu ne savais pas et on a vu le résultat ! Une véritable chienne en chaleur. Met toi debout devant le tabouret et met tes mains sur la tête.
Chantal a honte. Elle se sent considérée comme un objet sexuel sans âme. Elle souffre car ses principes d’éducation sont toujours présents même s’ils sont étouffés par la soif de jouir. Et c’est cette dernière qui la pousse à obéir. La honte qu’elle ressent devient un moteur pour sa libido.
- Ecarte tes jambes. Je veux voir s’écouler le foutre qu’on t’a balancé. C’est assez glauque non ?
- Oui.
- Et cela ne te gêne pas qu’on assiste à ce qu’on peut appeler la vidange de ta chatte ?
- Si.
- Tu sens le sexe Chantal. Tu pues même ! Une odeur de foutre, de sécrétions et même d’urine. Tu as envie de pisser ?
- Non.
- Tu sais ce que diraient tes amis et collègues s’ils te voyaient là ? Dans cette tenue, souillée de foutre et de cyprine, à t’exhiber devant tous ces mâles que tu ne connais pas.
- Non.
- Et pourtant tu aimes ça, non ?
- Oui.
Chantal sens le plaisir monter en elle. Jusqu’alors c’est son corps qu’elle dévoilait à l’assistance. Ses lieux intimes aussi. Mais là, elle a le sentiment qu’il lui déshabille son âme. Petit à petit, elle a l’impression de se vider le cœur, l’esprit. Tout son être se sent violé, fouillé. Elle devrait fuir, mais une force puissante la laisse interdite, incapable de la volonté de partir. Au contraire plus la honte et son indignation augmentent, plus son plaisir s’accroît.
- Caresse-toi Chantal.
L’injonction est tombée froide impérative.
Encore un interdit ! Jamais elle ne s’est abandonnée à se caresser devant un inconnu, même son mari. Elle ne peut pas, trop c’est trop. Elle cherche le regard de Louis pour la secourir. Elle ne le voit pas.
Elle hésite. L’assemblée a saisi son trouble et dans la salle une voix s’élève :- Branle-toi petite salope. Montre-nous comment tu chauffes ta chatte et ton bouton d’amour !
Alors Chantal, à nouveau balancée entre honte et débauche, descend sa main entre ses cuisses et de son majeur elle commence à se titiller le clitoris. Elle ferme les yeux pour s’isoler dans ce jeu solitaire. Très vite cela a pour effet d’exacerber son excitation bien visible maintenant pour les voyeurs devant elle.
Alors, ses mouvements s’accélèrent, sa respiration devient plus forte. Les yeux fermés elle s’abandonne à des images de son enfance, celles qu’elle rejetait quand ses pulsions d’adolescente guidaient sa main entre ses cuisses. Toutes ces images interdites.
Oncle pervers, médecin de famille… Chien- Ouvre les yeux Chantal et regarde nous.
Elle abandonne ses rêves et fixe la pénombre devant elle. Elle ne voit toujours que des ombres, sans visages. Des mains s’activent sur des sexes qu’elle devine sortis.
- Enlève ton masque !
C’est la voix de son dernier amant qui vient de jeter cet ordre. Non, ce n’est pas possible. Louis ne laissera pas faire. Et cette voix qu’elle croit avoir reconnue…- Chantal obéit !
C’est Louis qui vient de parler. Elle comprend que lui aussi ressent la même excitation de la mettre encore plus nue.
- Enlève ton masque qu’on te voit te faire jouir.
Elle refuse. Elle se révolte.
- Non ! S’il vous plait. Ce n’est pas prévu comme cela. Non !
Elle sait bien pourtant que cette dernière barrière n’est qu’illusoire et que tous dans cette salle seront à même de la reconnaître. Elle sait aussi que la tension palpable dans la salle est dictée par ce geste qu’elle refuse de faire.
Soudain elle sent des mains se saisir des lacets qui maintiennent le masque sur son visage et libérer ce dernier rempart. Elle le rattrape juste avant qu’il ne tombe.
Dans la salle un murmure s’élève. De plus en plus fort lui incombant d’obéir. Sa résistance faiblit.
- Allez Chantal ! Tu ne peux plus reculer.
C’est Louis qui vient de parler. Alors, lentement, comme un automate, elle laisse glisser son masque. Dans la salle un murmure de satisfaction s’élève.
- Que tu es belle ! C’en est un péché. Et tu voulais nous priver de cela !
Elle a des larmes aux yeux car elle sait qu’elle a accompli l’irréparable. Elle ne pourra plus jouer le rôle d’une bourgeoise respectable. On va savoir qu’elle n’est rien qu’une salope, facile à baiser.
Son mari a été sur le point de s’interposer pour éviter l’irréparable. Il sait que dans la salle se trouvent des personnes qui connaissent Chantal dans sa vie sociale. Il mesure l’ampleur des dégâts. Mais en même temps il ressent une excitation extrême, celle de voir sa femme exhibée plus nue que nue.
Louis aussi est satisfait. Il sait combien ses pervers d’amis vont lui être reconnaissants du spectacle offert. Et ils ne seront pas ingrats.
Un silence suit ce moment. On comprend que tous sont en observation. Les yeux de Chantal brillent sous le projecteur. Elle est au bord des larmes. Le spectacle est saisissant : cette belle femme contrainte de baisser tous les remparts de sa dignité. Pas vraiment contrainte d’ailleurs car elle est consciente du plaisir qu’elle a de s’exhiber en allant encore plus loin.
Bien sûr dans la salle, il y a un membre d’une association bénévole de bienfaisance pour laquelle elle s’investit depuis plusieurs années. Une de celles qui l’assoit dans le respect et qui fait d’elle une femme honorable. L’homme est lui aussi compromis, surtout qu’il est celui qui a exhibé et doigté son cul avec une perversion impardonnable. Il s’est lâché car il ne l’a pas reconnue. Maintenant il se garde bien de se manifester et reste dans l’ombre. Chantal ne peut pas connaître sa présence. Le silence est rompu par Louis.
- Les amis, le moment est venu de proposer votre fantasme pour gagner un WE avec notre égérie. Je vous rappelle qu’elle vous sera entièrement dévouée à vos caprices pendant 24 heures, aux conditions de la garder dans son intégralité physique. Ce sont les seules limites. Elle ne vous verra pas aujourd’hui et partira sans savoir qui est le gagnant ni quel fantasme lui est promis. Elle vous a été dévoilée, vous restez anonymes.
Chantal tremble. Nue, visage découvert, elle a peur mais ne veut pas le montrer. Ces hommes devant lesquels elle a abandonné toute pudeur et dignité parlent d’elle sans se soucier de sa condition humaine. Elle se sent un objet. Un objet de désirs et c’est cela qui lui fait peur et en même temps l’excite.
Louis s’approche d’elle, lui prend le menton et approche sa bouche pour lui voler un baiser.
- Tu vas te rhabiller ma chérie et rentre chez toi. Je te renseignerai très vite, toi et ton cocu de mari de ce qui t’attend.
Sans un mot, Chantal reprend ses vêtements et lentement se rhabille. Même ce moment là, elle goûte le plaisir de savoir que les hommes dans la salle admirent ses appâts qui lentement se cachent à leurs yeux sous les vêtements, un striptease à l’envers. Elle s’aperçoit qu’involontairement elle prend son temps comme si cette cérémonie ne devait pas se terminer.
Quand elle quitte la pièce, elle se sent investie d’une fierté qui n’a d’égal que le plaisir qu’elle a connu pendant ces deux heures de débauche. Elle est heureuse et n’imagine que des choses excitantes à venir sans aucunement redouter ce qui pourrait lui advenir dans les prochains jours. Chantal, la nouvelle Chantal est heureuse. Et ça se voit !
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