Cherche fantasmes pour épouse pudibonde 6
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-03-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Cherche fantasmes pour épouse pudibonde 6
Il faut quelques minutes au beau-père pour réaliser pleinement le plaisir qu’il a ressenti en baisant cette jolie bourgeoise si inaccessible pour un homme de son âge. Déjà il regrette de l’avoir laissée partir car le désir renait en lui. Une idée perverse lui vient alors. Il rappelle le cocu de mari pour jouir de son humiliation.
- Alors ; mon ami, j’ai bien joué mon rôle ?
Le mari, tout d’abord surpris se reprend.
- Tout à fait. Je vois que Chantal obéit à mes désirs.
C’est pour lui un moyen de sauver sa dignité et de montrer (illusoire ?) qu’il reste maître de la situation.
- Vous avez pu voir combien votre femme a apprécié la situation et surtout la puissance de ma bite. En partant je lui ai fait promettre de ne pas vous faire connaître ce que je lui prépare pour demain soir. Faites de même pour aujourd’hui. Elle peut avoir un doute sur votre présence en direct live avec mon portable. Elle a entendu votre appel, bien sûr, mais j’ai dissimulé mon portable à ses yeux pour la suite.
Le bonhomme fait une pause avant de poursuivre.
- Si je ne me trompe pas, elle devrait vous raconter un mensonge pour s’absenter une bonne partie de la nuit. Vous pourrez constater qu’elle ne porte plus aucun sous-vêtement. Ils sont dans ma poche !
- Mais il était convenu, cher ami, que vous me donneriez le loisir d’assister à ses débauches, que je souhaite originales.
- Mais bien sûr ! Vous êtes invité comme voyeur. Je vous donnerai dès demain tous les renseignements indispensables.
Et il raccroche aussi vite, habité d’un sourire vainqueur.
L’épouse, est tenaillée par le remords et honteuse de se rendre compte qu’elle y a trouvé du plaisir. Un plaisir inconnu avec son vieux mari. Elle ressent à nouveau les ondes qui ont parcouru son corps, commandées par le désir d’être prise.
Quand elle arrive chez elle, son mari n’est pas encore rentré du bureau. Elle se remémore les phrases que son amant l’a obligée à dire pour être entendues par son mari. Malgré tout elle pense qu’il n’a pas entendu, et que tout ce manège n’est qu’une simulation inventée par le beau-père. Du moins elle l’espère et elle décide de ne rien dire et de voir venir.
C’est la même décision qui habite son mari suivant les conseils de son complice. Il est encore tout assommé par ce qu’il vient de voir et d’entendre. Il n’arrive pas à réaliser la trahison de sa femme. Il est bien conscient que la différence d’âge dans leur couple ne joue pas en sa faveur même si l’appétence de Chantal pour les hommes mûrs le rassure un tant soit peu.
Il est nerveux en ouvrant la porte de sa maison. Chantal est en train de préparer le dîner.
- Bonsoir, ma chérie.
- Bonsoir.
C’est sec et Chantal réalise que le son de sa voix révèle qu’elle est tendue. Elle a du mal à parler, coupable qu’elle se sent vis à vis de lui. Bien sûr, sous la douche elle a bien justifié sa conduite sachant que tout cela avait été initié par lui et à son insu. L’effet de l’eau sur son corps a réveillé son désir et elle s’était abandonnée à des caresses coupables, accompagnées par des images qui, quelques jours avant, l’auraient culpabilisée.
Penchée sur le plan de travail, elle le sent qui s’approche. Elle est tendue, contrôlant mal sa respiration. Amoureusement, il lui dépose un tendre baiser dans le cou. Elle frémit. Le contact de ses lèvres et la chaleur de sa respiration éveillent d’un coup sa libido. Elle a envie de lui, malgré le moment passé avec son amant qui l’a comblée cet après midi.
Il glisse une main sous sa jupe et tombe sur sa culotte. Est-il en train de vérifier se dit-elle ? Son autre main se glisse dans l’échancrure de son chemisier et vient s’emparer d’un sein pas dessus son soutien gorge. Elle se félicite d’avoir mis des sous vêtements en se rappelant ce qu’avait dit le beau père. Il caresse légèrement ses fesses, glisse un doigt entre les cuisses par derrière et s’introduit dans son vagin. Immédiatement elle se met à mouiller et elle pense qu’il doit se complaire à imaginer qu’il en est le responsable. Il doit être rassuré pense-t-elle, de plus en plus persuadée qu’il n’a pas vraiment assisté à sa débauche cet après midi.
Lui est rasséréné de voir qu’elle n’a pas suivi tous les ordres de son amant. Elle n’est pas entièrement soumise à l’homme mais certainement à sa libido naissante.
- J’ai faim ma chérie. Une fringale !
Le dîner est malgré tout détendu. Il n’est fait aucune allusion à l’après midi. Elle a bien entendu sa voix un instant. Mais après ? Et si tout cela n’était que mise en scène ? Le silence de son mari est troublant. Joue-t-il ? Et pour quelle raison ? A-t-il simplement décidé de ne pas en parler afin de poursuivre son fantasme avec la complicité du beau-père de son collègue.
Ils se couchent sans aucune confidence. Sa nuit est tourmentée remplie de scènes pornographiques : des bites, des bouches envahies de queues énormes débordantes de foutre, des seins pollués de semence, des culs, des vagins… elle se réveille même en sueur, la main coincée entre ses cuisses.
Le lendemain matin, il est parti au bureau quand elle se réveille. Elle trouve un SMS sur son portable. Le beau-père.
« Bonjour Chantal. Je t’attends ce soir chez moi. Sois belle et disponible. »Le seul fait de lire le mot « disponible » lui fait instantanément mouiller son sexe. Cette soumission, elle l’appelle de tout son corps. Irrésistiblement une onde parcourt sa peau qui prend l’aspect de la chair de poule. Elle pense un moment qu’elle a de la fièvre. Elle devient folle, folle de désir. « Le démon, je suis habitée par un démon ». Elle décide de se calmer avec un bon bain chaud, plein de sels de bien être et une tisane de relaxation.
Pour tromper son impatience elle va rendre visite à une vieille voisine, bigote chez qui elle déjeune. Elle trouve que c’est une démarche propre à exorciser ses démons.
Le beau-père dans le même temps passe de nombreux coups de téléphone pour préparer sa soirée. Six de ses amis, tous aussi obsédés que lui, fervents accrocs des sites coquins sur internet, attendent eux aussi avec impatience cette soirée. Notre coquin les a inondé d’images éloquentes de Chantal, images que lui a confiées son cocu de complice. Les dernières volées la veille de sa femme endormie dans son lit. En fin de matinée il contacte son complice.
- Ce soir votre charmante épouse viendra. J’en suis sûr. A vous écouter, vous êtes en panne de fantasme. Et bien ce soir je vais proposer Chantal en location au gagnant d’un concours du fantasme le plus original. Qu’en pensez-vous ?
- C’est en effet une excellente initiative.
- Chantal leur sera proposée pour une nuit entière. Vous pourrez assister, caché, au déroulement du concours. Le vainqueur, une fois son fantasme réalisé, viendra nous raconter, en présence toujours de Chantal, les moindres détails de sa nuit avec la belle, preuves à l’appui : photos, vidéos, trophées.
- C’est une excellente idée. Je suis bien sûr membre du jury avec voix prédominante.
- Oui, bien sûr. Chantal s’est elle confiée hier soir ?
- Pas du tout, et moi non plus.
- Excellent. Elle est accroc la jolie bourgeoise. La tenue vestimentaire qu’elle aura choisie pour venir ce soir révélera son engagement. Evidemment, elle ne saura rien de notre programme. Elle vient uniquement pour se faire prendre par mes copains.
Le mari cocu, quoique jaloux, est au comble de l’excitation quand il raccroche. Chantal bien entendu l’a appelé le matin même pour le prévenir de dîner seul car elle devait assister à un colloque sur la religion et la laïcité en grande banlieue. Elle prend sa voiture et rentrera certainement très tard.
Ça y est pense le mari, un peu déconfis tout de même. Cocu, oui mais quelle excitation !
La belle épouse de son côté a du mal à contenir son impatience. Quelle transformation se dit-elle en écoutant les paroles de sa vieille amie bigote. Ça été facile de berner son mari et ce soir elle aura tout loisir de s’abandonner aux coups de queue des pervers du beau père. En regardant son amie, elle imagine ce qu’elle était quelques jours auparavant. Coincée comme elle, libido refoulée, soumise aux seuls désirs et fantasmes de son mari. Elle se sent désormais libérée, maîtresse de son corps, épanouie.
Elle commence à se préparer tôt dans l’après midi avec dans l’esprit qu’elle va s’offrir à des inconnus et qu’elle doit se présenter sous ses plus beaux atours. Les cheveux lavés tombent sur ses épaules, un fin maquillage discret qui se limite à un rouge à peine visible pour souligner le dessin de ses lèvres. Elle retient une jupe plissée mi-cuisses attachée à la taille par une large ceinture de cuir. Pour encore souligner sa taille fine elle passe par dessus une ceinture finement dorée nouée sur le côté. Un joli chemisier bleu-marine en fine soie, transparent doté de poches au niveau des pointes de seins nus pour en masquer, faussement innocemment, sa transparence. Elle n’a pas hésité à laisser sa poitrine sans soutien gorge. Pour la culotte elle a fini par se décider sur une légère culotte shorty, très flottante et courte au niveau des cuisses. Elle sait la coquine que ce type de vêtement donne un accès facile à son sexe et à ses fesses. Elle conserve ses jambes nues et chausse des petits escarpins mi talon noirs qui laissent apparents ses jolis pieds pour une note sexy à sa tenue.
Il fait chaud, une légère veste cintrée de lin recouvre l’ensemble jusque au dessus de la taille. Elle se sent belle, prête à être livrée à la concupiscence de la horde sauvage qu’elle imagine impatiente de la posséder. Elle va s’offrir.
Quand elle quitte sa maison, son cœur bat la chamade. Son souffle est plus court. Elle a une boule dans le ventre. Elle n’ose y croire, mais elle est excitée par cette idée de s ‘abandonner à ces vieux libidineux !
Déroulement de la soirée.
Elle est accueillie par le beau-père qui la complimente pour sa beauté et son élégance. Sans attendre il glisse une main dans l’échancrure du chemisier puis sous la jupe.
- Très bien, tu es comme je le souhaitais. Offerte.
Chantal, surprise, ne peut s’empêcher de rougir. Sa liberté est encore fragile et ses principes bien ancrés. Elle est surprise mais se laisse faire quand il lui passe un masque qui dissimule son visage en partie.
- Je ne veux pas qu’on connaisse ton identité. Il y a peut-être là des hommes de ton entourage, des amis, des voisins.
Cette idée bouleverse Chantal. Elle ne s’attendait pas à cela. Elle prend peur. Sa réputation, sa famille. Mais l’homme qui a saisi son angoisse, lui plaque une main sur son entre jambes par dessus la jupe et lui souffle à l’oreille : - Rassure-toi et pense plutôt à ce qui t’attend.
Il l’emmène dans le salon qu’elle connaît bien. Il est plongé dans la pénombre. Mais bien vite elle sent la présence des hommes dans l’ombre. Et à nouveau elle ressent une boule dans son estomac. Les battements de son cœur s’accélèrent.
Un meuble en forme de bar occupe un des côtés de la pièce. Une rangée de bouteille d’alcools fins habille le mur juste derrière. Devant le bar, il y a un seul tabouret très haut. Seul cet endroit est éclairé par un spot puissant. Elle devine que cet espace est destiné à être la scène des jeux sexuels auxquels on la destine.
Notre homme la conduit et l’aide à escalader le tabouret. Puis, il lui fait poser ses pieds sur la barre d’appui au milieu des pieds du tabouret la forçant à lever et écarter ses genoux pour découvrir ses dessous. La pièce est silencieuse, seuls des souffles et des murmures signent la présence de personnes dans la pièce. Le spot dirigé sur son visage la rend presque aveugle. On la voit, elle ne voit que des silhouettes mais le masque la rassure sur son anonymat. Surtout qu’elle entend clairement le clic des portables qui mitraillent et la prennent déjà en photo.
Sa respiration est courte, le sang lui bat les tempes, son cœur tambourine tellement fort dans sa poitrine que tous doivent l’entendre dans la pièce surchauffée. Force est de constater qu’elle est déjà toute mouillée d’être ainsi exhibée. Elle a déjà été exhibée par son mari, mais c’est la mise en scène qui la rend folle, et en même temps, cette fois, elle est ici de son plein gré.
Elle finit par distinguer six ombres en demi cercle autour d’elle. La voix du beau-père perce me silence et lui glace le sang.
- Messieurs, cette jolie bourgeoise mariée est à louer !
(à suivre)Cher lecteur, et si vous me proposiez votre fantasme à faire subir à la belle Chantal ?
- Alors ; mon ami, j’ai bien joué mon rôle ?
Le mari, tout d’abord surpris se reprend.
- Tout à fait. Je vois que Chantal obéit à mes désirs.
C’est pour lui un moyen de sauver sa dignité et de montrer (illusoire ?) qu’il reste maître de la situation.
- Vous avez pu voir combien votre femme a apprécié la situation et surtout la puissance de ma bite. En partant je lui ai fait promettre de ne pas vous faire connaître ce que je lui prépare pour demain soir. Faites de même pour aujourd’hui. Elle peut avoir un doute sur votre présence en direct live avec mon portable. Elle a entendu votre appel, bien sûr, mais j’ai dissimulé mon portable à ses yeux pour la suite.
Le bonhomme fait une pause avant de poursuivre.
- Si je ne me trompe pas, elle devrait vous raconter un mensonge pour s’absenter une bonne partie de la nuit. Vous pourrez constater qu’elle ne porte plus aucun sous-vêtement. Ils sont dans ma poche !
- Mais il était convenu, cher ami, que vous me donneriez le loisir d’assister à ses débauches, que je souhaite originales.
- Mais bien sûr ! Vous êtes invité comme voyeur. Je vous donnerai dès demain tous les renseignements indispensables.
Et il raccroche aussi vite, habité d’un sourire vainqueur.
L’épouse, est tenaillée par le remords et honteuse de se rendre compte qu’elle y a trouvé du plaisir. Un plaisir inconnu avec son vieux mari. Elle ressent à nouveau les ondes qui ont parcouru son corps, commandées par le désir d’être prise.
Quand elle arrive chez elle, son mari n’est pas encore rentré du bureau. Elle se remémore les phrases que son amant l’a obligée à dire pour être entendues par son mari. Malgré tout elle pense qu’il n’a pas entendu, et que tout ce manège n’est qu’une simulation inventée par le beau-père. Du moins elle l’espère et elle décide de ne rien dire et de voir venir.
C’est la même décision qui habite son mari suivant les conseils de son complice. Il est encore tout assommé par ce qu’il vient de voir et d’entendre. Il n’arrive pas à réaliser la trahison de sa femme. Il est bien conscient que la différence d’âge dans leur couple ne joue pas en sa faveur même si l’appétence de Chantal pour les hommes mûrs le rassure un tant soit peu.
Il est nerveux en ouvrant la porte de sa maison. Chantal est en train de préparer le dîner.
- Bonsoir, ma chérie.
- Bonsoir.
C’est sec et Chantal réalise que le son de sa voix révèle qu’elle est tendue. Elle a du mal à parler, coupable qu’elle se sent vis à vis de lui. Bien sûr, sous la douche elle a bien justifié sa conduite sachant que tout cela avait été initié par lui et à son insu. L’effet de l’eau sur son corps a réveillé son désir et elle s’était abandonnée à des caresses coupables, accompagnées par des images qui, quelques jours avant, l’auraient culpabilisée.
Penchée sur le plan de travail, elle le sent qui s’approche. Elle est tendue, contrôlant mal sa respiration. Amoureusement, il lui dépose un tendre baiser dans le cou. Elle frémit. Le contact de ses lèvres et la chaleur de sa respiration éveillent d’un coup sa libido. Elle a envie de lui, malgré le moment passé avec son amant qui l’a comblée cet après midi.
Il glisse une main sous sa jupe et tombe sur sa culotte. Est-il en train de vérifier se dit-elle ? Son autre main se glisse dans l’échancrure de son chemisier et vient s’emparer d’un sein pas dessus son soutien gorge. Elle se félicite d’avoir mis des sous vêtements en se rappelant ce qu’avait dit le beau père. Il caresse légèrement ses fesses, glisse un doigt entre les cuisses par derrière et s’introduit dans son vagin. Immédiatement elle se met à mouiller et elle pense qu’il doit se complaire à imaginer qu’il en est le responsable. Il doit être rassuré pense-t-elle, de plus en plus persuadée qu’il n’a pas vraiment assisté à sa débauche cet après midi.
Lui est rasséréné de voir qu’elle n’a pas suivi tous les ordres de son amant. Elle n’est pas entièrement soumise à l’homme mais certainement à sa libido naissante.
- J’ai faim ma chérie. Une fringale !
Le dîner est malgré tout détendu. Il n’est fait aucune allusion à l’après midi. Elle a bien entendu sa voix un instant. Mais après ? Et si tout cela n’était que mise en scène ? Le silence de son mari est troublant. Joue-t-il ? Et pour quelle raison ? A-t-il simplement décidé de ne pas en parler afin de poursuivre son fantasme avec la complicité du beau-père de son collègue.
Ils se couchent sans aucune confidence. Sa nuit est tourmentée remplie de scènes pornographiques : des bites, des bouches envahies de queues énormes débordantes de foutre, des seins pollués de semence, des culs, des vagins… elle se réveille même en sueur, la main coincée entre ses cuisses.
Le lendemain matin, il est parti au bureau quand elle se réveille. Elle trouve un SMS sur son portable. Le beau-père.
« Bonjour Chantal. Je t’attends ce soir chez moi. Sois belle et disponible. »Le seul fait de lire le mot « disponible » lui fait instantanément mouiller son sexe. Cette soumission, elle l’appelle de tout son corps. Irrésistiblement une onde parcourt sa peau qui prend l’aspect de la chair de poule. Elle pense un moment qu’elle a de la fièvre. Elle devient folle, folle de désir. « Le démon, je suis habitée par un démon ». Elle décide de se calmer avec un bon bain chaud, plein de sels de bien être et une tisane de relaxation.
Pour tromper son impatience elle va rendre visite à une vieille voisine, bigote chez qui elle déjeune. Elle trouve que c’est une démarche propre à exorciser ses démons.
Le beau-père dans le même temps passe de nombreux coups de téléphone pour préparer sa soirée. Six de ses amis, tous aussi obsédés que lui, fervents accrocs des sites coquins sur internet, attendent eux aussi avec impatience cette soirée. Notre coquin les a inondé d’images éloquentes de Chantal, images que lui a confiées son cocu de complice. Les dernières volées la veille de sa femme endormie dans son lit. En fin de matinée il contacte son complice.
- Ce soir votre charmante épouse viendra. J’en suis sûr. A vous écouter, vous êtes en panne de fantasme. Et bien ce soir je vais proposer Chantal en location au gagnant d’un concours du fantasme le plus original. Qu’en pensez-vous ?
- C’est en effet une excellente initiative.
- Chantal leur sera proposée pour une nuit entière. Vous pourrez assister, caché, au déroulement du concours. Le vainqueur, une fois son fantasme réalisé, viendra nous raconter, en présence toujours de Chantal, les moindres détails de sa nuit avec la belle, preuves à l’appui : photos, vidéos, trophées.
- C’est une excellente idée. Je suis bien sûr membre du jury avec voix prédominante.
- Oui, bien sûr. Chantal s’est elle confiée hier soir ?
- Pas du tout, et moi non plus.
- Excellent. Elle est accroc la jolie bourgeoise. La tenue vestimentaire qu’elle aura choisie pour venir ce soir révélera son engagement. Evidemment, elle ne saura rien de notre programme. Elle vient uniquement pour se faire prendre par mes copains.
Le mari cocu, quoique jaloux, est au comble de l’excitation quand il raccroche. Chantal bien entendu l’a appelé le matin même pour le prévenir de dîner seul car elle devait assister à un colloque sur la religion et la laïcité en grande banlieue. Elle prend sa voiture et rentrera certainement très tard.
Ça y est pense le mari, un peu déconfis tout de même. Cocu, oui mais quelle excitation !
La belle épouse de son côté a du mal à contenir son impatience. Quelle transformation se dit-elle en écoutant les paroles de sa vieille amie bigote. Ça été facile de berner son mari et ce soir elle aura tout loisir de s’abandonner aux coups de queue des pervers du beau père. En regardant son amie, elle imagine ce qu’elle était quelques jours auparavant. Coincée comme elle, libido refoulée, soumise aux seuls désirs et fantasmes de son mari. Elle se sent désormais libérée, maîtresse de son corps, épanouie.
Elle commence à se préparer tôt dans l’après midi avec dans l’esprit qu’elle va s’offrir à des inconnus et qu’elle doit se présenter sous ses plus beaux atours. Les cheveux lavés tombent sur ses épaules, un fin maquillage discret qui se limite à un rouge à peine visible pour souligner le dessin de ses lèvres. Elle retient une jupe plissée mi-cuisses attachée à la taille par une large ceinture de cuir. Pour encore souligner sa taille fine elle passe par dessus une ceinture finement dorée nouée sur le côté. Un joli chemisier bleu-marine en fine soie, transparent doté de poches au niveau des pointes de seins nus pour en masquer, faussement innocemment, sa transparence. Elle n’a pas hésité à laisser sa poitrine sans soutien gorge. Pour la culotte elle a fini par se décider sur une légère culotte shorty, très flottante et courte au niveau des cuisses. Elle sait la coquine que ce type de vêtement donne un accès facile à son sexe et à ses fesses. Elle conserve ses jambes nues et chausse des petits escarpins mi talon noirs qui laissent apparents ses jolis pieds pour une note sexy à sa tenue.
Il fait chaud, une légère veste cintrée de lin recouvre l’ensemble jusque au dessus de la taille. Elle se sent belle, prête à être livrée à la concupiscence de la horde sauvage qu’elle imagine impatiente de la posséder. Elle va s’offrir.
Quand elle quitte sa maison, son cœur bat la chamade. Son souffle est plus court. Elle a une boule dans le ventre. Elle n’ose y croire, mais elle est excitée par cette idée de s ‘abandonner à ces vieux libidineux !
Déroulement de la soirée.
Elle est accueillie par le beau-père qui la complimente pour sa beauté et son élégance. Sans attendre il glisse une main dans l’échancrure du chemisier puis sous la jupe.
- Très bien, tu es comme je le souhaitais. Offerte.
Chantal, surprise, ne peut s’empêcher de rougir. Sa liberté est encore fragile et ses principes bien ancrés. Elle est surprise mais se laisse faire quand il lui passe un masque qui dissimule son visage en partie.
- Je ne veux pas qu’on connaisse ton identité. Il y a peut-être là des hommes de ton entourage, des amis, des voisins.
Cette idée bouleverse Chantal. Elle ne s’attendait pas à cela. Elle prend peur. Sa réputation, sa famille. Mais l’homme qui a saisi son angoisse, lui plaque une main sur son entre jambes par dessus la jupe et lui souffle à l’oreille : - Rassure-toi et pense plutôt à ce qui t’attend.
Il l’emmène dans le salon qu’elle connaît bien. Il est plongé dans la pénombre. Mais bien vite elle sent la présence des hommes dans l’ombre. Et à nouveau elle ressent une boule dans son estomac. Les battements de son cœur s’accélèrent.
Un meuble en forme de bar occupe un des côtés de la pièce. Une rangée de bouteille d’alcools fins habille le mur juste derrière. Devant le bar, il y a un seul tabouret très haut. Seul cet endroit est éclairé par un spot puissant. Elle devine que cet espace est destiné à être la scène des jeux sexuels auxquels on la destine.
Notre homme la conduit et l’aide à escalader le tabouret. Puis, il lui fait poser ses pieds sur la barre d’appui au milieu des pieds du tabouret la forçant à lever et écarter ses genoux pour découvrir ses dessous. La pièce est silencieuse, seuls des souffles et des murmures signent la présence de personnes dans la pièce. Le spot dirigé sur son visage la rend presque aveugle. On la voit, elle ne voit que des silhouettes mais le masque la rassure sur son anonymat. Surtout qu’elle entend clairement le clic des portables qui mitraillent et la prennent déjà en photo.
Sa respiration est courte, le sang lui bat les tempes, son cœur tambourine tellement fort dans sa poitrine que tous doivent l’entendre dans la pièce surchauffée. Force est de constater qu’elle est déjà toute mouillée d’être ainsi exhibée. Elle a déjà été exhibée par son mari, mais c’est la mise en scène qui la rend folle, et en même temps, cette fois, elle est ici de son plein gré.
Elle finit par distinguer six ombres en demi cercle autour d’elle. La voix du beau-père perce me silence et lui glace le sang.
- Messieurs, cette jolie bourgeoise mariée est à louer !
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