Cherche fantasmes pour épouse pudibonde 8

- Par l'auteur HDS Arsenne -
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Cherche fantasmes pour épouse pudibonde 8 Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(8.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Cherche fantasmes pour épouse pudibonde 8
- J’aimerai qu’elle me montre un sein, demande une des voix devant elle, pour nous confirmer que c’est la même femme des photos. Le masque cache peut-être une supercherie.
- Il suffit de lui demander toi même, Roger.
Chantal a reconnu la voix qui avait parlé des photos. Elle est piquée dans son amour propre. Aussi sans hésiter, elle défait un bouton de plus de son chemisier, glisse une main dessous et fait jaillir un sein en pleine lumière.
- Les deux !
C’est une autre voix qui a parlé.
- Ouvre ton chemisier complètement, ajoute la voix.
Chantal s’exécute. La chaleur envahit tout son corps. Elle a soif de sexe. Elle se sent offerte et disponible.
- Louis, on peut toucher ?
- Demande-lui.
- Chantal, veux-tu que je te touche ?
- …- Chantal !
Le ton de la voix de Louis est sans appel.
- Oui !
- Quoi, oui ? Ajoute une autre voix dans la pièce.
- Oui, je veux bien me laisser toucher.
Elle entend comme un froissement discret. Quelqu’un sort soudain de la pénombre. Elle est rassurée, elle ne le connaît pas. C’est un vieux monsieur, plutôt obèse, le visage rougeau, dégoulinant de sueur. Elle est effrayée car elle ne se sent aucune envie d’être touchée par ce qui lui semble être un clochard. Il porte des vêtements douteux et sales. Quand il est proche, elle est prise d’un haut le cœur tant il ne sent pas bon. Une forte odeur d’eau de Cologne tente de cacher une odeur nauséabonde de transpiration et de poussière. Il lui faut quelques instants et une profonde respiration pour se ressaisir. Il lui fait face et quand elle le voit avancer une main sale vers sa poitrine elle ne peut réprimer un geste de recul. Elle se rend compte qu’elle a vexé le bonhomme. Son regard devient froid et méchant. Il lui saisit un téton qu’il pince fortement jusqu’à lui soutirer un cri de douleur.
- Madame est délicate. Je ne lui plais pas, s’écrie le vieil homme. Il va falloir être plus docile ma poulette.
Chantal est au bord des larmes. Ces paroles sont humiliantes et elle a du mal à les accepter. Cependant, en même temps elle a envie de vivre cette débauche extrême des sens et elle en oublie toute dignité. Une voix en elle lui murmure : « lâche toi. Profite, ne pense à rien d’autre qu’à jouir ». Immédiatement la tension qui l’habite s’évanouit comme par miracle. Elle s’abandonne offrant son corps aux caprices du pervers.
Dans la salle, des murmures et des ricanements se font entendre. Son tortionnaire encouragé, s’enhardit et se saisit de l’autre pointe à laquelle il fait subir le même sort. Chantal se contorsionne sur son tabouret, balançant entre douleur et excitation. Elle ferme les yeux car rapidement elle sent monter en elle le plaisir. Plaisir conjugué par l’humiliation et la situation.
- Gorges, montre nous sa chatte.
Sans douceur, Georges abandonne les seins, ses mains se glissent entre les cuisses de Chantal et les écarte.
- Elle porte une culotte. Quelle honte Louis !
Comme elle a un geste réflexe pour protéger son intimité, Louis lui prend les mains et lui intime l’ordre de les placer sur la tête s’offrant de cette manière aux débordements du vieux bonhomme. Ce dernier la bascule en arrière, contre le bar, obligeant Chantal à lever les genoux, les jambes toujours largement écartées. Le cochon se place de côté pour offrir à la vue de l’assemblée le sexe que la culotte ne cache qu’en partie seulement. Elle se saisit d’un bord du frêle vêtement qu’il écarte pour exhiber les lèvres humides de cyprine. Il dégage largement le sexe pour montrer à la salle le pubis surmonté d’un fin duvet bien soigné.
La jeune femme comprend qu’on doit voir qu’elle mouille et c’est la honte qui cette fois encore la submerge. Cette honte dont elle a compris qu’elle lui procurait encore plus de plaisir.
Dans la salle, certains des invités ont sorti leur sexe et se caressent lentement, comme pour entretenir leur plaisir. Le mari toujours caché se branle lui aussi.
Le spectacle de sa femme exhibée comme dans un marché d’esclaves, est sordide et en même temps d’une extrême beauté. Alors, à sa grande surprise un sentiment de jalousie l’envahit. Désormais, il a compris et ne peut plus ignorer que sa belle prend du plaisir à son insu. Elle s’est libérée de ses contraintes morales et de ses engagements et devoirs envers son mari. Il a soudain peur de la perdre, définitivement. Il est sur le point de révéler sa présence et reprendre sa femme quand une pulsion incontrôlée le fait jouir et éjaculer devant lui contre la porte derrière laquelle il assiste au spectacle. Il a du mal à retenir un cri tant sa jouissance est intense. Après quelques secondes pour reprendre ses esprits, le désir de tout arrêter resurgit.
Mais à ce même moment, le vulgaire gros bonhomme glisse une main entre les cuisses ouvertes de sa femme pour lui enlever le dernier rempart de sa dignité : sa petite culotte. Dans la position qu’elle doit maintenir, adossée au bar, le mouvement du glissement lent du fin tissu le long des jambes est d’une extrême sensualité. Et il réalise brusquement que cette situation est un puissant aphrodisiaque et que déjà, à sa grande surprise, il est pris d’une nouvelle érection. Tout naturellement, il renonce et reprend sa place, toujours dissimulé.
Louis est tout excité. De voir l’abandon de SA conquête pour le grand plaisir de ses amis. Il sait qu’il pourra à loisir profiter des charmes de la jeune femme avec la complicité de son cocu de mari. Aussi ce qui le préoccupe là, c’est d’offrir ce cadeau à ses amis. Et quel cadeau !
Le masque, un loup de velours noir cache la moitié du visage de Chantal. Elle se sent protégée mais en même temps, elle angoisse d’être reconnue. Elle sent que l’homme qui la pelote la redresse sur le tabouret. De violent il se transforme en un homme de douceur. D’une main il lui caresse la joue, de l’autre il termine de lui dégager les seins de son chemisier. Sa main qui englobe un sein est rugueuse, râpeuse même. Cette caresse si différente de celles qu’elle connait lui met le feu au bas ventre.
Chantal le voit approcher son visage du sien. Elle a du mal à réprimer un sentiment de dégoût. L’homme est moche, vieux. Il n’a rien pour inspirer le désir sexuel. Son haleine est forte, puante, un mélange de tabac froid et d’alcool.
Il pose ses lèvres sur la peau délicate de son cou. Elle sent son souffle chaud. Il est excité c’est évident. Chantal ferme les yeux quand elle sent le contact de la langue du vieux qui se met à lui lécher le cou. C’est dégoûtant pense-t-elle. Dans la salle personne ne bronche. Puis l’homme déplace sa langue vers les lèvres de sa victime. La langue baveuse caresse les lèvres de la jeune femme. Passe er repasse, étalant sa salive. Elle se sent humiliée, honteuse de devoir subir ces attouchements. En même temps de se sentir nue devant ce parterre l’excite. Toujours cette ambiguïté !
- C’est bon Georges, tu n’es pas le seul à pouvoir tester ma pouliche !
Dépité, ce dernier abandonne sa proie et regagne son siège.
- Un autre veut-il estimer la marchandise ? Demande Louis. Je vous rappelle qu’elle sera à celui qui nous proposera un fantasme digne de cette beauté.
Encore une insulte se dit Chantal.
Un nouveau mouvement dans la salle. L’homme qui s’approche d’elle cette fois ne lui est pas inconnu. Elle n’arrive pas à bien savoir qui il est cependant.
Il lui prend les mains et l’aide à descendre du tabouret. Il lui ôte son joli chemisier bleu marine sans dire un seul mot. Elle se sent bien. Involontairement, elle bombe le torse pour mettre sa poitrine en évidence. Elle se sent désirée et cela lui insuffle des envies inconnues d’elle auparavant. Comme envie de se montrer et se faire désirer par les hommes.
L’invité de Louis la prend aux hanches et la guide pour monter à genoux sur le tabouret. Délicat, Louis pose un coussin pour ménager ses jambes. Le dessus du tabouret est étroit. Elle doit garder les cuisses serrées. Son complice du moment pose une main sur ses reins et la force à s’appuyer sur le dessus du bar et de se cambrer pour bien faire ressortir la rondeur de sa croupe. Lentement il remonte sa jupe sur ses reins et la découvre jusqu’à la taille. Il l’attache à sa ceinture. Ses fesses nues sont offertes à la vue de l’assemblée. Elle sent le plaisir monter encore plus. Louis qui est passé derrière le bar lui caresse le visage et les cheveux. Il lui tend un nouveau verre de cognac qu’elle boit lentement pour en savourer le goût. Elle a envie de lui dire qu’elle se sent bien et que l’alcool ne lui est plus nécessaire pour se libérer des contraintes de son éducation. Pourtant elle a soudain une pensée pour son mari. Il était de nouveau sorti de ses pensées, mais c’est une évidence maintenant : elle veut jouir pour elle même.
L’homme qui est maintenant son maître, se place de côté et la prend par la taille. Il fait face à ses complices et lentement de sa main libre, il caresse ses rondeurs comme on flatte le flan d’un animal. Un animal, oui, Chantal se sent comme une bête qu’on récompense pour une bonne conduite. D’ailleurs les mots prononcés par son guide évoquent ce sentiment.
- Bonne bête, non ? Regardez les amis comme son cul est beau et réclame les caresses. Cette chienne sait qu’elle est belle. Elle sait aussi que bientôt on va la monter, la saillir. Que l’on va ensemencer son ventre. Elle va recevoir des doses de foutre qui vont l’engrosser.
Tout en prononçant ces mots, ses doigts remontent le long de la culière et s’enfoncent pour en caresser le fond du sillon. Sa main se plaque en regard du petit trou que l’on devine sans le voir car ses cuisses serrées, le sillon est fermé. Le majeur de la main se détache des autres doigts et on devine facilement qu’il vient de s’enfoncer dans le fondement de la jeune femme. Le petit cri qui s’échappe de sa bouche corrobore cette intrusion qui vient de la surprendre. Elle relève la tête en arrière et pousse un soupir de plaisir. Des ricanements lui parviennent de l’assemblée quand le doigt s’enfonce plus profondément dans son cul et qu’il entreprend une lente branlette. On lui branle le fion se dit-elle, excitée par la vulgarité du mot. Elle se trémousse de plus belle. Par moment son maître adresse un regard de fierté à la salle comme pour signifier sa possession. L’homme accélère sa masturbation et très vite Chantal est submergée par une onde de jouissance. C’est la première fois qu’elle jouit prise ainsi par son anus.
Une fois qu’il a considéré avoir fait ce qu’il souhaitait, l’homme se détache et regagne sa place.
Derrière sa porte le cocu a de nouveau éjaculé sur ses chaussures devant le spectacle offert par sa douce et néanmoins salope.
Louis invite un autre candidat à rejoindre l’estrade.
(à suivre)

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Le dernier ? Cette série ne peut se terminer ainsi ... le mari même candauliste doit pouvoir profiler de la nouvelle Chantal, épanouie et forte de sa féminité !
Dominique

L'exhibition et le fait d'être offerte à de parfaits inconnus est un plaisir dont on ne se lasse pas.

Histoire Erotique
Bonjour Arsènne, BRAVO, TOUJOURS aussi candauliste, et que Chantal est toujours belle et excitante, elle le sait notre belle salope, c'est pour cette raison que nous l'aimons... Même si... mais c'est une autre histoire, dis lui mon amour indéfectible.
M.

Histoire Erotique
bjr arsenne tjs aussi salope chantal



Texte coquin : Cherche fantasmes pour épouse pudibonde 8
Histoire sexe : Une rose rouge
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