Chère lectrice rousse aux petits seins : Candice enceinte (2ème partie)
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Récit érotique écrit par Mysterious91 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Chère lectrice rousse aux petits seins : Candice enceinte (2ème partie)
À chaque fois que Candice remue les lèvres, c'est impossible pour moi de ne pas être tout ouïe, de ne pas être émoustillé. Elle m'excite. Au plus haut point.
Candice vient de me demander de lui raconter LA fois où nous avons fait l'amour. Ma chère lectrice rousse aux petits seins n'a pas besoin de préciser de quelle fois il s'agit. Je n'ai pas besoin non plus qu'elle en dise davantage. Je sais bien de quelle fois elle parle. Et je ne suis pas dupe. Je ne suis pas idiot. Je suis tout sauf ça. Je vois bien où elle veut en venir, ma jolie rousse. Est-ce la perspective de devenir mère qui met ses esprits sans dessus dessous ? Est-ce que la perspective que je lui raconte LA fois lui donne envie de faire l'amour ?
Il n'y a pas grand monde au jardin public. Le peu de gens que nous voyons nous sourit. Par politesse, nous leur sourions en retour. Ils voient que nous sommes main dans la main, Candice et moi. Je me doute bien qu'à leurs yeux, nous sommes beaux. Qu'à leurs yeux, nous formons un joli couple.
S'ils savaient ce que nous mijotons... Parce que nous avons beau avoir l'air... En réalité, nous n'avons pas la chanson.
C'est bien comme ça.
C'est intime.
Ça n'appartient qu'à nous.
Un couple d'amoureux est assis sur un banc. Si l'on prête un minimum d'attention à ces amoureux, ça se voit qu'ils s'aiment. Si l'on ne connaissait pas ce couple, on ne saurait pas que leur histoire ne date pas d'aujourd'hui.
Ils se mangent des yeux. Ils se sourient.
Ils se tiennent la main. Ils se parlent.
L'air a beau être frais dehors, en ce mois de décembre... Ils ont chaud.
Quand on est avec la personne qu'on aime, on ne peut pas être mieux. Les sensations, les émotions, les sentiments... Tout ça, c'est au minimum décuplé.
Quand on est avec la personne qu'on aime, peu importe où on se trouve, tous les voyants sont au vert. Peu importe si le temps défile, ce qui compte, c'est le bonheur d'être ensemble.
Ça n'a pas été hier qu'ils ont eu lieu, ces moments.
Ce ne sera pas demain qu'ils auront lieu, ces moments.
Ce sont les yeux de Candice que je mange, c'est à Candice que je souris.
C'est la main de Candice que je tiens, c'est à Candice que je parle.
Candice me met dans tous mes états, lorsqu'elle est dans les parages. C'est simple : je me sens si bien quand elle est là. Et je suis convaincu que la vie ne serait pas du tout pareille si je n'avais pas fait la rencontre de ma chère lectrice rousse aux petits seins.
Ah Candice... Je t'aime.
Toute résistance est inutile quand Candice n'en fait qu'à sa tête. Peu importe ce dont elle a envie, je veux tout faire de telle sorte que ça se réalise. Nous sommes assis sur ce banc et nous nous tenons la main afin d'avoir chaud. Nous ne pouvons pas être mieux. Quand je suis avec Candice, j'oublie tout le reste.
- Mon amour... Ouvre grandes tes oreilles. Tu veux que je te raconte la fois ? Très bien.
Je la connais, ma chère lectrice rousse aux petits seins. La perspective que je lui raconte cette fois où nous avons fait l'amour l'émoustille. Elle ne peut pas s'empêcher de se trémousser sur place. Ça lui met les idées sans dessus dessous.
Maintenant que nous sommes installés sur le banc et que je sais qu'il n'y a que des gens de passage par ici, je suis en mesure de faire ce que Candice me demande. Je ferme les yeux. Je me concentre. Je mets en marche le cortex coquin de mon esprit. Je sélectionne le film de cette fois mémorable où nous avons fait l'amour.
Là.
Le film commence...
Je pousse un soupir. Je rouvre les yeux. Je pose le bout de mes doigts sur le menton de Candice. Elle veut que je la lui raconte, la fois ? Très bien. Je veux qu'elle me regarde dans le blanc des yeux, alors. Je la connais, ma jolie rousse. Elle gigote sur le banc. Elle n'attend qu'une seule chose. C'en est fait d'elle, déjà. Elle ne parvient pas à se calmer.
- Oui, ma jolie rousse. Ouvre-les bien grandes, tes oreilles. Ne perds pas une miette de ce que je vais te raconter.
- Je t'écoute, mon mystérieux. Je suis toute ouïe.
Il fallait que je m'y attende.
Candice m'adresse un sourire dont elle a le secret.
C'est typiquement le genre de chose chez Candice qui me fait fondre.
J'inspire doucement. Et puis j'expire. Je suis concentré. Ça me tient à cœur de me rappeler de tout ce qu'il s'est passé ce matin-là. Oui. Je veux que mon récit soit le plus fidèle possible à ce que nous avons vécu. Candice me demande de lui raconter ce matin mémorable de notre histoire d'amour, quoi!
Je ferme une nouvelle fois les yeux. J'inspire. Et puis j'expire. Je rouvre les yeux. Je me sens si bien. C'est à Candice que je suis dans cet état d'esprit prononcé de bien-être et de sérénité. Je la regarde, Candice...
- Mon amour... C'était un samedi. Il faisait particulièrement beau. Moi, j'étais dans les bras de Morphée. On venait de passer la nuit à faire l'amour. Ça avait été tellement... bon. Avec toi, jolie rousse, c'est toujours bon. Tu as ce je-ne-sais-quoi que je n'avais jamais connu avant toi. Tu fais de moi un homme heureux, Candice. Et moi, je veux te rendre heureuse. Pour toujours.
- Continue, Benoit. T'arrêtes pas.
Je ferme les yeux. Je me replonge avec délectation dans le film de ce matin-là. Je veux tirer toute la quintessence de ces souvenirs.
- Je m'en souviens, je dormais. Tu m'avais épuisé, tu sais ? Tu ne fais pas les choses à moitié quand tu fais l'amour, Candice. Mais j'aime ça. Qu'est-ce que j'aime ça... Tu avais soif. Tu t'es réveillée...
Candice vient de me demander de lui raconter LA fois où nous avons fait l'amour. Ma chère lectrice rousse aux petits seins n'a pas besoin de préciser de quelle fois il s'agit. Je n'ai pas besoin non plus qu'elle en dise davantage. Je sais bien de quelle fois elle parle. Et je ne suis pas dupe. Je ne suis pas idiot. Je suis tout sauf ça. Je vois bien où elle veut en venir, ma jolie rousse. Est-ce la perspective de devenir mère qui met ses esprits sans dessus dessous ? Est-ce que la perspective que je lui raconte LA fois lui donne envie de faire l'amour ?
Il n'y a pas grand monde au jardin public. Le peu de gens que nous voyons nous sourit. Par politesse, nous leur sourions en retour. Ils voient que nous sommes main dans la main, Candice et moi. Je me doute bien qu'à leurs yeux, nous sommes beaux. Qu'à leurs yeux, nous formons un joli couple.
S'ils savaient ce que nous mijotons... Parce que nous avons beau avoir l'air... En réalité, nous n'avons pas la chanson.
C'est bien comme ça.
C'est intime.
Ça n'appartient qu'à nous.
Un couple d'amoureux est assis sur un banc. Si l'on prête un minimum d'attention à ces amoureux, ça se voit qu'ils s'aiment. Si l'on ne connaissait pas ce couple, on ne saurait pas que leur histoire ne date pas d'aujourd'hui.
Ils se mangent des yeux. Ils se sourient.
Ils se tiennent la main. Ils se parlent.
L'air a beau être frais dehors, en ce mois de décembre... Ils ont chaud.
Quand on est avec la personne qu'on aime, on ne peut pas être mieux. Les sensations, les émotions, les sentiments... Tout ça, c'est au minimum décuplé.
Quand on est avec la personne qu'on aime, peu importe où on se trouve, tous les voyants sont au vert. Peu importe si le temps défile, ce qui compte, c'est le bonheur d'être ensemble.
Ça n'a pas été hier qu'ils ont eu lieu, ces moments.
Ce ne sera pas demain qu'ils auront lieu, ces moments.
Ce sont les yeux de Candice que je mange, c'est à Candice que je souris.
C'est la main de Candice que je tiens, c'est à Candice que je parle.
Candice me met dans tous mes états, lorsqu'elle est dans les parages. C'est simple : je me sens si bien quand elle est là. Et je suis convaincu que la vie ne serait pas du tout pareille si je n'avais pas fait la rencontre de ma chère lectrice rousse aux petits seins.
Ah Candice... Je t'aime.
Toute résistance est inutile quand Candice n'en fait qu'à sa tête. Peu importe ce dont elle a envie, je veux tout faire de telle sorte que ça se réalise. Nous sommes assis sur ce banc et nous nous tenons la main afin d'avoir chaud. Nous ne pouvons pas être mieux. Quand je suis avec Candice, j'oublie tout le reste.
- Mon amour... Ouvre grandes tes oreilles. Tu veux que je te raconte la fois ? Très bien.
Je la connais, ma chère lectrice rousse aux petits seins. La perspective que je lui raconte cette fois où nous avons fait l'amour l'émoustille. Elle ne peut pas s'empêcher de se trémousser sur place. Ça lui met les idées sans dessus dessous.
Maintenant que nous sommes installés sur le banc et que je sais qu'il n'y a que des gens de passage par ici, je suis en mesure de faire ce que Candice me demande. Je ferme les yeux. Je me concentre. Je mets en marche le cortex coquin de mon esprit. Je sélectionne le film de cette fois mémorable où nous avons fait l'amour.
Là.
Le film commence...
Je pousse un soupir. Je rouvre les yeux. Je pose le bout de mes doigts sur le menton de Candice. Elle veut que je la lui raconte, la fois ? Très bien. Je veux qu'elle me regarde dans le blanc des yeux, alors. Je la connais, ma jolie rousse. Elle gigote sur le banc. Elle n'attend qu'une seule chose. C'en est fait d'elle, déjà. Elle ne parvient pas à se calmer.
- Oui, ma jolie rousse. Ouvre-les bien grandes, tes oreilles. Ne perds pas une miette de ce que je vais te raconter.
- Je t'écoute, mon mystérieux. Je suis toute ouïe.
Il fallait que je m'y attende.
Candice m'adresse un sourire dont elle a le secret.
C'est typiquement le genre de chose chez Candice qui me fait fondre.
J'inspire doucement. Et puis j'expire. Je suis concentré. Ça me tient à cœur de me rappeler de tout ce qu'il s'est passé ce matin-là. Oui. Je veux que mon récit soit le plus fidèle possible à ce que nous avons vécu. Candice me demande de lui raconter ce matin mémorable de notre histoire d'amour, quoi!
Je ferme une nouvelle fois les yeux. J'inspire. Et puis j'expire. Je rouvre les yeux. Je me sens si bien. C'est à Candice que je suis dans cet état d'esprit prononcé de bien-être et de sérénité. Je la regarde, Candice...
- Mon amour... C'était un samedi. Il faisait particulièrement beau. Moi, j'étais dans les bras de Morphée. On venait de passer la nuit à faire l'amour. Ça avait été tellement... bon. Avec toi, jolie rousse, c'est toujours bon. Tu as ce je-ne-sais-quoi que je n'avais jamais connu avant toi. Tu fais de moi un homme heureux, Candice. Et moi, je veux te rendre heureuse. Pour toujours.
- Continue, Benoit. T'arrêtes pas.
Je ferme les yeux. Je me replonge avec délectation dans le film de ce matin-là. Je veux tirer toute la quintessence de ces souvenirs.
- Je m'en souviens, je dormais. Tu m'avais épuisé, tu sais ? Tu ne fais pas les choses à moitié quand tu fais l'amour, Candice. Mais j'aime ça. Qu'est-ce que j'aime ça... Tu avais soif. Tu t'es réveillée...
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