Chère lectrice rousse aux petits seins : Candice enceinte (3ème partie) - histoire érotique

Je la lui raconte, la fois, à Candice. Je décide de lui prendre la main. Ça me tient à cœur. J'aime ces moments que l'on vit. Je ne me passe pas de ma jolie rousse. J'aime le sexe, avec ma chère lectrice rousse aux petits seins. Et là, sur ce banc, je suis on-ne-peut-mieux, avec la femme que j'aime.





- Faire l'amour t'avait épuisée, Candice. Quand on s'était assoupi, j'imagine à quel point tu devais être bien, dans les bras de Morphée. Je m'en rappelle plus... Tu avais fait de beaux rêves? Jolie rousse... Ça m'étonnerait pas si c'était le cas. Ce que je sais, c'est que quand j'ai ouvert les yeux ce matin-là, tu n'étais pas au lit. Tu ne pouvais qu'être à la maison. Mais... Où? Telle était la question. Je dois t'avouer que... Ta présence me manquait, ton amour. Et quand tu es revenue dans la chambre, tu peux pas savoir à quel point mon cœur s'est mis à battre fort dans ma poitrine. C'est TOI, Candice, qui me fait cet effet. Pas une autre mais TOI. Je t'aime, Candice.

Tu te souviens comment je t'ai dévorée du regard?



Je n'ai besoin ni de viagra ni d'aphrodisiaque. Tu es aphrodisiaque à toi toute seule, ma chère lectrice rousse aux petits seins.



Tu ne le sais que trop bien, Candice. Je n'avais jamais été autant en phase avec une femme, avant toi. Être à tes côtés, vivre avec toi. Candice, c'est... Pendant que je suis en train de te raconter la fois, je ne trouve pas de qualificatif adéquat pour te décrire mon bonheur de passer le reste de mes jours avec toi, mon amour. Tout simplement parce que tu rends la vie encore plus belle, jolie rousse.

C'est toi, la plus belle femme du monde, Candice. Tu as su me faire succomber à ton charme. C'est quelque chose que j'aime chez toi, mon amour. Une fois ta soif rassasiée, tu as fait le chemin inverse pour revenir dans la chambre. Tu portais une nuisette courte, sexy à souhait. C'est comme ça que tu aimes être à l'aise quand tu es à la maison, ma belle. Tu sais que je te dévore des yeux dès que je te vois quand tu es ainsi, ma chère lectrice rousse aux petits seins. Tu ne sais pas à quel point mon cœur s'est mis à battre la chamade quand tu es apparue sur le pas de la porte, Candice...

Alors, une réaction physique m'a, soudain, spontanément pris au corps. Tu veux savoir ce qu'il s'est précisément passé, Candice? Très bien. Quand je ressens quelque chose de particulièrement agréable, mon corps se couvre de chair de poule. Je me mets à frissonner. C'est étrange, comme sensation. Mais... Candice... Je ne te cache pas que c'est agréable. C'est à toi que je la dois, cette sensation. C'est fou comme je me sens bien quand je suis avec toi. On ne sait pas de quoi l'avenir est fait. Ce que j'espère, c'est passer le reste de mes jours à tes côtés, ma jolie rousse. Je suis tellement heureux. C'est grâce à toi, mon amour. Tu veux que je te dise, Candice? Je tiens à toi plus que tout, plus que jamais. À coup sûr, ça ne va pas te surprendre. Mais, je veux que tu le saches, ma chérie.

Bref, je reviens au récit de ce samedi matin. J'ai été époustouflé quand je t'ai vu, Candice. Comment est-ce que c'est possible de rester de marbre, de ne rien ressentir du tout alors que tu es dans les parages, ma belle? Tu sais que tu me fais fondre. Et tu sais ce que je pense. Je te trouve à croquer, ma chère lectrice rousse aux petits seins. Tu veux que je te dise? Non seulement tu me fais fondre, mais tu me fais surtout toujours autant bander...



Pour reprendre le film de ce matin-là, Candice, eh bien... Mon cœur a eu des ratés. Ça a été de ta faute, quoi! Candice... Candice... Candice... Tu irradies. Si tu savais à quel point tu me rends heureux... Tu n'as pas idée... C'est toi, la plus belle, jolie rousse. Je ne te résiste pas. Tu le sais. C'est toi, la femme que j'aime. Oui. Je suis fou de toi.



- Mon amour...

- Ma chère lectrice rousse aux petits seins...

- Je ressens des papillons dans mon ventre. C'est toi qui me les procures, chéri. Tu ne sais pas à quel point je me sens bien. Je t'aime, Benoit.





Je prends un coup de chaud, soudain. Candice me connaît très bien, au jour d'aujourd'hui. Elle sait que ce genre de paroles, ça me touche particulièrement. Je lui tiens la main. Je la regarde. Elle est si belle. Elle me fait fondre quand elle a des yeux de biche comme ceux qu'elle a en ce moment même. C'est elle, la femme de mes rêves. Et Candice est bien plus que ça, aujourd'hui. Oui. Elle est la femme de ma vie. Je l'aime. J'ai envie de reprendre le cours de l'histoire que j'ai commencé à lui raconter. J'y tiens.







- Continue d'ouvrir bien grandes tes oreilles, jolie rousse. Ça me plaît bien que tu aies des papillons dans le ventre. Ça veut dire ce que ça veut dire. Toi... Dès lors qu'il s'agit de nous, ça te plaît. Ça te fait... quelque chose...



Tu les aimes, les nuisettes vaporeuses qui mettent en valeur la grâce de ton corps. Ce matin-là, tu en as porté une. Qu'est-ce que tu as été particulièrement sexy dans cette nuisette...



C'est impossible de ne pas craquer pour toi, Candice. Je sais de quoi je parle. Et tu sais y faire, pour que le monde tombe sous ton charme. Quand tu m'as écrit, la première fois... Quand tu t'es manifestée... Tu as su capter mon attention.

J'ai le cœur qui a des ratés dès que je te vois et que tu as le sourire aux lèvres, ma belle. Il n'y a que toi qui me fait cet effet-là. Et là, non seulement tu l'avais, le sourire aux lèvres, mais tu portais aux lèvres, mais tu portais cette nuisette. Je connais ton péché mignon pour la lingerie, Candice. Tu sais que tu fais mouche à chaque fois, quand tu en as sur toi. Ce matin-là, je peux te le dire... Tu étais la femme la plus sexy du monde. Dès lors, tu peux me dire comment c'est possible de te résister, mon amour? Hein? Tu peux me l'expliquer?

Tu m'as attiré dans tes filets, mon amour. Je n'ai rien pu faire. Je n'ai pas seulement pris chaud, ce matin-là. Non... Tu étais là et tu étais sexy à souhait. Je me suis mis à bander. Une belle femme comme toi, le sourire aux lèvres et qui porte de la lingerie... Elle ne me laisse pas de marbre. Non...



Comment est-ce que je peux, ne serait-ce qu'une seconde, envisager de te résister, Candice? Même pas en rêve, ça. De toute façon, tu parviens toujours à déjouer mes plans pour que toute résistance soit vaine, jolie rousse. J'ai définitivement pas connu de femme comme toi, chérie. Il n'y en a pas deux comme toi. Il n'y a que toi, ma chère lectrice rousse aux petits seins. Oui. Je t'aime, Candice. 

Quand tu as le sourire aux lèvres, tu ne peux pas me rendre plus heureux. Et quand tu portes de la lingerie, tu ne peux pas être plus sexy. Tout ça combiné, eh bah... Ça fait que je ne suis pas seulement fou amoureux de toi, Candice. Non... Je bande pour toi dès que je te vois. Comme ce matin-là...

Désormais, tu es enceinte, Candice. Dans ton ventre vit le fruit de nos amours. Si tu savais comme j'ai le cœur qui pulse comme ce n'est pas permis en ce moment même pendant que je te dis tout ça, ma chère lectrice rousse aux petits seins. C'est parce que je suis tout aussi émoustillé que toi. C'est aussi simple que ça. Il n'y a que toi qui me procures ces émotions, mon amour.



Ce matin-là, la plus belle femme du monde se tenait en face de moi. Elle était à croquer car elle ne portait pas seulement de la lingerie mais elle avait aussi et surtout des yeux particulièrement étincelants. Ce matin-là, je n'avais d'yeux que pour cette femme. J'ai retenu mon souffle quand elle s'est approchée de moi, cette femme.



Cette femme aux yeux pétillants et qui portait cette nuisette sexy, c'était toi, Candice. Je la mangeais des yeux, cette femme. Limite, j'avais l'eau à la bouche. Quand je te vois, jolie rousse, il ne peut pas en être autrement. Il s'est passé quelque chose de spécial, ce matin-là. J'étais on-ne-peut-plus sous ton charme.



Quand je t'ai vu comme ça, mon amour, je ne savais que trop bien que tu n'en resterais pas là. La suite des évènements m'a donné raison. Tu savais à quel raison j'étais fou de toi, déjà. C'est toujours le cas, au jour d'aujourd'hui. Tant que je serai avec toi, ça sera comme ça et je ferai tout pour que ça reste ainsi, ma chère lectrice rousse aux petits seins. Je te le promets. Je sais... On ne sait pas de quoi demain sera fait. Mon plus beau rêve, c'est de vivre chaque jour qu'il me reste à tes côtés, jusqu'à mon dernier soupir. D'ailleurs... En parlant de rêves... Quand tu t'es installée auprès de moi, je t'avais raconté le rêve érotique que j'avais fait, une nuit. Les conditions étaient réunies, selon moi. Tu étais là et tu avais décidé de te placer à califourchon sur moi. Tu es particulièrement sexy quand tu fais ça, ma chérie. Il n'y a que toi dont j'ai envie.

J'avais vraiment envie de te le raconter, ce rêve chaud. Tu y avais été la protagoniste, Candice...



Ça fait comme là, Candice, quand je suis en train de te raconter ce beau matin où nous avons fait l'amour. Tu avais une idée claire, nette, précise derrière la tête. Je te connais à force, il faut dire, chère lectrice rousse aux petits seins. Quand tu me souris, quand tes yeux étincellent et quand tu n'es que très légèrement vêtue, tu veux me plaire. Tu as on-ne-peut-plus envie de me séduire...



C'était aphrodisiaque à souhait, ce matin-là. Toi, tu y étais pour beaucoup beaucoup. C'est quelque chose que j'aime chez toi. Tu as tout pour toi et tu as tout pour plaire, Candice. Tu me plais.

Ce matin-là, j'avais sous les yeux la plus belle femme du monde. Elle avait adopté une posture on-ne-peut-plus lascive. Si la sensualité a une ambassadrice sur Terre, alors il s'agit de toi, jolie rousse. Je n'ai d'yeux que pour toi, Candice. Et là, c'était juste impossible pour moi de ne pas te toucher. Qui plus est, compte tenu du fait que tu t'étais installée comme ça, je n'ai pas hésité une seconde. Qui tergiverserait? Tu peux me dire comment ce serait possible? Plante tes yeux dans les miens et je capitule, Candice.

C'est beau, l'amour. Ça fait cul-cul la praline, dis comme ça... C'est ce que je pense. Et tu sais quoi, jolie rousse? C'est toi qui rends l'amour beau. Si, si, je te jure! Être avec toi, mais c'est... Je ne sais même pas s'il y a des qualificatifs pour décrire comme la vie est, à tes côtés. Ce n'est... pas pareil. Je suis bien, avec toi. Je ne peux pas être mieux. Ce matin-là, limite, notre chambre, c'était l'Éden sur Terre. Et toi, tu étais Aphrodite, la déesse de la séduction. Je n'avais d'yeux que pour toi.





Je m'arrête un instant, le temps de reprendre mon souffle. Je décide de regarder attentivement Candice, sans dire un mot. Elle est si belle. Je décide de focaliser mon attention sur l'éclat de ses yeux. J'y décèle une émotion particulière.  Mes mots touchent Candice. Au plus haut point. Je le sais. Elle est sur son petit nuage. Prolongeons la magie. Faisons en sorte que ce beau moment dure.





- Mon amour... Si tu savais comme je les sens au plus profond de mon ventre, les papillons... Tu n'as pas idée... Et dans mon ventre, désormais, il y a un petit être qui vit. C'est un garçon? C'est une fille? Nous n'en savons encore rien. Ce que je sais, c'est qu'il ou elle, il ou elle est l'enfant que j'attends de toi, Benoit.

- Mon amour... Je te tiens la main. Je te regarde. Et là, je suis en train de te raconter ce qu'il s'est passé lors de ce matin-là mémorable. Nous sommes les yeux dans les yeux. Si tu savais comme je les aime, ces moments, avec toi... Je continue mon récit, alors.

- Oui, mon amour. Continue. J'aime t'écouter parler. J'ai les yeux rivés sur tes lèvres. Je bois tes paroles. Je pourrais faire ça toute la journée. Si tu savais comme tu m'ensorcelles quand tu me parles, Mysteriotic... Avec toi, la vie ne peut pas être plus belle. Je t'aime, Benoit.

- C'est toi qui rends la vie plus belle, Candice. Je t'aime.