Chère lectrice rousse aux petits seins : Candice enceinte (4ème partie)

Récit érotique écrit par Mysterious91 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 66 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.5 • Cote moyenne attribuée par HDS : 6.6
- • L'ensemble des récits érotiques de Mysterious91 ont reçu un total de 201 203 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 75 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Chère lectrice rousse aux petits seins : Candice enceinte (4ème partie)
- Benoit... Chéri... Mon mystérieux... Quand tu me dis tout ça, quand tu me dis que tu m'aimes, tu fais battre mon cœur de plus belle. Continue de me raconter cette histoire, mon amour. Elle me plaît beaucoup.
Je la regarde, la chère lectrice rousse aux petits seins. Elle me charme et elle me séduit. Elle m'attendrit quand elle me parle, avec sa voix caressante. Il ne se passe pas un moment sans que Candice s'immisce dans mon esprit. Quand ça arrive, j'ai le sourire aux lèvres. Et je souris comme un idiot. Soit. J'assume. C'est parce que je suis fou d'elle.
- Candice... Chérie... Ma jolie rousse... Quand je te bouffe des yeux comme ça, c'est parce que tu es si belle. Ton cœur, il est à moi. Ce matin-là, comment était-ce possible de faire ça, te quitter des yeux? Oui. Je le dis et je le répète. Tu es si belle. La tension était éprouvante. Il y avait de l'électricité dans l'air. Il y avait surtout du désir. C'est... dingue, comme j'avais envie de toi, ma belle. Quand ton corps se métamorphosera, je m'imagine un réveil, un matin comme celui que nous avons vécu...
- Benoit... Je les sens de plus belle, les papillons dans mon ventre. C'est parce que tu mentionnes des détails très précis de ce matin-là. Et c'est d'autant plus parce que je viens d'apprendre que j'attends un enfant de toi. Continue, Benoit. J'aime t'entendre parler.
Je la regarde de plus belle, Candice. Je suis décidément fasciné par l'éclat de ses yeux. Avant de reprendre le cours de mon récit, je ne résiste ni à l'idée, ni à l'envie de l'embrasser, ma jolie rousse.
Elle est si belle. Elle a définitivement décidé de laisser lâchés ses longs cheveux roux. Elle qui était attachée à son fameux chignon d'où s'échappaient quelques mèches rebelles, avant de me rencontrer... Ça lui va particulièrement bien, les cheveux libres comme l'air. De toute façon, il y a tant de choses qui lui vont bien, à ma chère lectrice rousse aux petits seins. Elle n'a pas que des qualités, bien sûr. Et elle n'est pas parfaite, ça va de soi. Mais voilà. Je l'aime. Tout simplement.
- Quelque chose qui m'a particulièrement marqué ce matin-là, ça a été quand tu as fermé les yeux puis que tu t'es caressée alors que je te racontais ce rêve érotique que j'avais fait. Ça t'a fait de l'effet, n'est-ce pas? J'ai été attendri par cette vision sensuelle que tu m'offrais. Je suis plus que jamais sous ton charme quand c'est comme ça, mon amour. Reste la femme que tu es, Candice.
Tu es enceinte, Candice. Tu portes notre enfant. Je te bouffe des yeux, ma jolie rousse. J'ai de bonnes raisons pour faire de toi un délicieux repas et ce, à chaque fois. Vois-tu... Quand ton ventre s'arrondira, quand ça se verra, je ferai des miennes et je poserai délicatement ma tête sur ton ventre. Je le ferai car je voudrai sentir notre bébé remuer. Peut-être même que je serai en mesure d'écouter son cœur battre. Qui sait...?
- Benoit... Tu sais que moi aussi, je ne rêve que de ça? Et quand je donnerai naissance à notre enfant fruit de nos amours, toi, tu nous regarderas. Tu seras attendri quand je donnerai le sein à notre bébé. Je serai une nouvelle Candice. Une Candice... différente.
- Ne m'en dis pas plus, chérie. Tout ce que tu dis là, je ne rêve que de ça, moi aussi. Je n'aurai d'yeux que pour vous deux. Ma chère lectrice rousse aux petits seins et mon enfant. Je suis le plus heureux des compagnons. Je serai le plus fier des pères. Je ferai tout pour vous protéger, tous les deux.
- Je suis bien, avec toi, Benoit. Je me sens en sécurité quand je suis en ta compagnie. Je sais que tu seras un bon père. Je sais que rien ne nous arrivera. Je sais que nous formerons une chouette famille, tous les trois. Benoit... Continue de me dire des mots d'amour, des mots qui me touchent. Dis-moi. Quel effet ça te fait quand je gigote comme ça, sur ce banc?
- Quand on se balade, quand tu te comportes comme ça, je suis plus que jamais amoureux de toi, Candice. Et tu sais quoi? Quand je te parle, tu es la femme la plus heureuse du monde. Tu sais comment je sais ça, ma belle? Soit tu as des yeux de biche, soit tes yeux sont en forme d'amande. Par contre, il y a une chose dont je suis certain, jolie rousse. Ooh... ça oui. Tes yeux... Ils pétillent tellement. Tu ne peux pas me rendre plus heureux alors, Candice. Tu es la première femme qui me fait ressentir toutes ces choses-là, à ce point. Je veux te rendre à jamais heureuse.
- Benoit... Tu sais ce qui me rendrait heureuse? Ce serait que tu continues de me la raconter, la fois. Tu veux bien faire ça pour moi, mon mystérieux?
- Pour toi, je ferai beaucoup de choses, ma jolie rousse.
Il y a un espèce d'arrêt sur image qui a lieu. J'ai immédiatement remarqué l'expression des yeux de Candice. Ma chère lectrice rousse aux petits seins me fait les yeux doux. Notre histoire d'amour s'inscrit petite touche par petite touche dans le temps. Lorsque Candice m'a écrit la première fois, jamais je n'aurais pensé que ce serait l'Éden, l'amour avec elle. En fait... C'est plus paradisiaque que l'Éden, vivre aux côtés de Candice. Je me fais le serment de rendre Candice heureuse. Et je ferai tout ce que je serai en mesure de faire pour que Candice garde le sourire aux lèvres.
- Je ne sais pas ce qu'il m'a pris, mon amour. Dès que tu es revenue dans la chambre, mon sang n'a fait qu'un tour. Tu étais là. Tu me faisais bander, Candice. Alors, ni une, ni deux, je t'ai montré dans quel état tu me mettais. Pour tout te dire... C'était tout sauf pour me déplaire. Et je sais qu'il en était de même pour toi, chérie. La preuve! Dès que tu l'as vu, mon membre, tu as eu les yeux on-ne-peut-plus étincelants. Je sais ce que ça signifie, mon amour. Toi... Ça t'excite. Et tu as une furieuse envie de moi, dès lors. Je me trompe, Candice? Hmm... Je ne crois pas. En tout cas, ce matin-là, tu as eu follement envie de moi.
- Évidemment que j'ai eu envie de toi, mon mystérieux. Tu peux me dire comment le contraire aurait pu ne serait-ce qu'envisageable? Ce n'est tout simplement pas possible. Je me sais. Et tu le sais aussi bien que moi. Je t'aime, Benoit. Et j'ai toujours autant envie de toi.
- Tu l'as pris dans ta main, mon membre. Par contre, tu ne m'as pas quitté une seule fois des yeux, Candice.
- Oui, c'était ton sexe qui allait et qui venait dans mon poing. Mais c'était bien ton visage que je regardais, mon amour. Je voulais que tes yeux me disent tout ce que j'avais envie de savoir.
- Je te comprends, mon amour. Et tu sais quoi? Je voulais te montrer à quel point j'avais dû plaisir. Je te connais bien, jolie rousse. J'ai vu le beau sourire que tu avais aux lèvres. Toi... Tu irradiais. Toi... Tu étais heureuse.
- Je ne pouvais pas être plus heureuse, mon cœur.
- Ce n'est pas possible de ne pas craquer pour toi, princesse. Je suis bien placé pour le savoir, ça. Tu fais tourner bien des têtes. Mais c'est moi, ton âme sœur.
- Si je ne faisais pas tourner toutes ces têtes, mecs ou nanas, quand on me croise dans la rue, avoue que ça n'aurait pas la même saveur, que tu sois en couple avec moi. Mais mon âme sœur, c'est toi, mystérieux. Mon cœur bat pour toi. Et là, si tu fais on-ne-peut-plus attention, tu verras que ma peau a rougi. C'est parce que je suis toute chose quand c'est comme ça. Et avoue-le, mon cœur. Avoue que c'est comme ça que je te plais. Tu es sous mon charme.
- Quand tu tournes sur toi pour que je ne perde pas une miette de toi, c'est sûr que tu me maintiens sous ton charme. Je ne peux rien faire. C'est toi, la plus belle femme du monde. C'est toi que j'aime. Et c'est toi, la femme de ma vie, Candice.
- Mon cœur... Tu ne sais pas à quel point j'ai le cœur qui bat la chamade, Benoit.
- Je le vois, que ça te remue. Tu as les yeux qui brillent. Et tu es rouge comme une tomate. C'est aussi comme ça que tu me plais, jolie rousse. Oh... oui.
Nous nous regardons.
Nous nous sourions.
Nos bouches se rapprochent.
Là.
Nous nous embrassons.
Je la regarde, la chère lectrice rousse aux petits seins. Elle me charme et elle me séduit. Elle m'attendrit quand elle me parle, avec sa voix caressante. Il ne se passe pas un moment sans que Candice s'immisce dans mon esprit. Quand ça arrive, j'ai le sourire aux lèvres. Et je souris comme un idiot. Soit. J'assume. C'est parce que je suis fou d'elle.
- Candice... Chérie... Ma jolie rousse... Quand je te bouffe des yeux comme ça, c'est parce que tu es si belle. Ton cœur, il est à moi. Ce matin-là, comment était-ce possible de faire ça, te quitter des yeux? Oui. Je le dis et je le répète. Tu es si belle. La tension était éprouvante. Il y avait de l'électricité dans l'air. Il y avait surtout du désir. C'est... dingue, comme j'avais envie de toi, ma belle. Quand ton corps se métamorphosera, je m'imagine un réveil, un matin comme celui que nous avons vécu...
- Benoit... Je les sens de plus belle, les papillons dans mon ventre. C'est parce que tu mentionnes des détails très précis de ce matin-là. Et c'est d'autant plus parce que je viens d'apprendre que j'attends un enfant de toi. Continue, Benoit. J'aime t'entendre parler.
Je la regarde de plus belle, Candice. Je suis décidément fasciné par l'éclat de ses yeux. Avant de reprendre le cours de mon récit, je ne résiste ni à l'idée, ni à l'envie de l'embrasser, ma jolie rousse.
Elle est si belle. Elle a définitivement décidé de laisser lâchés ses longs cheveux roux. Elle qui était attachée à son fameux chignon d'où s'échappaient quelques mèches rebelles, avant de me rencontrer... Ça lui va particulièrement bien, les cheveux libres comme l'air. De toute façon, il y a tant de choses qui lui vont bien, à ma chère lectrice rousse aux petits seins. Elle n'a pas que des qualités, bien sûr. Et elle n'est pas parfaite, ça va de soi. Mais voilà. Je l'aime. Tout simplement.
- Quelque chose qui m'a particulièrement marqué ce matin-là, ça a été quand tu as fermé les yeux puis que tu t'es caressée alors que je te racontais ce rêve érotique que j'avais fait. Ça t'a fait de l'effet, n'est-ce pas? J'ai été attendri par cette vision sensuelle que tu m'offrais. Je suis plus que jamais sous ton charme quand c'est comme ça, mon amour. Reste la femme que tu es, Candice.
Tu es enceinte, Candice. Tu portes notre enfant. Je te bouffe des yeux, ma jolie rousse. J'ai de bonnes raisons pour faire de toi un délicieux repas et ce, à chaque fois. Vois-tu... Quand ton ventre s'arrondira, quand ça se verra, je ferai des miennes et je poserai délicatement ma tête sur ton ventre. Je le ferai car je voudrai sentir notre bébé remuer. Peut-être même que je serai en mesure d'écouter son cœur battre. Qui sait...?
- Benoit... Tu sais que moi aussi, je ne rêve que de ça? Et quand je donnerai naissance à notre enfant fruit de nos amours, toi, tu nous regarderas. Tu seras attendri quand je donnerai le sein à notre bébé. Je serai une nouvelle Candice. Une Candice... différente.
- Ne m'en dis pas plus, chérie. Tout ce que tu dis là, je ne rêve que de ça, moi aussi. Je n'aurai d'yeux que pour vous deux. Ma chère lectrice rousse aux petits seins et mon enfant. Je suis le plus heureux des compagnons. Je serai le plus fier des pères. Je ferai tout pour vous protéger, tous les deux.
- Je suis bien, avec toi, Benoit. Je me sens en sécurité quand je suis en ta compagnie. Je sais que tu seras un bon père. Je sais que rien ne nous arrivera. Je sais que nous formerons une chouette famille, tous les trois. Benoit... Continue de me dire des mots d'amour, des mots qui me touchent. Dis-moi. Quel effet ça te fait quand je gigote comme ça, sur ce banc?
- Quand on se balade, quand tu te comportes comme ça, je suis plus que jamais amoureux de toi, Candice. Et tu sais quoi? Quand je te parle, tu es la femme la plus heureuse du monde. Tu sais comment je sais ça, ma belle? Soit tu as des yeux de biche, soit tes yeux sont en forme d'amande. Par contre, il y a une chose dont je suis certain, jolie rousse. Ooh... ça oui. Tes yeux... Ils pétillent tellement. Tu ne peux pas me rendre plus heureux alors, Candice. Tu es la première femme qui me fait ressentir toutes ces choses-là, à ce point. Je veux te rendre à jamais heureuse.
- Benoit... Tu sais ce qui me rendrait heureuse? Ce serait que tu continues de me la raconter, la fois. Tu veux bien faire ça pour moi, mon mystérieux?
- Pour toi, je ferai beaucoup de choses, ma jolie rousse.
Il y a un espèce d'arrêt sur image qui a lieu. J'ai immédiatement remarqué l'expression des yeux de Candice. Ma chère lectrice rousse aux petits seins me fait les yeux doux. Notre histoire d'amour s'inscrit petite touche par petite touche dans le temps. Lorsque Candice m'a écrit la première fois, jamais je n'aurais pensé que ce serait l'Éden, l'amour avec elle. En fait... C'est plus paradisiaque que l'Éden, vivre aux côtés de Candice. Je me fais le serment de rendre Candice heureuse. Et je ferai tout ce que je serai en mesure de faire pour que Candice garde le sourire aux lèvres.
- Je ne sais pas ce qu'il m'a pris, mon amour. Dès que tu es revenue dans la chambre, mon sang n'a fait qu'un tour. Tu étais là. Tu me faisais bander, Candice. Alors, ni une, ni deux, je t'ai montré dans quel état tu me mettais. Pour tout te dire... C'était tout sauf pour me déplaire. Et je sais qu'il en était de même pour toi, chérie. La preuve! Dès que tu l'as vu, mon membre, tu as eu les yeux on-ne-peut-plus étincelants. Je sais ce que ça signifie, mon amour. Toi... Ça t'excite. Et tu as une furieuse envie de moi, dès lors. Je me trompe, Candice? Hmm... Je ne crois pas. En tout cas, ce matin-là, tu as eu follement envie de moi.
- Évidemment que j'ai eu envie de toi, mon mystérieux. Tu peux me dire comment le contraire aurait pu ne serait-ce qu'envisageable? Ce n'est tout simplement pas possible. Je me sais. Et tu le sais aussi bien que moi. Je t'aime, Benoit. Et j'ai toujours autant envie de toi.
- Tu l'as pris dans ta main, mon membre. Par contre, tu ne m'as pas quitté une seule fois des yeux, Candice.
- Oui, c'était ton sexe qui allait et qui venait dans mon poing. Mais c'était bien ton visage que je regardais, mon amour. Je voulais que tes yeux me disent tout ce que j'avais envie de savoir.
- Je te comprends, mon amour. Et tu sais quoi? Je voulais te montrer à quel point j'avais dû plaisir. Je te connais bien, jolie rousse. J'ai vu le beau sourire que tu avais aux lèvres. Toi... Tu irradiais. Toi... Tu étais heureuse.
- Je ne pouvais pas être plus heureuse, mon cœur.
- Ce n'est pas possible de ne pas craquer pour toi, princesse. Je suis bien placé pour le savoir, ça. Tu fais tourner bien des têtes. Mais c'est moi, ton âme sœur.
- Si je ne faisais pas tourner toutes ces têtes, mecs ou nanas, quand on me croise dans la rue, avoue que ça n'aurait pas la même saveur, que tu sois en couple avec moi. Mais mon âme sœur, c'est toi, mystérieux. Mon cœur bat pour toi. Et là, si tu fais on-ne-peut-plus attention, tu verras que ma peau a rougi. C'est parce que je suis toute chose quand c'est comme ça. Et avoue-le, mon cœur. Avoue que c'est comme ça que je te plais. Tu es sous mon charme.
- Quand tu tournes sur toi pour que je ne perde pas une miette de toi, c'est sûr que tu me maintiens sous ton charme. Je ne peux rien faire. C'est toi, la plus belle femme du monde. C'est toi que j'aime. Et c'est toi, la femme de ma vie, Candice.
- Mon cœur... Tu ne sais pas à quel point j'ai le cœur qui bat la chamade, Benoit.
- Je le vois, que ça te remue. Tu as les yeux qui brillent. Et tu es rouge comme une tomate. C'est aussi comme ça que tu me plais, jolie rousse. Oh... oui.
Nous nous regardons.
Nous nous sourions.
Nos bouches se rapprochent.
Là.
Nous nous embrassons.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Mysterious91
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

