Chère lectrice rousse aux petits seins: essayages émoustillants

- Par l'auteur HDS Mysterious91 -
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Récit libertin : Chère lectrice rousse aux petits seins: essayages émoustillants Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-12-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Chère lectrice rousse aux petits seins: essayages émoustillants
Reprends ton souffle, mon amour. Je les vois, tes yeux, tu sais? Tu es... épuisée. En même temps... Vu l'énergie, l'ardeur que nous avons déployé dans cette cabine d'essayage exiguë...

 
- Achète-les, le porte-jarretelles, le soutien-gorge et la petite culotte en froufrous, jolie rousse.

 
Tu ne dis rien. Tu acquiesces. Pour moi, ça vaut tous les mots du monde. Tes yeux parlent pour toi, Candice. C'est toujours... tou-jours bon de te toucher, de te caresser. De t'embrasser, de te lécher. De te pénétrer, de te donner du plaisir. De te donner ces orgasmes que tu apprécies à chaque fois à leur juste valeur. Nous nous regardons, les yeux dans les yeux. Nos lèvres deviennent muettes. Nous ne faisons que nous observer. Tu veux mon avis, jolie rousse? Ça résume notre couple, ces moments-là. Nous sommes complices dans l'amour et dans le plaisir.
Tu te rapproches tout doucement de moi et tu me regardes. L'expression de tes yeux est intense. Dans le même temps, ils sont brillants, tes yeux. ET... Tu ne serais pas en train de te mordre la lèvre, toi, par hasard? Oh? Oh! Can... dice! C'est dans ces moments-là, à travers des gestes comme ça, que je perds la tête. Ni une, ni deux, tu ne perds pas de temps. Tu m'attrapes par le col de mon blouson noir en cuir. Tu m'attires contre toi. Tu sais ce que tu veux, ma jolie. Et moi, celle que je veux à mes côtés; plus que jamais, c'est toi. TOI. Ma chère lectrice rousse aux petits seins.

 
Ce n'est pas facile tous les jours, tu sais? Me réveiller seul, prendre mon petit-déjeuner sans que tu ne sois là, Candice... Sans ton premier baiser, au petit matin... Rentrer seul dans la baignoire, sans que l'on se lave et que l'on se savonne... Ne pas être aux premières loges et ne pas t'admirer alors que tu es en train de t'habiller... Tout ça, ça me manque, dès que tu repars dans ta ville, là-bas. Tu comprends alors pourquoi j'ai envie de rattraper le temps perdu quand nous nous retrouvons. Et... Mon petit doigt me dit que... c'est la même chose pour toi, jolie rousse.
C'est fou, comment je suis, comment je me sens lorsque je te retrouve, ma chérie. Je me souviens de ce que tu as dit, la fois où nous avons fait l'amour, quand je t'avais bandé les yeux, quand je t'avais... sodomisée. Toi aussi, tu apportes du sel et du poivre, du sucre et du chocolat dans ma vie, Candice.
Laisse-moi te regarder droit dans les yeux, mon amour. Laisse-moi passer l'une de mes mains dans tes beaux et longs cheveux roux, ma princesse. Oui. Tu l'es, ma princesse. Nous sommes dans ce petit magasin de lingerie de ta ville où, d'après ce que j'ai compris, tu as tes habitudes. Oui... Je me remémore notre entrée ici. Les vendeuses, la gérante...  Toutes, elles t'ont souri, dit bonjour... et fait la bise. Tu m'as guidé à l'intérieur. Tu y étais comme un poisson dans l'eau, jolie Candice.

 
Comme toujours, tu es très féminine. Glamour, je dirais même. Je sais que c'est quelque chose qui te tient à cœur et qui te caractérise, ma chérie. Lorsque nous passons du temps ensemble au téléphone, lorsque nous nous échangeons des SMS, tu veilles à rester l'émoustillante Candice que tu es et qui me plaît. Cette... sensuelle rousse aux petits seins qui m'aime et que j'aime. Mon amour... Quand nous nous sommes retrouvés tout à l'heure, ta nouvelle coupe de cheveux me sautait particulièrement aux yeux.
Ma belle... J'ai comme l'impression que tu cherches à chaque fois à être la plus coquette possible. Tes longs cheveux roux sont d'ordinaire frisés. Là, quelle a été ma surprise de te voir, avec ce chignon qui faisait que tu étais particulièrement élégante. Quelques mèches s'échappaient de ce chignon, mais j'aimais l'effet que ça faisait, l'allure que ça te donnait. Que dire de l'éclat de tes yeux...? Que dire de la brillance et du rose de tes lèvres...? Sais-tu que j'aime quand tu te rapproches de moi, quand tu me tends le bout de tes lèvres? Tu me rends fou, Candice.
Quand nous avons échangé le premier baiser de nos retrouvailles, mon odorat a capté instantanément une senteur délicate mais agréable émanant de ton corps. J'ai plongé ma tête dans ton cou et j'ai humé ce parfum.

 
- Benoit... Ça me fait tellement plaisir que tu prennes le temps comme ça de me sentir, de me respirer. J'en... mouille ma petite culotte... en froufrous, déjà. Continue de t'imprégner de moi, comme ça, mon... Mysterious.

 
Je sais que tu aimes te faire toute jolie. Et quand tu te dévoiles, quand tu te mets à nu, quand tu t'exhibes, là, à mon nez et à ma barbe, tu sais que tu vas faire mouche. Tu le sais et surtout... surtout... Tu en joues. Tu n'as aucun doute là-dessus.

 
- Benoit... J'ai besoin, j'aime... me renouveler. Ma lingerie, mes parures... Tu n'y résistes pas. Non. Ne dis rien. Je le vois, je le... sais, tu... sais? J'aime... t'émoustiller, Benoit.
- Ce que t'es sensuelle, Candice.
- Sen... su... elle. J'aime ce mot. Be... noit.
- Can... dice.

 
Nous nous regardons. Nous ne nous lâchons pas des yeux. Toi comme moi, nous savons ce que nous voulons. Oui... Nous avons envie l'un de l'autre.

 
- Mon Chanel numéro 9... Mes bas... Mes... sous-vêtements... Le... soutien-gorge qui... emprisonne malheureusement mes... petits seins... Mais j'aime... te plaire. T'émoustiller comme ça. T'exciter, mon mystérieux. Ne me... résiste pas. Tu... m'entends? 

 
Je ne t'ai pas répondu. J'ai juste acquiescé. Je ne savais que trop bien où tu voulais en venir, ma petite rousse. Tes yeux... faussement suppliants... Ils ont fait la différence.
Candice... Can... dice! Tu n'as de cesse d'user... et d'abuser de ta sensualité. Car dès que tes yeux sont dans les miens, tu ne peux pas t'en empêcher. Tu le fais, sans vergogne. Comme je te comprends, belle rousse. Reste la femme que tu es. Ne varie pas d'un iota. Mets-moi, remets-moi en question, bouge-moi. C'est comme ça que tu me plais. La dernière fois, ta tête sur ma poitrine, tu étais haletante. Ne me... mens pas, Candice. Ton coeur a battu fort contre ma poitrine, elle aussi au bord du court-circuit. Et quand je plonge mes yeux dans les tiens, jolie rousse...

 
- Benoit... Oublie tout. Appartiens-moi... Sois... à... MOI!

 
Je te regarde, ma belle. Ce que tu me dis, tu n'as pas besoin de me le marteler. Ou bien, peut-être...

 
J'étais attentif au moindre de tes faits et gestes, tu sais, chérie? Pas possible, juste... pas possible que je détache mes yeux de toi. Tu étais concentrée et je te voyais loucher sur cette lingerie en tous genre, diverse et variée. Je ne sais que trop bien que c'est quelque chose qui te passionne et qui te fascine. Tu aimes en porter. Je le sais. Tu te sens sexy. Et c'est un dénominateur commun, à chacune de nos retrouvailles. Continue ainsi, alors, Candice. Ça me plaît. Ça me plaît... beaucoup.

 
On se prenait par la main, dans le magasin. Nous ne pouvions pas nous empêcher de nous adresser des sourires. Et je ne parle même pas du fait que l'on s'embrassait comme bon nous semblait. J'avais beau n’être concentré que sur toi, mon amour... Je ne savais que trop bien que l'on se donnait en spectacle et que le personnel  était aux premières loges.
Mais, il fallait nous comprendre, Candice. On respirait, on transpirait l'amour et la sensualité. Je suis honoré de t'avoir pour compagne, rien que pour moi. Et ça, je tiens à ce que tu le vois, à ce que tu le saches. Je veux que le monde entier, aussi, le sache. Oui.
Et surtout... surtout... Je veux que tout le monde sache, que TU saches que je ne te résiste pas. Je suis TON homme, je t'appartiens. J'aime te voir comme ça: sereine et souriante. Espiègle et sensuelle. Pleine de joie de vivre et remplie d'amour. Ça fait partie de ces choses dont je jouis et dont je raffole chez toi, Candice. Et ces moments que l'on vit, je les garde bien au chaud, je les grave dans ma mémoire. Parce que quand nous nous quittons à la fin de ces parenthèses dorées pour reprendre le cours de nos vies respectives, ce sont des choses que tu me laisses, ma chérie. Et je les savoure à leur juste valeur, jusqu'à la fois suivante où nous nous retrouvons et où nous rattrapons le temps perdu.
J'ai toujours apprécié que mes partenaires se fassent coquettes. Mais j'avoue que je n'en avais pas rencontré, des nanas comme toi. Il n'y a pas deux Candice sur Terre. Il n'y a que toi, ma belle. Je t'aime. Et quand je t'ai vu déambuler dans les rayons, je ne t'ai plus quitté des yeux. Tu lorgnais sur les parures de lingerie émoustillantes. Elles te faisaient de l'œil, Candice. Ça, je le voyais à ta manière de les examiner avec attention, de les toucher. Et puis tu t'es tournée vers moi. Tu avais les yeux dilatés et particulièrement brillants. Et bien évidemment, tu avais le sourire aux lèvres.

 
- Mon amour... Mon Benoit... Me verrais-tu avec ces lingeries?

 
Ces mots, tu les a susurrés, jolie rousse. Tu ne sais que trop bien que tu me fais perdre la raison quand tu me parles de cette manière. Dès lors, tu en joues, et... pas qu'un peu. Que dire, alors, de ton sourire radieux... Tu me fais fondre quand tu te comportes comme ça, ma belle. S'il te plaît. Reste telle quelle. Tu me plais comme ça.

 
- Benoit... Mon Benoit... J'aimerais que tu m'aides. C'est pour toi, après tout, que je suis là.  Je veux continuer de te plaire. J'ai envie de te rendre fou, encore et encore.

 
Tu me rendais fou de toi, ma jolie. J'étais déjà un homme perdu, si tu savais.
Je te regardais, amusé. Mais dans le même temps, je les imaginais sur toi, ces lingeries émoustillantes. Et je t'imaginais avec, ma douce Candice, lorsque l'on ferait l'amour. J'ai pris un coup de chaud, d'un coup. J'ai commencé à me sentir tout dur et à l'étroit dans mon boxer, aussi.

 
C'est fou à quel point tu me donnes envie de toi, Candice? Quand je te vois porter ces parures, quand je te vois... les défaire... Tu me séduis.
Oui. Tu me mènes en dehors du droit chemin, quand tu commences à jouer comme ça avec moi, Candice. Je t'ai suivie dans cette cabine. Il ne pouvait pas en être autrement. Et tu sais quoi, ma jolie rousse? Te voir, telle que tu l'étais... Je l'étais, émoustillé. C'était sûr, ça.
Mon amour... SI tu te pares de lingerie... Si tu me parles avec ce grain de voix caressant dont tu as le secret... Je veux me mettre à genoux, à tes pieds avec grand plaisir. Et tout à l'heure, ça a été... précisément ce qu'il s'est passé. Je suis entré dans cette cabine, à tes côtés et je t'ai vue. Je t'ai vue essayer ces soutiens-gorges, ces petites culottes, ces bas... et ce porte-jarretelles. Tu es exhibitionniste, Candice. Je le sais depuis notre première rencontre. Tu sembles avoir de moins en moins de secrets à me cacher.

 
Que tu es belle... Que tu es coquette, Candice... Et tu sais rester l'émoustillante jeune femme dont je suis tombé amoureux. Ce que nous venons de vivre, dans cette cabine d'essayage... En public... C'était pour ma part l'un de mes fantasmes. Mais, je ne pensais pas le réaliser un jour. A tes côtés, je réalise... que je me découvre. Je ne suis plus le même Benoit.

 
Tu as finalement choisi un soutien-gorge rouge, bien évidemment en dentelle. Pour accompagner ce haut de lingerie, tu as jeté ton dévolu sur la petite culotte assortie. Pour accompagner et compléter cette émoustillante parure, tu n'as pas mis longtemps pour faire main basse... et pour opter pour des bas autofixants ainsi que pour un porte-jarretelles. Comme une seule et même personne, nous avons pris le chemin des cabines d'essayage. Tu savais que je suis fan de tes formes et de tes courbes, Candice. Je l'ai donc fait exprès, de marcher derrière toi. Tu me connaissais à force, jolie rousse. Tu savais pourquoi je me comportais comme ça.
Tu as saisi la balle au bond, ma chérie. Tu as dandiné des fesses. Elles se mouvaient délicieusement, là, juste sous mon nez. Tu le faisais exprès, je le savais. Je n'étais pas idiot, tu sais? Je n'étais pas dupe. J'étais tout sauf ça. En tout cas, nos attitudes respectives, ça voulait dire ce que ça voulait dire. Mon amour... Mon unique amour... Cette sensualité que l'on aiguise depuis le début de notre relation, elle était on-ne-peut-plus palpable, à l'intérieur de ce magasin de lingerie. Notre alchimie sensuelle... et sexuelle était flagrante. A... mon avis...  Ce n'est pas dû au hasard que tu m'aies emmené ICI. Non... Tu ne savais que trop bien que tu voulais te montrer avec moi, TA conquête. Je ne suis rien qu'à toi. Je suis tout à toi, ma belle. Quand au fait que nous nous sommes comportés comme ça, devant ces femmes, ce n'était pas nous exhiber. Disons les choses telles qu'elles sont. Mais... Ce n'était que le début, une mise en bouche. Nous n'étions pas au bout de nos surprises...

 
Dans la cabine, tu as commencé par te déshabiller et ce, sous mes yeux. Tu me connaissais, à force. Tu savais que je suis un jouisseur, un hédoniste. Que j'aimais profiter des petits plaisirs de la vie et les savourer. Je t'ai révélé une autre facette de moi, Candice.
Oui. J'aime être voyeur. Surtout quand j'assiste à un spectacle de premier choix comme celui que tu m'as offert tout à l'heure, ma petite rousse. Et d'après ce que j'ai pu voir, ça t'a tout sauf dérangée. Tu aimais ça... Tu le faisais exprès, de t'exposer, de t'exhiber. Ça a été là, précisément, que ça a dérapé dans cette cabine.

 
Tu étais entièrement nue. Moi c'était tout l'inverse. Soit. Mais dans cette boutique de lingerie, à l'intérieur de cette cabine, c'était de toi dont il était question, ma jolie lectrice aux petits seins. Et telle que tu t'affichais, j'avais plus que tout, plus que jamais envie de toi. Ça, tu l'as tout de suite compris. Tu as écarté les jambes. Mes yeux ont été hypnotisés parce qu'ils voyaient. Ta belle petite chatte restée flamme, depuis... C'était une invitation. J'ai alors enfoui mon visage entre tes jambes, Candice...

 
Tu n'as pas boudé ton plaisir, ma belle. C'était trop... bon, ce plaisir qui se diffusait dans ton corps. Et tu sais comment je l'ai su, ça? Je t'entendais. Et tu avais tes mains enfoncées dans mes cheveux, Candice.
Tu me guidais ainsi, mon émoustillante rousse. Et tu étais toute sauf passive. Être passive et soumise, c'est tout le contraire de toi, Candice. Ça, tu me l'as montré et pas qu'un peu, la dernière fois. Depuis justement cette dernière fois, je suis limite obsédé par cette autre facette de toi que tu m'as fait découvrir. Quand je te dis que l'on continue d'aiguiser notre sensualité, à chaque fois...  C'est quelque chose qui me plaît et que j'aime tout particulièrement chez toi.
Là, tu me fourrageais les cheveux avec tes deux mains et c'était ainsi que tu maintenais ton emprise sur moi. Tu m'as écrit entre temps que tu ne voyais pas d'inconvénient à prendre le dessus sur moi pendant l'amour, rappelle-toi...
Tu t'abandonnais, dans le même temps, à mes caresses. Tu ne maîtrisais plus du tout les sons qui jaillissaient de ta gorge, mon amour. Ton corps se mouvait sous l'effet de mes succions et de mes coups de langue. Je me délectais, pour ma part, du sel de ta mouille ainsi que du tout fin duvet de ton pubis, Candice. J'étais préposé, dévoué à ton plaisir. Et je ne savais que trop bien que tu adores les cunnis. Je ne pensais à rien. Ou plutôt, si. Je pensais à ton plaisir et à cette sensation de plénitude qui prenait possession de toi, petit à petit. C'était ce que je me disais, en t'écoutant prendre ton pied, Candice.
Ma belle... J'adore quand tu dis oui au plaisir. Tu sais ce que tu veux. Et tout à l'heure, tu savais ce que tu voulais. Tu voulais... jouir. JOUIR. Tu m'as empoigné les cheveux. Ainsi donc, ça t'a plu, de prendre le dessus sur moi, la dernière fois? Intéressant, intéressant... Je t'ai laissé me guider, Candice. Oui... J'aimais ça...

 
Tu es belle quand tu jouis, jolie rousse. Une fois n'a pas été coutume: tu l'as été, belle. Qu'est-ce que j'aime quand tu exprimes tes orgasmes, Candice.
Quand je te dis que tu es une sauvageonne dès qu'il est question d'érotisme et de sensualité, de sexe. Tu es une hédoniste, une jouisseuse, ma chérie. Je suis plus que jamais en phase avec toi. Plus particulièrement dans ce genre de moments que l'on partage. Insatiable, tu as fini par jouir sur ma bouche. Qu'est-ce que tu es belle quand tu jouis, Candice...

 
Candice... Si tu savais... Je suis toujours aussi friand de tes lèvres qui entourent mon gland dans un premier temps, puis mon sexe tout entier ou presque dans un second temps. À présent que le calme revient après la tempête... après l'amour... je me rappelle de cette pipe que tu m'as fait. J'étais prisonnier de tes lèvres et tu me prenais. Le plaisir que tu m'as donné m'a vaincu et ça a fait que je t'appartenais, mon amour. Tu étais concentrée, appliquée dans tes caresses. C'était... bon. Qu'est-ce que c'était... bon. Tu avais beau me prendre... J'étais corps et âme avec toi.
Tu as cessé de me sucer. Tu t'es relevée et tu as fait semblant de me faire la moue avant de me rouler une pelle qui m'a mis les esprits sans dessus dessous. Qu'est-ce que j'aime... Non! Qu'est-ce que j'adore goûter le désir que tu as sur tes lèvres, ma jolie Candice rousse... Et quand je t'ai vu me faire la moue... Quand je t'ai senti me galocher goulûment... Quand je t'ai vu te retourner et me tourner le dos, mon sang n'a fait qu'un tour, ma belle. Tu t'es cambrée et tu as posé tes mains sur le mur de la cabine, côté miroir, pour y prendre appui. La position et l'invitation étaient on-ne-peut-plus claires sur tes intentions... 
Je t'ai demandé de te bâillonner la bouche car je ne savais que trop bien que tu ne fais JA-MAIS l'amour en silence. Tu as opté pour la petite culotte en froufrous que tu portais jusqu'à présent. J'ai posé mes deux mains sur tes fesses et je t'ai étreint ainsi.
Toi, tu as porté l'une de tes mains sur mon pénis et tu m'as introduit dans ton vagin, Candice...
Une fois encore, une fois n'a pas été coutume, tu as été délicieusement mouillée. Pour ma part, j'étais on-ne-peut-plus dur et j'ai a-do-ré aller et venir à l'intérieur de toi, Candice. Dans le feu de l'action, tellement j'avais envie de toi, j'en ai oublié de mettre un préservatif. Mais tu prends la pilule et je me fais tester régulièrement. Nous étions tous les deux clean, jolie rousse. 
Toi et moi, on est très excités. Trop. Le côté exhibition inédit y a été plus que probablement pour quelque chose et ça explique ce qu'il s'est passé...
Au comble du plaisir, j'ai senti les muscles de ton vagin se contracter et tu as eu un nouvel orgasme. Heureusement que ton bâillon a étouffé tes cris de jouissance, si je puis dire, Candice. Les muscles de ton vagin enserraient agréablement mon sexe et c'est tout chaud, tout doux, en toi. Je me suis laissé aller à fermer les yeux tant les sensations étaient intenses et renversantes. Au paroxysme du plaisir, je me suis laissé éjaculer à l'intérieur de toi, Candice. 

 
Je t'aime et j'ai toujours envie de toi, ma chère lectrice rousse aux petits seins.

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