Chère lectrice rousse aux petits seins : POV Candice (4ème partie)
Récit érotique écrit par Mysterious91 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Chère lectrice rousse aux petits seins : POV Candice (4ème partie)
Je m'abandonne. Ça s'appelle l'amour. C'est la passion qui m'habite. Je ne me pose aucune question. Je compte rattraper le temps perdu lorsque Benoit me manque. C'est aussi simple que ça et je ne calcule rien. Être avec l'homme dont je suis amoureuse, ça me rend heureuse. Me comporter comme je le fais, ça va de soi. Oui. Je suis Candice et je suis fière de l'être.
Je ne me suis jamais sentie aussi sensuelle. C'est normal après tout. J'aime être la femme que je suis au contact de Benoit. Sourire, me dorloter. Surenchérir, minauder. Quand l'hymne de notre amour résonne, 'Dopamine' de Purple Disco Machine, je ne réponds plus de rien. Mon cœur bat la chamade. Je réponds à l'appel. Je prends la pose, je suis une femme heureuse. J'ai le sourire aux lèvres, je suis amoureuse. Je dis oui au plaisir, je dis oui à la vie. Ce matin, je n'ai pas envie de croissants. Ce matin, ce sont des caresses, des égards et des baisers dont j'ai envie. Ah... Les coups de langue de Benoit, ses coups de queue... Oui. Je ne réponds plus de rien. Je suis insatiable. Quand Benoit me parle, plus rien n'a d'importance. Quand Benoit me touche, je ne suis plus du tout la même Candice.
Dans le feu de l'action, on est capable de faire n'importe quoi. N'est-ce pas ce qu'on dit ? Dans mon cas, c'est l'amour qui m'inspire. Et c'est la passion qui m'habite. Là. C'est dit. J'ai envie de faire l'amour avec Benoit. Tout simplement. Je veux sentir son sexe pénétrer le mien. Je veux le sentir coulisser à l'intérieur. J'ai envie de regarder Benoit dans les yeux. J'ai envie de lui parler. Ah ce que l'on fait quand on aime quelqu'un... Ça s'appelle l'amour. C'est aussi simple que ça. J'ai le cœur qui fait boum boum boum dans ma poitrine. Je l'écoute, mon cœur. Je suis fofolle, ce matin. Je suis un feu follet, je suis heureuse. La perspective de faire l'amour avec l'homme que j'aime me comble de joie. La perspective de prendre du plaisir avec cet homme qui est allongé sur le dos m'excite. Je me retiens. Je me demande encore comment je fais.
Je vais rester à califourchon sur Benoit. C'est comme ça que j'ai envie de faire l'amour. Ne m'a t-il pas demandée si j'aimais prendre le dessus sur un homme, pendant l'amour ? Ne m'a t-il pas avouée qu'il aime être allongé sur le dos afin de pouvoir admirer une femme sous toutes ses coutures, lorsqu'elle est sur lui ? Ça me plaît de prendre les rênes. Et j'adore que Benoit me regarde. Je veux être belle aux yeux de Benoit. Qu'il me dise qu'il a envie de moi. Je me sens sexy. Que Benoit me fasse l'amour...
Sans même me toucher, je sais que je suis on-ne-peut-plus mouillée. Si je suis dans cet état, je le dois à Benoit. Quand il me parle du désir qu'il ressent pour moi, je ne réponds plus de rien. Quand nous sommes les yeux dans les yeux et quand il me sourit, les dégâts sont perpétrés. C'est alors que j'ai envie de lui. Je sais que c'est proportionnel à son envie de moi. Ce matin, j'ai particulièrement faim. Mais non, je ne veux ni café ni viennoiseries. J'ai envie de sexe. Je ressens le besoin d'avoir Benoit en moi. Ma belle 'petite' chatte toute humide, mon mystérieux n'aura aucune difficulté pour la pénétrer. Mieux ! Je sais déjà que mon vagin accueillera son pénis de la plus délicieuse des manières. Je sais déjà que Benoit sera on-ne-peut-mieux à l'intérieur de moi. Je brûle d'envie de prendre l'homme que j'aime entre quatre yeux au moment où je m'empalerai sur sa queue. Je meurs d'envie de sentir à quel point c'est bon de faire l'amour.
À califourchon sur Benoit, je ne peux pas être mieux. Je ne peux pas me sentir plus sexy qu'à l'instant-t. J'aime que mon chéri me dévore du regard. C'est moi, alors, la plus belle femme au monde, la femme la plus désirée sur Terre. Je n'ai pas envie qu'il me résiste, Benoit. J'use et j'abuse de mes charmes. Je souris, je minaude. Je gigote, je me trémousse. J'ai chaud, je suis chaude. Je me cambre de telle sorte que mes petits seins soient mis en valeur. Je tiens à ce qu'ils soient dans la ligne de mire de Benoit. Je sais qu'il les aime. Je pose mes deux mains sur son torse. Là. Je lui montre qu'ainsi, il m'appartient.
Poser mes deux mains sur les pectoraux de Benoit, me cambrer de telle sorte que ma petite poitrine soit pile dans l'axe du regard de mon chéri... Me dandiner pour continuer de donner à Benoit l'envie de me faire l'amour, faire en sorte que mon sexe se frotte au sien... Mon... dieu ! Que j'aime sentir que nos deux sexes coulisse ensemble.
C'est moi qui mène la danse, ce matin. Benoit me laisse faire. Quelque chose me dit que ce n'est pas pour lui déplaire. Quelque chose me dit d'autant plus qu'il ne boude pas son plaisir à me voir me comporter comme je le fais. Benoit est allongé sur le dos et il ne peut que me laisser prendre le dessus sur lui. Je me fais le serment de rendre son réveil... et ce matin inoubliables. Exalter ma sensualité comme je le fais, c'est quelque chose de naturel. Faire la belle pour que mon homme continue de n'avoir d'yeux que pour moi, c'est quelque chose qui me plaît. J'aime être et rester la chère lectrice rousse aux petits seins de Benoit.
C'est moi ou il fait chaud dans la chambre ? En ce qui me concerne, j'ai chaud. Et... Je me sens chaude. C'est tout sauf pour le déplaire, ce contexte.
Les premiers rayons du soleil dardent, percent à travers les stores des fenêtres de notre chambre. À mes yeux, il n'y a pas mieux pour bien commencer la journée. Bon d'accord : la perfection n'existe pas. Mais c'est fort, ce que nous sommes en train de partager, comme moment. C'est riche en émotions. J'aime Benoit. Et ce genre de moment passé à deux lorsque nous sommes ensemble, ça me rend feu follet. Rien ne peut souiller la beauté ainsi que la volupté de ces instants privilégiés, intimes. C'est une bulle familière de bien-être et de sérénité dès lors que nos âmes se lient et se retrouvent. Voir Benoit me bouffer des yeux comme ça dès le matin, c'est un plaisir incomparable. Ça n'a pas de prix. Ses yeux... J'y lis l'amour qu'il a pour moi. J'y devine qu'il me désire. Ils ne peuvent pas mentir, ses yeux. Dès lors, moi aussi, je m'adonne volontiers à ce jeu et je dévore Benoit du regard. Je le fais allègrement. C'est lui, l'homme que j'aime et que je désire. Aaah... Qu'est-ce que j'aime ça. Je n'en fais qu'à ma tête. Dans le même temps, c'est une envie de twirker sur Benoit qui me prend. Je veux qu'il m'observe faire.
Benoit repose ses mains sur moi. J'aime ça. Mais qu'est-ce que j'aime ça. Ça fait de moi la femme que Benoit aime, respecte. Je suis la femme qu'il vénère et qu'il désire. Quand c'est comme ça, ça me donne l'envie de m'offrir tout entière à lui. Je l'aime. C'est aussi simple que ça. C'est une ambiance voluptueuse qui règne dans la chambre. Il fait chaud. Et plus nous nous câlinons, plus nos corps sont en sueur. Nous prenons notre temps et nous nous prélassons au lit. Rien ne presse car rien n'a d'importance. La seule chose qui compte, c'est le plaisir à passer ces moments ensemble. Je brûle d'envie de faire l'amour avec Benoit, ce matin.
Mon sexe est humide. Je le fais coulisser sur le sexe en érection de Benoit. J'aime jouer à ce jeu-là qui est d'entretenir cette belle érection de telle sorte qu'elle reste comme telle. De la même manière, en prenant Benoit entre quatre yeux, je joue avec son désir. Ce n'est pas pour me déplaire et ainsi, je peux déterminer s'il est tout cuit, tout rôti. Au moment propice, son sexe pénétrera le mien. Mais comme je sais qu'il adore les préliminaires et qu'il en raffole autant que moi...
Je suis moite de la tête aux pieds. Le sport en chambre, ça fait transpirer. Et quand votre binôme de plaisir vous rend toute chose, cette personne vous fait mouiller. Je sais que la mignonne rousse luisante de sueur que je suis plaît à Benoit. Combien de fois m'a t-il dit que ça me donne un côté sauvage m'allait bien et qu'il trouve que chez moi, c'est joli ? Chez moi, ça rentre par une oreille mais ça ne sort surtout pas par l'autre, ces paroles.
Ce matin, malgré la nuit d'amour qu'on a passé, Benoit et moi, je ne suis pas rassasiée. Et lorsque Benoit me bouffe des yeux comme il le fait là, ça n'arrange rien à l'affaire. Je ne peux pas me défaire de cette envie irrépressible de faire l'amour. C'est plus fort que moi. Ne dit-on pas que ça fait partie des petits plaisirs de la vie ? J'aime les plaisirs. J'aime le plaisir. Benoit est sur la même longueur d'onde...
Je me sens feu follette. Je suis en train de m'en donner à coeur joie. J'ai le temps cœur qui bat la chamade. J'ai le vent en poupe. Ce sont des sensations que j'aime ressentir. J'aime la sensualité et l'érotisme. Je raffole des préliminaires. Ça m'ouvre l'appétit. C'est l'entrée qui exacerbe les sens et qui titille les papilles. Le plat de résistance ? C'est lorsque Benoit me pénètre et qu'il me fait l'amour. Je ne contrôle plus les mouvements de mon corps. Des vagues de plaisir se succèdent en moi alors que mon sexe mouillé coulisse sur celui en érection de Benoit. Benoit n'aura aucune difficulté lorsqu'il sera en moi. Mon souffle est court. Mon cœur palpite si vite. Je prends du plaisir.
C'est toute une atmosphère qui se crée, ce matin. Je me sens si bien. Je ne pense pas à mon travail, aux tâches quotidiennes ou aux factures. C'est un moment privilégié que je vis avec Benoit, un peu comme si le temps s'est arrêté. Seuls notre amour et notre intimité comptent. Benoit me témoigne qu'il m'aime lorsqu'il me regarde et qu'il me touche. Benoit a envie de moi quand il est en érection, quand son sexe va et vient à l'intérieur du mien. Notre amour, c'est un mélange de lui et de moi. Notre plaisir, c'est un cocktail de nos fluides sécrétés. C'est si... bon de sentir que mon vagin a éclos pour qu'il accueille le pénis de Benoit. Ce n'est plus un secret pour lui que j'aime le sexe. J'apprécie ça tout particulièrement lorsque c'est sensuel et langoureux. Je chevauche Benoit. Je le fais comme je l'entends. C'est comme ça. Cependant... Je ne tiens plus en place. J'ai envie...
Je ne me suis jamais sentie aussi sensuelle. C'est normal après tout. J'aime être la femme que je suis au contact de Benoit. Sourire, me dorloter. Surenchérir, minauder. Quand l'hymne de notre amour résonne, 'Dopamine' de Purple Disco Machine, je ne réponds plus de rien. Mon cœur bat la chamade. Je réponds à l'appel. Je prends la pose, je suis une femme heureuse. J'ai le sourire aux lèvres, je suis amoureuse. Je dis oui au plaisir, je dis oui à la vie. Ce matin, je n'ai pas envie de croissants. Ce matin, ce sont des caresses, des égards et des baisers dont j'ai envie. Ah... Les coups de langue de Benoit, ses coups de queue... Oui. Je ne réponds plus de rien. Je suis insatiable. Quand Benoit me parle, plus rien n'a d'importance. Quand Benoit me touche, je ne suis plus du tout la même Candice.
Dans le feu de l'action, on est capable de faire n'importe quoi. N'est-ce pas ce qu'on dit ? Dans mon cas, c'est l'amour qui m'inspire. Et c'est la passion qui m'habite. Là. C'est dit. J'ai envie de faire l'amour avec Benoit. Tout simplement. Je veux sentir son sexe pénétrer le mien. Je veux le sentir coulisser à l'intérieur. J'ai envie de regarder Benoit dans les yeux. J'ai envie de lui parler. Ah ce que l'on fait quand on aime quelqu'un... Ça s'appelle l'amour. C'est aussi simple que ça. J'ai le cœur qui fait boum boum boum dans ma poitrine. Je l'écoute, mon cœur. Je suis fofolle, ce matin. Je suis un feu follet, je suis heureuse. La perspective de faire l'amour avec l'homme que j'aime me comble de joie. La perspective de prendre du plaisir avec cet homme qui est allongé sur le dos m'excite. Je me retiens. Je me demande encore comment je fais.
Je vais rester à califourchon sur Benoit. C'est comme ça que j'ai envie de faire l'amour. Ne m'a t-il pas demandée si j'aimais prendre le dessus sur un homme, pendant l'amour ? Ne m'a t-il pas avouée qu'il aime être allongé sur le dos afin de pouvoir admirer une femme sous toutes ses coutures, lorsqu'elle est sur lui ? Ça me plaît de prendre les rênes. Et j'adore que Benoit me regarde. Je veux être belle aux yeux de Benoit. Qu'il me dise qu'il a envie de moi. Je me sens sexy. Que Benoit me fasse l'amour...
Sans même me toucher, je sais que je suis on-ne-peut-plus mouillée. Si je suis dans cet état, je le dois à Benoit. Quand il me parle du désir qu'il ressent pour moi, je ne réponds plus de rien. Quand nous sommes les yeux dans les yeux et quand il me sourit, les dégâts sont perpétrés. C'est alors que j'ai envie de lui. Je sais que c'est proportionnel à son envie de moi. Ce matin, j'ai particulièrement faim. Mais non, je ne veux ni café ni viennoiseries. J'ai envie de sexe. Je ressens le besoin d'avoir Benoit en moi. Ma belle 'petite' chatte toute humide, mon mystérieux n'aura aucune difficulté pour la pénétrer. Mieux ! Je sais déjà que mon vagin accueillera son pénis de la plus délicieuse des manières. Je sais déjà que Benoit sera on-ne-peut-mieux à l'intérieur de moi. Je brûle d'envie de prendre l'homme que j'aime entre quatre yeux au moment où je m'empalerai sur sa queue. Je meurs d'envie de sentir à quel point c'est bon de faire l'amour.
À califourchon sur Benoit, je ne peux pas être mieux. Je ne peux pas me sentir plus sexy qu'à l'instant-t. J'aime que mon chéri me dévore du regard. C'est moi, alors, la plus belle femme au monde, la femme la plus désirée sur Terre. Je n'ai pas envie qu'il me résiste, Benoit. J'use et j'abuse de mes charmes. Je souris, je minaude. Je gigote, je me trémousse. J'ai chaud, je suis chaude. Je me cambre de telle sorte que mes petits seins soient mis en valeur. Je tiens à ce qu'ils soient dans la ligne de mire de Benoit. Je sais qu'il les aime. Je pose mes deux mains sur son torse. Là. Je lui montre qu'ainsi, il m'appartient.
Poser mes deux mains sur les pectoraux de Benoit, me cambrer de telle sorte que ma petite poitrine soit pile dans l'axe du regard de mon chéri... Me dandiner pour continuer de donner à Benoit l'envie de me faire l'amour, faire en sorte que mon sexe se frotte au sien... Mon... dieu ! Que j'aime sentir que nos deux sexes coulisse ensemble.
C'est moi qui mène la danse, ce matin. Benoit me laisse faire. Quelque chose me dit que ce n'est pas pour lui déplaire. Quelque chose me dit d'autant plus qu'il ne boude pas son plaisir à me voir me comporter comme je le fais. Benoit est allongé sur le dos et il ne peut que me laisser prendre le dessus sur lui. Je me fais le serment de rendre son réveil... et ce matin inoubliables. Exalter ma sensualité comme je le fais, c'est quelque chose de naturel. Faire la belle pour que mon homme continue de n'avoir d'yeux que pour moi, c'est quelque chose qui me plaît. J'aime être et rester la chère lectrice rousse aux petits seins de Benoit.
C'est moi ou il fait chaud dans la chambre ? En ce qui me concerne, j'ai chaud. Et... Je me sens chaude. C'est tout sauf pour le déplaire, ce contexte.
Les premiers rayons du soleil dardent, percent à travers les stores des fenêtres de notre chambre. À mes yeux, il n'y a pas mieux pour bien commencer la journée. Bon d'accord : la perfection n'existe pas. Mais c'est fort, ce que nous sommes en train de partager, comme moment. C'est riche en émotions. J'aime Benoit. Et ce genre de moment passé à deux lorsque nous sommes ensemble, ça me rend feu follet. Rien ne peut souiller la beauté ainsi que la volupté de ces instants privilégiés, intimes. C'est une bulle familière de bien-être et de sérénité dès lors que nos âmes se lient et se retrouvent. Voir Benoit me bouffer des yeux comme ça dès le matin, c'est un plaisir incomparable. Ça n'a pas de prix. Ses yeux... J'y lis l'amour qu'il a pour moi. J'y devine qu'il me désire. Ils ne peuvent pas mentir, ses yeux. Dès lors, moi aussi, je m'adonne volontiers à ce jeu et je dévore Benoit du regard. Je le fais allègrement. C'est lui, l'homme que j'aime et que je désire. Aaah... Qu'est-ce que j'aime ça. Je n'en fais qu'à ma tête. Dans le même temps, c'est une envie de twirker sur Benoit qui me prend. Je veux qu'il m'observe faire.
Benoit repose ses mains sur moi. J'aime ça. Mais qu'est-ce que j'aime ça. Ça fait de moi la femme que Benoit aime, respecte. Je suis la femme qu'il vénère et qu'il désire. Quand c'est comme ça, ça me donne l'envie de m'offrir tout entière à lui. Je l'aime. C'est aussi simple que ça. C'est une ambiance voluptueuse qui règne dans la chambre. Il fait chaud. Et plus nous nous câlinons, plus nos corps sont en sueur. Nous prenons notre temps et nous nous prélassons au lit. Rien ne presse car rien n'a d'importance. La seule chose qui compte, c'est le plaisir à passer ces moments ensemble. Je brûle d'envie de faire l'amour avec Benoit, ce matin.
Mon sexe est humide. Je le fais coulisser sur le sexe en érection de Benoit. J'aime jouer à ce jeu-là qui est d'entretenir cette belle érection de telle sorte qu'elle reste comme telle. De la même manière, en prenant Benoit entre quatre yeux, je joue avec son désir. Ce n'est pas pour me déplaire et ainsi, je peux déterminer s'il est tout cuit, tout rôti. Au moment propice, son sexe pénétrera le mien. Mais comme je sais qu'il adore les préliminaires et qu'il en raffole autant que moi...
Je suis moite de la tête aux pieds. Le sport en chambre, ça fait transpirer. Et quand votre binôme de plaisir vous rend toute chose, cette personne vous fait mouiller. Je sais que la mignonne rousse luisante de sueur que je suis plaît à Benoit. Combien de fois m'a t-il dit que ça me donne un côté sauvage m'allait bien et qu'il trouve que chez moi, c'est joli ? Chez moi, ça rentre par une oreille mais ça ne sort surtout pas par l'autre, ces paroles.
Ce matin, malgré la nuit d'amour qu'on a passé, Benoit et moi, je ne suis pas rassasiée. Et lorsque Benoit me bouffe des yeux comme il le fait là, ça n'arrange rien à l'affaire. Je ne peux pas me défaire de cette envie irrépressible de faire l'amour. C'est plus fort que moi. Ne dit-on pas que ça fait partie des petits plaisirs de la vie ? J'aime les plaisirs. J'aime le plaisir. Benoit est sur la même longueur d'onde...
Je me sens feu follette. Je suis en train de m'en donner à coeur joie. J'ai le temps cœur qui bat la chamade. J'ai le vent en poupe. Ce sont des sensations que j'aime ressentir. J'aime la sensualité et l'érotisme. Je raffole des préliminaires. Ça m'ouvre l'appétit. C'est l'entrée qui exacerbe les sens et qui titille les papilles. Le plat de résistance ? C'est lorsque Benoit me pénètre et qu'il me fait l'amour. Je ne contrôle plus les mouvements de mon corps. Des vagues de plaisir se succèdent en moi alors que mon sexe mouillé coulisse sur celui en érection de Benoit. Benoit n'aura aucune difficulté lorsqu'il sera en moi. Mon souffle est court. Mon cœur palpite si vite. Je prends du plaisir.
C'est toute une atmosphère qui se crée, ce matin. Je me sens si bien. Je ne pense pas à mon travail, aux tâches quotidiennes ou aux factures. C'est un moment privilégié que je vis avec Benoit, un peu comme si le temps s'est arrêté. Seuls notre amour et notre intimité comptent. Benoit me témoigne qu'il m'aime lorsqu'il me regarde et qu'il me touche. Benoit a envie de moi quand il est en érection, quand son sexe va et vient à l'intérieur du mien. Notre amour, c'est un mélange de lui et de moi. Notre plaisir, c'est un cocktail de nos fluides sécrétés. C'est si... bon de sentir que mon vagin a éclos pour qu'il accueille le pénis de Benoit. Ce n'est plus un secret pour lui que j'aime le sexe. J'apprécie ça tout particulièrement lorsque c'est sensuel et langoureux. Je chevauche Benoit. Je le fais comme je l'entends. C'est comme ça. Cependant... Je ne tiens plus en place. J'ai envie...
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ma Candice...
Si vous saviez à quel point j'aimerais être auprès de vous à l'heure qu'il est, dans un lit, nous deux confortablement installés, moi torse nu, vous accueillant dans mes bras à vous réchauffer...
Vous, sensuelle et coquine, qui caresseriez mon torse et titilleriez mes deux tétons percés.
Aussi oserais-je vous embrasser là où vous en avez envie...
Votre Benoit
Si vous saviez à quel point j'aimerais être auprès de vous à l'heure qu'il est, dans un lit, nous deux confortablement installés, moi torse nu, vous accueillant dans mes bras à vous réchauffer...
Vous, sensuelle et coquine, qui caresseriez mon torse et titilleriez mes deux tétons percés.
Aussi oserais-je vous embrasser là où vous en avez envie...
Votre Benoit
Mon Benoît, quand je vais au lit je m'imagine bien au chaud dans vos bras musclés protégeant la faible femme que je suis, bisous où vous voulez, votre Candice
Ma Candice...
Si vous saviez à quel point vous ne cessez de m'émoustiller...
Je vous désire toujours autant, ma chère lectrice rousse aux petits seins.
Tout à vous, mon aimée.
Votre Benoit
Si vous saviez à quel point vous ne cessez de m'émoustiller...
Je vous désire toujours autant, ma chère lectrice rousse aux petits seins.
Tout à vous, mon aimée.
Votre Benoit
Mon Benoît, je vais bien et j'espère qu'il en est de même pour vous, oserais je vous dire que j'ai une poitrine pigmentée de taches de rousseur et des aréoles de taille moyenne et comme beaucoup de femmes mes tétons pointent et durcissent quand je suis excitée mais ne porte ni tatouage ni piercing, toute à vous votre Candice
Chère Candice, mon amour, ma chère lectrice rousse aux petits seins...
Comment allez vous ?
Que devenez vous ?
Racontez moi.
Vous me manquez.
Lorsque j'écris, je ferme les yeux et je vous vois. Je vous imagine en petite tenue ou bien nue, m'occupant de vous. Je vous tète vos beaux petits seins.
Décrivez moi vos aréoles, ainsi que vos tétons.
Portez vous des tatouages et/ou des piercings ?
Je vous lèche votre belle 'petite' chatte, votre cul.
Tendres baisers.
Votre Benoit
Comment allez vous ?
Que devenez vous ?
Racontez moi.
Vous me manquez.
Lorsque j'écris, je ferme les yeux et je vous vois. Je vous imagine en petite tenue ou bien nue, m'occupant de vous. Je vous tète vos beaux petits seins.
Décrivez moi vos aréoles, ainsi que vos tétons.
Portez vous des tatouages et/ou des piercings ?
Je vous lèche votre belle 'petite' chatte, votre cul.
Tendres baisers.
Votre Benoit
Cher Benoît, après vous avoir lu j'ai fermé les yeux m'imaginant en petite tenue vous prodiguant tous les plaisirs qu'un homme attend de sa chérie, tendres bisous, votre Candice