Chère lectrice rousse aux petits seins : POV Candice (6ème partie) - histoire érotique

C'est l'amour qui m'inspire. C'est l'amour qui fait que je me comporte comme ça. Je ne peux pas m'en empêcher. C'est beau, l'amour. Aaah... Voilà que je me mets de nouveau à fermer les yeux. Voilà que je me remets tout autant à soupirer.



C'est romantique, ce réveil, ce matin, entre Benoit et moi. C'est peut-être fleur bleue, cul-cul la praline... C'est comme ça que je me sens le mieux, avec MON mystérieux. C'est unique. Ça n'appartient qu'à nous. Les deux mains arrimées sur le torse de mon homme, je m'en donne à coeur joie. Je suis l'Amazone sensuelle aux longs cheveux roux et aux petits seins en poires de Benoit. Je m'en donne à coeur joie. Ma petite chatte est mouillée. Je mouille pour Benoit. Je suis prêt à l'accueillir en moi. Ça va arriver. C'est tout proche. Tout proche. Je vais et je viens sur Benoit. Cowgirl, Amazone, Andromaque, j'aime ces postures. Elles font ressortir la sensualité qui coule dans mes veines.



Ah... Benoit... Mon mystérieux... Je suis installée à califourchon sur l'homme que j'aime. Mes deux mains posées sur son torse, j'ai le dessus sur lui.



Une vague de chaleur se diffuse dans mon corps. C'est une sensation agréable. J'aime ça... Mais qu'est-ce que j'aime ça. Je ne peux pas réprimer cet accès de sensualité qui fait que je me comporte comme ça. Je ne le veux pas. Je deviens une toute autre Candice, au contact de l'homme que j'ai dans la peau, ce mystérieux que j'aime. Cette Candice me plaît beaucoup. Et je sais que Benoit est fou de cette Candice que je suis, dans l'intimité de notre chambre.



Benoit n'a d'yeux que pour moi. Moi qui ai les yeux fermés, je les imagine, ses deux yeux qui sont braqués sur moi. Je suis débordante d'imagination, à vrai dire. Ça aussi, c'est quelque chose qui me plaît. J'en use... et en abuse, dès lors.



Le sexe de Benoit coulisse tout contre le mien. Pour un peu, tellement je suis humide, ce membre pourrait s'enfoncer dans le mien en un rien de temps. Je m'imagine la sensation de pénétration. Je m'imagine la sensation de va-et-vient. Je m'imagine la sensation de plaisir. Je m'imagine l'orgasme que j'aurai, comment ce sera... bon.



C'est bien beau de s'adonner à des jeux érotiques... J'ai désormais envie de jouer à d'autres jeux.


Je connais à la fois la douceur et le toucher des doigts de Benoit sur mon corps. Je connais à la fois la chaleur et le délice de la langue de Benoit sur ma porte du plaisir lorsqu'il m'offre l'un de ces cunnis dont il a le secret. Je connais à la fois la virilité et la bienveillance de sa voix lorsqu'il me parle, la tête sur l'oreiller, avant, pendant ET après que l'on ait fait l'amour. Là, ce que je veux connaître, ce sont à la fois la grosseur et la dureté de la queue de Benoit en moi. Je suis persuadée que j'accueillerai à merveille dans mon vagin le phallus de l'homme que j'aime. Mieux! Je sais que j'en aurai, du plaisir. Encore mieux encore! Je sais que je le connaîtrai, l'orgasme...



Je prends Benoit entre quatre yeux. Je lui souris. Je prononce son prénom. C'est quelque chose qui me plaît et auquel je tiens. Parce que c'est LUI, l'homme que j'aime et pas un autre. Parce que c'est LUI, l'homme avec qui je veux faire l'amour et pas un autre. C'est LUI, Benoit, l'homme avec qui j'aime faire l'amour. Nous sommes aussi coquins l'un que l'autre. Je repense alors à ce moment où j'ai lu cette nouvelle érotique sensuelle qu'il a écrite puis qu'il a publiée sur le site. Elle s'appelait 'Joy'. C'était l'histoire d'un homme qui vit un moment de plaisir par écran interposé, avec une jeune femme... rousse. J'avais beaucoup aimé le contexte érotico-sensuel ainsi que l'écriture délicate de la personne qui avait écrit le récit.



Coquine et hédoniste comme j'aime l'être, ni une ni deux, je n'ai pas pu m'empêcher d'écrire un commentaire pour exprimer à l'auteur de 'Joy' la délectation que j'ai eu à lire son histoire. Le cortex libidineux de mon cerveau m'a alors délivré un accès d'audace et ça a été ainsi que j'ai fait remarquer à l'auteur du récit que moi aussi, je suis rousse et que mes seins sont deux émoustillantes petites poires. Ça a été à partir de ce moment que mon histoire d'amour avec Benoit a commencé.


Benoit et moi, nous avons par la suite échangé par commentaires interposés. À travers mes messages, je lui ai décrit comment je suis, ce que j'aime porter comme vêtements, ce que je voudrais si Benoit était là... Ça a été ainsi que je suis devenue SA chère lectrice rousse aux petits seins. SA muse.



Jusqu'à présent, j'ai vécu et partagé beaucoup de moments émoustillants avec Benoit. À chaque fois, ça nous a permis d'être un peu plus encore complices. Ah notre complicité charnelle... C'est quelque chose auquel je tiens plus que tout.



Il est évident que notre complicité sensuelle... et sexuelle est basée sur le fait que nous sommes coquins comme cochons, Benoit et moi. Nous sommes sur la même longueur d'onde. Nous adorons explorer de nouveaux territoires, aussi bien sensuels que purement sexe. Depuis que j'ai fait la rencontre de MON mystérieux, il y a bien des pratiques, des positions ou bien encore des contextes que j'ai expérimenté avec lui. Quoi qu'il se passe entre nous, Benoit laissera une empreinte indélibile dans ma vie. Lui qui met du sucre et du chocolat, du sel et du poivre dans ma vie depuis que je l'ai rencontré... Benoit fait de moi une Candice qui n'est plus tout à fait la même femme en comparaison à la femme que j'étais, avant lui. En ce qui me concerne, je resterai à jamais SA chère lectrice rousse aux petits seins.


J'aime tout particulièrement ces moments où nous ne faisons qu'un, Benoit et moi. Notre complicité, aussi bien sensuelle que sexuelle, ne fait pas l'ombre d'un doute. Les yeux dans les yeux, nous nous disons que nous sommes bien, ensemble. Je vois le sourire que Benoit a aux lèvres. Je décide de retirer l'une de mes mains de son torse. Doucement, lentement, je déplace cette main et je la pose délicatement sur la joue de Benoit. Je la lui caresse. J'adresse à mon homme un sourire qui en dit long sur le bonheur que je ressens d'être avec lui.



Les minutes passent. Benoit et moi, nous prenons notre temps. Nous faisons grimper crescendo la température. Nous n'avons pas besoin de remuer les lèvres pour exprimer quoique ce soit. Rien ne sert de courir. Tout vient à point qui sait attendre. Étant à califourchon sur Benoit, en faisant coulisser sa belle et prometteuse érection tout contre ma porte du plaisir restée flamme et luisante de miel, je sais ce que je fais. Je dose l'excitation de mon partenaire à bon escient. Les va-et-vient sont... voluptueux. On pourrait très bien s'en contenter...